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Administration de serveurs
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(19/05/2010 09:37:19)
Cesames donne les clés de l'architecture des systèmes
L'association Cesames (Centre d'Excellence sur l'Architecture, le Management et l'Economie des Systèmes), créée en Juillet 2009, vient de lancer ses activités. Elle vise à « faire connaître aux décideurs les méthodes de l'Architecture des Systèmes pour leur permettre de mieux maîtriser la vitesse et le risque d'exécution dans leurs programmes technologiques », au premier rang desquels les projets informatiques.
« L'Architecture des Systèmes est une discipline qui permet de construire des solutions en appréhendant la complexité technique et humaine induite par l'intégration de produits et de services interconnectés de plus en plus nombreux » précise l'association.Elle organise des groupes de réflexion, des ateliers, des soirées-débats et une conférence internationale « Complex Systems Design & Management ». Elle publie également une revue quadrimestrielle (« Architecture et complexité »). Enfin, elle contribue à la formation à l'architecture d'entreprise et à l'architecture des systèmes.
Fondée et dirigée par Daniel Krob, professeur de l'Ecole Polytechnique, responsable de la chaire d'enseignement et de recherche Ecole Polytechnique-Thales « Ingénierie des Systèmes Complexes », l'association Cesames bénéficie de l'adhésion et du soutien de spécialistes et d'entreprise de l'industrie (Thalès), du conseil et de l'édition de logiciels (Mega International, Belle Aventure).
CA World'10 : Tout pour le cloud (MAJ)
Après Bill McCracken, le CEO de la compagnie, Ajei Gopal, le vice-président exécutif produits et technologie, a expliqué avec un certain talent comment le cloud allait transformer l'avenir de l'informatique professionnelle. Très pédagogue, ce dernier a particulièrement insisté le fait que l'arrivée du cloud transformait la manière de gérer et de sécuriser les systèmes d'information. « Au lieu d'être un fournisseur de services monolithiques, le pool informatique est appelé à devenir le gérant d'une offre dynamique avec des ressources internes et externes pour fournir des services à des utilisateurs internes et externes », a expliqué Ajei Gopal. « Quand cela se produit, tous les discours rhétoriques sur l'alignement des services informatiques sur le business de l'entreprise deviennent caducs car désormais - pour de nombreuses entreprises - c'est justement le business. On assiste à un changement de paradigme ».
Pour suivre ce mouvement les entreprises doivent bien sûr adopter le cloud, qu'il soit de type IaaS comme chez Amazon, SaaS comme chez Salesforce.com ou PaaS comme avec Azur. Très pragmatique, le dirigeant de CA Technologies ajoute que « bien que nous entrons dans l'ère cloud, chaque innovation en informatique est rentable. Les technologies existantes, y compris les mainframe et les éléments de l'environnement distribué, seront toujours des composants essentiels des datacenters ».
Illustration Ajei Gopal, vice-président exécutif produits et technologie de CA Technologies
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Alors que 60% du chiffre d'affaires de CA Technologies (4,2 milliards de dollars sur le dernier exercice) reste liée à l'activité mainframe, l'entreprise a fait du cloud computing un de ses principaux axes de développement, en insistant notamment sur la sécurité, en proposant une outil de gestion en mode SaaS, a expliqué Tom Kendra, vice président en charge des produits et solutions d'entreprise. « La gestion de la couche de virtualisation et des nouveaux services reposant sur le cloud n'est pas une tâche facile, en partie parce que les technologies ont été installés en plus de - plutôt que en remplacement de - l'infrastructure informatique existante. Ce point nécessite don une approche de gestion hétérogènes, avec des systèmes physiques et virtuelles » poursuit Tom Kendra.
Pour accompagner les entreprises dans leur mutation vers le cloud, l'éditeur met en avant ses solutions avec notamment l'arrivée de Nimsoft On Demand, la déclinaison SaaS de l'outil de monitoring, déjà adopté par Sycom Technologies et American Integration aux Etats-Unis. En complément, Nimsoft présente plusieurs produits dont Unified Monitoring Portal, un outil Web 2.0 très intuitif pour superviser en ligne ses données, et Power Monitor, qui permet aux utilisateurs de cartographier la consommation électrique d'un datacenter et de ses onduleurs dans un seul tableau de bord. Après SMI, l'éditeur a profité de son rendez-vous annuel pour dévoiler sa suite Cloud Connected Management qui vient répondre aux défis posés par les nuages informatiques.
