Les discussions au sein de l'Icann ont tendance à se focaliser sur les pays riches, faisant apparaître un décalage entre les pays développées et émergents, selon les participants de la réunion publique du Caire. « Ce n'est pas que l'Icann n'est pas concerné par l'Afrique note Paul Levins, le vice président Entreprises (corporate affairs) de l'Icann, mais les questions discutées aujourd'hui sont celles des pays développés ». Il a indiqué que l'organisation allait continuer à encourager la participation africaine, en ajoutant que les Africains avaient eux-mêmes la responsabilité de mettre plus en avant les problèmes qui les concernent. L'Afrique en est encore à définir les noms de domaine de premier niveau