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Administration de serveurs
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(28/03/2008 17:45:59)
Bios : Phoenix achète BeInSync, spécialiste de la synchronisation
Phoenix Technologies, numéro un mondial des Bios (Basic input output system, qui fait l'interface entre la machine et le système d'exploitation) pour systèmes x86, annonce l'achat de BeInSync pour un montant estimé à 25 M$. Cette société israélienne est spécialiste de la synchronisation de fichiers en pair à pair. Phoenix Technologies, dont les Bios (Phoenix, Award, First.) sont enfouis dans la plupart des cartes mères des grands de la micro-informatique et des serveurs, inscrit cette acquisition dans son projet de plateforme "PC 3.0" dont l'élément essentiel est l'hyperviseur HyperCore qui a été présenté en octobre 2007. Cet hyperviseur a pour caractéristique d'être ultraléger et ajouté au Bios. Il permet déjà de faire fonctionner Hyperspace, un environnement applicatif indépendant de Windows. Au premier regard, la technologie de BeInSync se destine naturellement à la synchronisation des fichiers de données. Les utilisateurs pourraient disposer d'un référentiel pour sauvegarder leurs données, les synchroniser et y accéder dès lors qu'ils disposeraient d'un accès Internet. Une intégration attendue entre BeInSync et Hypercore L'autre éventualité, qui n'est pas exclusive de l'autre, serait la conjonction de la technologie de BeInSync et de l'hyperviseur Hypercore. Dans cette perspective, Phoenix pourrait alors proposer une approche originale à la gestion des machines virtuelles dans le cadre d'un environnement VDI (Virtual desktop infrastructure, infrastructure de poste de travail virtualisé). Une certitude, Phoenix compte bien proposer son développement à tous ses clients, autrement dit au ban et à l'arrière-ban du monde X86/64. Une offre qui ne pourra qu'avoir l'aval d'Intel. Début 1996, Intel est rentré au capital de Phoenix Technologies à hauteur de 6% pour un montant de 10,8 M$. Phoenix a racheté ces 6% à Intel début 2001, mais les deux sociétés sont restées très proches et collaborent étroitement. Notons que FolderShare (acheté par Microsoft en 2005) et Sharpcast sont considérés comme des concurrents de BeInSync. (...)
(25/03/2008 09:18:48)VMWare administre la virtualisation avec le PowerShell de Microsoft
La virtualisation bientôt plus simple à administrer en environnement Microsoft. C'est ce que promet VMWare, avec son VMWare Infrastructure (VI) Toolkit for Windows. Cette boîte à outils permet d'utiliser PowerShell, les commandes en ligne de Windows Server, pour administrer une infrastructure virtuelle à base d'ESX 3.x et de Windows Server 2003. VMWare précise avoir écrit plus d'une centaine de "cmdlets" (scripts) et supporte une communauté pour faciliter le partage. La version finale de VMware Infrastructure (VI) Toolkit pour Windows est promise pour le second semestre de cette année. (...)
(19/03/2008 09:21:06)HP rénove son offre pour des datacenters consolidés
« Les entreprises sont confrontées à l'explosion des données, la mobilité croissante des employés et la nécessité d'accéder aux informations en temps réel » déclare Ann Livermore, vice-présidente exécutive, HP Technology Solutions. « HP aide les DSI à modifier en profondeur la façon dont ils développent, gèrent et exploitent leurs datacenters. » Et pour cela, la société propose un nouveau serveur, deux logiciels et quatre services adaptés. Le serveur, l'HP Proliant DL785 G5, sera un serveur 8 sockets basé sur le processeur quadricoeur Barcelona d'AMD, et supportera jusqu'à 256 Go de mémoire vive. Pour HP, c'est l'outil idéal pour consolider une salle de serveurs grâce à la virtualisation. Côté logiciel, HP lance Insight Dynamics -VSE. S'intégrant à l'outil de gestion de plate-forme HP Insight Manager, il analyse et optimise en temps réel les ressources physiques et virtuelles de la salle de serveur et fonctionne avec les principaux hyperviseurs du moment. Le constructeur a également ajouté des outils d'automatisation dans Operations Orchestrations pour gérer les relations entre postes clients, applications, serveurs et périphériques de stockage. Enfin, côté services, HP propose Adaptative Infrastructure as a Service, qui propose la location d'applications à la demande - comme Microsoft Exchange ou SAP - hébergées dans les data centers d'HP, avec un temps d'adaptation se mesurant en heures et non en jours. Critical Facilities, Datacenter Consolidation et Datacenter Virtualization sont eux des services plus classiques de conseil, de conception et d'administration de salles de serveurs. (...)
