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Administration de serveurs
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(19/01/2010 09:46:53)
Selon le cabinet Solucom, l'externalisation est devenue la règle dans les grandes entreprises
Le cabinet Solucom vient de publier une étude intitulée « Les pratiques du sourcing it en france » et réalisée en partenariat avec l'association de promotion du référentiel de bonnes pratiques en matière d'achats Ae-SCM. Réalisée à l'automne 2009, surtout auprès de très grands comptes internationaux, l'étude révèle que l'externalisation est devenue la règle. Si 60% des répondants à cette enquête administrée en ligne sont issus d'entreprises de plus de 5000 salariés, il n'en reste pas moins que le faible nombre de réponses (85 !) oblige à prendre les résultats chiffrés avec certaines réserves. Il convient donc de s'en tenir à de grandes tendances. Ainsi, l'externalisation informatique est devenue courante en France : la majorité des entreprises y ont recours, aussi bien avec des équipes à l'extérieur de leurs locaux (plus des deux tiers) qu'à l'intérieur de ceux-ci (une grosse moitié des répondants) et en général avec plusieurs prestataires par entreprise. Mais cette externalisation est réalisée par des acquisitions négociées au coup par coup sur des critères économiques, sans étude d'opportunité technologique dans la plus grosse partie des cas et sans stratégie globale. Une fois l'acquisition réalisée, le service achat ne se préoccupe plus du suivi du contrat et c'est donc aux directions utilisatrices de la prestation d'assurer seules ce suivi. Le critère économique étant dominant, la satisfaction vis-à-vis d'un prestataire ne justifie pas à elle seule la fidélité. Même si la plupart des répondants sont satisfaits, avec quelques réserves sur la qualité de service et le manque de pro-activité. La majorité des répondants considère que la mise en concurrence à chaque terme est naturelle. Dans le même ordre d'idée, un peu plus du dixième des entreprises utilisent de l'off-shore, ce qui était considéré jadis comme le plafond. L'off-shore risque donc de se développer à terme plus que prévu initialement. (...)
(18/01/2010 14:09:19)Trophées Le Monde Informatique / CIO 2010 : déposez votre candidature !
Les Trophées Entreprises et Société de l'Information récompensent chaque année l'apport de l'informatique aux métiers de l'entreprise. Cette manifestation est organisée par les rédactions du Monde Informatique, de CIO et de Réseaux et Télécoms. Sur le site suivant, vous pouvez télécharger le dossier de candidature à l'édition 2010. La saisie des informations prend moins d'une heure. Le dossier est à transmettre avant le 21 février 2010, au format PDF exclusivement pour en simplifier la lecture. Une caractéristique importante de cet événement réside dans la diversité des profils des nominés et des lauréats. Qu'une organisation soit de petite ou de grande taille, qu'elle soit une entreprise privée, une administration, une association ou une structure parapublique, ce qui compte avant tout est la valeur ajoutée apportée au métier par l'informatique. Plusieurs axes peuvent être mis en avant par les candidats dans leurs dossiers, par exemple : - La stratégie du SI et son alignement sur le métier et la stratégie générale de l'entreprise, de l'association ou de l'administration ; - La transformation de l'entreprise, de ses méthodes et de son organisation, grâce au SI, notamment pour gagner en agilité ou réduire ses coûts ; - Le développement de la responsabilité sociétale de l'organisation (moindre empreinte carbone, recyclage des déchets électroniques...) ; - L'innovation au service des métiers. Une amélioration de rupture dans un processus déjà bien établi. - La conduite du changement : suite à une transformation du SI, il est nécessaire d'accompagner l'évolution des métiers avec les formations adéquates. Un fournisseur de solutions informatiques ne peut pas être candidat mais peut encourager l'un de ses clients à postuler. (...)
(11/01/2010 15:23:48)Le spécialiste des SLA Oblicore passe dans le giron de CA
Cloud externe, interne, hybride ? Peu importe, pour CA. En éditeur accompli de logiciels d'administration, CA accumule les outils pour gérer technologies, contrats et niveaux de service. Et c'est un pionnier du BSM (Business service management, branche de l'administration de logiciels donnant une vision métier des incidents d'exploitation) que CA vient de racheter : Oblicore était spécialisé dans la gestion des SLA (Service level agreements, accords sur les niveaux de service). Il s'agissait d'ailleurs d'un partenaire de CA, qui exploitait sa capacité à rapprocher l'exploitation de l'informatique des contraintes métier. Le montant de l'acquisition n'a pas été divulgué. Sachant que CA a récemment mis la main sur les actifs de Cassatt (gestion de la consommation des serveurs et accélération de leur temps de démarrage) et sur NetQoS (supervision de la performance réseau), l'objectif de CA est clairement d'offrir aux directions informatiques un tableau de bord adapté à une informatique répartie, sur place, chez les infogéreurs et dans le cloud. « Nos clients ne discutent pas de l'intérêt du cloud, nous confiait récemment Patrick Debus Pesquet, directeur technique de CA France. Simplement, ils veulent plus de dynamisme. » (...)
