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Applications métier

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(22/06/2007 16:28:46)
La messagerie instantanée va supplanter l'email d'ici à 2013
La messagerie instantanée a de beaux jours devant elle, prédit le Gartner, qui voit en elle l'outil de convergence de toutes les communications en temps réel des entreprises. Un maillon indissociable des systèmes d'informations qui, à l'image de l'email dans les années 90, deviendra générateur de valeur pour chaque secteur. David Mario Smith, auteur de l'analyse, estime ainsi que la messagerie instantanée sera l'outil de facto de 95% des employés pour les communications vocales, vidéo et à base de texte (chat) d'ici à la fin 2011. Et deviendra d'ici à 2013 l'interface de communication universelle des entreprises. Le client IM supplantera inévitablement le téléphone et l'email, en termes d'usage, par des conférence en ligne ou de la visio-conférence. Cela reste toutefois sujet à quelques conditions rappelle le Gartner. Comme par exemple, le renforcement de la sécurité - un élément clé pour sa propagation dans les entreprises qui devrait atteindre 100% d'ici à la fin de décennie. Le taux est actuellement de 25%, précise le cabinet d'analystes. Smith recommande alors l'utilisation d'outils d'éditeurs comme IBM ou Microsoft pour s'assurer d'un trafic des données sécurisé à l'intérieur du pare-feu, ainsi que d'outils de sécurité de Facetime ou Symantec pour garantir des connexions propres avec les services intéropérés, comme Yahoo avec MSN. « Si la messagerie instantanée ne remplacera pas l'email », explique David Mario Smith, elle devra toutefois se hisser à son niveau, notamment en termes d'archivage. Et ce d'abord pour séduire les entreprises, puis pour se plier aux politiques de conformité. « Un élément crucial pour le succès de la messagerie en entreprise sera comment capturer les sessions IM et comment développer des politiques concrètes. » A l'image de l'email. Résultante inévitable de l'engouement de l'IM, la consolidation du marché (qui, de 267 M$ en 2005 passera à 688 M$ en 2010) qui verra l'absorption d'éditeurs spécialisés par les ténors du secteur - IBM et Microsoft-. Jouant sur le rapprochement de l'email et de l'IM dans l'esprit des entreprises, ces grands acteurs souhaiteront doper leurs formules de communications. (...)
(22/06/2007 12:52:12)Le Français Pertinence racheté par Intercim pour devenir sa tête de pont européenne
Encore un protégé du programme Idees racheté. Intercim, éditeur américain de solutions de gestion des processus de fabrication, a mis la main sur Pertinence, éditeur français d'outils analytiques pour les industriels. Pertinence, qui a bâti son offre sur .Net, fait partie de la cinquantaine d'éditeurs inscrits à Idees, le programme lancé par Microsoft France pour aider l'industrie logicielle en France. Comme l'écrit avec une certaine fierté dans son blog Julien Codorniou, qui travaille au sein de Microsoft France sur le programme Idees, il s'agit d'un « succès mérité » pour le management de Pertinence, qui prend d'ailleurs la direction des affaires européennes d'Intercim. Toutefois, Julien Codorniou souligne aussi qu'il s'agit du 3e achat en 3 mois après AS Infor et Polyspace. « J'espère quand même que ça ne va pas arriver trop souvent car la mission d'Idees est de faire éclore de gros ISV [éditeurs de logiciels, NDLR] indépendants, en France. » Polyspace, éditeur d'outils de test pour logiciels embarqués, a en effet été racheté fin avril par The Mathworks. On notera toutefois que de son côté, AS Infor, éditeur de la solution winShop.net, une suite logicielle conçue pour la gestion et l'animation d'une chaîne de magasins, a été repris début avril par un autre éditeur français, l'éditeur lyonnais de progiciels pour PME Cegid. (...)
(21/06/2007 16:40:42)Keyrus externalise les projets d'intégration de données
Keyrus, spécialisé dans le conseil et l'installation de systèmes d'analyse décisionnelle (Business Intelligence, BI), a mis en place une offre d'externalisation pour les projets d'intégration de données. C'est à partir de son centre de services « ETL Platform on demand », situé en Espagne, que Keyrus propose à ses clients européens de développer tout type de flux de données (intégration entre applications ou projets décisionnels), à partir des principaux outils d'ETL (extraction, transformation et chargement) du marché. L'objectif est de permettre une réduction des temps et des coûts de développement par un mode opérationnel simplifié (le client intervient seulement sur les phases de validation des processus métiers) et par le regroupement d'experts ETL et EAI (intégration inter-applicative) autour de la même plateforme. Comparé à la mise à disposition de compétences chez le client dans le cadre de projets « fermés », Keyrus considère que l'externalisation permet de mieux répondre en cas de pics d'activité et d'éviter d'avoir à facturer les services d'équipes figées, sans tenir compte du taux d'occupation des ressources. La société de conseil dit avoir déjà identifié, auprès de ses clients, près d'une dizaine de projets d'externalisation, à court terme. Le tout pour un budget prévisionnel dépassant le million d'euros. L'ouverture de ce centre de services par Keyrus fait suite à la conduite d'un projet de refonte des outils d'intégration de Sanitas (du groupe britannique BUPA), acteur de l'assistance sanitaire et médicale en Espagne. Depuis 2005, ce dernier a progressivement externalisé auprès de Keyrus différentes parties de ses processus ETL, notamment l'analyse technique, la programmation et les tests unitaires. L'entreprise a pu ainsi confier d'autres tâches à ses ressources internes. (...)