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Cette suite regroupe quatre produits : Cloud Insight pour standardiser les pratiques cloud internes et externes. Cette solution exploitera notamment les données fournies par la toute nouvelle communauté Cloud Commons pour aider les responsables informatiques à prendre les meilleurs décisions; Cloud Compose repose sur un catalogue de composants logiciels pour faciliter la création et le déploiement de services clouds ; Cloud Optimize aidera les utilisateurs à améliorer les services et les infrastructures du nuage ; enfin Cloud Orchestration apportera un contrôle de la production et l'automatisation de certaines procédures. Tous ces outils reposent en grande partie sur des technologies issues des rachats de 3Tera, Oblicore et Cassatt. Les deux premiers composants de cette suite sont disponibles immédiatement les deux autres le seront en juillet et en octobre prochain, a précisé Chris O'Malley, vice-président exécutif en charge du cloud chez l'éditeur. « Vous n'aurez pas besoin d'attendre la fin de l'année pour bénéficier de ce produit, deux briques de base sont déjà disponibles ».
CA a également annoncé trois produits dédiés à la virtualisation, qui sont Virtual Assurance pour surveiller les performances et éventuellement corriger des défaillances dans les environnements virtuels; Virtual Automation, qui déclenche des check-up automatiques de l'infrastructure virtuelle, et enfin Virtual Configuration qui supervise le développement et les changements de configuration pour répondre aux besoins de conformité réglementaire et d'audit. Tous ces produits arriveront sur le marché en juin, mais l'éditeur n'a pas encore fournit une date de commercialisation exacte ni d'informations sur les prix.
CA World'10: l'éditeur se rebaptise CA Technologies (MAJ)
Après Computer Associates et CA, l'éditeur répond désormais au nom de CA Technologies, une petite mise à jour sémantique qui entend bien capitaliser sur l'évolution de la société comme fournisseurs de solutions d'administration et de sécurité pour les systèmes d'information classiques et dans le cloud.
L'activité antivirus a par exemple été filialisée et l'avenir semble aujourd'hui passer par le cloud. Avec les solutions pour mainframes, c'est en effet un des principaux focus de l'éditeur durant cette semaine. David Hodgson, vice-président en charge du cloud chez CA Technologies, a par exemple mis en avant un site web maison autour de ces solutions (www.cloudcommons.com) qui a pour ambition de fédérer les contributions des spécialistes maison, des analystes et des partenaires.Laura Mc Cluer, responsable chez CA Technologies, du programme Cloud Community précise que les membres peuvent même échanger des informations et mêmes des notes sur les 3000 fournisseurs de services cloud sur le marché. « Des appréciations qui pourront être objectives avec des étoiles ou subjectives sous la forme de commentaires. »
En complément l'éditeur met également en avant SMI (Service Management Index) une plate-forme permettant de benchmarker les solutions du marché (3 000 à ce jour selon David Hodgson). Pour déterminer par exemple quel service de messagerie hébergé est le mieux adapté aux besoins de son entreprise.
Terminons tout de même par le principal événement de ce dimanche 16 mai, la conférence d'ouverture de CA World 10 avec Bob McCracken, le CEO de la société. Sans surprise, l'ancien cadre d'IBM a mis l'accent sur les changements attendus dans les systèmes d'information des entreprises. Le cloud computing est bien évidemment « le nouveau point d'inflexion de l'industrie IT. (...) Quand les choses changent, nous devons changer. Il faut bouger vers la virtualisation, aller vers le cloud, changer les modèles de coûts». Depuis plusieurs mois, la société occupe le marché et sensibilise ses clients et ses partenaires à cette évolution radicale, avec les sessions de sa Cloud Academy, ses études sur la sécurité des infrastructures dans les nuages ou la perte d'informations. Le dirigeant décrit également sa vision du marché : "Beaucoup de gens continuent de se demander si le cloud va vraiment se répandre. Je leur dis que non; je ne pense pas que le cloud est train de s'imposer. Je sais déjà qu'il va s'imposer puisqu'il est déjà très présent. La virtualisation et le cloud computing vont obliger les entreprises à s'adapter rapidement pour répondre aux demandes du marché et des clients. Nous sommes là pour aider nos clients à acquérir la compétitivité supplémentaire qui leur donnera un avantage supplémentaire pour passer les caps difficiles". Plusieurs rachats significatifs comme Nimsoft, NetQoS et 3tera ont également permis à l'éditeur de générer une partie de ses revenus sur des activités qui ne sont pas liées aux mainframes. Jusqu'à un tiers des 4,3 milliards du chiffre d'affaires réalisé sur le précédent exercice selon un responsable de CA. Le CEO de la compagnie précise encore que des acquisitions se feront encore en 2010 : "nous n'achetons pas de la croissance, mais j'essaie d'acquérir les technologies qui nous permettront de poursuivre notre croissance."
