Flux RSS

Administration de serveurs

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

213 documents trouvés, affichage des résultats 101 à 110.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(13/02/2009 17:26:14)

Rim simplifie Blackberry Entreprise Server 5.0 pour les administrateurs

Avant même sa sortie officielle, Research In Motion a présenté une pré-version de Blackberry Entreprise Server 5.0 (nom de code Argon). L'accent a été mis sur la simplicité aussi bien pour l'utilisateur du Blackberry que pour le service informatique. Ainsi, l'administration d'une flotte entière de smartphones se fait désormais au travers une interface Web, et le déploiement des mises à jour ou des logiciels pourra se faire par Internet, à travers une connexion Wifi ou en utilisant le réseau cellulaire de l'opérateur de téléphonie mobile. Désormais, le service informatique pourra bloquer ou autoriser à distance les téléchargements ainsi que changer les privilèges d'un groupe d'utilisateurs sans qu'il soit nécessaire d'accéder physiquement aux terminaux. Il devient également possible d'automatiser l'exécution de certaines tâches pour ne pas interférer avec l'utilisation courante de l'appareil. Blackberry Entreprise Server 5.0 intègre aussi une fonction de reprise automatique d'activité : si l'un des serveurs est indisponible, les téléphones en sont avertis et le système active automatiquement son remplaçant. Du côté des utilisateurs, le principal changement reste la possibilité de voir les pièces jointes et de classer ses messages par dossier. Attendu pour le deuxième trimestre 2009, Blackberry Entreprise Server 5.0 est déjà en utilisation chez certains clients privilégiés depuis un an. (...)

(13/02/2009 15:48:44)

Selon Gartner, la virtualisation va croître de 43% en 2009

Avec une croissance annoncée de 43%, le marché de la virtualisation semble faire fi de la crise. Il semble même être stimulé par celle-ci. En effet, selon le Gartner cette hausse par les impacts positifs de la virtualisation : réduction du coût total de possession (TCO), amélioration de la souplesse, accélération de la vitesse des déploiements de ressources et réduction de la consommation énergétique. Le Gartner group distingue trois domaines dans ce marché : la gestion de la virtualisation des serveurs, leur infrastructure et l'hébergement de postes clients virtuels. En croissance de 42%, l'administration de serveurs génèrera à elle seule près de la moitié de la valeur du marché total. C'est en revanche sur le créneau de la virtualisation des postes de travail que le cabinet d'étude anticipe la plus forte croissance : +300 %. Mais, en valeur absolue, il n'atteindra que 11% de la valeur totale du marché. Le Gartner met d'ailleurs en garde les responsables de projet de virtualisation de postes clients. Une simulation budgétaire approfondie s'impose avant de se lancer. Ainsi qu'une sélection minutieuse des fournisseurs : le cabinet constate une profusion de fournisseurs dont certains sont qualifiés "d'opportunistes". Le manque de maturité des outils d'administration des postes clients virtualisés actuellement disponibles est aussi pointé du doigt. Du côté des fournisseurs, Gartner prédit qu'il faudra attendre 2013 pour que la part de marché de Microsoft se hisse à la hauteur de celle de VMware. L'éditeur de Redmond devrait faire sa percée par le biais des PME. En phase émergente, le marché de l'administration de la virtualisation fourmille de fournisseurs. Le Gartner en dénombre plus d'une centaine. Il prédit une forte consolidation au fur et à mesure que les acteurs traditionnels de ce marché (BMC Software, CA, HP et IBM) intégreront la virtualisation dans leur suite. (...)

(09/02/2009 17:09:03)

Ubuntu Server mûr pour le système d'information

Canonical, bras commercial de la distribution Linux Ubuntu, diffuse une photographie des utilisateurs de la Server Edition (Ubuntu 8.xx LTS, Long Term Support). Elle tend à montrer qu'Ubuntu, malgré sa jeunesse, s'est hissé à un niveau suffisant pour revendiquer un rôle au coeur du système d'information. 6 800 sociétés, dont 55% Européennes, ont spontanément répondu à un sondage coproduit par la société d'étude Redmonk. Leurs réponses ne sont donc pas "représentatives" dans l'acception habituelle du terme, mais constituent un intéressant point de vue de la part d'entreprises équipées pour la majorité d'entre elles d'une cinquantaine de serveurs et, étant donné le type de produits en cause, disposant d'une DSI d'un bon niveau technique. D'ailleurs, plus de la moitié des entreprises répondantes sont actives dans le domaine des technologies numériques. Un quart des réponses proviennent d'entités de moins de dix personnes. Plus d'un tiers comptent entre onze et cent salariés. Rapprocher ces effectifs du nombre moyen de serveurs sous Linux installés (50 environ) montre l'ampleur de leur taux d'équipement. Les serveurs sous Ubuntu servent à des usages classiques pour Linux : serveur Web, bases de données (majoritairement Oracle), FTP et serveur mail. La majorité des entreprises font tourner une à cinq applications "critiques" sur leurs serveurs sous Ubuntu. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'elles jugent Ubuntu prêt pour une utilisation avec des applications critiques. Les utilisateurs fondent leur choix en priorité sur la sécurité du code et, juste après, sur la facilité et la qualité des mises à jour. Dans la perspective d'une virtualisation de leur environnement, les sondés choisissent en premier lieu VMware, puis Xen et, enfin, KVM. En revanche, ils sont une écrasante majorité à rejeter l'idée d'adopter une informatique en cloud, bien qu'ils la considèrent comme suffisamment mature pour y déployer des applications critiques. (...)

