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Administration de serveurs
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(27/02/2008 16:27:13)
VMworld 2008 : avec Vmsafe, VMware place la sécurité entre les mains d'éditeurs tiers
L'environnement virtuel est à coup sûr mieux que le réel et plus sécurisé pour faire fonctionner un logiciel. C'est l'un des messages qu'a souhaité faire passer Mendel Rosenblum, cofondateur de VMware et actuel directeur de recherche, à l'occasion de VMworld 2008 à Cannes. La société, dont les annonces autour de la sécurité étaient très attendues lors de la conférence, a ainsi présenté sa technologie Vmsafe, une suite d'API qui sécurise la machine virtuelle VMware. Plutôt que de proposer une simple suite, VMware, qui contrôle l'intégralité de l'infrastructure virtuelle, a ainsi décidé d'ouvrir son système aux éditeurs tiers pour fournir la brique sécurité qui faisait, selon certains fournisseurs, défaut à l'éditeur. VMsafe s'intègre au niveau de l'hyperviseur de la marque et surveille ainsi les entrées/sorties, le CPU, la mémoire et les unités de stockage. La technologie permet de scanner plusieurs machines virtuelles pour détecter les virus et autres malwares, explique Mandel Rosenblum lors d'une brève démonstration. Vingt partenaires ont déjà répondu présents et ont décidé de développer des produits autour de VMsafe. On retrouve McAfee, Sophos, Trend Micro, Symantec, F5, IBM, Tripwire parmi les plus connus. Il est à noter que la société Core Security Technology a annoncé ce matin la découverte d'un faille dans ACE et VMware player, qui expose le système hôte à une prise de contrôle à distance. (...)
(26/02/2008 17:35:55)VMworld 2008 : VMware complète sa caisse à outils d'administration
VMware enrichit de quatre logiciels sa batterie d'outils d'administration pour centres serveurs. L'annonce a eu lieu en ouverture de la manifestation VMworld Europe qui se déroule du 26 au 28 février à Cannes. Les trois outils se nomment Lab Manager, Lifecycle Manager, Stage Manager, et Site Recovery Manager. Lab Manager s'adresse aux développeurs et leur permet de réaliser le provisioning (réservation de ressources) des machines virtuelles en environnement 'multi-tier'. L'outil permet d'assurer ensuite le suivi des paramétrages. Stage Manager prend en charge les tâches d'administration, en particulier celles de test et d'intégration avant la mise en service. Lifecycle Manager automatise les tâches d'entretien et de mise à jour des VM jusqu'à leur suppression. Enfin, Site Recovery Manager, comme son nom l'indique, assure la centralisation et l'automatisation des plans de reprise d'activité. Attendu, ce train d'annonces vise à apporter aux adeptes de la virtualisation les outils indispensables pour éviter l'anarchie qui guette les centres serveurs envahis par des machines virtuelles et, partant, difficiles à administrer. VMware fait même miroiter l'idée que la virtualisation, dans le cas des PRA (plan de reprise d'activité), réduit les pré-requis nécessaires à ce genre d'opérations. Dispensé grâce à elle de la nécessite de disposer de configurations quasi-identiques, la virtualisation permettrait même de mettre les PRA les plus exigeants à portée des PME. (...)
(26/02/2008 17:31:57)VMworld 2008 : Une faille critique de VMware s'en prend au système hôte
Alors que VMworld ouvre ses portes à Cannes, Core Security Technology vient de dévoiler une faille dans les versions pour poste clients des outils de virtualisation de VMware : Player, WorkStation et ACE. Cette faille permettrait à un individu connecté sur l'environnement invité de prendre la main sur l'environnement hôte de la machine. La défaillance se situe dans le système de partage de fichiers et ne concerne ni les versions clientes pour Mac et Linux, ni les versions sur Windows pour serveurs. Une faille qu'a confirmée l'éditeur en précisant : « Sur les hôtes Windows, si vous avez configuré un dossier de partage de l'hôte-vers-l'invité, il est possible qu'un programme installé sur l'invité puisse accéder à l'ensemble du système de fichiers présent sur l'hôte et créer ou modifier des fichiers exécutables en des lieux stratégiques. » Pour l'instant la société n'a pas encore sorti de correctif pour cette faille. Il faudra attendre la mise à jour de routine pour ces produits. Elle conseille, en attendant, de désactiver les dossiers partagés, une fonction désactivée par défaut dans ses nouvelles versions. En mars 2007, une faille similaire avait déjà été découverte par Verisign, il avait fallu attendre un mois avant que VMware ne propose une rustine. (...)
