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Administration de serveurs

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(27/11/2008 14:42:11)

Des datacenters entièrement automatisés d'ici cinq ans

Nous sommes à l'aube d'une automatisation complète des datacenters. D'ici cinq ans, selon Glenn O'Donnell, senior Analyst chez Forrester Research, les DSI auront entièrement automatisé l'administration de toutes les ressources de leur système d'information. L'idéal à atteindre étant une gestion de ces ressources (y compris celles en nuage) au travers des applications qu'elles servent. L'analyste en est tellement convaincu qu'il voit la crise actuelle comme un accélérateur du processus. Puisqu'elle impose d'en faire plus avec moins... Bien sûr, HP, IBM, BMC et Computer Associates (CA) se posent en acteurs majeurs sur le créneau de l'administration en général. Mais Glenn O'Donnell pense qu'au lieu de n'utiliser les logiciels que d'un seul éditeur, il faudra "orchestrer" les suites d'administration de plusieurs d'entre eux. En effet, "qui peut, mieux que Cisco, automatiser la gestion des ressources réseau ? Qui, mieux qu'EMC, sait faire la même chose pour le stockage ?" Un marché en pleine concentration Le nombre de fournisseurs sur ce marché tend à se réduire. Les grands acteurs ont fait leurs emplettes parmi les spécialistes. Opsware a été acheté par HP en juillet 2007, Onaro par NetApp en janvier 2008 et BladeLogic par BMC en avril. L'analyste susurre d'ailleurs que BMC et CA sont des cibles idéales pour des sociétés comme, par exemple, Oracle. Par ailleurs, Glenn O'Donnell compte aussi VMware et Microsoft parmi les acteurs clés. Le premier a déjà montré, avec Infrastructure 3, qu'il se voyait une vocation d'administrateur qui allait bien au-delà de celle de la seule virtualisation des serveurs stricto sensu. Filiale à près de 90% d'EMC et travaillant en étroite collaboration avec Cisco, VMware a bien compris que son avenir se joue au niveau des datacenters. Son projet de VDC-OS (Virtual Datacenter OS) en est la meilleure expression. Quant à Microsoft, même si son offre de virtualisation est encore embryonnaire, son omniprésence dans tous les systèmes d'information et l'emphase qu'il met sur son outil d'administration System Center montre aussi qu'il a compris l'importance des enjeux à venir. Glenn O'Donnell complète son tour d'horizon en citant aussi Oracle et Symantec. Les positions transversales de ces deux sociétés les conduisent à pouvoir prétendre jouer un rôle dans "l'orchestration" des datacenters automatisés de demain. (...)

(21/11/2008 16:53:48)

CA World 2008 : l'exploitation de mainframes simplifiée

CA a profité de sa conférence utilisateurs à Las Vegas, CA World 2008, pour annoncer l'initiative « Mainframe 2.0 ». Cette appellation marketing recouvre plusieurs engagements de la part de l'éditeur, qui tous tendent à vouloir simplifier l'administration des mainframes. CA part en effet du constat que les directions informatiques doivent faire face à plus de pression (impératifs écologiques et financiers, notamment) tout en gérant les départs à la retraite des informaticiens connaissant le mieux cet environnement. Premier engagement de l'ex-Computer Associates, connu pour son pléthorique portefeuille de produits : unifier les interfaces de ses solutions d'administration de mainframes, et les rendre plus simples à utiliser, en automatisant un maximum de tâches de façon à masquer la complexité de la plateforme d'IBM. CA s'engage aussi à suivre les standards d'IBM, et à fournir des services ad hoc pour aider des équipes de maintenance sous-dimensionnées. Chris O'Malley, vice-président exécutif et directeur général de la division mainframe de CA, estime que « l'importance stratégique du mainframe est revenue au niveau où elle était dans les années 80 ». D'après CA, les grands systèmes feraient tourner les applications stratégiques d'environ 70% des gouvernements et entreprises, et la base installée continue de croître : la capacité mondiale serait passée de 4,5 millions de MIPS (millions d'instructions par seconde) en 2001 à 14 millions aujourd'hui - dont 720 000 pour le z10 d'IBM, lancé à la fin de l'hiver dernier. (...)