(06/02/2009 11:37:29)

Oracle rachète un spécialiste de la gestion de configuration logicielle

Oracle vient de racheter mValent, un éditeur du Massachusetts spécialisé dans les solutions de gestion de configuration des applications. Les conditions de la transaction ne sont pas précisées. Les logiciels ainsi récupérés viendront s'ajouter à la gamme Oracle Entreprise Manager destinée à administrer les applications. Ils la compléteront d'outils pour collecter, comparer et réconcilier les informations de configuration détaillées dans des environnements complexes (à travers de multiples applications et des centaines de serveurs, impliquant différentes équipes sur la gestion de la configuration). Ce faisant, Oracle veut renforcer ses solutions permettant d'administrer plus efficacement les systèmes opérationnels. Pour compléter sa ligne Enterprise Manager, l'éditeur avait également racheté ClearApp, en septembre dernier, pour ses logiciels permettant de gérer les performances des applications composites déployées dans le cadre d'architectures orientées services (SOA). Parmi les cadres dirigeants de mValent figurent des vétérans de l'industrie logicielle, anciens collaborateurs d'éditeurs tels que Novell, Rational, Inktomi et Open Market. (...)

(06/02/2009 11:08:44)

LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner

Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(16/01/2009 18:01:27)

HP Software toujours à la recherche d'acquisitions dans la BI

Non seulement la crise économique n'entame pas la volonté de HP Software de procéder à des rachats, mais en outre, la branche logicielle du constructeur pourrait en profiter pour faire de bonnes affaires. C'est ce que nous a déclaré Steen Lomholt-Thomsen, vice-président & directeur général HP Software EMEA, au cours d'un entretien exclusif. Le patron Europe de HP Software estime que la partie administration de systèmes de son portefeuille est déjà bien remplie. En revanche, la partie BI (Business intelligence, ou décisionnel) présente encore des lacunes, que HP compte combler avec un rachat (ou plusieurs). Fin 2007, le patron monde de HP Software expliquait que le constructeur était prêt à dépenser encore plusieurs milliards pour faire de HP le numéro 1 ou le numéro 2 de chacun des marchés logiciels qu'il a investis. (...)

(13/01/2009 10:05:48)

Dell achète encore des compétences dans le service

Dell a déboursé 12 M$ pour acquérir la division de la société Allin spécialisée dans les services associés à l'installation et à l'administration des logiciels Microsoft dans les datacenters américains. Le constructeur intègre une centaine de salariés sur les 180 que compte Allin. Leurs compétences portent plus particulièrement sur certains logiciels des gammes Microsoft Dynamics (l'offre de gestion de la relation client, Dynamics CRM, et les ERP GP et SL bien implantés outre-Atlantique), ainsi que sur son portail Sharepoint. L'acquisition se fait à un moment où Allin traverse une passe difficile. En septembre dernier, la société a clos son troisième trimestre sur une perte de 725 000 dollars sur un chiffre d'affaires en faible hausse de 3,5% à 5,9 M$. Allin, qui ne compte plus que 80 salariés, compte se focaliser sur les marchés verticaux de la finance et des voyages. Deux autres rachats dans le service en 2008 Après s'être converti tardivement au mérite de la croissance externe, Dell a fait l'emplette de près d'une dizaine de sociétés en deux ans. Parmi elles figurent des spécialistes du service comme Everdream, spécialiste de l'administration à distance, acquise en novembre dernier, et Silverback, elle aussi active dans l'administration à distance, achetée en juillet 2008. (...)

(30/12/2008 11:51:50)