Au sujet du changement de nom de la société, Bill McCracken a eu le dernier mot en racontant une petite anecdote. C'est en effet après avoir constaté qu'en tapant CA dans le moteur de recherche de Google, il obtenait Californie (CA aux Etats-Unis) qu'il a décidé de modifier le nom de la compagnie. Il aurait également pu trouver Canada, Cocaine Anonymous, Crédit Agricole ou encore chiffre d'affaires. Si le nom CA Software a été un moment envisagé selon un cadre de l'éditeur, c'est finalement CA Technologies qui a remporté les suffrages. Un choix curieux car l'acronyme donne CAT, un célèbre fabricant d'engins de travaux ou la cellule de lutte antiterroriste dans la série "24 heures". Un changement de nom qui couterait à l'éditeur de 50 à 70 millions de dollars. CA Technologies devrait également augmenter de 50% son budget marketing (jusqu'à 200 millions de dollars en 2010 donc) pour mieux faire connaître ses ambitions dans le cloud.
(...)(10/05/2010 16:53:43)
Annuels BMC Software : modeste progression sur l'exercice
BMC Software, éditeur américain de solutions d'administration des systèmes informatiques, a terminé son exercice fiscal sur une légère hausse de son chiffre d'affaires. Celle-ci s'élève à 2,1% sur l'année, avec un CA total de 1,9 Md$, et à 2,5% sur le dernier trimestre (CA de 491,3 M$). Les ventes de licences du groupe ont progressé de 4,8% sur les trois derniers mois, à 201 M$.
Quoique satisfait des résultats, Bob Beauchamp, PDG de la société, a reconnu que ceux-ci auraient pu être meilleurs sur le quatrième trimestre. Il ajoute en revanche que l'exercice 2011 commence fort avec l'un des plus importants contrats ESM (enterprise service management) signés jusqu'à présent par la société. Les prises de commande sur les licences ont également progressé de 9% au quatrième trimestre.
Concurrent des solutions d'administration de systèmes fournies par HP, IBM et CA, notamment, BMC Software rassemble à son catalogue des produits tels que BMC Performance Management, BMC Remedy IT Service Management, BMC Atrium CMDB, ou encore BMC IT Service Support. Au cours des dernières années, outre l'acquisition de Remedy, il a notamment procédé à celles de Patrol (dont l'offre a été intégrée à sa solution ProactiveNet Performance Management), de MQ-Software, Marimba, Bladelogic, Control-M ou encore de Magic.
Illustration : Bob Beauchamp, PDG de BMC Software (crédit photo : BMC)
Interop 2010 : la portabilité des services cloud au coeur des débats
« Probablement dès cette année, nous aurons les moyens de faciliter le déplacement de la charge de travail des centres de calcul internes vers des services cloud externes, à l'aide d'un logiciel » a expliqué Randy Rowland, vice-président en charge du développement produit chez Terremark. Les clients veulent avoir l'assurance de pouvoir rapatrier une charge de travail confiée à un cloud dans leur datacenter si les circonstances le permettent », a-t-il ajouté. « Les entreprises ont peur de rester bloquées. Certains obstacles réseaux existent effectivement, comme le changement des adresses IP, pour lequel il faut trouver une méthode plus facile ». Pour Simon Crosby, CTO de Citrix, « cette préoccupation autour de la transférabilité est prise en compte. Les vendeurs savent qu'elle existe et qu'ils doivent trouver des solutions. »
« Les images de la machine virtuelle Amazon, utilisées sur le service cloud Amazon EC2, très répandu, sont en propriété exclusive et difficiles à répartir sur les réseaux d'entreprise, » a souligné de son côté Alistair Croll, fondateur de Bitcurrent. Mais Simon Crosby a constaté des progrès dans certains domaines, comme la norme Open Virtualization Format (OVF). Selon lui, elle rend la charge de travail indépendante de l'hyperviseur, et permet l'interopérabilité entre des plates-formes de virtualisation multiples. « La virtualisation a permis d'améliorer la portabilité des charges de travail entre serveurs, mais les premières versions des offres « Infrastructure-as-a-Service » pour le Cloud manquaient de ressources en matière de réseaux, et il faudra trouver de nouvelles méthodes pour les renforcer et améliorer la portabilité », a précisé Simon Crosby.