(19/11/2008 17:04:16)

Capgemini utilise le 'cloud' d'Amazon pour développer des applications

Capgemini et Amazon Web Services ont noué hier un partenariat autour du 'cloud computing'. La SSII française se servira du nuage d'Amazon pour développer des applications autour de trois axes : les solutions SaaS Microsoft SharePoint, Fusion (le module ERP, progiciel de gestion intégrée, d'Oracle), ainsi que des services de test et de développement d'applications industrielles via Internet. Cette offre, expérimentée aux Etats-Unis depuis le début de l'année auprès de trois grandes sociétés, est destinée à évoluer vers d'autres secteurs, comme l'univers SAP ou l'Open Source. Capgemini se charge de développer des applications qui sont ensuite hébergées par la plateforme EC2 (Elastic Computer Cloud) d'Amazon. Ce service - fraîchement sorti de sa version bêta - permet de créer un nouveau serveur en quelques minutes, en s'affranchissant de l'achat de nouveau matériel. Capgemini et Amazon garantissent une disponibilité de 99,95%, ce qui correspond à un temps d'arrêt n'excédant pas 4 h 30 par an. La facturation se fait au cas par cas. Capgemini fournit également des services de conseil, de migration et de sauvegarde. Un pôle de compétences a même été créé à cet effet. Il est composé d'une équipe d'une cinquantaine de personnes (architectes infrastructure et consultants) situées aux Etats-Unis, en Europe (notamment en France) et en Inde. Capgemini prône la souplesse et la visibilité budgétaire Avec ce pôle de compétences, Capgemini met le pied dans le 'cloud computing' pour la première fois et compte s'y faire une place. « Je ne crois pas qu'il s'agisse d'un simple phénomène de mode organisé autour d'un buzz médiatique, explique Pascal Exertier, directeur de l'activité infogérance et président de l'activité outsourcing de Capgemini France. Nos clients éprouvent de vraies difficultés à prévoir leurs investissements et la conjoncture économique actuelle ne va pas faciliter les choses. Notre offre de 'cloud computing' leur permet d'avoir une certaine souplesse ainsi qu'une meilleure visibilité budgétaire. » (...)

(19/11/2008 09:54:02)

CA World 2008 : le Saas pour y voir plus clair dans l'offre

Des logiciels payables sous forme de souscription et accessibles en ligne, des fonctions packagées pour constituer des solutions globales : CA fait de gros efforts pour offrir à ses clients plus de simplicité. L'ex-Computer Associates est en effet connu pour l'extrême complexité de son offre, lui qui n'a cessé d'effectuer des rachats. A l'occasion de sa conférence utilisateurs 2008 CA World, qui accueille quelque 5 000 personnes à Las Vegas jusqu'à demain, CA s'efforce donc de montrer un visage plus simple à appréhender, afin d'aider les directeurs informatiques à mieux gérer la complexité de leurs systèmes. Ainsi, l'offre de gestion du support utilisateur Service Desk Manager 12 intègre désormais 7 produits en 1, « que d'autres fournisseurs vendent séparément », dit CA : gestion des changements, gestion des appels entrants, base de gestion des configurations (CMDB), cartographie des interdépendances entre applications, gestion des connaissances, automatisation du support et reporting. Pour l'analyste Jasmine Noel, de Ptak, Noel and Associates, cela va dans le bon sens. « CA simplifie la façon dont les entreprises peuvent acheter des capacités intégrées. Au lieu d'acheter plusieurs produits CA, vous avez un seul package, avec un ticket d'entrée moins élevé et que vous pouvez implémenter de façon standardisée. » Autre avantage, souligne l'analyste, cela correspond à la nouvelle philosophie de l'administration de systèmes, soutenue par les bonnes pratiques Itil, qui veut qu'on se préoccupe non de produits mais de processus. « Les clients passent d'une approche focalisée sur les tâches à une approche processus. Et ils ne veulent pas avoir à intégrer eux-mêmes tout un tas d'outils orientés tâches afin de constituer une solution capable de supporter un processus particulier. » Un troisième produit On Demand au catalogue de CA CA a également pris en compte un autre impératif d'Itil, la gestion par rôles, dans son produit. Un calendrier des changements est aussi désormais inclus dans la suite, afin de prévoir au mieux l'impact de chaque demande. CA a aussi annoncé qu'il élargissait son offre de Saas (Software as a service, services applicatifs en ligne), avec la sortie de Clarity PPM (Project & Portfolio Manager) On Demand, une version hébergée de son logiciel de gestion de portefeuilles projets. L'offre On Demand de CA, qui comporte déjà GRC Manager et Instant Recovery, aurait séduit plus d'un millier de clients dans le monde. Comme HP, IBM ou BMC avant lui, CA dit avoir saisi que ses clients n'ont pas forcément les ressources pour installer et maintenir des applications qui doivent justement les aider dans leur travail d'administration de l'informatique. D'après Forrester, sur un marché des logiciels d'administration représentant 18 Md$ en 2008, les offres Saas représentent moins de 1%. Mais le cabinet d'analystes estime qu'en 2013, ce pourcentage devrait grimper à 10%. Il faudra du temps, toutefois, indique encore Forrester, pour que les éditeurs transforment leurs offres afin de répondre aux canons du Saas (paiement à l'usage, partage des instances entre les clients, interfaces de type Web 2.0, etc.). (...)