Quarante pages de conseils Microsoft pour un SI durable

La dernière édition de The Architecture Journal, publication éditée par Microsoft, est entièrement consacrée au Green IT. Ou, plus exactement, aux systèmes d'information durables et compatibles avec les bonnes pratiques en matière de préservation de l'environnement et de réduction des émissions de CO2. Comme l'écrit le rédacteur en chef dans son édito, « alors que l'informatique devient omniprésente, que la consommation d'énergie due à l'informatique grimpe, [...] que dans le même temps les coûts de l'énergie augmentent - tant à cause des réglementations que de la rareté des stocks d'énergies naturelles qui vont en s'épuisant - les dirigeants IT doivent se focaliser sur l'efficacité énergétique et le coût total d'exploitation, particulièrement dans un contexte de crise financière mondiale ». Le numéro 18 de ce trimestriel, disponible gratuitement en PDF, explore donc en une quarantaine de pages tout ce qui contribue à une architecture de SI éco-compatible, des techniques de climatisation des datacenters à la conception des applications, en passant par la consolidation et la virtualisation. Des bonnes pratiques de gouvernance... aux références aux produits maison Le premier chapitre, consacré à la conception d'un système d'information durable d'un point de vue environnemental, est écrit par Lewis Curtis, architecte principal chez Microsoft. Il pose les bases d'une réflexion d'ordre général pour quiconque souhaite concilier des impératifs écologiques et économiques avec les impératifs de performance attendus d'un système d'information. A ce titre, son analyse n'a rien à envier à celle d'un cabinet d'études qui la vendrait plusieurs milliers de dollars. En revanche, les réponses de Lewis Curtis sont bien évidemment orientées, puisqu'elles impliquent les produits qu'il représente. Au lecteur de conserver les réponses architecturales et d'appliquer ce modèle de réflexion avec ses propres références ; en matière de gouvernance, les bonnes pratiques ne dépendent pas d'un éditeur ou d'une technologie. Le deuxième chapitre rappelle quelques évidences en ce qui concerne le déploiement d'applications. Les auteurs expliquent ainsi qu'une application mal conçue - qui exige un serveur à elle seule, ou n'utilise qu'un coeur d'un processeur multicoeur - a un impact négatif sur la consommation énergétique. De même, il ne faut pas, indique l'article, omettre de recourir aux modes d'économies d'énergie lorsqu'une application, un disque ou un processeur est inactif, ou oublier d'alléger les bases de données de production en recourant à des systèmes d'archivage. A l'inverse, le fait de consolider des applications, ou mieux de recourir à la virtualisation conduit à des gains importants. L'étape ultime étant le 'cloud computing'. Dans tous les cas, les auteurs donnent des critères à observer et des métriques pour évaluer l'impact en matière de réduction de la consommation d'énergie (et, partant, de la facture d'électricité). Les composants applicatifs et architectures distribuées pour un impact minimal sur l'environnement [[page]] Le troisième chapitre s'attaque aux architectures applicatives. Fini le temps où on pouvait se permettre de dimensionner une solution en prenant comme critère de base son niveau de pic de charge plus 20 à 50%, histoire d'être tranquille. L'article donne donc moult conseils pour optimiser les applications, l'idée étant qu'elles aient un impact minimal en termes de consommation de ressources. Cela passe par le recours à des composants applicatifs, à des architectures orientées services (SOA), de l'instrumentation et de la supervision, de la virtualisation, de l'équilibrage de charges...Là encore, et d'ailleurs les auteurs prennent soin de le préciser, « si la taxonomie peut apparaître spécifique à Microsoft et à Windows, cela fonctionne aussi bien avec d'autres OS et applications ». Un chapitre entier est consacré à la façon dont on peut calculer la consommation d'énergie d'un serveur, d'un disque dur, d'une application, d'une base de données, etc. Avec cette abaque, il devient beaucoup plus simple de traduire en termes monétaires les gains apportés par telle ou telle bonne pratique. Les auteurs de ce chapitre en profitent pour rappeler qu'un certain nombre de services sont totalement inutiles pour faire tourner une machine virtuelle. Cela tombe bien, Windows Server 2008 ayant appris d'autres OS et proposant un mode d'installation minimal. Le DC Genome, ou comment évaluer la climatisation d'un datacenter avec des capteurs sans fil Plus surprenant, l'avant dernier chapitre détaille la mise en oeuvre de capteurs sans-fil dans le datacenter de Microsoft conçu à cet effet, le DC Genome. Plutôt que d'ajouter de la complexité avec des composants matériels ajoutés aux différents éléments du datacenter, Microsoft a conçu un réseau d'environ 700 senseurs ('genomotes') permettant de mesurer la température et l'humidité partout dans la salle, afin d'ajuster au mieux les paramètres du système de climatisation en quasi-temps réel. Les genomotes eux-mêmes communiquent en IEEE 802.15.4, car, indique Microsoft, il s'agit d'un réseau radio moins gourmand en énergie et en ressources processeur que le WiFi. Le dernier chapitre, pour le coup, ne s'applique qu'aux technologies Microsoft, puisqu'il traite de la consolidation de bases SQL Server telle qu'elle a été pratiquée chez Microsoft, pour son propre système d'information. Et cela pourrait intéresser des clients grands comptes de l'éditeur. En effet, comme n'importe quelle entreprise, Microsoft a dû affronter un tableau peu reluisant : 100 000 bases de données réparties dans 5 000 instances de SQL Server, la plupart sur des serveurs dédiés, chacun présentant un taux d'utilisation moyen des ressources processeur en deçà de 10%. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >