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(05/03/2012 10:45:12)

La solution de gestion d'archives Documentum va équiper l'OMC

La nouvelle solution de gestion de l'OMC, basée sur le module Records Manager de la gamme de produits EMC Documentum, devra remplacer toutes les applications existantes. Elle aura pour fonction de gérer les documents d'archives électroniques et physiques de l'OMC.

EMC Documentum Records Manager (RM) est une solution de gestion des documents d'archives qui offre des fonctions de sécurité et de classification des archives. Combiné avec d'autres module d'EMC Documentum, elle permet d'assurer la traçabilité des archives, de procéder à leur classification manuelle ou automatique, de gérer le versement des archives électroniques comme celui des archives papier ou des microfiches, de définir les périodes de rétention selon la nature de l'archive et enfin, d'automatiser leur destruction à la fin de la période de rétention. Cette solution devrait être mise en service d'ici la fin 2012.

ICTjournal.ch (...)

(05/03/2012 10:12:40)

Un portail unique pour les fournisseurs d'Osram

Osram est un fabricant de solutions d'éclairage (lampes, LED, etc.) présent commercialement dans 150 pays et industriellement dans 16 grâce à ses 41 000 collaborateurs et pour un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros. Pour optimiser ses relations fournisseurs, il a décidé d'opter pour une nouvelle solution d'e-sourcing avec une refonte associée des procédures au niveau européen.

Parmi les fonctions nouvellement implémentées, les fournisseurs peuvent s'auto-enregistrer et l'entreprise peut organiser des enchères dynamiques, le tout via un portail unique multinational au niveau européen. Au bout de trois mois d'usage, ce nouveau portail associé aux nouvelles procédures a permis, selon l'entreprise, de réaliser déjà de sérieuses économies sur les achats. Le portail a été construit autour des solutions de l'éditeur Synertrade, les modules eAuction et eRFX de ST6. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)

(29/02/2012 15:34:46)

Oracle détaille à son tour sa stratégie pour Taleo

SAP ayant présenté la semaine dernière sa feuille de route pour SuccessFactors, l'offre de gestion des ressources humaines en SaaS qu'il a rachetée, Oracle n'a pas tardé à expliquer ce qu'il comptait faire avec Taleo, offre concurrente en cours de rachat.

Il s'agit pour chacun d'eux de transactions significatives. Pour acquérir ces spécialistes de la RH dans le cloud, SAP a déboursé 3,4 Md$ et Oracle propose de payer 1,9 Md$ pour récupérer Taleo. Ce dernier va lui apporter des applications de gestion du recrutement et de l'accueil des employés. Oracle pourra les vendre à sa base installée ou à des entreprises qui n'utilisent pas encore ses logiciels. Taleo lui amènera des équipes qui connaissent le marché du SaaS (software as a service), ce qui renforcera sa pertinence dans ce domaine. SAP récupère des avantages similaires avec SuccessFactors.

Analyse prédictive pour retenir les hauts potentiels

Vendredi dernier, Mark Hurd, président d'Oracle, a déclaré au cours d'un webcast que lorsque l'acquisition de Taleo serait réalisée, Oracle disposerait de l'offre la plus large dans le cloud. L'offre rachetée se raccorde directement à l'application Fusion HCM (Human Capital Management) dans le cloud, a-t-il ajouté. 

Oracle veut offrir à ses clients une suite complète d'applications RH qui comprend des fonctions de BI embarquées, de réseau social et de mobilité, a confirmé Thomas Kurian, vice-président exécutif, responsable du développement produit chez Oracle. Il explique comment les produits de Taleo vont fonctionner avec les solutions maison. Les clients pourront « organiser, prévoir et rechercher leurs ressources de façon optimale ». Ils accéderont à l'analyse prédictive pour identifier les collaborateurs à haut potentiel qui risquent de quitter l'entreprise. Pour les retenir, ils pourront combiner le recours aux outils de Taleo et d'Oracle permettant de gérer les plans de carrière et les rémunérations. 

Taleo sera intégré dans Oracle Public Cloud

Pour la partie gestion du recrutement et accueil des employés dans l'entreprise, ce sont les logiciels de Taleo qui seront mis en avant par Oracle, selon la présentation de Thomas Kurian. Pour les logiciels de gestion de la performance, l'éditeur prévoit en revanche d'unifier l'offre de Taleo et la sienne en un seul produit et de proposer à tous les clients une mise à jour uniformisée. Taleo sera intégré dans le cloud public d'Oracle sur lequel fonctionne son offre Fusion HCM. Cela apportera aux applications de Taleo des capacités supplémentaires de gestion des identités et des données, ainsi que d'autres fonctions analytiques, a expliqué Thomas Kurian.