Illustration Alistair Croll, fondateur de Bitcurrent, Crédits D.R.
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Kristof Kloeckner, CTO d'IBM, autre conférencier présent à Interop, a déclaré dans une interview que le déplacement des charges de travail depuis les centres de données internes vers les cloud n'était pas difficile. Selon lui, « les problèmes surviennent lorsque les applications demandent qu'un grand nombre de données soient transférées vers le cloud. » Certaines démonstrations faites à Interop ont montré le déplacement d'applications entre différents clouds, mais « la plupart des exemples sont vraiment basiques dans le sens où ils ne déplacent pas de volumes de données très importants », a expliqué le CTO d'IBM. Selon lui, les applications à base de grid, les simulations, ou les charges de travail occasionnelles (saisonnières notamment) sont sans doute bien adaptées au déplacement temporaire vers un cloud. « Les services clouds s'intègreront les uns aux autres », a-t-il ajouté au cours de son allocution. « Surtout, ils devront rester ouverts. C'est un de nos objectifs majeurs. Ce qui se passe aujourd'hui est un changement fondamental. Cela montre la nécessité d'introduire plus de souplesse dans le déploiement des services informatiques. »
« Dans l'avenir, il y aura essentiellement trois catégories d'applications », a poursuivi de son côté Alistair Croll, de Bitcurrent. Celles qui resteront toujours à l'intérieur du datacenter de l'entreprise, celles qui pourront être exécutées indifféremment en interne ou au sein d'un service cloud si cet hébergement a un sens sur le plan économique, et une troisième catégorie qui demeurera toujours en cloud, notamment si l'application doit être partagée avec des partenaires. »
La question de savoir si les entreprises doivent déplacer des applications existantes vers des services cloud externes n'est pas toujours facile à résoudre. Certains intervenants présents à Interop ont laissé entendre que si les clients sont prêts à déplacer de nouvelles applications vers le cloud, ils ne savent pas encore si l'effort et les coûts de transfert de leurs applications existantes correspondent à un vrai gain en termes de budget.
(...)(11/03/2010 17:31:35)Cloud computing : CA acquiert Nimsoft et ses outils de suivi des performances IT
Sans surprise, CA poursuit sa montée en puissance vers le cloud computing avec un nouveau rachat. Après Cassatt, Oblicore puis 3Tera le mois dernier, le fournisseur américain met la main sur Nimsoft pour 350 millions de dollars. Cet éditeur californien, dirigé par Gary Read (photo ci-dessus), apporte à CA des outils de suivi des performances IT pour les infrastructures internes et externes (applications en mode SaaS, services hébergés, environnements cloud). Nimsoft a notamment développé des offres pour Rackspace et pour le cloud d'Amazon, EC2. Son acquisition devrait être effective à la fin de ce mois. En ajoutant ces solutions à son catalogue, CA compte attaquer de nouveaux segments de marchés : les entreprises en croissance (réalisant entre 300 M€ et 2 Md€ de chiffre d'affaires), les économies émergentes, ainsi que les fournisseurs de services hébergés qui leur proposent des services d'administration IT via le cloud, explique Chris O'Malley, vice président exécutif de CA. Dans un billet de blog, Gary Read, le PDG de Nimsoft, considère que cette absorption va permettre à sa société de poursuivre sa course. « Le marché évolue et se modifie si rapidement que je craignais que Nimsoft ne puisse pas, seul, tenir la cadence. Nous recrutons aussi vite que nous le pouvons, mais il y a des limites naturelles aux capacités de croissance d'une société... ». Sur son segment, Nimsoft concurrençait les quatre grands acteurs de l'administration de systèmes que sont BMC, HP, IBM et CA lui-même. (...)
