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Applications métier

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(18/11/2011 11:19:41)
GRDF simplifie ses processus d'achat métier avec Ivalua
GRDF est le principal distributeur de gaz naturel en France. Il dispose de 650 fournisseurs de travaux (notamment de travaux publics), services et matériel. Pour simplifier et fluidifier l'ensemble des processus achat métier, l'énergéticien a décidé de refondre son système d'information achats. Après appel d'offres, GrDF a choisi l'offre i-Buy d'Ivalua. Désormais, l'ensemble des démarches d'achats métier passent par un portail web unique, tant du côté interne à GrDF que du côté des fournisseurs.
L'un des avantages particulièrement apprécié de la solution est son ergonomie intuitive facilitant la prise en main par les acheteurs, y compris sur terminaux mobiles.
Le coût du projet n'a pas été communiqué.
L'éditeur de logiciels de mobilité Swing Mobility vise l'international
En 2003, Patrick Metzger créait Swing Mobility, un éditeur spécialisé en solutions logicielles pour les populations en situation de mobilité. Aujourd'hui, il a largement dépassé le stade de la start-up et veut prendre place parmi les éditeurs en pointe sur ce secteur. Swing Mobility affichait un chiffre d'affaires de 6,5 millions d'euros (ME) en 2010, elle devrait passer à 12 ME en 2012.
Plus de 10% du CA est réalisé en indirect, c'est l'une des conditions du développement commercial qui cible avant tout les PME. Des filiales sont créées à l'international pour prendre place rapidement sur le créneau de la mobilité. En Allemagne l'an passé, en Suisse cette fin d'année. La société est également présente au Maroc avec l'aide d'un distributeur, Substancium.
La société couvre la mobilité des commerciaux et des techniciens itinérants (fiches produits, passage de commande, gestion de notes de frais), mais aussi les responsables des services à la personne en déplacement. Par exemple, des infirmières avec pocket vital, un terminal et logiciel de gestion du dossier patient et de traitement des actes médicaux. Swing a également mis au point le logiciel SAP (service à la personne) pour la gestion de ces services, de la prise de contact à la facturation.
Rachat d'un spécialiste du MtoM
Swing Mobility est organisée en trois divisions : business software qui édite des logiciels de mobilité en entreprise, embedded solutions chargée de créer et vendre des objets communicants et les logiciels associés (après le rachat de Nogema Ingenierie, spécialisée en MtoM), enfin, mobile marketing, pour accompagner des solutions mobiles d'un point de vue marketing. Sur ce point, l'éditeur a racheté une agence de web marketing : adPhone.
La croissance externe et le rachat de compétences appartiennent à une étape récente, l'éditeur a depuis le départ mis au point ses propres outils, comme swing studio (outil de conception d'applications mobiles multiplateformes sous .Net), ou swing agility outil de back office pour ses clients finaux qui leur permet de gérer les logiciels de gestion de mobilité de leurs personnels. L'éditeur est ainsi très autonome au plan technique, ce qui lui permet aujourd'hui d'amorcer sa phase de développement commercial. Son fondateur Patrick Metzger a d'ailleurs débuté comme magasinier avant de se former à l'informatique et de concevoir une entreprise autour des solutions de mobilité.
Salesforce lance Do, son application de gestion de projets
Selon Sean Whiteley, vice-président senior de Salesforce.com, « Do est très proche d'un produit grand public, probablement le plus grand public que nous n'ayons jamais élaboré. » Do repose sur les logiciels de Manymoon, une entreprise achetée par Salesforce plus tôt cette année. « Nous avons pris le produit de Manymoon, nous l'avons boosté un peu et mis en route. » L'application, qui repose sur la plateforme cloud Heroku de Salesforce, a été réécrite en HTML5 pour rendre son déploiement plus facile sur plusieurs types de terminaux. « Mais Salesforce.com a tout de même créé un client natif iOS, » a précisé Sean Whiteley.