(17/03/2008 17:39:16)Bob Beauchamp, CEO de BMC : "même sans rien faire, nous aurions 2 ans d'avance"
L'acquisition de BladeLogic par BMC, pour environ 800 M$, s'inscrit selon Bob Beauchamp, son CEO, dans la droite ligne de la stratégie annoncée l'année dernière. BMC avait en effet indiqué qu'il comptait étoffer son offre de BSM (Business service management) avec des outils d'automatisation. L'idée des logiciels de BladeLogic est de fournir aux entreprises un ensemble d'outils les déchargeant en partie de la gestion de leurs serveurs. Une idée qui coïncide avec celle du BSM, laquelle consiste à mettre en corrélation la production informatique et le service rendu au métier. Dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, Bob Beauchamp, patron de BMC, et Dev Ittycheria, président et CEO de BladeLogic, expliquent les raisons de ce rapprochement. LeMondeInformatique.fr : Cette partie automatisation manquait, jusqu'à présent, dans l'offre de BMC ? Bob Beauchamp : Oui, nous avons Remedy, qui est la plateforme de choix pour la gestion du service informatique, Patrol et nos autres outils qui constituent notre offre de gestion traditionnelle, et maintenant nous amenons de l'automatisation dans l'offre de BMC. LeMondeInformatique.fr : Estimez-vous disposer dorénavant d'une offre BSM complète, ou bien reste-t-il des manques à combler ? Bob Beauchamp : Même sans rien faire, nous aurions encore deux ans d'avance sur la concurrence, et ce n'est pas moi qui le dis, ce sont plusieurs cabinets d'analystes, Forrester, Gartner, IDC. Mais nous n'avons pas l'intention d'en rester là, notre but est de continuer d'avancer, de surprendre les compétiteurs. LeMondeInformatique.fr : Pourquoi avoir décidé cette acquisition maintenant ? Bob Beauchamp : Cela faisait longtemps que nous regardions BladeLogic, en fait depuis que nous avons pris la décision l'année dernière de compléter le BSM en allant vers un nouveau secteur, celui de l'automatisation. BladeLogic était de loin le meilleur. Mais il a fallu être réaliste, et attendre le bon moment. [[page]] LeMondeInformatique.fr : Et pourquoi, du côté de BladeLogic, avez-vous pris la décision d'accepter, alors que, comme le soulignaient les analystes lors du rachat d'Opsware par HP, vous n'aviez finalement que l'embarras du choix ? Dev Ittycheria : Le rachat d'Opsware n'a pas changé fondamentalement notre objectif, qui était de continuer à progresser sur ce marché. Mais quand BMC a fait une proposition, nous l'avons examinée avec le conseil d'administration, puis nous avons pris contact avec ceux qui avaient exprimé un intérêt par le passé et entamé un processus complet d'analyse, qui a conclu que l'offre de BMC était dans notre meilleur intérêt. LeMondeInformatique.fr : Le rachat de Platespin par Novell a-t-il précipité les choses ? Bob Beauchamp : Non, cela n'a eu aucun impact. Dev Ittycheria : PlateSpin intervient sur une niche, la migration de systèmes virtualisés, qui n'est pas un secteur essentiel pour nous ; nous sommes davantage sur la partie gestion de systèmes. LeMondeInformatique.fr : Certains de vos produits sont déjà intégrés, avez-vous dit lors de la conférence de presse. Pouvez-vous détailler dans quelle mesure ? Bob Beauchamp : Il s'agit en fait d'intégrations réalisées de façon naturelle. D'une part, en raison d'une collaboration entre les équipes de BladeLogic et de RealOps, avant que nous ne rachetions ce dernier. Et d'autre part, sur le terrain, lorsque des clients utilisent à la fois BladeLogic et Remedy. LeMondeInformatique.fr : Combien de clients compte BladeLogic, et quel est le pourcentage de clients en commun avec BMC ? Dev Ittycheria : Notre base clients croît rapidement, nous en revendiquons aujourd'hui 275. Mais pour le décompte. Bob Beauchamp : Quoiqu'il en soit, sachant que BMC compte 15 000 clients, cela fait toujours 14 725 opportunités de licences croisées ! (...)
