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(08/07/2008 16:48:16)

Infor a gagné 2 200 nouveaux clients sur son exercice 2008

Infor poursuit la validation de son modèle économique : croissance externe et R&D autour des offres acquises. Ce qui semble, pour l'instant, lui réussir. A l'issue de son exercice fiscal échu fin mai, l'éditeur américain de logiciels de gestion totalise 2 200 nouveaux clients sur une base installée globale de 70 000 entreprises. Son chiffre d'affaires s'élève à 2,3 Md$ (environ 100 M€ en France selon les estimations). Toutefois, cet éditeur non coté, détenu par l'investisseur Golden Gate Capital, ne publie pas le détail de son exercice fiscal et n'indique donc pas sa rentabilité. Infor s'est construit par croissance externe, faisant entrer dans son portefeuille d'applications plus de trente éditeurs depuis 2002. Dans le secteur des ERP (progiciels de gestion intégrés), il se place parmi les quatre premiers fournisseurs mondiaux (loin derrière SAP et Oracle mais sans doute devant Microsoft). 3 700 clients sous maintenance en France « En France, nous avons au moins 7 ou 8 cultures d'entreprise différentes qu'il a fallu harmoniser », rappelle Benoît de la Tour, directeur général de la filiale. Outre les ERP de SSA Global (BPCS, Baan), Mapics et Symix, conçus pour l'industrie, Infor a également repris des solutions pour la gestion financière (Extensity, Systems Union...), les ressources humaines (Anaël), le suivi des actifs (Datastream), la relation client (Epiphany) et la gestion logistique, tant pour l'exécution -entrepôt/transport- que pour la planification (avec l'offre Adage d'Agilisys/SCT). Infor France compte 3 700 clients sous contrat de maintenance. « Nous dépassons 94% de taux de rétention de notre base », indique Benoît de la Tour. Une équipe a été spécialement mise sur pied pour suivre le renouvellement de ces contrats qui pèsent 50% du chiffre d'affaires (le reste se répartit de façon égale entre ventes de licences et de services). Cette équipe va approcher les 1 100 autres entreprises françaises qui utilisent sans maintenance un logiciel Infor. Avec autant de produits différents au catalogue, le rôle du support technique est primordial. « Nous avons créé un premier niveau centralisé et gratuit, réduit le temps de traitement des incidents, mis en place des procédures d'escalade », énumère le directeur général qui précise que le support de la solution EAM (gestion d'actifs, offre Datastream) est pris en charge par la France. Une poussée sur Anaël et sur le SaaS [[page]] Sur l'année écoulée, la filiale française a gagné 147 nouveaux clients, sur tout le spectre de l'offre Infor. Actuellement, 41% de la base installée utilise les solutions de finance et de gestion des ressources humaines (dont 71% l'offre de GRH Anaël), 38% un ERP et les 21% restant l'une des solutions dites « étendues ». (EAM, Performance Management, CRM, Supply chain, PLM). Anaël a enregistré une très bonne croissance, « avec une poussée spectaculaire sur le SaaS », souligne Benoît de la Tour. L'hébergement d'applications est un axe que la filiale entend développer, sur la gestion des actifs et des frais professionnels. L'ensemble de l'offre évolue par ailleurs vers une architecture orientée services (SOA) présentée en octobre dernier aux utilisateurs français. Centre d'excellence européen et recrutement de partenaires Pour l'année à venir, Infor France vise une augmentation de 8% de son chiffre d'affaires global grâce, notamment, à ses solutions étendues. Dans cette optique, Il crée un centre d'excellence européen pour apporter des compétences pluridisciplinaires (consultants, chefs de projet...). « Nous avons beaucoup investi en R&D et voulons clairement gagner des parts de marché sur nos concurrents, annonce Benoît de la Tour. Et pour réduire les temps d'implémentation chez nos clients, nous allons livrer des offres 'Fast Start', préparamétrées pour un domaine d'activité, qui permettront d'installer un ERP en 70 jours. » Enfin, Infor entend développer la part de ses revenus générés par les partenaires. En Europe et en France, celle-ci représente pour l'instant 18% des ventes de licences. L'éditeur aimerait la voir atteindre 24 à 26%. Jean-Philippe Pommel, vice-président partenaires pour l'Europe, supervise les opérations : « Nous allons pousser la marque, établir une certification à l'échelle européenne et recruter dès septembre de nouveaux partenaires. Nous recherchons une cinquantaine de revendeurs à valeur ajoutée avec, en France, un focus très fort sur la gestion des actifs. » (...)