(26/02/2008 17:14:06)VMworld 2008 : VMware peaufine la virtualisation du poste de travail
« Le bureau virtuel est le futur de la virtualisation. » Diane Greene, PDG de VMware, à l'occasion de VMworld 2008 à Cannes, annonce clairement la couleur. La virtualisation du poste de travail est bien un créneau sur lequel la société avance. Et elle compte bien développer ses offres existantes, Virtual Desktop infrastructure (VDI) et ACE sur ce marché très prometteur. IDC estime que le marché de la virtualisation du desktop devrait dépasser le milliard de dollars d'ici à 2011. Si Diane Greene juge cette analyse « agressive », la société poursuit ses expérimentations sur le segment. VMworld 2008 a ainsi été témoin de la démonstration en avant-première de deux technologies sur lesquelles VMware travaille. Côté utilisateur d'abord, Offline VDI permet de travailler sur son environnement de travail virtualisé depuis un serveur distant, en mode déconnecté. Une fois reconnecté, la machine virtuelle est copiée sur le serveur, assurant la synchronisation de l'ensemble. Côté administrateur, Scalable Virtual Image permet la configuration et le déploiement de plusieurs images de machines virtuelles à partir d'un master central. « Cela permet de gérer tout les desktops virtualisés à partir d'une unique image. De plus, il réduit les besoins en stockage », ajoute Jerry Chen, directeur d'Enterprise Desktop chez VMware. Dans la foulée, VMware a annoncé intégrer les technologies de Thinstall, société rachetée en début d'année et qui permet d'exécuter en toute sécurité une application sans installation, technologie devenue pour l'occasion Application Virtualization Technology. « La combinaison de toutes ces offres desktop constitue le futur du VDI, explique Jerry Chen. Les pays émergents peuvent par exemple être une cible ». (...)
(26/02/2008 16:08:57)VMworld 2008 : ouverture sur un air d'administration et d'embarqué
C'est dans le mythique auditorium Louis Lumière du palais des Festivals de Cannes, le Saint des Saints du cinéma français, que Diane Greene, PDG de VMware, a inauguré sa première conférence utilisateur sur le sol européen. Devant un parterre de plus de 4500 personnes, la PDG du n°1 de la virtualisation, qui a le vent en poupe, a accueilli à bras ouverts la centaine de partenaires stratégiques et technologiques qui occupent les stands, un peu plus bas dans l'enceinte. Il faut dire que l'éditeur au milliard de dollars a vu les choses en grand. En témoigne la Croisette qui pendant les trois jours de la manifestation s'habille aux couleurs de VMWorld 2008, fanions au vent. C'est ainsi tout un écosystème, ici européen, qu'a tenu à remercier Diane Greene au premier jour de la conférence, sans toutefois multiplier les annonces tonitruantes, qui avaient rythmé l'édition américaine, en septembre dernier. Au programme, l'annonce évidente, mais très attendue, de solutions de gestion automatisée et d'administration qui contrôleront l'ensemble du cycle de vie de la virtualisation. Quatre produits sont prévus : Site Recovery Manager, Lifecycle Manager, Lab Manager et enfin Stage Manager. Ainsi « nous couvrons l'intégralité du spectre du cycle de vie, du développement à la mise en production », a confié ensuite aux journalistes Karthik Rau, directeur marketing de VMware. Lab Manager couvrira la gestion des phases de tests et de développement jusqu'à la phase de mise en production en provisionnant des environnements de test. Stage Manager assure les phases entre la pré-production et la production pour faciliter le déploiement. LifeCycle Manager supervise le cycle de vie des machines virtuelles - et éviter leur multiplication et leur éparpillement. Enfin, Site Recovery Manager doit faciliter la récupération de système. [[page]] Après avoir rappelé que la jeune société, après dix ans d'existence, rime actuellement avec croissance fulgurante - « la longue route pour devenir un acteur majeur » nuance-t-elle toutefois -, Diane Green a sollicité l'aide de ses partenaires pour aborder la question, parfois cinglante, des performances et de la stabilité d'ESX Server. « Trois labs sont ouverts pour l'occasion à VMworld 2008 », indique-t-elle, histoire de rassurer. Et preuve à l'appui. Après l'exposé de BT sur le concept du datacenter virtuel pour démontrer la fiabilité du produit, c'est IBM, un des partenaires platinum de l'éditeur, qui est venu présenter « un record de performance » et pousser dans ses retranchements le concept de virtualisation d'applications : faire tourner un serveur Exchange sur huit machines virtuelles dédiées chacune à 2000 utilisateurs. Une prouesse selon le constructeur. L'hyperviseur embarqué en point d'orgue Au coeur du discours d'inauguration, trois annonces OEM autour de ESX Server 3i, l'hyperviseur embarqué, sont apparues. IBM, HP, puis Dell ont séparément décidé d'intégrer 3i par défaut dans certaines gammes de leur serveurs. Big Blue inaugure BlaceCenter Vmware ESX 3i, une lame optimisée pour la virtualisation, et présente le concept d'Instant virtualisation. Grosso modo, « on crée un marchine virtuelle, on configure et on déploie ». HP lance de son côté 3i for HP ProLiant. Le directeur marketing de Dell, en forme, est venu présenter l'intégration de l'hyperviseur embarqué à toute la gamme PowerEdge. « VMware everywhere », scande le slogan du Texan. Couplé à l'intégration en natif sur ses serveurs, Dell lance un service en ligne de téléchargement de VMware (VMwareNow) qui porte, selon lui, la virtualisation à un clic. « On télécharge, on installe et ça marche. » Une facilité d'accès couplée à une simplicité de configuration - du moins sur le papier -, qui pourrait pousser la virtualisation entre les mains des PME. Le thème de la sécurité devrait être abordé au deuxième jour de la conférence. (...)