(19/06/2007 08:17:22)Sage MGE annonce l'arrêt prochain du support de sa Ligne 500
Dix-huit mois pour évoluer ou se débrouiller. Sage l'a annoncé officiellement aux 2 200 clients utilisateurs de sa ligne 500 modulaire (issue du rachat de Sybel) : à partir du 1er janvier 2009, il n'en assurera plus la maintenance. Par conséquent, les utilisateurs sont priés de migrer dès que possible vers sa suite comptable et financière Sage 1000, qui devient par la même occasion sa plate-forme de référence en la matière. La division moyennes et grandes entreprises de l'éditeurs de logiciels de gestion Sage réorganise son offre autour de deux plates-formes stars : Sage 1000 et Sage X3. Ses autres plates-formes seront progressivement arrêtées, à commencer par la Ligne 500 Modulaire. Pour rassurer les clients concernés, Sage annonce la disponibilité d'outils spécifiques de migration des données et d'éditions ainsi que la mise en ligne d'un applicatif capable d'évaluer au cas par cas le nombre de jours de migration qu'il sera nécessaire d'y consacrer. L'éditeur annonce également la disponibilité ces jours-ci de « Sage 1000 Comptabilité Groupe » un nouveau module qui réunit dans un seul outil la comptabilité et la consolidation financière. Par ailleurs, l'ensemble des modules déjà disponibles de Sage 1000 (notamment la comptabilité, la gestion des immobilisations, la trésorerie, les rapprochements bancaires), Sage 1000 Comptabilité Groupe et un nouveau module dédié à la gestion des achats, des engagements et des budgets seront regroupés d'ici à la fin de l'année dans une offre intégrée baptisée « Suite administrative et financière ». Comme Sage 1000 devient sa plate-forme de référence pour la comptabilité et la gestion financière, X3 devient sa plate-forme de référence en matière de PGI (progiciel de gestion intégré). Ce qui supposera là encore pour ses clients équipés d'une de ses autres plates-formes historiques (notamment la Ligne 500 Intégrale qui compte encore un millier de clients) de migrer à plus ou moins long terme. A ce titre, et conscient que X3 ne pourra pas répondre à tous les besoins de son actuel parc clients, l'éditeur finalise actuellement le développement d'une version « allégée » de X3. Baptisée X2, cette version destinée aux entreprises de 100 à 500 salariés, bénéficiera d'une interface utilisateurs simplifiée et de processus métiers pré-câblés facilitant sa mise en oeuvre et sa prise en main par les utilisateurs. Sage estime ainsi pouvoir proposer des projets pour une quinzaine d'utilisateurs à partir de 60 000 €, coûts de déploiement compris. (...)
(15/06/2007 17:44:41)Sept universités et le Cnam basculeront sur SAP au 1er janvier 2008
Au 1er janvier prochain, dans le cadre du projet Sifac (système d'information financier), sept universités et le Cnam vont basculer leur gestion comptable sur un nouveau progiciel de gestion intégré (PGI), signé SAP : le CNAM, Lille 3, Nancy 1 et Nancy 2, Nantes, Paris 6, Paris 7 et Rennes 1. A l'issue d'un appel d'offres, l'Amue (l'agence de mutualisation des universités et des établissements d'enseignement supérieur et de recherche), qui pilote ce projet, a en effet retenu la solution de gestion comptable et financière de SAP pour équiper les universités françaises qui veulent renouveler leur système d'information. Les prestations de services associées sont assurées par l'intégrateur Steria, avec Accenture. Evoquant en toile de fond la perspective de l'autonomie renforcée des universités (un projet de loi se prépare), Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la conférence des présidents d'université a souligné, lors d'une conférence de presse à la Sorbonne, « la nécessité impérieuse de disposer dans les meilleurs délais d'un système d'information pour maîtriser les leviers comptables permettant de mener de nouvelles actions et, surtout, de disposer d'outils de pilotage. » D'autres universités vont emboîter le pas aux huit établissements qui ont choisi de se lancer les premiers dans la migration. « Des déploiements industriels se feront à partir de 2009 », a précisé Michel Lussault, président de l'Amue. Trois vagues sont prévues. Un coût consolidé de 19 millions d'euros D'ici à 2012, quatre-vingts établissements vont rejoindre le projet Sifac. « Le coût consolidé sera de 19 millions d'euros », a indiqué Jacques Bernard, directeur de l'Amue en précisant que 11 millions d'euros seront financés par le fond de réserve constitué par l'agence de mutualisation et que les huit autres millions seront à la charge des établissements, se répartissant entre l'achat de la licence et la redevance annuelle. Le directeur de l'Amue estime que, par la suite, d'autres universités devraient également faire le même choix. De son côté, Michel Lussault commente la nécessité d'un nouveau