Cependant, Salesforce ne continuera pas à investir dans Manymoon, une des applications les plus populaires du Marketplace de Google Apps. Les clients de Manymoon auront la possibilité de migrer vers Do, qui sera vendu selon les principes du « freemium », c'est à dire des versions de base disponibles gratuitement, mais avec des frais pour bénéficier de fonctions premium, » a expliqué Sean Whiteley. « Cela pourra concerner par exemple de meilleures fonctionnalités pour l'administration centrale, » a-t-il dit. Les concepts de base de Manymoon semblent avoir été repris tels quels au sein de Do, qui est organisé autour de listes de tâches, et donne aux utilisateurs les moyens de collaborer sur des tâches avec les autres. Il dispose de l'intégration avec Gmail et les Google Apps et du partage de fichiers avec Dropbox. Les utilisateurs de Salesforce peuvent également démarrer des projets depuis cette application.
Une interface modifiable
Les utilisateurs peuvent modifier l'interface de Do pour l'adapter à leurs habitudes de travail. Par exemple, les projets peuvent être regroupés par jour, ou dans des catégories plus larges avec une hiérarchisation par priorité. L'application peut être utilisée pour des projets personnels ou des projets professionnels. Par exemple, les personnes qui veulent suivre un projet domestique, comme des travaux, peuvent attribuer une tâche à l'achat de matériaux et une autre au calendrier à suivre avec les entrepreneurs. Do sera disponible sur des sites comme Google Apps Marketplace, l'App Store d'Apple, AppExchange de Salesforce.com, Chrome Web Store et LinkedIn Applications.
« Si Do partage certaines fonctions générales avec Chatter, le logiciel de collaboration social de Salesforce.com, il existe toutefois certaines différences importantes, » a fait remarquer Sean Whiteley. « Le premier fonctionne mieux avec des groupes d'une douzaine de personnes au maximum, tandis que Chatter est adapté pour interagir avec des milliers de contacts, » a-t-il expliqué. Cela dit, Salesforce.com est en train de mettre une touche finale pour créer une forte intégration entre les deux produits, comme l'a indiqué M.Whiteley.
Avec Do, Salesforce espère récupérer les utilisateurs de solutions de gestion de projets comme Basecamp par exemple, qui compte 5 millions de clients. La différence entre les deux, c'est que Do.com est « moderne et up-to-date, » a fait valoir Sean Whiteley. « L'application est aussi plus facile à utiliser par n'importe qui, pas seulement par les gestionnaires de projets, » a-t-il renchéri.
(...)(08/11/2011 15:31:33)Gestion des talents : Taleo réunit ses utilisateurs européens à Paris
Les spécialistes de la gestion des talents renforcent leur présence sur le marché des applications d'entreprise. Depuis quelques années, on voit monter en puissance des éditeurs proposant des solutions en mode SaaS (software as a service). Parmi eux, des Américains, comme Taleo, qui tient en ce moment à Paris sa conférence utilisateurs européenne, mais aussi SuccessFactors et Silkroad Technology, ou encore le Français TalentSoft qui a choisi de s'installer dans le cloud Azure de Microsoft. Chacun d'entre eux déroule une liste de grandes entreprises ayant choisi de s'appuyer sur ces solutions conçues pour gérer le recrutement, l'accueil des salariés dans l'entreprise, la gestion des performances des collaborateurs et le suivi de leur rémunération, la formation ou, encore, les plans de succession. Ceux qui communiquent le montant de leurs ventes, comme SuccessFactors et Taleo, enregistrent des progressions à deux chiffres, et présentent des capitalisations boursières bien supérieures à leur chiffre d'affaires annuel prévisionnel(*).
Au troisième trimestre, les abonnements aux logiciels de Taleo ont progressé de 38% à 67 millions de dollars, tandis que les ventes de services ont augmenté de 59%, à 16 M$. Sur l'année 2011, les prévisions de ventes globales de l'éditeur se situent entre 324 et 325 millions de dollars. La société est actuellement valorisée à 1,37 milliard de dollars. Si Taleo a été fondée en 1999, dans la baie de San Francisco, avec le lancement du logiciel Recruiter WebTop, son origine se situe au Canada, en 1996, alors qu'elle proposait un site de recrutement. Elle compte aujourd'hui 5 000 clients dans le monde, dont Alcatel-Lucent, Areva, Acxiom, HP, IBM, Merck ou encore Point P, et 140 partenaires.