(04/03/2010 09:21:51)EMC, Intel et VMware s'associent pour garantir la sécurité des clouds privés
L'objectif de cette alliance est d'établir « un socle commun de confiance pour déployer des environnements clouds», avec des caractéristiques physiques et des politiques de sécurité communes, explique Sam Curry, directeur technique de la division RSA Security d'EMC. Les plates-formes clouds privés rassemblent habituellement des applications sur la même base hardware, mais Sam Curry pointe que certains types de données ne peuvent pas être mélangées à d'autres en raison de règlementations gouvernementales ou d'obligations corporatives (Bale II par exemple). Ce partenariat ne se traduira pas dans les faits par un produit mais plutôt dans la démonstration que les technologies des deux sociétés* peuvent être combinées pour renforcer la sécurité dans les clouds. Ces travaux pourront ensuite être utilisés par les fournisseurs de services pour aider leurs clients à construire des clouds privés derrière leur pare-feu ou un cloud dédié rassemblant des services hébergés chez un tiers. «Nous croyons que, dans un futur très proche, un grand nombre d'entreprises et d'administrations utiliseront des services fournis par des clouds. Et ces dernières pousseront leurs prestataires à renforcer la sécurité des couches matérielles et à améliorer l'efficacité des hyperviseurs » poursuit Sam Curry. Ce dernier précise encore que les fournisseurs de clouds devront garantir une plus grande visibilité quant à la sécurité de leurs plates-formes matérielles en produisant automatiquement des rapports normalisés sur la configuration de l'infrastructure physique et virtuelle, et fournir ainsi la preuve que cette infrastructure est conforme aux politiques de sécurité et de protection des données. Combinaison de technologies La démonstration des deux sociétés* reposait sur la combinaison des technologies d'authentification des processeurs Intel, des ressources proposées par VMware pour la collecte des données relative à l'infrastructure physique et virtuelle et enfin des informations issues de la plate-forme RSA, qui identifie les menaces potentielles à la sécurité et la conformité. Ces informations sont ensuite passées à la moulinette des outils de conformité d'Archer Technologies, une société récemment acquise par EMC. Archer Technologies propose toute une suite d'outils qui évalue les risques, met en place des règles, surveille leur application, rapporte les incidents, réalise des audits... L'un des avantages de cette approche est d'affiner le contrôle de l'application de politiques différenciées dans les clouds privés. Savoir précisément sur quel serveur physique s'exécute une machine virtuelle, quels locataires ou entités commerciales cohabitent et partagent leurs ressources. Sam Curry conclut en indiquant que des fournisseurs tiers proposeront des services fondés sur cette première démonstration dans les six prochains mois. *Comme RSA, Archer et VMware sont détenues par EMC, cette collaboration comprend seulement deux entreprises indépendantes, EMC et Intel. (...)
(25/02/2010 15:15:03)Citrix et VMware montent dans l'asset management IT
Citrix a annoncé l'acquisition de la société Paglo, spécialisée dans les solutions de gestion et de configuration d'actifs IT. L'acheteur devrait intégrer ces services au sein de son offre en ligne de contrôle à distance et de gestion des équipements IT, GoTOmanage. Ce dernier est le complément idéal de GoToAssist, service qui donne aux administrateurs le pouvoir de prendre la main sur les ordinateurs en cas de difficultés. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. De son côté, VMWare s'est portée, selon le blog du groupe, acquéreur de trois logiciels (Virtual Profiles, Pinpoint et Discover), ainsi que des équipes R&D de la société RTO Software. L'intégration des différentes applications au sein de la solution VMware View apporte aux administrateurs une meilleure gestion des profils utilisateurs au travers des machines virtuelles. Cette vue globale apportée par le logiciel Virtual Profiles est selon VMware « un élément critique de la virtualisation, pour bien comprendre son environnement, le répliquer, le synchroniser, etc. » Les logiciels PinPoint and Discover supervisent eux les performances applicatives en traçant le fonctionnement respectif des logiciels et des équipements. L'intégration des différents logiciels RTO sera effective d'ici mi-2010. (...)
(24/02/2010 17:52:56)IBM apporte la déduplication au serveur Mainframe
IBM vient d'annoncer la sortie du serveur TS7680 équipé de ProtecTIER, une plateforme de protection et de déduplication des données. « L'arrivée de cette solution dans nos serveurs Mainframe va considérablement étendre nos capacités de stockage. » explique Cindy Grossman, vice-présidente de la section serveurs et stockages d'IBM. « L'annonce d'aujourd'hui va permettre à nos client de gérer encore plus de données avec moins d'infrastructures et de simplifier la protection des données tout en réduisant les coûts opérationnels ainsi que les dépenses d'énergie.» La technologie de déduplication ProtecTier permet, en temps réel, de découper un même fichier en plusieurs tronçons très petits, de les classer et de les indexer grâce à des références et réduit ainsi au maximum la création de doublons de fichiers. Elle a été intégrée par IBM en 2008, lorsque de l'acquisition de Dilligent Technologies. Qui, en utilisant un algorithme nommé HyperFactor, avait réussi à identifier chaque tronçon par une référence unique, permettant ainsi de stocker directement la trace de chaque fichier dans la mémoire vive, rapidité garantie. Le prix du TS7680 avoisine les 300.000 $ selon les différentes options de serveur choisis. (...)
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