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Administration de serveurs

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(23/05/2008 16:56:09)

HP administre les ressources physiques comme virtuelles

Amorcée en marsl'offensive d'HP pour s'installer au coeur de l'administration des salles de serveurs, l'offensive d'HP pour s'installer au coeur de l'administration des salles de serveurs se poursuit. C'est aujourd'hui au tour du logiciel de se mettre en place. HP Insight Dynamics VSE vient en effet de quitter la phase beta pour être commercialisé à tous. Cet outil d'administration analyse et optimise en temps réel les ressources physiques et virtuelles de la salle de serveur, et peut aussi en faire varier la consommation énergique en fonction des besoins de chaque machine. Insight Dynamics VSE se décompose en trois parties. Logical Server est un ensemble de métadonnées qui retranscrivent une image disque d'un système d'exploitation et de ses applications avec toutes les informations pertinentes (comme son adresse MAC sur le réseau), et se tient près à transférer l'ensemble de ces informations d'une machine à l'autre en cas de besoin. Insight Manager Console est la plateforme d'administration proprement dite et rassemble en un seul écran toutes les ressources physiques et virtuelles. Et Smart Solver fournit toutes les informations sur la performance et la consommation énergétique de chaque élément. Côté matériel, Insight Dynamics VSE est compatible avec les gammes ProLiant, Integrity et BladeSystem. Et côté virtuel, il sait gérer les principaux hyperviseurs du moment - XEN de Citrix, ESX de VMWare et le futur Hyper-V de Microsoft. Enfin, du côté des systèmes d'exploitation, outre HP-UX, Insight Dynamics VSE est compatible avec les principales distributions Linux et les différentes versions de Windows. Insight Dynamics VSE est commercialisée à partir de 4000 dollars par coeur la licence sur les gammes Integrity et ProLiant et à 1 495 dollars par serveur lames (avec une réduction de 200 dollars en cas d'achat en gros). (...)

(23/05/2008 16:35:54)

IBM se pose en interlocuteur unique de l'automatisation des centres serveurs

IBM se lance tout équipé dans l'arène de la gestion et de l'automatisation des centres serveurs. Devant un parterre de plus de 4000 responsables informatiques pour sa manifestation Pulse 2008, le Software Group d'IBM a mis les petits plats dans les grands pour exposer les résultats de ses efforts d'intégration entre les lignes d'outils de Tivoli, de Micromuse et de MRO Software. L'enjeu est de taille. Sous l'effet conjugué de l'augmentation exponentielle du nombre de serveurs et du renforcement des contraintes techniques, économiques et écologiques, les cerveaux informatiques des entreprises doivent évoluer sous peine de mettre en péril la survie de l'organisme qui les fait vivre. Sur le papier, la réponse tient en peu de mots : une meilleure gestion passe par une automatisation poussée de toutes les tâches d'administration quotidiennes. Les concurrents de Big Blue ne sont pas en reste IBM se targue d'avoir entamé sa quête d'un environnement d'administration et d'automatisation unifié depuis 2001, mais ses concurrents sont aussi partis en quête. Au cours des dix-huit derniers mois, on a vu HP mettre la main sur Opsware, spécialiste de l'automatisation, BMC faire de même avec RealOps et BladeLogic. Quant à Computer Associates (CA), la signature d'un accord privilégié avec Opalis pourrait déboucher elle-aussi sur une absorption pure et simple. De l'avis des analystes, IBM a fait de gros efforts pour transformer ce qui ressemblait au chantier de la tour de Babel en un ensemble homogène. C'est ainsi que la technologie d'interface Maximo acquise avec MRO Software appliquée à la plateforme d'automatisation des process de Tivoli a donné naissance à une console d'administration dont la facilité d'utilisation est sans comparaison avec l'ancienne. Certains utilisateurs reprochent à IBM les liens trop étroits de l'offre avec ses services Mais IBM est aussi une SSII. Certains participants à la conférence Pulse trouvent d'ailleurs que ses technologies et ses produits sont par trop liés à ses offres de services. Autrement dit, ils préfèreraient des outils moins complexes qu'ils puissent maîtriser seuls, sans avoir à payer les factures des consultants de Big Blue. BMC et CA, qui n'ont pas d'ambition dans les services, ont encore des offres produit davantage prêtes à l'emploi et mieux intégrées. IBM promet cependant que ses « Accelerator services » permettront de multiplier par deux le rythme d'implantation. (...)