(26/02/2008 12:02:46)Novell entre dans la gestion de la virtualisation en rachetant PlateSpin
L'administration de systèmes hétérogènes est un axe stratégique pour Novell, surtout à l'heure où la tendance est à la virtualisation. Si on en doutait encore, l'éditeur de la suite d'administration ZENworks vient d'en donner la preuve, en rachetant PlateSpin pour 205 M$, alors que cet éditeur n'a réalisé qu'une vingtaine de millions de dollars de chiffre d'affaires en 2007. L'offre de PlateSpin repose sur deux produits, PowerRecon, qui établit une sorte d'inventaire des applications et des serveurs d'un datacenter, et mesure la consommation des ressources ; et PowerConvert, qui permet de distribuer les charges applicatives sur des serveurs physiques ou virtuels. Ces fonctions d'administration de serveurs virtualisés visent à rendre les datacenters plus dynamiques : il s'agit d'optimiser les ressources matérielles dévolues à des charges applicatives en fonction de l'évolution de ces dernières, au cours de la journée, de la semaine, du mois... Citrix a théorisé la chose avec son concept de 'delivery center', mais il est clair que l'administration est désormais le cheval de bataille des autres acteurs de la virtualisation et du grid, comme VMWare, Microsoft ou Platform Computing. En s'offrant un acteur agnostique (la transaction devrait être finalisée fin avril), Novell gagne une place stratégique dans cette arène. (...)
(21/02/2008 20:17:03)Alcatel Lucent ouvre les portes de son datacenter ultra-sécurisé de Marcoussis
Alcatel Lucent compte commercialiser des ressources systèmes dans son centre serveur haut de gamme de Marcoussis. Ce projet fait partie des retombées positives d'un plan sur trois ans pour consolider l'ensemble des serveurs du groupe. D'ici à 2009, Alcatel Lucent compte ramener à six ses centres serveurs de par le monde - contre 25 avant la fusion - et faire disparaître 125 salles serveurs (moins de 100 machines) elles aussi disséminées un peu partout. A cette concentration géographique s'ajoute une réduction du nombre de systèmes. D'environ 10 000, ils ne seront plus que 6 000 à 7 000 au final. Parmi les six centres serveurs, dont trois se trouveront en Asie, figurent deux centres dit Tier 4, ou classe 4 (voir encadré), autrement dit haut de gamme, dont la conception permet d'assurer un taux de disponibilité de 99,995%. L'un se trouve à Chicago et l'autre, le plus moderne, en région parisienne, à Marcoussis. Ce site se compose de deux immeubles de 2000 m² chacun avec, à une distance de trois kilomètres, un site miroir. Le tout est, bien sûr, doté d'équipements réseau maison Omniswitch et c'est HP qui a été choisi comme partenaire privilégié pour participer à la conception de l'ensemble. Alcatel Lucent concentre à Marcoussis sur 850 serveurs ses applications critiques comme celles concernant la finance et son PGI central qui rayonne sur l'ensemble du groupe. Toutefois, il ne compte utiliser pour ses besoins propres qu'un des deux immeubles construits suivant un cahier des charges très exigeant. La rareté de ce type d'équipement en Europe laisse espérer une forte demande pour héberger les ressources d'autres entreprises. Il est d'ailleurs d'ores et déjà prévu d'étendre le site et son miroir. En attendant, Alcatel Lucent affirme que le haut niveau de technicité de son centre lui permettra de réduire de 25% son TCO (total cost of ownership, coût total de possession) d'ici à fin 2008 par rapport à un contexte caractérisé par la dissémination de ses serveurs. (...)