(17/03/2008 14:59:06)BMC s'offre les outils d'automatisation de BladeLogic pour 800 M$
BMC a proposé environ 800 M$ pour racheter BladeLogic, éditeur d'outils d'automatisation de la gestion des centres serveurs. Bob Beauchamp, patron de BMC, explique dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr que BMC souhaitait depuis plusieurs mois compléter son offre d'administration avec une solution d'automatisation. Blade Logic a découpé son offre en quatre éléments : Discovery Manager (découverte des constituantes matérielles et logicielles du data center), Compliance Manager (application de règles de conformité et audit), Configuration Manager (mise à jour et reconfiguration des serveurs) et Virtualization Manager (couche d'abstraction pour la gestion de serveurs virtuels ou physiques). Depuis le rachat d'Opsware par HP, qui avait d'ailleurs boosté le cours de Bourse de BladeLogic, ce dernier était l'un des derniers grands éditeurs indépendants sur ce créneau (on peut aussi citer PlateSpin, récemment repris par Novell, pour la partie gestion de la virtualisation). D'ailleurs, après le rachat d'Opsware, les spéculations allaient bon train chez les analystes sur qui rachèterait BladeLogic. Brian Babineau, analyste senior chez Enterprise Strategy Group, expliquait en juillet 2007 à nos confrères d'Infoworld que « BladeLogic pourrait continuer seul un certain temps et, s'il continue ainsi, quasiment fixer son prix ». Stephen Elliot enchérissait : « Si vous cherchez un produit et une base installée vraiment décents, BladeLogic est le seul autre éditeur indépendant sur le marché. » BMC fait une offre à près de 13 fois le CA de BladeLogic En revanche, ces analystes se trompaient sur le nom de l'acquéreur potentiel. Ils citaient Symantec (qui avait racheté Jareva, mais a depuis décidé d'abandonner ce créneau), CA, ou encore EMC. D'autres estimaient qu'IBM n'attendrait peut-être pas les bras croisés que HP le rattrape dans la gestion automatisée des infrastructures. Mais c'est donc finalement BMC qui devrait emporter le morceau : le conseil d'administration de BladeLogic appuie la transaction, qui devrait être finalisée d'ici quelques jours. BladeLogic a affiché en 2007 un chiffre d'affaires de 62,7 M$, réalisant une croissance de 105% (pour un déficit de 174 000 dollars, à comparer aux 8,7 M$ de pertes pour l'année 2006). BMC a enregistré de son côté plus d'un milliard et demi de dollars de chiffre d'affaires en 2007. L'offre de BMC, à 28 dollars l'action (soit un bonus de 18,6% par rapport au cours de clôture de vendredi soir), valorise BladeLogic à environ 800 M$. (...)