(21/05/2008 11:09:55)

BMC UserWorld : BMC guère touché par le rachat d'EDS par HP

A en croire Bob Beauchamp, président et CEO de BMC, le rachat d'EDS par HP serait plutôt une bonne chose pour lui. C'est à peine, d'ailleurs, s'il a évoqué HP, qui est pourtant son principal concurrent, devant IBM et CA, lors de son discours d'introduction mardi matin, à l'occasion de sa conférence utilisateurs à Lisbonne. Visant HP mais aussi IBM, Microsoft et d'autres, il a ainsi expliqué que BMC était le neuvième éditeur mondial et se consacrait à 100% aux logiciels d'administration, alors que d'autres du Top 10 vendaient aussi « des imprimantes, des bases de données, des systèmes d'exploitation, des offres d'outsourcing... » Lors d'une conférence de presse, Bob Beauchamp a ensuite reconnu que l'acquisition d'EDS avait des impacts négatifs, dans la mesure où BMC était justement en train de devenir la solution d'administration de référence chez EDS. Toutefois, a-t-il aussitôt enchaîné, il y a des aspects positifs. Il s'attend à ce que des acteurs du service, qui considéraient jusque-là HP comme un fournisseur neutre de ce point de vue, veuillent resserrer leurs liens avec BMC. BMC pas très enclin à racheter dans le service En outre, tout comme pour IBM qui est à la fois un compétiteur (si on considère la gamme Tivoli) et un apporteur d'affaires (en ce qui concerne la branche services), Bob Beauchamp pense que HP pourrait devenir un 'coopétiteur' : « Je m'attends à ce que nous ayons de bonnes relations sur le marché du mainframe », dit-il. BMC réalise encore en effet environ 40% de son chiffre d'affaires sur le mainframe. « Un marché à faible croissance mais très profitable », de l'aveu de Dev Ittycheria, qui a rejoint la direction de BMC suite au rachat de sa société, BladeLogic. [[page]] Quant à la possibilité que BMC suive le même chemin en rachetant une société de services et de conseil, elle est très faible, assurent en choeur tous les dirigeants de l'entreprise. Ce que résume ainsi Bob Beauchamp : « Dans le domaine des services, les acquisitions sont très risquées, car on achète des gens, qui peuvent partir ; nous ne sommes donc généralement pas très enclins à ce genre d'acquisition, mais nous examinons les opportunités. » Les ventes et le service dirigés par la même personne Dans tous les cas, BMC est loin de dédaigner le service : c'est sur cette branche que repose la nouvelle stratégie de vente du groupe. D'ailleurs, le patron de la branche services est aussi le patron des ventes, il s'agit de Cos Santullo. Qui a expliqué sa vision lors de la conférence utilisateurs : pour lui, l'important n'est pas de vendre des logiciels au client, mais de l'aider à aller vers son objectif. Pour un projet de vente, il faut donc un chef de projet qui connaisse bien le client et son métier, lequel fera appel à des spécialistes au sein des unités produits. « Une organisation comme celle-ci fonctionne très bien lorsqu'on a une masse critique, mais dans certains pays, en Europe notamment, les ressources peuvent être mutualisées entre plusieurs pays, nous a-t-il confié. Les partenaires, comme Devoteam, peuvent aussi intervenir dans le processus. » La France, forte de quelque 150 personnes, dispose de cette masse critique suffisante, assure Eric Lecoq, patron de la filiale. (...)