(07/01/2010 12:05:09)En France, le BPO reste encore mal vu
Malgré la crise économique, le BPO ne décolle toujours pas en France. Cette crise est pourtant l'occasion pour les entreprises de réduire leurs coûts et de se concentrer sur leur coeur de métier. Des arguments rêvés en faveur de l'externalisation, en particulier en faveur du BPO. Les prestataires répètent d'ailleurs ces arguments en boucle. « Mais cette répétition ne me convainc pas, note Ludovic Melot, auteur d'une étude sur ce sujet pour le cabinet Précepta. Le BPO en France ne décolle toujours pas et ce, pour deux raisons principales : une résistance historique des entreprises et la peur des conséquences sociales ». Les exemples abondent. Celui récent d'Alcatel et de Wipro par exemple. Tollé syndical, grèves, pression de l'opinion et des politiques. Résultat : le contrat a exclu la France. Les filiales françaises des entreprises anglo-saxonnes en revanche passent facilement au BPO. Souvent avec des prestataires également anglo-saxons (par exemple Accenture ou Logica) Mais les grands comptes français restent toujours aussi réticents. L'externalisation totale fait peur en France. Precepta voir pourtant deux brèches se créer : le BPO spécialisé avec des acteurs également spécialisés et les Centres de services partagés. Pour le moment, cette externalisation spécialisée porte en France essentiellement sur les services de support marketing (centres d'appel) ou sur la paie. Les différentes estimations qui portent le BPO à 2 milliards d'euros en France en 2009 oublient d'ailleurs que 40% de ce chiffre est constitué par des centres d'appels (« cela n'a rien de déshonorant mais ne constitue pas vraiment une nouveauté commente Précepta). Des spécialistes viennent concurrencer les SSII, Precepta cite les cabinets d'audit ou d'expertise comptable, ceux de recrutement, les sociétés d'affacturage. [[page]] En revanche, la création de Centre de services partagés a convaincu selon Ludovic Melot la totalité du CAC 40 voire du SBF 120, donc des grandes entreprises françaises. Il s'agit d'entreprises qui gardent en interne une prestation mais la centralisent. Par exemple, la comptabilité ou la paie, dispersées dans des dizains de centres ou de filiales en France sont regroupées dans un seul centre. Avantages : une réduction des coûts, une meilleure visibilité, des grincements de dents moins forts. Mêmes si la mise en place prend du temps et coûte cher, ce type de prestation est plus facile en France qu'une externalisation totale ou même partielle. En fait, conclut Ludovic Melot, le BPO ne décolle pas en France parce que les prestataires sont mal adaptés. Les offres sont souvent des décalques d'offres présentées à l'international (les deux SSII qui ont le plus calqué leur modèle sur le modèle anglo saxon, Stéria et Cap ne sont pas parvenus à compenser ainsi la chute de leur division conseil et intégration). Les acteurs même français ne s'adaptent pas à la demande. Or, celle-ci est fondée sur des critères bien précis : la peur du risque social, la méfiance vis-à-vis des grands contrats globaux, la préférence pour une externalisation qualitative plutôt que quantitative, une barrière culturelle voire linguistique. Autant de critères qui vont à l'encontre des thèses de grands spécialistes mondiaux qui veulent des contrats globaux, une externalisation offshore, des contrats sur plusieurs années. La multiplication des CSP montre pourtant que les entreprises françaises sont prêtes pour ce type de démarche, mais pour le moment en interne ! Preuve que c'est moins le principe que l'offre qui est en cause. (...)
