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(19/06/2008 12:17:49)

Le créateur de widgets Zoomorama lève 1 M€ pour se développer hors de France

Zoomorama vient de réaliser une deuxième levée de fonds auprès d'une dizaine de 'business angels' européens et américains. Le premier tour de table lui avait permis d'engranger 450 000 € (en avril 2007). Zoomorama propose aux particuliers, aux entreprises (notamment dans l'e-commerce) et aux photographes professionnels une application baptisée Zoomcreator. Téléchargeable gratuitement jusqu'à 2 Go de données à stocker, elle leur permet de créer des widgets et des albums photos haute résolution qu'il est ensuite possible de déporter dans un site, un blog ou un mail. Particularité de ces albums : ils sont zoomables sans déperdition de qualité, directement depuis la page consultée, et ce sans devoir ouvrir une nouvelle fenêtre. Chaque produit présenté par un site de vente en ligne peut ainsi être examiné sous toutes ses coutures par l'internaute. Les clichés peuvent également être enrichis de textes, de vidéos, de liens hypertextes ou encore de documents PDF. Grâce à la levée de fonds, Zoomorama compte se développer sur trois axes. La société souhaite s'agrandir à l'international, à savoir aux Etat-Unis, en Amérique du sud, en Russie et en Asie. Elle est déjà présente au Viet-Nam. Fort de la confiance de ses investisseurs individuels, Zoomorama espère également convaincre d'autres investisseurs plus institutionnels, comme l'Oséo ou de grands capitaux-risqueurs. Côté technologie, Zoomorama devrait proposer au mois de juillet un service en ligne ne demandant pas à l'internaute de télécharger l'application, l'opération se faisant directement sur le site. Un service gratuit... jusqu'à un certain point [[page]] Le modèle économique de Zoomorama repose sur deux sources de revenus. Le site héberge gratuitement les photos sur ses serveurs jusqu'à 2 Go (150 Mo par album). Au-delà de cette quantité, les entreprises ou les particuliers ont la possibilité d'opter pour un abonnement annuel de 30 à 45 €, qui leur donne accès à un espace de stockage allant jusqu'à 5 Go. Pour les sociétés très gourmandes en images, Zoomorama propose une facturation liée à la consommation de bande passante. « Ce type de contrat se fait au cas par cas, en fonction du trafic et des besoins du site. En général nous appliquons un tarif de 1 euro pour 1000 clics », précise Anne-Céline Jeanneau, directrice de la communication chez Zoomorama. La société propose également des packages au forfait, pour des démonstrations sur un salon par exemple. Elle compte parmi ses clients Paris-Match, le Nouvel Observateur ou encore Channel. Pour le moment, Zoomorama ne s'est pas encore attaqué au marché de la publicité en ligne, mais il s'agit d'un projet « à moyen terme », confie Anne-Céline Jeanneau. Elle précise encore : « Les possibilités de notre application sont déclinables sur ce secteur. On peut par exemple imaginer d'incruster sur une page Web une publicité créée avec notre technologie, donc zoomable à volonté, sans devoir ouvrir une nouvelle page. » Zoomorama a été sélectionnée en avril dernier par le magazine économique Red Herring, qui récompense chaque année les 100 start-up les plus innovantes au niveau mondial. La société française a également fait partie des 30 finalistes du concours Web 3 qui s'est déroulé en décembre 2007. Créée en août 2005 par Franklin Servan Schreiber (ancien directeur des recherches en interfaces chez Sony US), Zoomorama emploie sept personnes et devrait recruter des développeurs au courant de l'année 2008. Son siège social est situé à Neuilly-sur-Seine (92). Rappelons que Microsoft a aussi récemment lancé une technologie de zoom à volonté dans les images, Deep Zoom. (...)

