Selon une étude réalisée en janvier et juillet dernier par Endeavour Partners, après six mois d'utilisation, un tiers des américains ont remisé leurs bracelets connectés dans un tiroir. Pour aller un peu plus loin et mieux comprendre les attentes des utilisateurs, GFK a réalisée une étude dans cinq pays dans le monde (Allemagne, Angleterre Chine, Corée du Sud et États-Unis) auprès d'un millier de personnes. Selon l'enquête, 39% des objets connectés vendus sont des traceurs d'activité, et 11% des smartwatchs. Les principaux freins au développement de ces produits restent, selon les utilisateurs interrogés, le prix élevé de ces équipements (de 200 à 700 euros) et leurs fonctionnalités réduites.

Une étude intéressante alors que tout le monde attend pour savoir si Apple va se planter avec sa Watch ou réussir à imposer un terminal complémentaire au smartphone. Aujourd'hui, toujours selon l'étude, les sondés aimeraient utiliser une smartwatch pour suivre leur activité physique (29%), passer des appels téléphoniques (13%), s'orienter dans la rue (10%) et envoyer des SMS (6%). Le paiement sans contact, l'authentification à distance et la substitution à une contremarque électronique pour voyager dans les transports en commun sont également plébiscités par les sondés. Mais attention, dès que la montre n'aura plus de batterie, plus de pass pour rentrer à la maison ou assurer un contrôleur de sa bonne foi.