(14/03/2008 16:42:57)Gestion de parc : EMC achète l'Australien Infra
EMC s'est porté acquéreur de la société australienne Infra, spécialiste, avec son produit InfraEntreprise, de l'ITSM (IT Service management : gestion des problèmes, des incidents, des changements, de la configuration, des mises en production, de la disponibilité et des niveaux de service...) Infra affirme que son produit respecte le référentiel de bonnes pratiques Itil (IT Infrastructure Library). Pour EMC, cette acquisition s'inscrit dans son projet stratégique d'étendre largement ses compétences au-delà du stockage et de se poser en fournisseur central dans le domaine de l'automatisation du SI. L'an dernier, Infra est entré dans le "Magic Quadrant" que le Gartner consacre aux "IT Services Desk". Infra évolue sur un marché où BMC, CA (Computer Associates) et HP se partagent plus de 50% du marché. Le Gartner Group estime que les challengers (Infra, Axios Systems, FrontRange Solutions, iET Solutions et Touchpaper) gagnent du terrain et poussent à l'innovation sur un marché où les produits des leaders ne brillent pas par leur modernité. IBM est entré sur ce marché fin 2006 en achetant MRO Software. Auparavant HP avait renforcé sa position avec l'achat de Peregrine et Oracle avec celui de Vantive. Fondé en 1991, Infra dispose de deux bureaux en France, l'un à Sophia Antipolis et l'autre en région parisienne. (...)
(29/02/2008 15:24:17)VMworld 2008 : Sun et VMware signent un accord flou
L'accord signé entre VMware et Sun aurait pu être considéré comme le partenariat le plus complet de ceux annoncés à VMworld, s'il ne brillait aussi par l'ambiguïté de ses termes. C'est sur le point désolant de la langue de bois qu'il décroche donc le premier prix. Tout juste peut-on comprendre que Sun va proposer la suite VMware Infrastructure sur ses serveurs x64. Contrairement aux autres fournisseurs de serveurs qui se sont rués sur l'hyperviseur ESX, l'accord entre Sun et VMware porte sur les outils d'administration. Il est vrai qu'en matière d'hyperviseur, Sun est déjà bien loti avec sa propre technologie, à laquelle il a ajouté celle d'Innotek, et celle de Citrix. Mais Sun dispose aussi d'une suite d'administration, xVM Ops Center. Et rien n'est précisé sur l'interaction entre cet outil et Virtual Infrastructure de VMware. Est-il nécessaire de préciser que confondre virtuel et irréel peut être néfaste ? (...)
(27/02/2008 16:45:38)VMworld 2008 : EMC rappelle ses liens privilégiés avec VMware
Très discret sur son contrôle de VMware à près de 90%, EMC profite toutefois de cette position pour placer ses produits en adéquation avec ceux de sa filiale. C'est ainsi que l'outil Recovery Manager d'administration de PRA de VMware sera rapidement intégré avec les solutions de réplication à distance d'EMC : RecoverPoint, MirrorView, SRDF et Celerra Replicator. Au niveau des logiciels de sauvegarde, les fonctionnalités de déduplication de données d'Avamar ont été optimisées pour fonctionner avec VMware. Quant à EMC Replication Manager, il permet des réplications au niveau des applications Exchange, SQL Server et Oracle en environnement VMware. (...)
(27/02/2008 16:44:04)VMworld 2008 : Unanimité autour d'OVF, format pour transporter les machines virtuelles
VMware vient d'annoncer OVF (Open Virtual Machine Format) avec le soutien de Microsoft, XenSource (Citrix), IBM, HP et Dell. Alors que VHD (Virtual Hard Disk), soutenu par Microsoft et Citrix, tout comme VMDK (virtual machine disk format) de VMware, sont des formats pour constituer des disques virtuels, OVF a pour vocation de décrire l'intégralité d'une machine virtuelle. Cela comprend, bien sûr, l'ensemble des disques virtuels (au format VHD ou VMDK), mais aussi la configuration virtuelle complète du matériel (processeur, mémoire, réseau et stockage). Charme de la coopétition, le format OVF est soutenu par l'association DMTF (Distributed Management task Force). (...)
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