(12/02/2008 17:55:35)Citrix adopte la Xen attitude
Après plus d'une décennie passée dans l'ombre de Microsoft à évoluer sur le marché de l'affichage distant, Citrix fait une apparition remarquée sous le soleil resplendissant de la virtualisation. Fort du rachat de la technologie Xen en août dernier, l'éditeur commercialise une logithèque entièrement revue à la sauce VM (virtual machine). A sa décharge, il est aujourd'hui un des rares à pouvoir revendiquer le mot de virtualisation en commettant le moins d'abus de langage. C'est ainsi que Presentation Server devient Xen App et prend désormais en charge la "virtualisation" des applications, que celle des serveurs est assurée par XenServer 4.1 et que XenDesktop assure la virtualisation complète des postes de travail. En clé de voûte marketing au nouveau Citrix, on trouve le concept de "delivery center". Dans l'esprit de ses promoteurs, ce terme, qui remplace celui de "data center" permet d'insister sur les capacités de pilotage dynamique qu'ils revendiquent avec l'outil Workflow Studio. Un gestionnaire de processus qui permet de déclencher des actions (déplacement d'une VM, par exemple) en fonction de certains événements (modification de la charge, etc.). Sur le papier, Citrix est aujourd'hui l'acteur le mieux placé sur les différents aspects de la virtualisation.[[page]] Il affiche un spectre plus large que celui de VMware. S'ajoute à cette exhaustivité, son étroite collaboration avec Microsoft. Ce dernier, en position de challenger, utilise Citrix comme propulseur. Celui-ci oeuvre à pouvoir commercialiser son offre avec, indifféremment, son hyperviseur Xen ou Hyper-V, celui de Microsoft. Les deux hyperviseurs supporteront le même format (VHD, Virtual Hard Disk) et pourront être administrés par les outils de Citrix. De là à se demander si Microsoft, qui se perd en amabilités sur Citrix, ne va pas commercialiser sous son nom une partie de l'offre Citrix, il n'y a qu'un pas. On notera d'ailleurs que Citrix a calé l'agenda de ses annonces sur celui de Microsoft : l'éditeur a attendu l'annonce de Windows Server 2008, faite aujourd'hui par Microsoft France sur les TechDays avec une quinzaine de jours d'avance sur le reste du monde, pour effectuer sa propre annonce. (...)
(08/02/2008 17:02:01)Microsoft attend 10 000 personnes à ses TechDays
Les TechDays organisés par Microsoft France à Paris de lundi à mercredi prochains s'annoncent encore plus imposants que ceux de 2007. Avec plus de 15 000 inscrits ce vendredi, les organisateurs attendent plus de 10 000 visiteurs uniques sur les trois jours, en se référant au succès de l'an dernier. Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France, cite ainsi les statistiques de la première édition : « 8 000 visiteurs uniques pour 13 000 inscrits ». Le nombre de sessions passe à près de 300, dont près de la moitié seront animées par des experts travaillant pour des laboratoires ou des partenaires de Microsoft. Cette deuxième édition de l'événement, qui fait jeu égal avec les conférences européennes - payantes et en anglais - reste gratuite pour les visiteurs. Selon Marc Jalabert, le financement vient pour la moitié environ des partenaires, dont le nombre a été augmenté. Il y en a une centaine cette année, à tel point que l'événement tient désormais salon sur deux étages du Palais des congrès de la Porte Maillot. Parmi les partenaires, on note la présence de « coopétiteurs » comme Sun, IBM ou EMC, et dans l'Open Source celle de Talend, récemment admis dans le laboratoire Open Source de Microsoft, mais pas celle de JBoss, pourtant lié à Microsoft par un accord spécifique - dont on voit décidément mal la concrétisation sur le terrain. Fait étonnant pour un événement parisien, d'autant que toutes les sessions seront disponibles en vidéo, « 35 à 40% des inscrits viennent de province », précise Marc Jalabert. Toutefois, même si la tournée en province des DevDays n'existe plus, Marc Jalabert promet qu'il y aura « des sessions TechNet et MSDN avec des partenaires dans cinq ou six grandes villes ». (...)
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