(17/06/2008 11:18:20)

Update décline son logiciel de CRM pour l'iPhone en français

L'éditeur autrichien Update (42 clients en France) est parmi les premiers à fournir une version iPhone de son logiciel de gestion de la relation client (CRM). L'offre, déjà adoptée par les directions générales ou commerciales de plusieurs de ses clients outre-Rhin, est livrée en français et convient aussi à l'iPodTouch d'Apple. Ses premiers adoptants sont des utilisateurs déjà convertis aux smartphones (des Blackberry généralement), l'accès en ligne permis par ces terminaux réduisant les contraintes de synchronisation répétées avec le PC (contrairement aux assistants numériques). Composée d'un produit serveur et d'un logiciel client, l'offre update.seven Touch s'utilise donc en mode connecté en donnant accès à toutes les fonctions de l'application de CRM d'Update : gestion des contacts et des rendez-vous, contrats de services, rapports d'intervention, etc. Hors connexion, le mode d'utilisation est toutefois plus restreint. L'utilisateur se contente, pour l'instant, de consulter ses rapports de visite et, éventuellement, de les remplir par le biais de cases à cocher si l'application le prévoit. La tarification pour l'offre update.seven Touch est fixée à 5 000 euros pour la partie serveur et à 350 euros par utilisateur. Update compte 1 300 clients dans le monde, principalement en Europe (5% seulement aux Etats-Unis). Son offre de CRM est verticalisée pour six secteurs d'activité : le BTP, le secteur industriel (machines outils), les médias, la pharmacie, les fournisseurs de la grande distribution et le secteur financier. En France, son logiciel est utilisé par les laboratoires Boehringer, les industriels Cryostar, De Dietrich Thermique ou encore Karcher. (...)

(12/06/2008 10:07:23)

Orange va proposer Sage 30 comptabilité en ASP aux PME

Sage explore un nouveau canal de distribution, celui des opérateurs. Son logiciel Sage 30 Comptabilité sera proposé à partir du 11 juin aux PME par les 11 agences entreprises d'Orange Business Services (OBS). En pratique, l'application devient la première brique métier, optionnelle, du forfait informatique lancé par Orange en avril dernier. La formule de base de ce service de fourniture d'applications en ASP comprend un accès au pack Office de Microsoft et à la messagerie Exchange. Il en coûte 99 €ht par mois et par utilisateur aux PME qui devront s'acquitter de 35 € de plus (toujours par mois et par utilisateur) pour accéder à Sage 30. Ce prix comprend les mises à jour et le support qui sera directement assuré par Sage. «L'accès à Sage 30 est ouvert à 4 utilisateurs maximum chargés de la comptabilité par entreprise. Ce qui signifie que nous pouvons cibler jusqu'aux sociétés dotées d'une quarantaine de collaborateurs au total », indique Benoît Delanoë, le responsable du forfait informatique chez OBS. Pas de problème de concurrence avec les revendeurs, selon Sage [[page]] Pour Sage, l'arrivée d'Orange dans son réseau de distribution ne constitue pas une menace pour ses revendeurs traditionnels. « Leurs efforts commerciaux se portent beaucoup plus sur Sage 100, notre ERP pour PME, que sur Sage 30, argue Caroline Nicon, la chef de marché PME de Sage. En outre, Sage 30 cible potentiellement 600 000 entreprises en France, ce qui laisse de la place à chacun ». A court terme en tous cas, les ambitions d'Orange autour de Sage 30 sont modestes. L'opérateur s'estimerait satisfait s'il vendait de 20 à 30 forfaits informatiques incluant l'option Sage 30 d'ici la fin de l'année. A plus long terme, en revanche, il n'est pas exclut qu'il devienne un partenaire important pour Sage s'il met à profit l'efficacité commerciale qu'on lui connaît dans la téléphonie. D'autant que si la commercialisation de Sage 30 comptabilité porte ses fruits, l'opérateur se verrait bien intégrer Sage 100 dans son offre. Une éventualité à laquelle Sage ne se déclare pas fermé. Mais cette montée en gamme demanderait à Orange de fournir des services de paramétrages poussés à ses clients. Or, « nous voulons rester des experts de l'infrastructure, sans volonté de développer des compétences autour des application métiers », assure Benoît Delanoë. Un dicours qui, au moins en théorie, laisse la place à l'ouverture ultérieur de partenariats avec des revendeurs si le catalogue du Forfait Informatique s'étoffe. (...)