Réseaux sociaux et mobilité au coeur des RH
Sur deux jours de conférence, Taleo attend 250 clients (au total 320 personnes en comptant les partenaires) en provenance de différents pays d'Europe. Le PDG de la société, Michael Grégoire, un ancien de PeopleSoft, est venu dérouler les orientations stratégiques de la société. En substance, les entreprises qui se soucient des talents de leurs collaborateurs sont celles qui se développent et peuvent traverser la crise mieux que les autres. Il rappelle que la gestion des ressources humaines évolue d'un rôle administratif vers une fonction plus en prise avec l'activité de l'entreprise et dévolu en partie aux managers : « Les responsables RH s'impliquent dans la stratégie tandis que les managers terrain sont impliqués dans des fonctions RH ». Sans surprise, le dirigeant a également mis l'accent sur l'importance des outils de réseaux sociaux dans les solutions métiers. « Les médias sociaux ont un profond impact sur les RH », a rappelé Michael Grégoire.
En septembre, l'éditeur a par exemple ajouté dans Taleo Recruiting la possibilité de prévisualiser l'ensemble des profils LinkedIn existants depuis l'application. Parmi les nouveautés de la suite Taleo figure par ailleurs le Consersation Hub qui, avec l'intégration des e-mails, permet de stocker les échanges relatifs aux objectifs fixés. Le PDG a évoqué par ailleurs la nécessité de proposer à ses utilisateurs des applications natives sur leurs différents terminaux mobiles. En 2012, l'éditeur prévoit de proposer l'app Taleo 2Go sur mobile, actuellement à l'état de prototype. Téléchargé par le nouvel embauché, elle facilitera son entrée dans l'entreprise.
Parmi les défis qui se posent en matière de ressources humaines figure la nécessité de remplacer les collaborateurs très vite, quasiment immédiatement. Si le chômage s'aggrave, certains profils restent malgré tout difficiles à trouver. Parallèlement, il faut aussi disposer des outils pertinents pour favoriser l'évolution des collaborateurs. Le Conversation Hub en fait partie. Enfin, ce matin, Michael Gregoire a insisté sur l'importance de proposer des logiciels faciles d'accès qui, sinon, ne seront pas utilisés par les managers.
(*) Valorisé 2,2 milliards de dollars, SuccessFactors prévoit sur l'année 2011 un chiffre d'affaires situé entre 331 et 333 millions de dollars.
Illustration : Michael Gregoire, PDG de Taleo Corporation, ce matin à Paris (crédit : MG)
Axens s'appuie sur l'expertise de KPF sur SAP
Avec son millier de collaborateurs dans huit pays (France, USA, Canada, Russie, Inde, Japon, Chine et Bahreïn), Axens est un groupe d'ingénierie pour le secteur de l'énergie (raffinage, pétrochimie, gaz, énergies nouvelles). Il a choisi de refondre son système d'information autour de SAP en 2008. Or, après deux ans d'intégration, l'exploitation posait des problèmes liés à un transfert de compétences insuffisant aux équipes internes.
Pierre-Marie Galaup, DSIT d'Axens, témoigne : « Mi-2010, nous avons constaté qu'il nous fallait absolument renforcer nos compétences pour l'administration du système. Notre équipe interne, n'avait pas été assez formée à la complexité d'administration d'une telle solution. Cela a engendré des difficultés et parfois certains problèmes de communication entre l'équipe d'administration et celle du centre de compétences applicatifs. » De fait, sur la deuxième moitié de l'année 2010, de nombreuses « opérations pompiers » ont dû être mises en place pour résoudre dans l'urgence des difficultés.