(20/05/2008 18:23:08)

BMC UserWorld : BMC intègre l'automatisation de la gestion des serveurs

Lisbonne accueille jusqu'à jeudi la conférence utilisateurs de BMC. L'occasion pour l'éditeur d'expliquer en détail sa stratégie et sa vision à ses clients et ses partenaires. BMC est en effet venu sans annonce dans son chapeau, mais le redécoupage de l'offre lié à la récente acquisition de BladeLogic pourrait à lui seul suffire pour occuper plusieurs sessions. Président et CEO de BMC Software, Bob Beauchamp a ouvert le bal mardi matin en rappelant les bons résultats du groupe, tout juste annoncés (voir ci-dessus), et l'arrivée chez BMC de BladeLogic et de son patron, Dev Ittycheria, qui a accepté le rôle de vice-président senior du nouvel ensemble, avec la responsabilité d'en superviser le développement et la stratégie. BMC est depuis 5 ans le héraut du BSM (Business service management) et son positionnement reste identique. Le BSM vise à donner au service informatique les moyens d'optimiser son travail et de fournir à son client, la direction métier de l'entreprise, un service de qualité ainsi que la preuve de la qualité de ce service. Comme aime à le rappeler BMC, il ne s'agit pas seulement d'afficher des feux verts ou rouges pour certains composants techniques ou applicatifs, mais de redéfinir et de superviser des processus liés à des services business. L'offre BMC s'articule désormais en trois sphères autour d'une CMDB commune Avec l'arrivée de BladeLogic, BMC a gagné une suite d'outils d'automatisation dans le domaine des serveurs, qui vient compléter les outils que l'éditeur proposait déjà pour les réseaux (grâce au rachat d'Emprisa) et pour les clients (grâce au rachat de Marimba). Il devenait urgent, en effet, d'avoir une offre à même de superviser et d'automatiser la gestion de milliers de serveurs physiques et virtuels. Comme nous l'explique Peter Armstrong, évangéliste de BMC, « la virtualisation est typiquement un domaine qui a évolué très vite, nous ne pouvions nous permettre d'attendre deux ans, le temps d'écrire un outil nous-mêmes ». [[page]] BMC articule donc désormais son offre en trois sphères : le « service support », qui repose essentiellement sur l'offre Remedy de support aux utilisateurs, le « service assurance », qui repose essentiellement sur l'offre Patrol de supervision technique et les outils d'analyse prédictive hérités de Proactivenet, et le « service automation », comprenant donc la suite d'automatisation de la gestion des serveurs, des postes de travail et des réseaux. Les trois sphères sont soudées entre elles par l'offre Atrium, une série de technologies communes aux trois, dont la CMDB (Configuration management database, référentiel des actifs informatiques et de leurs interrelations) et un outil de workflow. Des gains de productivité observés chez les clients de BladeLogic/BMC En prévision de l'événement, Dev Ittycheria a compilé quelques exemples concrets d'économies et de gains de productivité réalisés par des clients grâce aux outils d'automatisation. Pour mettre à jour ses applications d'infrastructure sur 5000 serveurs, France Telecom n'aurait ainsi plus besoin que de trois jours, alors qu'il lui fallait quatre semaines auparavant. Le déploiement d'une application type chez Expedia, qui nécessitait 15 personnes sur 12 heures, ne demanderait plus aujourd'hui que 2 personnes sur 3 heures. Chez Capgemini, un administrateur pouvait superviser 22 serveurs avant, contre 166 aujourd'hui. Chez Telecom Italia, le temps de diagnostic d'un incident serait passé de 2 jours à 90 minutes, et le coût par incident de 435 à 295 euros. Une autre statistique attire l'attention chez Telecom Italia : le taux de succès lors du déploiement d'une application aurait grimpé de 38% à 94%. Dans son portfolio, BladeLogic dispose en effet d'un outil capable de prendre en amont le code d'une application et de l'accompagner au travers du processus d'assurance qualité jusqu'au déploiement, afin d'éviter le maximum d'erreurs, de configuration notamment. Cette échappée, du domaine de l'opérationnel vers le domaine des études et du développement, est un des chevaux de bataille de Peter Armstrong, qui s'avoue désolé que ce ne soit pas davantage la règle. Prendre en compte les conditions de déploiement le plus en amont possible devrait en effet garantir une meilleure adéquation des besoins. « Mais je suppose que le marché n'est pas encore assez mûr pour ça », soupire-t-il. (...)