(10/06/2008 17:47:56)

Tibco Spotfire intègre l'analyse de données dans les processus métiers

Quand au printemps 2007 l'éditeur américain Tibco, spécialiste de la gestion des processus métiers (BPM) et de l'intégration entre applications, annonce qu'il rachète les outils décisionnels de Spotfire, on comprend tout de suite où il veut en venir. Insérer, au coeur des processus métiers, les outils qui fourniront une vue contextuelle sur les données opérationnelles, avec l'ambition de les analyser afin de prendre rapidement les mesures correctives qui s'imposent.

Un an après, le rapprochement a été réalisé entre ces solutions de gestion des processus métiers (mais aussi de supervision des activités métiers -BAM- et de gestion des règles métiers -BRM) et l'application décisionnelle de Spotfire, ce dernier étant désormais une division indépendante de Tibco. L'offre s'appelle Tibco Spotfire Operation Analytics. Tout juste livrée, elle n'a pas encore été déployée sur le terrain. Elle s'adresse tout particulièrement aux industriels qui s'appuient sur des processus Six Sigma. Mais, plus généralement, elle vise toutes les entreprises qui ont besoin d'agir en temps réel, en réaction à des événements signalés par leur système d'information. L'outil leur permet en particulier d'analyser d'importants volumes de données. Rappelons que l'offre décisionnelle de Spotfire présente l'intérêt d'analyser les données directement en mémoire, aptitude qu'elle couple avec des capacités avancées de visualisation graphique.

Challenge : faire connaître Tibco Spotfire au-delà du BPM


Roger Oberg, vice président marketing, responsable de la stratégie produits de Tibco Spotfire, et Brad Hopper, senior directeur des applications industrielles, venus début juin présenter l'offre en France, énumèrent comme utilisateurs potentiels, outre l'industrie, le monde de la finance, les opérateurs de télécoms ou encore le secteur gaz/pétrole.

Lors de la mise en place d'Operation Analytics, ce sont les responsables métier qui déterminent à quelles applications l'outil d'analyse doit accéder -en milieu industriel, notamment, les systèmes de gestion des processus de fabrication (MES)- et quelles informations sont susceptibles d'être requises pour l'analyse. Une interface adaptée leur permet de récupérer les données (dans des bases JDBC/OCBC ou par l'intermédiaire de connecteurs spécifiques), à partir de la couche de méta-données Information Services.

« Les solutions de BPM et décisionnelle de Tibco présentent effectivement de bonnes complémentarités », remarque Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Décision, qui cite les fonctions de visualisation intéressantes de Spotfire. « Mais cela renforce aussi le caractère très spécialisé de la solution. Le challenge, pour Tibco, sera de faire connaître l'offre Spotfire au-delà du marché du BPM. » Il rappelle aussi l'existence d'applications apportant des réponses approchantes, du côté des spécialistes de la gestion de production, avec des produits venant de fournisseurs de MES (comme Invensys, OSISoft et Siemens), de SAP (avec xMII), ou encore d'acteurs spécialisés comme Pertinence.

Interrogé sur ce point, Brad Hopper, senior directeur des applications industrielles de Spotfire, souligne que les informations fournies par les éditeurs de MES se présentent généralement sous la forme de rapports statiques. « Elles ne fournissent pas le contexte et, surtout, ne permettent pas de faire apparaître les relations existant entre les différents types de données, en particulier celles qui sont gérées dans d'autres applications. » Pour lui, Tibco Spotfire Operation Analytics constitue plutôt un complément intéressant à ces systèmes. Une direction que vient conforter des pourparlers de partenariats OEM avec des fournisseurs de MES, confie-t-il. (...)

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