A plusieurs reprises, les responsables d'Oracle ont souligné que Taleo Business Edition, qui s'adresse à de plus petites entreprises, continuera à être proposé et maintenu. Ils entendaient ainsi rassurer les clients sur cette version de l'offre dans la mesure où Oracle insistait surtout sur la façon dont la version Enterprise de Taleo allait se combiner avec ses propres produits, a expliqué Lisa Rowan, analyste d'IDC, à nos confrères d'IDG News Service.

Thomas Kurian a aussi insisté sur le fait qu'il serait toujours possible d'exploiter ces logiciels de gestion du talent avec d'autres suites RH que celle d'Oracle. Cela reflète l'inquiétude de l'éditeur de perdre les clients qui utilisent actuellement Taleo avec les applications RH de concurrents comme SAP, estime l'analyste d'IDC.

(...)

(16/02/2012 10:11:25)

Les éditeurs du Syntec Numérique publient le Livre noir et blanc du logiciel

« Il y a dix ans en arrière, la R&D dans une automobile était liée à sa fabrication, maintenant, 25% de cette R&D vient des logiciels informatiques » a expliqué Bruno Vanryb, président du collège éditeurs du Syntec Numérique et PDG d'Avanquest, lors de la présentation du livre noir et blanc du logiciel. Il  replace ainsi le secteur de l'édition de logiciels dans son nouveau contexte. Un secteur qui touche désormais toutes les activités de la société, et doit être mieux reconnu.

Toutefois, ce secteur souffre de blocages. Avant tout sa dispersion entre de multiples entreprises trop faibles en taille. La France compte 3 200 éditeurs, mais 63% d'entre eux réalisent moins de 10 millions d'euros de chiffre d'affaires. 30% se situent entre 10 et 50 ME, 4% entre 50 et 100, 3% seulement au-delà de 100 ME de CA annuel. Dès qu'ils grandissent, ils se font racheter. Passer de PME à ETI (entreprise de taille intermédiaire) est donc problématique.

L'équipe de Bruno Vanryb propose d'abord la création d'un statut de « société créatrice de logiciels ». Les éditeurs informatiques relèvent en effet, du point de vue juridique et fiscal, de différents statuts : entreprise de croissance, société industrielle, activité de R&D. Ce nouveau statut serait une transformation de celui actuel de JEI. Le Syntec Numérique travaille depuis des mois sur ce projet. Il faudrait avoir 500 salariés et 20 ans d'existence pour y accéder. Le segment visé est bien celui des PME voulant devenir ETI, donc grandir en taille.

Les entrepreneurs forment les entrepreneurs

Le Livre noir et blanc insiste ensuite sur la formation marketing des chefs d'entreprise. Un vieux problème très français, nous sommes plus techniciens que vendeurs. La solution ? Des formations packagées dispensées (il reste juste à trouver un accord avec l'Education  Nationale) aux futurs chefs d'entreprise. Elles seraient livrées par les actuels patrons des entreprises d'édition informatique.

Et comme un dialogue avec l'Education Nationale ne lui suffit pas, le Syntec Numérique en ajoute un second, pour définir une filière de formation dédiée aux métiers du logiciel. Ils sont en effet mal reconnus dans leurs nouveaux développements (le web en particulier) et peut adaptés aux applications concrètes. Des cursus ciblés, une gouvernance partagée avec l'Education nationale (mais si, mais si, le Syntec Numérique en rêve), une meilleure visibilité des éditeurs auprès des étudiants sont envisagés.

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Le Syntec Numérique veut également simplifier l'accès aux multiples aides dispensées par les différents services de l'Etat. Oseo, Régions, Caisse des dépôts « baladent » les entreprises d'un guichet à l'autre, d'un formulaire au suivant, et d'un interlocuteur à son homologue. Le  Syntec Numérique propose un guichet unique de toutes les aides et surtout, associée à ce guichet, une équipe formée pour ce type de mission.