(14/05/2008 16:57:43)

Le Cell d'IBM s'offre un nouveau serveur lame

IBM lance un nouveau serveur lame à base de processeurs Cell, le BladeCenter QS22. Celui-ci intègre une nouvelle version compatible avec l'architecture Cell Broadband Engine (Cell/B.E.), le PowerXCell 8i. La puce est cinq fois plus rapide que le Cell/B.E. d'origine, et comprend 16 fois plus de mémoire (jusqu'à 32 Go). Le serveur est équipé de Red Hat Enterprise Linux et de Eclipse pour le développement. Big Blue estime que son nouveau serveur pourrait par exemple servir, dans certaines configurations, à diagnostiquer une tumeur en quelques secondes plutôt que quelques heures. Vingt partenaires et trente-cinq universités participeront au développement de l'écosystème HPC (high performance computing) de ce nouveau serveur, en développant des applications capables d'exploiter au mieux ses capacités. Une nouvelle version du kit de développement parallèle Le Cell est en effet un multi-processeur très spécifique, destiné au calcul intensif, qui comprend un processeur principal de type Power PC qui se décharge de certaines tâches gourmandes sur huit autres processeurs connexes. Un système qui exige donc une parallélisation particulière des applications. C'est pourquoi en même temps que son nouveau serveur, IBM rend disponible une mise à jour de son SDK (Software Development Kit) For Multicore Acceleration v3. Selon IBM, la finance, les media numériques et l'imagerie médicale ont désormais besoin de ce type de serveurs conçus pour le calcul intensif. C'est donc logiquement que parmi les 50 premiers clients se trouve le studio d'animation Threshold Animation Studio. Les éditeurs de grid Platform Computing et de simulation immersive Simudyne font également partie des utilisateurs. (...)

(30/04/2008 17:55:17)

Microsoft ouvre son administration de systèmes à Unix et à Linux

A l'occasion du Microsoft Management Summit qui se tient en ce moment à Las Vegas, l'éditeur a annoncé une version multi-plateforme de ses outils d'administration. Lors de sa présentation, Bob Muglia, vice-président du groupe Serveurs et outils de développement chez Microsoft, a en effet évoqué les nouvelles extensions (encore en mode bêta) destinées à administrer depuis System Center Operations Manager 2007 d'autres systèmes que ceux de la gamme Windows. Des packs d'extension sont déjà disponibles pour HP-UX, Sun Solaris, Red Hat Entreprise Linux et Novell Suse Linux Entreprise Server. La version définitive devrait voir le jour avant la fin de l'année, suivie début 2009, par une mouture destinée à i5/OS d'IBM (ex AIX). L'offre s'appuie sur l'implémentation Open Source des standards d'administration CIM et WBEM par l'Open Group, OpenPegasus. Microsoft s'est d'ailleurs associé au projet et s'est engagé à reverser du code. L'éditeur s'ouvre aussi à Tivoli et Openview Décidément en veine d'ouverture, Microsoft a aussi annoncé des connecteurs bi-directionnels vers les consoles d'administration IBM Tivoli Enterprise Console et HP Openview pour Windows et Unix. Ceux-ci seront intégrés au coeur de la plateforme sans hausse de prix. Enfin, l'administration de machines virtuelles System Center Virtual Machine Manager devient disponible pour l'hyperviseur maison Hyper-V, mais aussi pour VMWare ESX. A plus long terme, Microsoft gèrera aussi Xen de Citrix. Bob Muglia a cependant tenu à souligner le travail d'éditeurs comme Quest ou Xandros pour fournir leurs propres extensions de System Center Operations Center. Des modules qui resteront incontournables puisque Microsoft se contentera de développer des extensions pour les systèmes d'exploitation et non pour les applications. A terme, celles-ci seront commercialisées comme les autres, avec une licence par système d'exploitation administré sans faire de distinction entre Windows et les autres. (...)

