Alors que doit s'ouvrir, ce 24 avril, le procès en appel opposant Microsoft à l'exécutif européen, l'éditeur vient de se voir refuser la consultation de documents échangés entre IBM et l'UE. Replié sur sa ligne de défense, le groupe de Redmond tente de contre-attaquer en déplorant des collusions entre ses concurrents et Bruxelles. Pour étayer la supposée entente, Microsoft s'est tourné vers la justice américaine afin qu'elle accède à sa requête et que lui soient communiqués les documents prétendument incriminant. Las pour le géant du logiciel, un juge de New-York vient de lui refuser l'accès aux communications échangées entre IBM et l'UE, tout comme l'avaient été celles concernant Novell, Sun ou Oracle.