Des pôles de compétitivité incomplets

Enfin, le syndicat aimerait développer des écosystèmes du logiciel. Les pôles de compétitivité existent bien, mais le Syntec Numérique les trouve incomplets. Il manque les organismes de financement, les universités et grandes écoles, et ils fonctionnent indépendamment les uns des autres, trop localement. Contrairement aux organismes américains, Silicon Valley, par exemple, les grands acteurs ne passent pas commande aux petits acteurs. Ils s'ignorent. Le Syntec Numérique propose donc de revoir la conception des écosystèmes pour regrouper tous les acteurs du logiciel, leur donnant une plus grande dynamique et une meilleure visibilité en France comme à l'international.

Bref, le Syntec Numérique veut expliquer aux candidats aux présidentielles : « tenez compte de nos propositions, c'est bon pour la croissance ». Après sa présentation, Bruno Vanryb dialoguait d'ailleurs avec les représentantes des deux principaux candidats (***).  Et il est allé beaucoup plus loin que ses propositions, expliquant que l'expansion de l'industrie du logiciel permettrait de mieux accueillir, dans la vie active et dans la société en général, les nouvelles générations, particulièrement la génération « Y ». A condition de dépasser ses blocages et que le futur Président l'y aide. C'est la raison d'être de ces cinq propositions (****).

(***) Laure de la Raudière pour l'équipe Sarkozy et Fleur Pellerin pour celle de Hollande.
(****) Le Syntec Numérique a par ailleurs avancé dix propositions, mais son collège éditeurs voulait souligner l'importance de son secteur (et ne pas laisser l'Afdel, qui le lui rend bien, seule en piste) avec ses propres propositions au nombre de cinq.

(...)

(13/02/2012 11:21:24)

TF1 révise son décisionnel RH avec Microstrategy

Le groupe TF1 a déployé en janvier 2010 le projet Sigma sous SAP pour unifier sa gestion au niveau groupe, toutes activités confondues. Il manquait cependant un outil complet de pilotage des ressources humaines disponible sous divers environnements, notamment les tablettes voire les smartphones pour la direction du groupe.

Au départ, la DRH groupe disposait de rapports sous SAP BW (Business Warehouse) créés dans le cadre de Sigma mais ceux-ci n'étaient ni souples ni ergonomiques. Par ailleurs, il existait une application de tableau de bord, faite maison et avec des données devant être intégrées ponctuellement. L'ensemble n'était disponible que pour les personnels de la DRH sur les PC. L'objectif poursuivi était d'obtenir, sur tous les terminaux, un rafraîchissement au minimum quotidien des données et une ergonomie avancée avec un usage aisé sans besoin de formation particulière.

Par ailleurs, TF1 a signé la Charte de la Diversité. L'outil décisionnel devait permettre de contrôler que ses dispositions étaient respectées tant sur le recrutement que sur la politique de rémunération.

Une cinquantaine d'utilisateurs étaient concernés. Les opérationnels de la DRH devaient accéder à l'outil via le portail applicatif sur PC, le comité exécutif RH autant par le portail applicatif que sur tablettes et le comité directeur essentiellement sur tablettes.

Un projet baptisé REVE

Le projet, nommé REVE (Reporting EVErywhere), se devait d'être global au niveau groupe, fiable, pérenne et surtout sécurisé. « Les données intègrent des informations extrêmement sensibles, notamment les salaires des vedettes de la chaîne » souligne Dan Malka, chef de projet informatique détaché à la DRH groupe. Environ 90% des données pouvaient être récupérés via SAP BW car elles étaient disponibles dans Sigma. Le solde était constitué de données intégrables (fichiers Excel...).

Deux produits ont été examinés pour compléter SAP BW et atteindre tous les objectifs. Le premier, logiquement, était SAP BO (Business Object), le second, Microstrategy.

Le groupe TF1 dispose en interne d'une expertise sur BO XI 3 mais la version 4 avait été recommandée, bien que manquant de maturité, pour correspondre aux attentes en termes de multi-terminal. BO bénéficiait d'une intégration évidente dans SAP et la version 3 aurait coûté moins cher que toute autre solution, car déjà présente sur le système d'information du groupe. La version 4 supposait en effet de racheter des serveurs et des licences.

Cette nécessité de rachat de serveurs et de licences constituait le handicap majeur pour Microstrategy. Mais, à l'inverse de BO, l'accès multi-terminal y était déjà mature et l'intégration de l'ensemble des outils de l'écosystème ne posait aucun souci. Enfin, les fonctionnalités avancées et métier plaidaient aussi en faveur de cet outil qui a été finalement choisi.