système de gestion en rappelant que les partenariats entre les établissements et toutes sortes d'opérateurs imposent de se connecter aux autres systèmes d'information, ainsi qu'à ceux de l'Etat. Les capacités d'interfaçage de SAP ont pesé dans la décision. « Les établissements connaissent très mal leurs coûts », a par ailleurs rappelé Pierre Dumaz, président de l'association des agents comptables d'université, illustrant l'importance de disposer d'outils de comptabilité analytique. La loi organique oblige notamment à quantifier par rapport à des objectifs. Limiter les coûts de déploiements Enfin, la démarche proposée par Steria a également compté dans le choix effectué par l'Amue. Pour réduire les coûts de déploiement, l'intégrateur a proposé de capitaliser sur des développements déjà réalisés, notamment pour les modules de gestion des marchés publics et de mission des agents. Il a également été décidé un paramétrage commun à l'ensemble des universités avant le déploiement. Ce paramétrage a été réalisé au cours d'ateliers (160 personnes de 17 universités y ont participé deux jours par semaine pendant six mois) et il n'empêchera pas chaque établissement de respecter ses spécificités d'organisation. (...)
(15/06/2007 16:04:54)Une entreprise sur deux externalise ses applications et processus RH
La tendance à l'externalisation des fonctions d'entreprise, et plus particulièrement celles qui sont fortement répétitives et gourmandes en ressources, s'accélère. D'après une enquête menée par le société d'études Markess International auprès de 400 entreprises privées et publiques, la moitié d'entre elles déclare avoir déjà eu recours en 2006, ou envisage de recourir d'ici 2008, à une forme ou une autre d'externalisation de leurs applications et processus de ressources humaines (RH). Et ce de manière partielle ou totale, en recourant à des solutions RH en mode ASP, en externalisant une fonction RH complète dans le cadre de contrat de type BPO - Business Process Outsourcing - ou en s'orientant vers des services de traitement (infogérance d'application ou l'hébergement d'application RH). La réduction et la maîtrise des coûts restent les principales motivations poussant les entreprises à faire ce choix Parmi les deux autres apports majeurs cités figurent le recentrage sur le coeur de métier ou sur des tâches à valeur ajoutée (pour 42% des entreprises) et l'optimisation du « budget temps » (pour 16% des entreprises). Forte dynamique sur la paie, la formation et l'administration du personnel Tâche complexe, répétitive et à faible valeur ajoutée, le traitement de la paie est le premier domaine que les entreprises externalisent. Ainsi, 62% d'entre elles l'ont confié à un prestataire externe en 2006. Cette tendance va se poursuivre, pour concerner 68% des entreprises en 2008. Le deuxième domaine est celui de la formation et du développement des compétences (36% en 2008, contre 24% en 2006). Les évolutions légales et réglementaires, comme le DIF (droit individuel à la formation), constituant l'un des facteurs explicatifs de cette montée en charge. Enfin, l'administration du personnel, externalisée par 22% des entreprises interrogées en 2006, s'octroie la troisième position. Top 6 des applications et processus RH concernés par l'externalisation entre 2006 et 2008
Domaine applicatif | Taux en 2006 | Taux en 2008 |
---|---|---|
Paie | 62% | 68% |
Formation et développement | 24% | 36% |
Administration du personnel | 22% | 32% |
Gestion du temps et des activités | 24% | 28% |
Recrutement | 21% | 26% |
Tableau de bord social et indicateurs | 15% | 19% |
Le projet d'OS Web eyeOS est finalisé
La version 1.0 (nom de code Dahlia) de l'OS hébergé eyeOS est enfin disponible en téléchargement gratuit. L'OS hébergé, ou desktop Web, est une forme d'OS installé sur un serveur Web, et ainsi accessible depuis un simple navigateur Web. Le concept prend de l'ampleur au sein des entreprises, au fur et à mesure que le modèle d'applications hébergées (SaaS) se démocratise (avec en chef de file Salesforce). Sa force est qu'il restitue un environnement de travail adapté au métier de chaque utilisateur. Il restreint également le nombre de stations de travail classiques au profit de postes déportés - un écran, un clavier, une souris. Le projet franco-espagnol s'inscrit dans cette tendance et fournit un panel d'outils bureautiques : eyeDocs pour le traitement de texte, eyeCalendar et eyeContacts pour la gestion des contacts et du calendrier et eyeRSS, un lecteur RSS. Dans son blog, l'équipe de eyeOS explique avoir facilité la création d'applications, qui s'apparente, selon elle, au développement de widgets. Par exemple, un simple traitement de texte peut être réalisé en 30 lignes de codes. (...)
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