Parmi les membres, acteurs des TIC, Lexmark travaillera sur la rationalisation de l'impression dans les bureaux, en particulier pour en réduire l'impact sur l'environnement. Le constructeur s'est appliqué ces principes à lui-même et, dans son siège de Suresnes, a réduit sa consommation de papier de 43% et réalisé 55% d'économies d'énergie. La gestion de la consommation électrique de la bureautique fait partie plus globalement des thèmes de recherche du GIE. Quant à Siemens, il proposera justement des systèmes électroniques de gestion des bâtiments, alors que Tandberg contribuera au travers de systèmes de vidéoconférence et de communication unifiée. Si l'on en croit Bouygues Immobilier, initiateur du GIE, le secteur du bâtiment est responsable de 21% des émissions de CO2 et de 43% de la consommation énergétique en France. C'est pourquoi le groupe construit déjà depuis plusieurs mois à Meudon un immeuble dit « à énergie positive ». Green Office sera sans nul doute placé au coeur des travaux de « Enjeu énergie positive ».