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Applications métier

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(02/08/2007 11:08:28)

SAP montre la prochaine version du PGI Business One

SAP doit présenter lundi la prochaine version de Business One, à l'occasion d'une conférence réunissant ses partenaires à Washington. Le progiciel de gestion intégré, qui vise les PME de moins de cent personnes, est actuellement utilisé par près de 15 000 entreprises dans le monde et exclusivement commercialisé sur un mode indirect, par l'intermédiaire de revendeurs. Cette mise à jour, appelée Business One 2007, apportera de nouvelles fonctionnalités sur la gestion financière et le commerce électronique mais l'essentiel des changements porteront sur l'amélioration et la simplification des fonctions existantes, selon Niels Stenfeldt, vice-président de SAP, responsable des activités Business One. L'application de gestion de la relation client (GRC) rachetée à Praxis Software l'an dernier sera désormais intégrée au produit et non plus vendue comme une solution séparée. Les prix ne changeront pas mais le fait d'avoir intégré la GRC dans Business One en facilitera la mise en place pour les revendeurs. La mise à jour inclut aussi de nouvelles options d'impression, permettant notamment l'exportation de mise en page au format PDF. Actuellement testée par les partenaires, Business One 2007 devrait être livrée en novembre ou décembre prochain. Rappelons que parallèlement à ses offres Business One et All-in-One pour les PME, SAP prépare en ce moment une troisième offre de gestion intégrée pour ce segment de marché. Pour l'instant connue sous le nom de A1S, l'application se présentera sous forme de processus de gestion à exploiter en ligne, sur la base d'un abonnement. (...)

(30/07/2007 19:02:16)

Microsoft dévoile sa stratégie en matière d'applications en ligne

Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft, vient de donner des détails sur la stratégie de l'éditeur dans le domaine des applications proposées en ligne. « Notre approche de la fourniture de services va se faire dans le cadre d'une plateforme qui donnera à chacun de nos produits les atouts de coût, de vitesse, d'échelle et de tarification que permet justement le modèle de la plateforme. » Cette infrastructure multi-usages, baptisée Microsoft Services Platform (MSP), supportera tant les applications de Microsoft que celles de ses partenaires. Ray Ozzie a indiqué que les douze à dix-huit prochains mois verront, sur ce terrain, la sortie de technologies et d'offres de services qui s'inscriront dans le cadre de cette plateforme en ligne que Microsoft bâtit, et cibleront tout autant le grand public que les entreprises et les développeurs. L'architecte en chef a précisé que la plateforme se composait de quatre niveaux. Elle démarre avec des services de base que Ray Ozzie compare à la couche physique du réseau. Ceux-ci incluent de volumineux centres de données et des batteries d'ordinateurs. MSP devrait également comporter des services d'infrastructure pour le stockage et des services de plateforme pour la gestion d'identité et de présence, ou encore pour la mise en ligne de publicité. La dernière couche apportera des applications pour les différentes catégories d'utilisateurs (individuels, professionnels, développeurs). [[page]]Selon Peter O'Kelly, du Burton Group, il ne s'agit pas d'une stratégie de défense de la part de Microsoft, mais bel et bien d'une offensive. L'analyste juge que la concurrence, en particulier Google, a alarmé Microsoft à un niveau qui n'avait plus été atteint depuis l'époque où Netscape l'avait défié. « Sans Google, Microsoft n'aurait probablement pas été aussi agressif dans ce domaine », estime Peter O'Kelly. Les investissements réalisés par Microsoft sont visibles dans le cadre de ses divisions produits et plus clairement encore dans la construction de ses centres de données, notamment à San Antonio et sur un autre site américain, non encore révélé. Les investissements sur la partie « services en ligne » apparaissent également de façon évidente dans le récent rapport fiscal livré à l'occasion des résultats annuels de l'éditeur. Ray Ozzie s'est offert le luxe de déclarer que Microsoft était le seul acteur de son secteur à avoir le souffle pour proposer une offre de service qui couvre le spectre allant des attentes du grand public à celles des entreprises. Il n'a pas détaillé les services à venir au cours des prochains mois. Sur ce point, le PDG Steve Ballmer avait été plus disert début juillet. Il avait précisé à des partenaires que Microsoft allait fournir le même genre de fonctionnalités qu'il livre aujourd'hui dans des logiciels packagés comme Windows Server, Active Directory et Operations Manager, et que la plateforme offrirait à la fois des services pour les particuliers (comme Windows Live et Office Live) et pour les entreprises (messagerie Exchange hébergée, fonctions de collaboration et solutions telles que Dynamics CRM - gestion de la relation client). (...)

(18/07/2007 17:16:42)

Sun veut se convertir aux applications en ligne pour 2015

C'est au tour de Sun de s'intéresser officiellement aux applications en ligne (Saas, software as a service). Le constructeur, qui propose depuis longtemps déjà une structure de grid à ses clients, annonce qu'il travaille actuellement aux développements d'applications en ligne pour ses propres besoins et pour ceux de ses clients. Cette tendance - incarnée aujourd'hui par des sociétés comme SalesForce mais qui sera rejoint demain par des acteurs majeurs comme Microsoft ou SAP- indique, selon Robert Worrall, CIO et vice président de Sun, la direction vers laquelle tendent les DSI : de plus en plus de services aux utilisateurs et de moins en moins d'administration de système. Robert Worral a aussi cité les applications en ligne que propose Google, autour de son webmail Gmail, ainsi qu'Oracle On Demand qui préfigure ce que devraient devenir les PGI et les logiciels de gestion de ressources humaines. Chez Sun, on dénombre 3000 serveurs et 1200 applications d'entreprise. La plupart d'entre elles pourraient être hébergées dans un centre serveur dont Sun se conterait de louer les ressources, sans avoir à se préoccuper de son entretien et de son évolution. Robert Worrall a émis le voeu qu'un jour il n'ait plus à s'occuper de serveurs en interne. A l'exception de ceux pour l'ingénierie. Pour lui, une bonne partie de la transformation aura eu lieu aux alentours de 2015. (...)