(08/12/2009 17:40:24)IBM offre les services de Tivoli en ligne aux entreprises de taille moyenne
IBM a décidé de proposer les fonctions de Tivoli, sa solution d'administration de systèmes, sous la forme d'un service hébergé. Cette offre vise les entreprises qui pourraient être davantage tentées par une formule d'abonnement que par le déploiement du produit en interne. Tivoli Live Monitoring Services doit permettre à une équipe informatique de garder l'oeil sur 25 à 500 ressources IT (serveurs, systèmes d'exploitation, machines virtuelles et applications). Sur réception d'une alerte, ils seront avertis qu'une application montre des signes de faiblesse, qu'un serveur risque de manquer de mémoire ou qu'une page Web met un peu trop de temps à s'afficher. Le service Il existera en deux versions. La première a recours à des agents pour surveiller les systèmes d'exploitation, les machines virtuelles et les applications de type base de données ou serveur de messagerie (tels que Microsoft Exchange, par exemple). Elle revient à 58 dollars par mois pour chaque ressource surveillée. La deuxième offre ne comprend pas d'agents. Sa tarification démarre à 44 dollars par ressources et par mois, pour la surveillance d'équipements matériels, d'OS, de sites Web et la gestion d'alertes SNMP. Pour les deux versions, IBM facture des frais de mise en place de 6 500 dollars par client. Disponible dans plusieurs pays, mais pas encore en France En option, le fournisseur propose un service de reporting, pour un tarif mensuel de 15 dollars par ressources. Cet historique des données est utile pour faciliter les opérations de dépannage et prévoir les besoins en ressources. Ce service de surveillance en ligne repose sur les solutions Tivoli Monitoring 6.2.1, Tivoli Monitoring for Microsoft Applications 6.2 et Tivoli Composite Application Manager for Applications 6.2. Bien qu'IBM vienne tout juste de l'annoncer, cette offre de service est en fait opérationnelle depuis le mois dernier aux Etats-Unis, selon un blog interne. Elle est également disponible dans un certain nombre de pays à travers le monde : Canada, Royaume-Uni, Australie, Hong-Kong, Scandinavie... Pour l'instant, elle n'est pas encore accessible en France, mais il est prévu qu'elle soit étendue à davantage de pays en 2010. IBM propose déjà plusieurs de ses produits sur Amazon Web Services et la semaine dernière, il a installé son offre Tivoli Monitoring sur le cloud EC2 d'Amazon afin d'assurer une surveillance de ses logiciels qui s'exécutent sur ce service. Interrogé sur l'offre Tivoli Express déjà proposée par ailleurs aux PME, IBM a reconnu qu'il n'avait peut-être pas fait aussi bien qu'il aurait voulu. Pour Michael Coté, analyste de RedMonk, l'un des défis pour IBM sur son offre Tivoli, c'est effectivement de pouvoir descendre dans des entreprises de taille moins importante. Parmi les petits éditeurs offrant déjà des services de monitoring des ressources IT en ligne figurent des acteurs comme Accelops, InteQ, et ManageEngine (entité de Zoho). Microsoft et BMC Software développent aussi des services. (...)
(24/11/2009 10:46:07)La première promotion d'ingénieurs z/OS de la zAcademy a été certifiée par IBM
IBM a certifié la première promotion de la zAcademy, un cycle d'enseignement mis au point par le constructeur en partenariat avec Sogeti et La Banque Postale. Pour cette première édition, ce sont 10 professionnels de la SSII et de la banque qui ont été formés et certifiés en tant qu'ingénieurs systèmes z/OS. Le programme, qui s'est étalé de décembre 2008 à novembre 2009, a consisté en « un parcours théorique et pratique spécialisé dans les technologies mainframes et appliqué au domaine de la banque ». De fait, les grands systèmes ne sont pas franchement les plus prisés par les jeunes générations, et la pyramide des âges nécessite un certain renouvellement, comme l'explique dans un communiqué Philippe Blin, DSI de La Banque Postale. Il s'agit pour lui d' « offrir des perspectives d'évolution, organiser la transmission du savoir-faire des experts partant à la retraite, investir sur la formation des jeunes ingénieurs... » Le partenariat est formé pour une durée de trois ans. La deuxième session de formation commencera en janvier prochain. (...)
(28/10/2009 15:55:40)Pour la gestion des risques et la réduction des coûts, IDC plaide pour un système de stockage unifié
Invitée à donner son opinion sur l'avenir du stockage lors du salon SNW Europe (Storage Networking World) de Francfort les 27 et 28 octobre 2009, Carla Arend, analyste du cabinet IDC, a défendu une vision du marché animé par deux axes. Le premier concerne la gestion du risque, notamment juridique. Cela implique un fort besoin de « gestion de la conformité » avec les réglementations nationales ou trans-nationales (comme les impacts hors Etats-Unis de la loi Sarbanes-Oxley). Le second relève de la désormais classique réduction des coûts et accroissements de l'efficience des investissements consentis. Selon IDC, la croissance du marché ralentit : le cabinet n'attend que +6% en 2009 contre 10,5% en 2008. Malgré tout, la croissance est donc toujours là. En effet, le marché du stockage bénéficie de mauvaises pratiques, qui doivent disparaître, mais aussi de l'inflation continue des volumes de données. Les entreprises ont souvent à assurer des migrations de systèmes en archivant l'ancien. Conserver ainsi les anciens systèmes a-t-il réellement un sens ? Pas toujours... Le premier problème, en matière de stockage, reste cependant que les entreprises archivent encore tout et n'importe quoi un peu n'importe comment sans réelle hiérarchie alors même que les différents types de supports ont chacun leurs caractéristiques, leurs coûts plus ou moins élevés et leur rapidité d'accès plus ou moins importante. Globalement, le volume de données stockées par les entreprises ne cesse pas d'augmenter. La pente de l'augmentation n'est cependant pas uniforme. Les données structurées classiques (PGI...) et leurs réplications ont ainsi une croissance assez limitée. A l'inverse, le non-structuré classique (e-mail...) et surtout les dépôts de contenus, notamment multimédias, explosent. Or, bien souvent, les systèmes de stockage ne concernent qu'une seule des fractions des données stockées, interdisant de fait une optimisation des supports. IDC plaide pour un système de stockage unifié avec des systèmes plus ou moins coûteux, avec une administration automatisée, notamment concernant la gestion de la répartition entre les supports. Selon le cabinet, quatre questions clés doivent être posées : par où commencer une réforme du stockage, doit-on choisir une standardisation ou une fédération de systèmes, quel doit être la règle de répartition entre les différents types de stockage et enfin quels sont les besoins métiers se traduisant en terme de stockages ? (...)
