Selon lui, les DSI devraient aussi commencer à concevoir les réseaux collaboratifs plus comme du jardinage que comme un travail d'ingénierie : trouver un sol fertile, planter des graines, cultiver, arroser et les aider à pousser. « Ce n'est pas quelque chose qui vient naturellement à la plupart des DSI, il est donc possible qu'ils doivent s'associer aux autres composantes de l'entreprise qui sont peut-être plus en phases avec les attitudes et défis de celle-ci, afin d'aider à l'adoption de ces plateformes ».

Cette analyse est en réalité peu pertinente, la plupart des salariés utilisant déjà les réseaux sociaux chez eux, mais aussi au bureau. Cette étude ne donne donc, au final, aucune véritable solution pour une meilleure intégration sociale de ces outils dans l'environnement de l'entreprise, puisque tout changement nécessite de toute façon d'être accompagné, et de s'appuyer sur la structure globale de celle-ci.