La mise en place salvatrice d'une TME
Pour résoudre ce problème et garantir un bon niveau de qualité de service, Axens a choisi de mettre en place une tierce maintenance exploitation (TME). Cette méthode a l'avantage d'introduire un tiers neutre entre l'intégrateur et les acteurs internes, comme le centre de compétences applicatifs. Le groupe a choisi un intervenant qui avait déjà mené des missions sur le projet SAP, à savoir KPF. Axens a surtout apprécié un catalogue de services très modulaire et clair, avec des coûts forfaitaires connus à l'avance, tout en pouvant bénéficier d'une garantie de qualité de service. KPF est notamment en charge de la supervision et du monitoring des plateformes, de la maintenance corrective et préventive, ainsi que des opérations techniques lourdes. Les équipes internes d'administration de SAP bénéficient par ailleurs d'un transfert progressif de compétences.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Avec OnDemand, EMC pousse ses logiciels dans le cloud
Afin de permettre à ses clients de bénéficier en permanence des dernières versions de ses applications, EMC propose désormais un service de cloud hybride sous le nom de EMC OnDemand. EMC souhaite de cette manière aider ses clients à accélérer leur transition vers le cloud. Grâce à ce service, EMC entend également simplifier la gestion d'applications très complexes et offrir un coût de maintenance limité. Développé en utilisant une gamme de technologies best-in-class de VMware, RSA et EMC, l'infrastructure peut contenir un ou plusieurs produits de EMC et de ses partenaires. Elle est également entièrement transférable d'un centre de données à un autre. Les clients peuvent ainsi bénéficier de ce service en quelques heures seulement contre plusieurs mois auparavant.
La version initiale d'EMC OnDemand comprend :
- EMC Captiva: une solution intelligente visant à faciliter la capture, l'indexation et l'archivage des documents de l'entreprise.
- EMC Document Sciences: une solution de communication destinée à automatiser la création, la production et la délivrance sur des canaux multiples (impression papier, e-mail, SMS et web) d'informations personnalisées.
ICTJournal.ch (...)(03/11/2011 10:40:49)Les DSI des établissements financiers prêts pour le cloud selon Gartner
Pour la seule région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), 44% des DSI des établissements financiers estiment que, en 2015, plus de la moitié des transactions de leurs établissements seront pris en charge via une infrastructure cloud et 33 % d'entre eux s'attendent à ce que la majorité des transactions soient traitées via une solution SaaS.
Selon Peter Redshaw, vice-président de Gartner, une adoption précoce du cloud, particulièrement dans le secteur des services financiers, a probablement été limitée à des domaines non stratégiques, mais désormais elle se déplace vers le coeur de l'organisation: «Les clouds bancaires doivent être innovants et dédiés à cette industrie.» Il ajoute : « Ils ont la capacité de mener une 'destruction créatrice' (au sens de Schumpeter). En plus d'aider à améliorer ou à optimiser un service ou un processus existant, les clouds bancaires peuvent permettre - ou offrir la liberté - d'essayer complètement les nouveaux services et processus, tels que les enchères inversées. Le succès des services de cloud peuvent supplanter les processus de design, de distribution ou de transactions actuels d'une façon destructive, plutôt que de simplement les améliorer progressivement.»
Une rapidité de déploiement soulignée
Parmi les avantages les plus attrayants des cloud bancaires, Gartner met en avant la capacité de déployer (d'une manière économiquement viable) le modèle «champion-challenger» qui vise à ajouter une dynamique concurrentielle à la façon dont les processus sont améliorés et choisis. Dans la mesure où les banques remplacent progressivement les employés dans la chaîne de valeur des opérations algorithmiques pour exécuter des processus et prendre des décisions, la propriété intellectuelle des banques réside de plus en plus dans ces algorithmes. La valeur des salariés n'est pas dans la gestion des opérations, mais dans l'amélioration des opérations algorithmiques. Bien que la technologie soit encore immature sur de nombreux points, le cloud arrive en tête des priorités pour les banques qui ont besoin de poursuivre une vision à long terme basée sur l'efficacité et de soutenir la stratégie de croissance du PDG.
Pour cette enquête, 290 CIO issus d'entreprises de services financiers ont été interrogés, 109 travaillent dans le secteur des assurances et 181 sont issus d'entreprises du secteur bancaire et des services d'investissement.