(12/07/2007 17:15:22)

WPC : Une release 2 pour Biztalk Server 2006 en septembre

Microsoft promet la release 2 de Biztalk Server 2006 pour septembre prochain. Cette R2 du moteur d'automatisation des processus métier de Microsoft sera enrichie d'API pour le support de RFID. Par ailleurs, outre le fait que l'application sera aussi proposée en une version pour succursale, Biztalk Server 2006 R2 supportera en natif différents standards d'échange de données comme AS2 (Applicability Statement 2), standard EDI à la mode Internet, HL7 (Health Level 7) dans le domaine de la santé, RosettaNet, Swift (échange interbancaire)... Biztalk Server est soutenu par une centaine de partenaires, dont HP. A noter que Microsoft profite des fonctionnalités supplémentaires de cette R2 pour relever ses prix. (...)

(11/07/2007 13:01:32)

Compario ouvre une filiale à Pékin

Compario, éditeur français d'un logiciel de vente en ligne, vient d'annoncer la création d'une filiale en Chine. Le support technique sera assuré par les équipes de recherche et de développement françaises. Le bureau chinois se chargera de diffuser la solution auprès des entreprises. Compario souhaite par ailleurs s'appuyer sur un réseau de distribution indirecte. Un premier partenariat a d'ores et déjà été signé entre l'éditeur et le distributeur américain Cnet. La solution de Compario est totalement multilingue et fonctionne avec les caractères chinois. « Il a toutefois fallu revoir notre stratégie marketing afin de la mettre en adéquation avec les habitudes culturelles et économiques de la Chine, rappelle Frédéric Denel, PDG de la société. Tout a été revu, y compris le logo. » Créé en 2004, Compario emploie actuellement six personnes en France, pour un chiffres d'affaire de 1 M€. L'éditeur lillois prévoie de poursuivre son développement à l'international, avec l'ouverture de bureaux en Belgique, en Suisse, en Espagne, en Grande-Bretagne et en Allemagne. Objectif : atteindre un chiffre d'affaires de 2 M€ en 2008, puis 5 M€ en 2009. (...)

(22/06/2007 16:45:10)

Gestion du service au client : Forrester distingue Oracle Siebel

Les solutions « Oracle Siebel CRM » et « Oracle Siebel CRM On Demand » apparaissent parmi les progiciels de GRC (gestion de la relation client, en anglais CRM) les mieux classés par Forrester, sur les fonctions de « gestion du service au client » dans la catégorie des offres orientées Business-to-Business (B-to-B), c'est-à-dire gérant des relations entre entreprises. Dans une étude publiée en mai 2007, le cabinet de conseil analyse sous cet angle vingt-cinq progiciels de GRC et de centres de contacts, en s'appuyant sur 180 critères. Ces derniers sont répartis en trois domaines : les points forts de l'offre commercialisée (base de connaissances, dialogue en direct, forums, workflows, fonctions en self-service, mais aussi architecture du produit, accessibilité et coût), la stratégie et la présence sur le marché. Bien adaptée aux organisations complexes, mais chère Parmi les produits B-to-B, l'étude de Forrester distingue les offres de Microsoft, Oracle Siebel, SAP, Salesforce.com et Entellium. Elle attribue à Salesforce, mais surtout à Microsoft, une bonne vision stratégique sur les fonctions de service au client. Elle signale aussi que ces fonctions ont été étendues par SAP dont le produit constitue une offre robuste pour les entreprises qui souhaitent relier le service au client à d'autres processus métiers. Mais, c'est bien Oracle Siebel CRM qui se positionne en tête sur l'axe de la robustesse des offres déjà commercialisées. Forrester souligne l'étendue et la profondeur fonctionnelles de cette offre pour le service au client, particulièrement pertinente sur les fonctions B-to-B. Le poste du téléagent dispose des informations nécessaires pour traiter tous les aspects de la relation avec le client. Le progiciel peut s'adapter aux organisations complexes, supporte quinze langues et s'intègre avec la plupart des systèmes téléphoniques. Il dispose aussi de bonnes déclinaisons verticales. Corollaire à cette richesse fonctionnelle, le cabinet regrette en revanche la complexité de l'application, la longueur de sa mise en place et son coût élevé. Une offre hébergée plus abordable Forrester remarque par ailleurs que l'essentiel des fonctions de Siebel CRM se retrouvent dans la version hébergée Oracle Siebel CRM On Demand qui, de son côté, fournit tous les atouts des solutions SaaS (software as a service) : rapidité de mise en ?uvre, coûts réduits et bonne accessibilité. Sur cette offre aussi, des déclinaisons verticales sont disponibles : pour l'automobile, la high-tech, l'assurance, la chimie/pharmacie et la santé. (...)

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