(19/09/2008 11:16:30)

Microsoft voit la virtualisation en produit d'appel pour son offre d'administration

A ceux qui se demandaient comment Microsoft va faire de l'argent en proposant gratuitement son hyperviseur, Hyper-V, l'éditeur répond par la voix de Bob Visse, directeur marketing de la division serveur. « Tout l'argent dans la virtualisation se fera par le biais d'outils d'administration. L'hyperviseur est juste un utilitaire qui doit être gratuit. » Alors que Hyper-V était présenté comme une option payante de Windows Server 2008, il servira en fait de produit d'appel pour les différents outils d'administration de Microsoft concernant les serveurs, les postes de travail, les images disques ou simplement les applications. Le tout fonctionnant aussi bien pour les serveurs physiques que les machines virtuelles. Ce qui élimine le besoin de développer des logiciels comme Vmotion pour faciliter la migration des machines virtuelles. « L'ensemble de nos outils aide les systèmes à s'autoréparer et à faire des migrations automatiques. » Allant même jusqu'à la gestion de la consommation électrique. Compatible avec l'Enhanced Intel Speedstep Technology d'Intel, Hyper-V peut travailler à affiner la consommation électrique liée à la charge de travail de chaque machine virtuelle installée sur un serveur. Et pour tirer parti des six coeurs du processeur Xeon 7400, l'Hyper-V peut maintenant gérer jusqu'à 4 sockets et 24 coeurs en même temps. (...)

(04/09/2008 09:39:13)

BMC annonce neuf produits d'administration des serveurs virtualisés et physiques

BMC Software, un des grands spécialistes de l'administration de systèmes, annonce pas moins de neuf produits qui ont vocation à gérer intégralement les environnements virtualisés et physiques. BMC souligne la cohérence de cette suite d'administration, laquelle repose sur une technologie maison de gestion des workflows baptisée CLCCM (Closed-Loop Change and Configuration Management). L'éditeur revendique le support des environnements virtualisés par les outils de Microsoft, de Sun Microsystems et de VMware. Une énumération des produits annoncée s'impose. - BMC Virtualization Capacity Management and Planning Service est une offre d'accompagnement des utilisateurs qui abordent leurs projets de virtualisation. - BMC Performance Management promet une administration complète et simplifiée de la pile logicielle, y compris l'infrastructure virtuelle, les VM hôtes et les applications. - BMC Application Performance and Analytics sert à assurer la disponibilité en gérant des niveaux de services en environnements virtualisés ou physiques. - BMC Capacity Management s'attache plus précisément à la gestion de la performance en supervisant la charge des serveurs.[[page]] - BMC Discovery Solution permet de surveiller la prolifération des VM. BMC précise que cet outil supporte les produits de VMware, les containers et les zones de Solaris 9 ou 10, LPARS d'AIX LPARS et les z/VM sous z/OS des System z d'IBM. - BMC BladeLogic Virtualization Module for Servers s'attache aux volets sécurité et gestion des licences. La présence de ce module est, avec BMC BladeLogic Operations Management Suite, la résultante du rachat de BladeLogic pour 800 M$ en mars dernier. - BMC BladeLogic Operations Management Suite prend en charge les aspects de gouvernance et de conformité (compliance) des configurations opérationnelles. - Enfin BMC Run Book Automation Platform et BMC Run Book Automation VMware Adapter permettent de réduire les coûts d'administration. Ces deux outils exploitent les informations de CLCCM pour automatiser les opérations d'administration au quotidien. BMC résume sur une page de son site les mauvaises surprises que peut réserver une adoption irréfléchie de la virtualisation. L'éditeur cite abondamment les analyses du Gartner Group. Ce cabinet constate en particulier que 40% des utilisateurs n'ont pas encore mis en place les procédures nécessaires à une gestion de la virtualisation, de sa mise en place à son suivi. (...)

(28/07/2008 11:21:45)

Microsoft en passe d'acheter le datawarehouse de DatAllegro

Microsoft a annoncé son souhait d'acquérir DatAllegro, fournisseur de solutions intégrées pour la gestion d'entrepôts de données atteignant jusqu'à plusieurs centaines de To. L'offre du petit californien regroupe du stockage EMC, des serveurs Dell exploitant des multi-coeurs Intel, des commutateurs Infiniband de Cisco et la base de données Open Source Ingres. L'intérêt est double pour Microsoft : profiter de la croissance exponentielle du stockage de données et combiner cette solution avec le futur SQL Server (la version 2008 va sortir avant la fin de l'année). Microsoft entend faire de SQL Server, combiné à DATAllegro la solution incontournable de stockage de données dans les années à venir. Les concurrents actuels de DATAllegro, Netezza et Terradata ainsi que HP, ne devraient pas tarder à réagir. Le montant de l'opération n'est pas communiqué. (...)

