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(16/09/2008 15:17:17)
IBM propose un service de gestion des images VDI
Avec Virtual Storage Optimizer (VSO), IBM affirme être parvenu à réduire de 80% le coût du stockage associé aux structures VDI (virtualisation des postes clients). Sachant que le stockage est, en matière de VDI, un des points à la fois les plus coûteux et complexes à résoudre. La R&D du groupe a mis au point un algorithme qui permet d'optimiser la création et le stockage des environnements virtuels des postes clients en utilisant des masters. Cela permet, toujours selon IBM, de créer une nouvelle image en 30 minutes, soit un gain de temps de 75%. VSO fonctionne en environnement VMware et gère l'accès aux applications sous Windows, Unix/Linux et grands systèmes. La promesse d'IBM a un prix, celui de s'en remettre à IBM Global Services dans le cadre des prestations baptisées Virtual Infrastructure Access (VIA) puisque VSO ne sera pas commercialisé en tant que tel. 3PAR et LeftHand Networks proposent aussi des technologies pour la duplication et la gestion des images clients en environnement VDI. (...)
(16/09/2008 15:08:54)Les éditeurs de sécurité adaptent leurs produits pour la virtualisation
La sécurité des environnements virtuels s'invite au coeur de la conférence VMworld, à Las Vegas. Les deux éditeurs de sécurité, McAfee et Symantec, y présentent en effet leurs solutions dédiées. Le premier à ouvrir le bal est McAfee avec sa suite Total Protection for Virtualization. Celle-ci regroupe plusieurs logiciels déjà existants - VirusScan, AntiSpyware, Host Intrusion Pevention et ePolicy Orchestrator - et y ajoute une fonction permettant de vérifier l'état des machines virtuelles « offline », c'est à dire sans avoir à les activer. La licence sera également simplifiée car il n'en faudra qu'une par serveur physique, et non une par machine virtuelle comme c'est actuellement le cas. Total Protection for Virtualization fonctionnera pour des environnements Linux et Windows et sera disponible à la fin de l'année. Aucun prix n'a encore été communiqué. Son rival, Symantec, a présenté un prototype baptisé Symantec Security Virtual Machine. Il s'agit d'une machine virtuelle tournant sous Linux et dédiée à la sécurité, prévue pour être installer sur un serveur physique et qui protègera les autres machines virtuelles installées sur le même serveur en utilisant les API VMSafe développées par VMWare. Aucune date de sortie n'a encore été avancée. McAfee a présenté un prototype similaire en février. Et il faudra attendre encore quelques mois avant que VMware n'intègre les API VMSafe dans ses propres produits. (...)
(16/09/2008 14:46:51)HP compensera la moitié des suppressions de postes par de nouvelles embauches
24 600 emplois supprimés en trois ans, dont la moitié aux Etats-Unis, soit plus de 7% des effectifs. Tel est le prix à payer pour les salariés d'HP (172 000 salariés) et d'EDS (137 000 collaborateurs), suite à l'une des plus grosses acquisitions de l'année dans le secteur informatique. Dans l'immédiat, HP licenciera des administratifs, des financiers, et des spécialistes des ressources humaines notamment, postes qui font double emploi depuis la fusion avec EDS. Pour autant, ces coupes drastiques n'empêcheront pas le géant informatique de réembaucher : le groupe a en effet précisé que la moitié des départs seraient compensés par de nouvelles embauches pour « répondre à la diversité de ses marchés et de ses clients dans le monde entier », selon les termes du communiqué. Parallèlement à ces coupes, HP réduira également ses coûts dans l'immobilier, dans ses infrastructures informatiques et dans ses frais généraux Cette stratégie de réduction d'effectifs n'est pas la première du genre pour HP : en 2005, date de son arrivée dans la société, le PDG Mark Hurd avait dévoilé un plan visant à supprimer 14 500 emplois dans le monde, pour réduire les coûts d'environ 1,9 Md $ par an. Selon le patron d'HP, l'objectif était notamment d'alléger les fonctions centrales de l'entreprise, systèmes d'informations, finance et ressources humaines. Deux ans auparavant, en 2003, Carly Fiorina, alors dirigeante du constructeur, annonçait également la suppression de 15 000 postes, suite à la fusion de sa société avec Compaq. En France, 500 postes pourraient être supprimés [[page]]De son côté, la filiale française d'EDS a anticipé en annonçant ses premiers licenciements en mai dernier. Ainsi, peu de temps après l'annonce de son rachat par HP la SSII mettait en branle un projet de réorganisation régionale dans l'Hexagone, conduisant à la fermeture de plusieurs sites en province et entraînant le licenciement de 3,5% de ses effectifs. Il faudra pourtant attendre le CE européen du 25 septembre à Londres, et surtout le comité de groupe et les CE français de la fin d'année, pour connaître plus précisément les conséquences pour les employés du groupe HP et EDS en France. Dans l'Hexagone, les syndicats s'attendent néanmoins à plusieurs centaines de postes supprimés : ainsi, la CFTC d'HP France, sans connaître les conséquences exactes sur la France, pense que celle-ci sera de toute façon touchée à hauteur de 500 postes. (...)