(17/04/2008 15:35:27)

CA, BMC, IBM et HP dominent toujours l'administration de systèmes

Le marché des outils d'administration informatique aurait représenté 15,6 Md$ en 2007 et devrait encore augmenter cette année pour atteindre 18,6 Md$ selon une étude de Forrester. Quatre grands acteurs dominent le créneau : CA, BMC, IBM et enfin HP. Viennent ensuite des fournisseurs qui constituent progressivement une solution globale tels que ASG, Compuware, EMC, Microsoft, Oracle, Quest Software ou encore Symantec. Enfin, Forrester distingue deux autres catégories d'acteurs, les innovateurs qui devront se spécialiser ou être rachetés (ClearApp et OpTier) et les spécialistes qui adressent un besoin spécifique tels qu'Indicative Software, NetQos, Nimsoft ou Solarwinds. L'arrivée de ces nouveaux acteurs ne semble en rien perturber les quatre géants puisqu'ils ont encore renforcé leur position : alors qu'ils ne représentaient que 39% des parts de marché en 2005 et 41% en 2006, ils représentent aujourd'hui 43%. Pour Forrester, malgré cette croissance, les éditeurs doivent se recentrer sur les besoins des entreprises et arrêter le battage marketing autour de concepts qui révolutionneraient l'administration des systèmes d'information. Le cabinet cite notamment dans son étude les messages de Citrix, IBM, Microsoft et Sun Microsystems autour de la virtualisation. Pour le cabinet d'études, l'impact de la virtualisation sur la production de l'entreprise serait encore bien faible et ne résoudrait pas forcément les problèmes majeurs auxquels elles sont confrontées. Ainsi, un des premiers enjeux serait d'arriver à unifier les différentes solutions déployées. Objectif ? Parvenir à une meilleure administration des processus dans leur globalité avec des outils qui feraient le lien entre une administration purement technique et l'autre plus orientée métier. Ces outils devraient aussi être capables de préconiser des solutions en se basant sur une analyse préalable des données recueillies sur les performances, les problèmes rencontrés, etc. [[page]] Enfin, même les entreprises engagées dans une réduction de leur budget informatique chercheraient, selon cette étude, à préserver la qualité du service. En particulier, celles pour qui le Web est source de profit et qui ne peuvent se permettre de dégradation de leur service. Les méthodes pour y parvenir varient entre rationalisation et outils d'administration. Cela justifierait en partie le léger ralentissement de la croissance du marché : 8% en 2008 contre 11% en 2007. Autre explication, l'actuel taux de change entre l'euro et le dollar, puisque les grands acteurs du marché sont américains. Au final, Forester estime donc que l'un dans l'autre, les entreprises continueront à investir dans les outils d'administration, parfois encore pour répondre à un problème immédiat mais de plus en plus souvent avec une vision plus globale de leur administration, en privilégiant les outils de gestion du changement et des configurations (20% du marché), l'administration réseau (18%), la gestion des bases de données (13%) ou encore des applications (13%). (...)

(11/04/2008 17:37:07)

SNW 2008 : le stockage doit passer au vert

D'après un sondage réalisé auprès des participants du salon Storage Networking World, qui se déroulait cette semaine à Orlando, 51% d'entre eux reconnaissent que la réduction des coûts est la raison numéro un qui les poussent à freiner leur consommation d'énergie. Ce que Mark Showers, DSI de Monsanto, résume simplement : « Pour une approche durable de la protection de l'environnement, il doit y avoir un incitatif financier. » L'accroissement de la consolidation de données et de la virtualisation répondent à cette nécessité, mais selon Hu Yoshida, directeur technique d'Hitachi Data Systems, ils ne suffisent pas face à la pénurie d'énergie qui menace : « Il y a des risques, nous manquons d'énergie. Il est probable que des coupures se produiront. » Notant que la plupart des systèmes n'utilisent que 20 à 30% de leur capacité de stockage, il recommande un meilleur usage des capacités de stockage actuelles avec des techniques comme le 'thin provisionning', une réservation plus fine des ressources. Le CTO de HDS recommande aussi un audit serré des données de l'entreprise, pour éliminer celles qui sont en double et mettre les plus anciennes sur des supports moins gourmands en énergie. En effet, une donnée vieille de plus de 60 jours n'a plus que 7% de chances d'être réutilisée, selon Hu Yoshida. A l'heure actuelle, d'après le cabinet d'études Gartner, seules 3% des entreprises ont réalisé un tel audit et savent exactement quelle est leur dépense énergétique. Pour celles-ci, Mark Showers a une solution assez simple : « Il y a plein de fruits un peu blets. vous n'avez pas besoin de connaître tous les détails. Si vous débrancher un appareil, vous consommerez moins d'énergie. » (...)