CIO.PDF 44 : le marketing digital dans le brouillard 2.0
L'innovation est l'un des rôles essentiels des managers IT. Il ne s'agit pas seulement d'innover pour l'informatique, mais aussi de rendre possible? voire d'initier des innovations dans les métiers. Le marketing digital à l'ère de Facebook en est le meilleur exemple. Les outils IT y jouent un rôle central pour un fort bénéfice business à condition que le partenariat entre IT et métier soit réel.
Les retours d'expérience se multiplient sur l'association entre les réseaux sociaux, la relation client et le marketing. Sur ces sujets, l'informatique et les métiers explorent conjointement les nouvelles possibilités du numérique.
Ces questions sont au coeur du dossier de ce CIO.PDF, avec les témoignages de Guillaume Darroussez (Cyrillus), Pierre Matuchet (VSC Technologies), Erik Songeur (Société Générale), Julien Grandet (Société Générale), Valérie Darmaillacq (Voyages-SNCF.com), Patrick Oualid (Pixmania), Georges-Edouard Dias (L'Oréal), Amélie Bourgeois (Disneyland Paris), Olivier Sala (GDF Suez), Tamar Papiashvili (Pixmania).
On peut aussi décliner cette nécessaire collaboration métier/DSI au cas où le PDG et le DSI coopèrent pour réussir auprès des consommateurs. Nos confrères de CIO Etats-Unis ont ainsi interrogé le PDG de Campbell Soup, Denise Morrison, et le DSI, Joe Spagnoletti.
Enfin, à la Française des Jeux, cette collaboration pour l'innovation prend une forme particulière : Claude Boivin est ainsi en charge à la fois des systèmes d'information, des opérations commerciales et de la division « tirage & promulgation ». (...)
Les entreprises incapables d'analyser 90% de leurs données, selon IBM
D'après Jeff Jonas, chercheur responsable de l'Entity and Analytics Group d'IBM, « à mesure que les ordinateurs deviennent plus rapides, les entreprises deviennent plus bêtes - aujourd'hui, elles ont la chance de bien comprendre 7% de leurs données, mais cela ne va pas durer. » Avant de se retrouver chez Big Blue, Jeff Jonas dirigeait SRD, une entreprise qui fournissait des systèmes aux casinos, et acquise en 2005 par IBM.
La multinationale américaine voudrait pousser les entreprises vers des solutions de gestion de données avant que la quantité de données générées ne se retrouve hors de contrôle pour la plupart d'entre elles. Pour cela, elle veut proposer aux services informatiques de s'appuyer sur sa solution de gestion et d'analyse des données de type BigData et ses solutions d'analytiques portées dans le cloud et pour mobiles, pour l'accès aux données.
Pour Sarah Diamond, d'IBM Global Business Services, « les banques devraient pleinement adopter les programmes de transformation de données pour satisfaire les régulateurs et offrir plus de croissance à leurs investisseurs. » Selon elle, « la crise dans le secteur des services financiers s'est prolongée, et le FMI considère qu'il a déjà effacé 2 200 milliards de dollars de créances douteuses et autres pertes. » Sarah Diamond affirme que « la transformation est devenue une nouvelle «norme», les silos de données et les tableurs ne suffisant plus pour gérer ses datas. » Ajoutant que « les entreprises doivent offrir de la transparence pour satisfaire les autorités règlementaires et créer de la croissance. »
Pendant cette semaine de conférence, IBM va en profiter pour donner plus de contenu à sa stratégie de gestion de données. La technologie BigInsights de l'offre SmartCloud de Big Blue vise à aider les clients à donner du sens aux masses de données non structurées provenant de diverses sources, y compris les réseaux sociaux et les appareils mobiles. Si l'on estime que 80 % des datas d'une entreprise sont des données non structurées, on comprend la difficulté à les gérer et à les interpréter pour un usage professionnel.
L'application IBM Cognos Mobile pour iPad inaugure aussi le support pour appareil mobile, et le logiciel SPSS Statistics 20.0 (voir illustration principale) intègre une fonction de cartographie qui permet aux utilisateurs d'ajouter une dimension géographique à l'analyse de données et au reporting. Grâce à cette fonction, ils pourront cibler, faire des prévisions et des prospections par zones géographiques.
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