(27/10/2009 14:33:21)Avec Deep Security, Trend Micro renforce les options de sécurité pour la virtualisation
Trend Micro a dévoilé une version de son logiciel Deep Security, servant à la fois de pare-feu et de système de protection pour le serveur VMware ESX. L'éditeur a ajouté une fonctionnalité de virtualisation au niveau de l'hyperviseur pour protéger plusieurs machines virtuelles fonctionnant sur un même serveur. Auparavant, Deep Security fonctionnait uniquement dans le système d'exploitation invité de la machine virtuelle comme « une enveloppe de sécurité autour de la machine virtuelle », explique Mohamed Wael, Vice président de Trend Micro. Désormais avec Deep Security 7.0, nous offrons également une plateforme virtuelle qui utilise l'interface de programmation VMsafe de VMware. Les responsables informatiques peuvent aussi utiliser le pare-feu/IPS (Système de prévention des intrusions) au niveau de l'hyperviseur. « Les clients veulent une solution unifiée, mélangeant et rassemblant », estime Mohamed Wael. Les utilisateurs ont la possibilité de déployer le pare-feu/ISP Deep Security depuis la console Deep Security ou depuis le VMware Center. A l'origine, Deep Security n'était qu'une start-up canadienne créée par Mohamed Wael. Elle appartient depuis moins d'un an à Trend Micro, qui poursuit ses efforts pour améliorer la sécurité de son data-center. Neil MacDonald , analyste en sécurité chez Gartner, a signalé lors d'un symposium sur la protection des machines virtuelles, que Trend Micro était connu plutôt comme un éditeur traditionnel d'antivirus. Toutefois, il salut l'initiative de l'éditeur à proposer aux entreprises davantage d'alternatives pour sécuriser leur environnements virtualisés. Il a ajouté que Trend Micro pourrait jouer le rôle de trublion dans ce marché, déclarant qu'il appréciait que les éditeurs multiplient les initiatives. La sortie de Deep Security 7.0 comme une plate-forme d'applications virtuelles jette les bases pour ajouter plus de fonctionnalités de sécurité, telles que des capacités contre les virus, dans les futures versions, selon Trend Micro. La solution Deep Security de Trend Micro 7.0, sera commercialisée en novembre, à partir de 2.000 dollars. (...)
(20/10/2009 14:09:55)BMC acquiert Tideway pour ses outils de découverte des éléments du SI
Les liens entre la base de configurations de BMC et l'outil de découverte de Tideway vont se renforcer : BMC a décidé de racheter ce petit éditeur anglais, pour un montant non communiqué. Tideway Foundation, le produit phare de Tideway, est capable d'inventorier un système d'information (hors mainframe), pour y découvrir tant les machines que les applications, en passant par les systèmes d'exploitation ou autres éléments matériels ou logiciels intermédiaires. BMC, comme d'autres partenaires tels que Compuware ou ASG, s'appuyait dessus pour peupler sa CMDB (Configuration management database), le socle de son offre de BSM. Le Business service management a vocation à superviser les systèmes d'information et alerter les responsables de soucis techniques, mais de façon proactive, et sous un angle métier. Les offres de BSM doivent donc connaître l'importance des applications, et les interdépendances avec tous les éléments matériels et logiciels. Cet été, BMC avait complété son offre BSM en rachetant un spécialiste de la supervision de middleware, MQSoftware. On peut aussi noter que l'actuel président de la division Enterprise service management de BMC, Dev Ittycheria, qui chapeaute le BSM, était le PDG de BladeLogic, racheté en mars 2008 pour ses outils d'automatisation de la gestion des serveurs. (...)
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