(08/04/2008 16:57:13)

Dell se lance dans le support d'infrastructure en SaaS

Dell va proposer aux petites et moyennes entreprises (moins de 1000 employés) de les soulager de la fastidieuse et coûteuse gestion de leurs infrastructures matérielles et logicielles. Certes, il n'est pas le premier à se targuer de ce type d'intentions fort louables. Mais c'est avec sa réponse que le Texan se distingue puisqu'il s'inspire, pour la gestion d'infrastructure, du modèle Salesforce. Le modèle Salesforce appliqué à la gestion d'infrastructure C'est un ensemble de services en ligne qui assurera la surveillance et la maintenance des machines et des logiciels. Dell proposera en mode SaaS une liste de fonctions telles que la gestion de la sécurité, l'archivage des mails, l'installation des patchs, la récupération de données, la surveillance de la performance, etc. Selon le constructeur, dans 70% des cas, les problèmes seront résolus automatiquement et à distance, sans intervention humaine. Mais dans le cas contraire, un technicien prendra systématiquement le relais pour prévenir l'entreprise et l'aider à résoudre son problème. Suivant le choix du client, le système enverra une alerte à l'équipe informatique de l'entreprise, à son revendeur ou au support direct Dell. [[page]]Les revendeurs pourront ainsi définir et packager leur propre offre en fonction de leur spécificité et de leur clientèle. Enfin, des consultants Dell auront aussi accès à ces outils pour réaliser des inventaires détaillés de parcs et procéder à des migrations complexes (stockage, environnements Microsoft, Datacenters, postes clients) par le biais de règles de décision. « Les deux tiers du coût d'une infrastructure proviennent du support et de la maintenance, affirme Stephen Schuckenbrock, président de Global Services et DSI de Dell. Les entreprises, en particulier petites et moyennes, veulent réduire ces coûts sans pour autant passer par de lourds et coûteux contrats de service. » Un service à la carte Ce service est complètement configurable : nombre de fonctions choisies, liste de fonctions différente suivant les utilisateurs, SLA de 2, 4 ou 8h, support assuré par le service informatique, un revendeur ou Dell directement, etc. Toutes les combinaisons sont possibles. Le tarif variera suivant les choix mais s'appuiera sur le principe d'une location mensuelle d'un ensemble de services. Dell s'est appuyé sur les outils des sociétés Everdream et Silverback, qui proposaient une plateforme d'administration de systèmes et d'analyse et d'anticipation des problèmes. A ce jour, seuls douze grands clients américain sont abonnés à ce nouveau service. Mais celui-ci sera rapidement étendu sur tous les Etats-Unis avant d'être déployé en Europe et en Asie avant la fin de l'année. Dell compte bien trouver une importante source de revenu en développant ses activités de service. Elles représentent déjà 6 Md$ et Stephen Schuckenbrock les verrait bien grossir avec sa nouvelle offre. Cet ancien de EDS a pris en charge les services il y a un peu plus d'un an. Et il a profité de son passage en Europe pour détailler cette toute nouvelle offre. En revanche, pas plus que son PDG Michael Dell, il n'a commenté la perspective peu reluisante de licenciements plus nombreux que prévus . Il faut dire que ceux-ci devaient déjà concerner 8800 personnes, soit plus de 10% des effectifs. (...)

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