(07/07/2008 15:05:23)

Le club des utilisateurs de SAP analyse le rachat de BO

L'USF, le club des utilisateurs SAP francophones, a prévu de communiquer le document réalisé par sa commission BI (Business Intelligence) pour clarifier les choix techniques opérés par SAP sur son offre décisionnelle après le rachat de Business Objects. Cette synthèse, réservée pour l'instant aux membres du club (1 800 personnes, représentant 350 entreprises utilisatrices parmi les plus grosses), sera accessible à tous fin juillet. « Nous souhaitons en faire profiter le plus grand nombre et éduquer le marché », indique Jean Leroux, président de l'USF. Trente membres de la commission BI, qui rassemble quatre-vingt dix personnes au total, ont plus particulièrement travaillé autour des questions soulevées par le rachat de BO. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec les deux éditeurs. Le document de synthèse livre les réponses de SAP et dresse une première feuille de route par lignes de produits (outils de front-end, de gestion de la performance financière et plateformes technologiques Netweaver/BIP). Des questions subsistent sur les coûts de licence et la migration La plupart des entreprises représentées dans la commission BI (parmi lesquelles Arcelor Mittal, Sanofi-Aventis, EDF, GDF, PSA, Saint-Gobain...) utilisent les outils décisionnels de Business Objects. Les auteurs du document, Christophe Machinet et Yves Cocaign, respectivement président et vice-président de la commission, notent que l'attention portée à la pérennité des deux offres « tient au fait que sur 45 000 clients Business Objects, 20 000 utilisent aussi SAP, mais seulement 20 à 30% ont des applications intégrées sur les mêmes données ». En introduction de leur synthèse, les auteurs indiquent que « la concentration des offres BI, suite à la fusion, était une attente forte des utilisateurs, notamment en termes de reporting, les outils de Business Objects étant jugés plus en avance ». Toutefois, ils pointent les questions qui subsistent, notamment sur les « perturbations engendrées [par le rachat] sur les coûts de licence et sur la charge de travail nécessaire à la migration ». [[page]] Enfin, Christophe Machinet et Yves Cocaign estiment que si, « pour les nouveaux projets, il est préférable, a priori, de s'appuyer sur les nouvelles applications », pour les projets nécessitant une importante reprise de données, en revanche, le « dilemme ne peut être tranché qu'au cas par cas ». Convention USF à Tours les 15 et 16 octobre Pour compléter ce travail, l'USF s'apprête à lancer une enquête pour faire remonter les attentes des utilisateurs sur les outils décisionnels. Les résultats en seront communiqués lors de sa prochaine convention qui se tiendra à Tours, les 15 et 16 octobre 2008, autour du thème « Technologie de l'information ou de la connaissance ? ». Commentant le sujet de réflexion choisi pour cette convention, Jean Leroux, président du club, rappelle qu'il y a une intimité très particulière entre l'outil d'analyse et le métier. « Les entreprises peuvent procéder à des investissements importants pour obtenir des cadrans de pilotage et des indicateurs, mais ce n'est pas pour autant qu'elles sauront les interpréter. Malgré cela, elles peuvent prendre des décisions irrationnelles, et c'est ce dont nous allons discuter à Tours. » (...)

(24/06/2008 17:11:06)

SAP rachète un partenaire dans la gestion de production

En rachetant l'éditeur américain Visiprise et ses solutions d'exécution de la production (MES, Manufacturing Execution System), c'est un partenaire de longue date que SAP accueille sous sa bannière. Le fournisseur allemand d'applications de gestion intégrées (ERP) a collaboré avec Visiprise sur différents projets, mis en oeuvre conjointement chez des clients de l'industrie discrète. Les logiciels de Visiprise s'appuient sur la plateforme d'intégration NetWeaver de SAP et sont déjà pré-intégrés dans l'application composite xMII (Manufacturing Integration et Intelligence). Cette dernière relie l'ERP aux applications utilisées dans l'atelier afin que les équipes de production s'adaptent plus rapidement aux modifications intervenant sur les commandes, les matières premières, la qualité, etc. Le montant du rachat de Visiprise, qui doit être finalisé en juillet, n'a pas été communiqué. Cette société de 300 personnes, installée en Géorgie, dispose aussi de bureaux en Californie et en Ukraine. (...)