Deux étages : SAP BW et Microstrategy

SAP BW et SAP HR (human Ressource) ont été maintenus, avec une intégration confiée au prestataire habituel du groupe TF1, Northgate Arinso. La couche Microstrategy (version 9.2.1), elle, a été intégrée par Censio. Les métadatas propres à Microstrategy ont été mises en place dans un serveur MS SQL 2008. La connexion Microstrategy/SAP repose quant à elle sur Microstrategy Intelligence Server.


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SAP BW a été conservé pour sa partie intégration des données, le stockage/archivage, le datawarehousing et les cubes associés aux quelques requêtes de base. Microstrategy se base sur les requêtes BW (et pas sur les cubes pour améliorer les performances) pour construire les rapports, disponibles sans redéveloppement quel que soit le terminal. « On peut cependant prévoir d'ajouter la prise en charge de certains apports des tablettes ou des smartphones (géolocalisation GPS, accéléromètre, commande tactile...) dans les rapports affichés sur ces outils » relève Dan Malka.

Le socle de REVE a été construit de janvier à septembre 2011. Des tableaux de suivi des rémunérations ont été ajoutés dans un deuxième lot, de juillet à novembre 2011. Un troisième lot a permis de piloter la campagne annuelle de réévaluation des salaires, avec intégration des propositions des managers opérationnels saisies via l'intranet. Enfin, un projet d'industrialisation a été mené de décembre 2011 à janvier 2012.

Des bonnes pratiques à respecter

Plusieurs règles ont été adoptées pour s'assurer de la performance de l'ensemble. La première a été de gérer trois niveaux dans la mise en place d'une évolution de l'outil : développement, pré-production et production. Le passage d'une évolution d'un niveau au suivant se fait par simple glisser-déposer dans Object Manager de Microstrategy. Dan Malka préconise : « une bonne pratique est de bien sauvegarder ses métadatas Microstrategy avant toute manipulation de ce genre ».

Par ailleurs, la connexion des tablettes s'effectue en respectant strictement les règles de la DSI groupe (VPN/HTTPS sur les connexions WiFi ou 3G...). Cela implique un paramétrage fin qui est malheureusement perdu en cas de mise à jour du coeur applicatif.

Le bilan est cependant largement positif pour les utilisateurs métier. Ceux-ci se sont largement impliqués dans le développement de l'outil, via des allers-retours entre métiers et informaticiens. Malgré tout, le raccordement de la BI RH et de la BI finances (sous SAP BW) n'a pas été de tout repos.

Le budget du projet n'a pas été communiqué.

(...)

(10/02/2012 11:00:02)

Le Crédit Agricole fournit sa suite logicielle 2Si au groupe Rodolphe Hottinger

Selon une information diffusée par Crédit Agricole Private Banking Services (CAPBS) la compagnie financière Rodolphe Hottinger, nouvellement arrivée à Genève, a débuté ses opérations financières en utilisant la plateforme logistique S2i développée par CAPBS. Au total, la mise sur pied du système s'est déroulée sur 5 mois et est désormais finalisée.

L'utilisation de la plateforme S2i dans le cadre de la sous-traitance de son système informatique et de son back-office permettra à la compagnie financière Rodolphe Hottinger de se concentrer sur le développement de ses activités commerciales. Rodolphe Hottinger, président de la compagnie éponyme, a souligné «la qualité et la rapidité dans le traitement des opérations, pour une solution qui a en outre permis une rationalisation des coûts importante».

S2i déjà implémenté dans 24 banques

La solution S2i est actuellement implémentée dans 8 entités de Banque Privée Internationale du Groupe Crédit Agricole ainsi que dans 16 banques externes, en Suisse comme à l'étranger, qui ont opté pour une complète de sous-traitance de leur informatique et de leur back-office. Ce sont ainsi 24 banques qui totalisent CHF 105 milliards d'actifs sous gestion gérés via la plateforme S2i, a indiqué un porte-parole du Crédit Agricole Private Banking Services à notre rédaction.

ICTjournal.ch (...)

(09/02/2012 15:51:22)

Gestion des RH : Oracle réplique à SAP/SuccessFactors en achetant Taleo

Oracle débourse 1,9 milliard de dollars pour mettre la main sur Taleo, éditeur spécialisé dans les solutions de gestion des talents et de recrutement des collaborateurs. Les applications de Taleo sont proposées en mode SaaS (software as a service). La capitalisation boursière de la société avoisinait hier les 1,62 Md$. Au 30 septembre dernier, sur les neuf premiers mois de son exercice fiscal, l'éditeur avait réalisé un chiffre d'affaires de 224 millions de dollars, soit une progression de 32% sur un an.