(07/07/2008 11:39:08)

HP fédère les CMDB pour une vision unifié de la production informatique

Ne parlez plus à HP de CMDB mais de CMS. Autrement dit, la Configuration management database, référentiel des actifs informatiques et de leurs interrelations, devient un Configuration management system. Il permettrait de suivre l'intégralité du cycle de vie des actifs logiciels et matériels de l'entreprise, et servirait à élaborer des analyses d'impact, afin de prévenir d'éventuels conflits ou autres problèmes lors du déploiement. Suite à de multiples rachats (ces derniers mois : Opsware, Bristol Technology, Spi Dynamics...), HP a intégré diverses technologies à son offre BTO (Business Technology Optimization) de gestion et de supervision de la production informatique. Plusieurs annonces ont été effectuées à la fin du mois dernier, à l'occasion de la conférence utilisateurs HP BTO à Las Vegas. Parmi elles, donc, ce CMS qui instaure une véritable plateforme fédératrice. « Depuis la version 7 d'Universal CMDB, il y avait une technologie de réconciliation des données, précise Marc Bernis, directeur technique France pour l'offre BTO. Mais là, on peut récupérer sans les dupliquer les informations des autres CMDB [y compris celles des concurrents, comme BMC, NDLR], les mettre à jour de façon dynamique et bi-directionnelle. » HP a également mis à jour plusieurs de ses modules, dont l'offre d'automatisation de la gestion des serveurs, qui profite de l'intégration des technologies d'Opsware ; au menu notamment, la récupération automatique des correctifs. Un module d'analyse du code fait aussi son entrée, sous le nom App Security Center : l'outil, hérité de Spi Dynamics, vise à simplifier le déploiement des applications. HP a divisé par deux ses coûts de production informatique en utilisant son offre [[page]] A noter aussi le passage en v4.0 de Release Control, l'outil de HP pour superviser l'ensemble des demandes de changement et prévenir les « risques de collision », comme des changements simultanés sur une application et sur son serveur, ou une demande de changement alors que l'équipe compétente n'est pas présente, explique Marc Bernis. A cette occasion Release Control devient aussi disponible en mode Saas (Software as a service, logiciel utilisable en ligne), de même que Business Availability Center 7.5. Présentant ces évolutions, Marc Bernis en a profité pour rappeler les économies réalisées par HP en appliquant ses méthodes, les bonnes pratiques préconisées dans la v3 du référentiel Itil, et ses outils, pour moderniser son infrastructure. « Ces deux dernières années, nous sommes passés de 65 à 3 datacenters dans le monde, et de 6000 à 1800 applications. Le résultat financier : le coût de l'IT est passé de 4% à 2% du chiffre d'affaires, ce qui a dégagé des budgets pour de nouveaux projets. » Pour mémoire, HP a réalisé 104,3 Md$ en 2007 ; un budget IT de 4% correspond donc à 4,17 Md$, ou 2,67 Md€. (...)

(04/06/2008 14:52:33)

9 000 serveurs coupés sur ordre des pompiers texans

Au Texas, samedi dernier, en fin d'après-midi, le datacenter H1 de l'hébergeur The Planet a dû s'arrêter. A la suite de l'explosion d'un transformateur électrique et d'un début d'incendie, les pompiers ont exigé une coupure électrique générale. Bien qu'aucun des 9 000 serveurs installés n'ait été touché. Autrement dit, The Planet s'est vu interdire d'activer ses équipements redondants en raison du risque qu'auraient fait courir aux pompiers des équipements électriques en activité. Lundi matin, 6 000 serveurs avaient été réactivés et les 3 000 restants l'ont été à la fin de la journée. Cet incident montre que l'intervention des pompiers peut constituer un cas de force majeure puisqu'il interdit l'activation des systèmes de secours. Il semblerait toutefois qu'une autre faille soit apparue dans l'organisation de The Planet : l'absence de duplication des serveurs DNS. Une fois le système coupé, il faut une période de propagation pour que les informations permettent à nouveau un routage efficace. Autre souci évident : la localisation des équipements destinés à poursuivre l'activité dans un lieu unique. The Planet administre plus de 40 000 serveurs dans différents datacenters qui animent plus de 3 millions de sites Web. (...)

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