(24/06/2008 13:07:55)

Oracle acquiert un deuxième éditeur dans l'assurance

Le renforcement des solutions métiers constitue pour Oracle un axe stratégique sur le marché des applications. Après avoir créé, en avril, une entité consacrée au secteur financier, le fournisseur américain vient de racheter coup sur coup deux éditeurs spécialisés sur le marché de l'assurance, AdminServer, en mai, et Skywire Software, hier. Le montant de ces acquisitions n'a pas été communiqué. Bien que significatif, le rachat d'AdminServer est passé un peu inaperçu dans la sphère informatique, en raison de sa concomitance avec l'importante acquisition d'EDS par HP, dans le secteur du service. Matthew Josefowicz, du cabinet d'études Novarica, rappelle que les compagnies d'assurance procèdent actuellement au remplacement de leur système d'information. Oracle se positionne pour s'octroyer une part significative sur ce marché (qui pèse entre 2 et 4 Md$ selon le consultant), en entrant en concurrence directe avec les éditeurs spécialisés. Un catalogue métiers qui s'étend Les applications d'AdminServer et celles de Skywire (qui permettent notamment de relier agents et compagnies) viennent s'ajouter aux différentes solutions qu'Oracle possède déjà pour l'assurance : Siebel Claims, pour gérer les réclamations, le logiciel de facturation Oracle Billing, ainsi que l'application de gestion de la relation client Siebel for insurance CRM. En trois ans, Oracle a renforcé de façon très importante son catalogue d'applications métiers pour faciliter son entrée dans des entreprises souvent réputées pour développer leurs propres applicatifs en interne. Au palmarès de ses acquisitions figurent en particulier Retek (secteur de la grande distribution), Portal Software (industrie des télécommunications) et Lodestar (marché des fournisseurs d'énergie). Acquisitions auxquelles s'ajoute une prise de participation majoritaire dans i-flex (secteur de la banque). (...)

(19/06/2008 16:12:03)

Il manquerait 30 000 à 40 000 experts dans l'écosystème mondial de SAP

Il y aurait, au niveau mondial, un déficit de 30 000 à 40 000 experts dans l'écosystème SAP, selon les décomptes effectués par l'éditeur allemand lui-même. Identifié il y a plusieurs mois déjà, cette carence crée de fortes fluctuations entre l'offre et la demande de ressources et entraîne une augmentation sensible du coût des compétences les plus recherchées. Une pénurie qui, en outre, intervient à un mauvais moment pour l'éditeur, relève notre confrère CIO.com dans un article récent. Les directions stratégiques dans lesquelles SAP s'est engagé au cours des dernières années, tant au niveau des technologies que des applications, requièrent en effet des compétences encore plus pointues et plus recherchées. C'est le cas, notamment, de sa plateforme d'intégration NetWeaver, des outils de gestion des données de référence (MDM) ou des processus métiers (BPM), sans omettre les solutions décisionnelles et, bien sûr, la suite intégrée de gestion proprement dite, ERP 6.0. De surcroît, parallèlement à son activité historique centrée sur les grandes entreprises, SAP s'est investi largement sur le marché des PME, un secteur qui réclame une approche différente et des solutions distinctes. Au niveau mondial, les PME représentent un fort potentiel de croissance, mais elles exigent aussi d'aligner des ressources spécifiques pour l'exploiter. Paradoxalement, mais très logiquement, la pénurie de compétences est induite par le succès rencontré. Améliorer sa notoriété dans les universités Pour développer les compétences autour de ses outils et solutions, SAP doit en partie agir à la source. L'éditeur manque en effet d'une certaine visibilité auprès des étudiants pouvant être intéressés par les domaines qu'il couvre. Notamment par rapport à des acteurs comme IBM, Oracle ou encore Google. Selon Joe Westhuizen, vice-président de SAP responsable de la stratégie de formation, une enquête de notoriété menée auprès d'étudiants en Chine, en Allemagne et aux Etats-Unis a montré que l'éditeur européen devait renforcer ses efforts pour se faire connaître dans les universités, et ce, bien avant l'arrivée des candidats sur le marché du travail. Bien que mis en place il y a dix ans, le programme de partenariat University Alliance, qui implique actuellement 700 universités, n'a pas été suffisamment exploité. L'objectif est désormais de se faire connaître auprès des leaders de demain. Parallèlement, SAP étend sa collaboration stratégique avec ses vingt plus grands partenaires (qui réalisent près de 70% des mises en oeuvre) pour réduire les problèmes qu'ils rencontrent pour faire croître leur vivier de ressources. Enfin, l'éditeur développe ses programmes de certification, les complète avec des cours en ligne et de tarifications plus flexibles et ajoute des langues de formation comme le japonais, le coréen, le russe ou le mandarin. (...)

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