Si la sous et la non-utilisation de logiciels et de services de sécurité – désignées par le néologisme de « shelfware » – relèvent parfois d’un choix délibéré et stratégique, ce pratiques sont le plus souvent source d'inquiétude. Différentes situations font qu’une entreprise se retrouve avec des outils de sécurité dans son arsenal de défense : un DSI a insisté pour acheter une technologie particulière après avoir vu...