Cette proposition de rachat se présente comme une réplique directe à l'offre faite il y a deux mois par SAP à l'éditeur SuccessFactors, un concurrent de Taleo. L'opération de rachat de SuccessFactors, pour un montant de 3,4 Md$, est en cours d'examen.

Combiner l'offre de Taleo avec celle du cloud public d'Oracle ?

Oracle considère que la gestion du capital humain est devenue un domaine stratégique, ainsi que l'a souligné Thomas Kurian, l'un de ses dirigeants, vice-président exécutif, responsable du développement des produits. Les solutions cloud de Taleo sont un apport important au cloud public d'Oracle, a-t-il indiqué en faisant référence à l'offre annoncée par l'éditeur de Redwood lors de sa conférence OpenWorld 2011 en octobre dernier. Cette offre de cloud public comporte déjà des fonctions de gestion des employés : organigramme, annuaires, paie, fonctions d'analyse.

L'acquisition de Taleo, encore soumise à l'approbation des actionnaires, devrait être réalisée d'ici la fin du semestre. Le conseil d'administration de l'éditeur de logiciels RH a approuvé unanimement l'opération. Il reste maintenant à déterminer de quelle façon l'offre acquise va s'articuler avec celle d'Oracle en mode SaaS.

Taleo compte parmi ses clients des sociétés comme Alcatel-Lucent, Areva, Acxiom, HP, IBM, Merck et Point P.

(...)

(08/02/2012 09:17:27)

Avaloq ouvre un centre de développement aux Philippines avec Sofgen

L'éditeur de solutions bancaires Avaloq et son partenaire dans l'implémentation et le sourcing Sofgen ont annoncé avoir ouvert ensemble un centre de support au développement de logiciels à Manille aux Philippines. Les deux entreprises bénéficient pour cela de la présence de Sofgen et de son centre de développement Avaloq dans cette region. Ce centre permettra de soutenir les deux principaux centres de développement d'Avaloq basés en Suisse et au Royaume-Uni. Il se consacrera à ce titre aux tâches standardisées que sont le testing, la certification et les services de développement. Trente spécialistes y travaillent déjà et ce chiffre devrait atteindre les 80 d'ici un an. L'objectif pour Avaloq est de réduire le coût total d'acquisition pour l'ensemble des utilisateurs de ses services.

«Bien que les développements principaux de notre système bancaire Avaloq resteront basé à Zurich et à Edimbourg, nous pouvons désormais également compter sur le soutien des équipes basées aux Philippines, pour toutes les tâches de développement standard que sont les tests de construction, l'entretien des adaptateurs et les services de certification», a précisé Francisco Fernandez, CEO d'Avaloq dans le communiqué.

Le centre de développement Avaloq en Asie a été construit en 2009 pour faire face aux besoins d'assistance importants dus à un nombre croissant d'utilisateurs dans la région Asie-Pacifique.

ICTjournal.ch (...)

(03/02/2012 13:03:39)

Alfresco 4.0 en route pour le Cloud

Anticipant son offre SaaS de gestion de contenu sur la base de son logiciel Open Source, Alfresco a amélioré son produit éponyme de façon à permettre la collaboration entre plusieurs clients et l'interaction avec un large éventail de facteurs de forme, comme l'a annoncé l'éditeur. « Alfresco Enterprise 4.0 est l'élément fondamental de notre stratégie cloud, » a déclaré Todd Barr, responsable marketing de l'entreprise. Le vendeur se prépare à offrir son système de gestion de contenu (SGC) ou Content Management Software (CMS) en mode SaaS (Software as a Service) en avril ou, mai de cette année.

Disponible depuis hier, la version 4.0 d'Alfresco offre un certain nombre de fonctionnalités et d'améliorations destinées à rendre le logiciel plus convivial dans le cloud. « Notamment, le logiciel est accessible depuis les terminaux mobiles, il comporte une interface de type navigateur plus souple, plus des améliorations de performance dans le back-end, » a déclaré le responsable marketing. Désormais, Alfresco est accessible avec les clients pour iPhone et iPad. Les utilisateurs peuvent lancer un processus, annoter, éditer et enregistrer des documents qui se trouvent dans un référentiel Alfresco. Les entreprises peuvent aussi développer des connecteurs pour d'autres clients mobiles.

Plus de liens vers les réseaux sociaux

L'interface utilisateur a été améliorée et affiche un design plus « Web 2.0 ». Comme sur Facebook, les utilisateurs peuvent désormais cliquer sur un bouton pour dire qu'ils approuvent ou qu'ils aiment tel ou tel contenu particulier. Et comme sur Twitter, il est possible de suivre d'autres utilisateurs. Ils peuvent désormais publier directement du contenu sur des sites de réseautage social comme YouTube, LinkedIn, Flickr et Facebook. Le vendeur prévoit également une intégration avec le service de stockage en ligne DropBox un peu plus tard cette année. L'interface, qui est accessible via un navigateur Internet, permet désormais de déplacer les fichiers par glisser-déposer à l'endroit souhaité. Il est aussi possible d'afficher l'aperçu d'un plus grand nombre de types de fichiers.

En back-end, plusieurs aspects d'Alfresco 4.0 ont été repensés pour rendre la collaboration plus efficace dans un environnement multitenant. Les administrateurs peuvent désormais sortir de l'application les outils de collaboration Alfresco Share et Alfresco Index Server, et les exécuter sur des serveurs séparés, ce qui peut augmenter la vitesse d'exécution en cas de déploiements importants. Ou encore, les administrateurs peuvent configurer plusieurs instances d'Alfresco et les exécuter côte à côte. Le vendeur a aussi revu une partie du code, ce qui apporte selon lui des améliorations en terme de performance. Le contenu peut être aussi téléchargé trois fois plus vite. Selon le vendeur, les requêtes du tableau de bord sont accélérées d'un facteur 10, et les bibliothèques de documents sont chargées 25 à 50 fois plus rapidement. « Cette version du logiciel va servir de base pour faire tourner le service SGC d'Alfresco dans le cloud, » a déclaré Todd Barr. A l'heure actuelle, l'offre hébergée d'Alfresco tourne sous forme de bêta privée et le vendeur prévoit de commercialiser son offre dans les mois à venir.

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Parmi les utilisateurs possibles du service cloud, Afresco vise les entreprises qui utilisent déjà son logiciel en interne, mais ont besoin de rendre certains documents disponibles à l'extérieur de leur pare-feu pour faciliter la collaboration entre les salariés, et pour ses employés travaillant à l'extérieur de l'entreprise, » a déclaré le responsable marketing. Le vendeur va aussi lancer un service de synchronisation qui permettra aux entreprises de faire circuler leurs contenus entre les déploiements en interne et l'offre hébergée.

Introduit en 2005, Alfresco est un SGC Open Source. Alfresco Enterprise est la version commerciale d'Alfresco Community, téléchargeable gratuitement, et dont la version 4.0 est sortie en octobre dernier. L'édition Enterprise offre toutes les fonctionnalités de l'édition communautaire, plus un certain nombre d'outils de gestion supplémentaires, » a expliqué Todd Barr.

Le prix d'Alfresco 4.0 démarre à 20 000 dollars environ. Il augmente en fonction du nombre de processeurs utilisés.

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(03/02/2012 10:01:55)

Air Liquide choisit BravoSolution pour gérer ses achats

Créé en 1902, Air Liquide est un spécialiste des gaz pour l'industrie, la santé et l'environnement. Avec ses 43600 collaborateurs dans 80 pays, il génère un chiffre d'affaires de 13,5 milliards d'euros. Pour cela, il réalise 6 milliards d'euros d'achats par an, soit pratiquement la moitié du chiffre d'affaires. Pour accroître la performance globale de l'entreprise, l'optimisation des achats est donc une nécessité. Celle-ci passe par une gestion attentive des fournisseurs et des risques associés à ceux-ci, cela au niveau groupe afin de profiter des synergies entre entités de divers pays.

En 2010, un appel d'offres est donc lancé pour que le groupe se dote d'une solution de gestion des relations et des risques avec les fournisseurs. Après un pilote installé en Asie et aux Etats-Unis, Air Liquide choisit de déployer la solution de Supply Management proposée par BravoSolution. Le projet a été piloté par l'équipe groupe responsable des achats en collaborations avec des représentants des différentes branches du groupe au niveau mondial. La solution a été choisie parce qu'elle était en mesure de faciliter le travail des acheteurs en termes de suivi des dépenses, de qualification des fournisseurs, de suivi des contrats et d'évaluation de la performance de chaque fournisseur.

Le déploiement dans l'ensemble du groupe est en cours et s'achèvera au deuxième trimestre 2012. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)

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