(16/09/2008 14:46:23)David Simchi-Levi d'Ilog : On peut aussi optimiser la supply chain pour la rendre plus 'verte'
Du 10 au 12 septembre, Ilog a tenu à Chicago son symposium Supply chain excellence. A cette occasion, il a évoqué les moyens pour une entreprise d'optimiser sa chaîne logistique pour réduire ses coûts, améliorer ses services et surtout diminuer son impact sur l'environnement. Le green IT se décline en effet aussi au travers de l'alignement du système d'information sur la stratégie de développement durable de l'entreprise. La supply chain est un outil essentiel pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : réduction des stocks, choix de moyens de transport «verts», optimisation du remplissage des camions, choix de trajets les plus économiques et écologiques à la fois, etc. David Simchi-Levi, professeur au MIT (Massachussets Institute of Technology) et directeur scientifique d'Ilog, répond à nos questions sur le sujet. Lire notre entretien avec David Simchi-Levi (...)
(16/09/2008 11:54:01)Le premier mobile équipé de Google Android pour fin septembre
Google espère beaucoup du premier téléphone équipé d'Android, son propre système d'exploitation pour mobiles. Il pourrait faire ses premiers pas le 23 septembre, à New-York, au coeur d'un terminal HTC, baptisé Dream, commercialisé par T-mobile. Dans un secteur où les acteurs sont des mastodontes (Microsoft et Windows Mobile, Nokia et Symbian, Apple...), le pantagruélique acteur du Web sait qu'il ne faudra pas se louper. « Si nous arrivons avec un produit minable, les gens s'en iront et ce sera une perte de temps » a expliqué Andy Rubin, directeur d'Android chez Google, à Reuters, [...] Nous sommes dans la phase finale et avons passé pas mal de nuits blanches ». Une stratégie singulière Google mise presque uniquement sur l'aspect logiciel. « Une fois qu'ils auront quitté le magasin avec l'appareil, [c'est ce] qui entretiendra leur bonheur » poursuit Rubin. Basé sur un noyau Open Source, Android restera « libre » même dans son développement et notamment avec une plateforme de téléchargement ouvert à toutes les créations, à l'inverse d'Apple et son App Store par exemple. Une approche économique singulière : « Nous avons pris la décision stratégique de ne pas partager des revenus avec les développeurs. Nous allons simplement nous passer des recettes potentielles des opérateurs et des développeurs » détaille le directeur du projet. Selon l'agence de presse, près de 1800 application ont déjà été conçues pour Android, grâce notamment à un concours de développeurs. Toutefois, Google entend bien garder un oeil sur l'aspect matériel et c'est en ce sens qu'il oeuvre uniquement avec HTC pour le moment. Reste à savoir comment les autres membres de l'Open Handset Alliance, le regroupement autour d'Android, adapteront le système d'exploitation. (...)
(16/09/2008 11:17:40)Bouygues Telecom joue l'atout mobile pour devenir FAI
C'est une première. Le 20 octobre, Bouygues Telecom deviendra fournisseur d'accès internet. Il lance son offre Bbox : 19,90 € pour un abonnement ADSL simple et 29,90 € pour un pack triple play (ADSL, TV et téléphonie IP). Ces prix sont parfaitement alignés sur ceux de la concurrence. Alors comment va-t-il se distinguer sur ce marché ultra compétitif ? Bouygues Telecom mise sur une offre triple play (ADSL, TV et téléphonie sur IP) associée à un forfait vers tous les mobiles et facturée à 39,90 €. Un forfait de trois ou six heures Ce forfait vers les mobiles est de trois heures de communication pour les nouveaux clients, et de six heures pour les clients déjà abonnés à une offre de téléphonie mobile de Bouygues Telecom. Cette offre est valable jusqu'au 17 janvier 2009. "Avec cette offre, nous répondons à une frustration sur le prix des appels vers mobiles depuis sa box ADSL. Personne ne sait vraiment ce que coûtent les appels vers un téléphone mobile. Avec notre forfait de trois ou six heures, le coût est transparent pour l'utilisateur, affirme Franck Abihssira, directeur de l'activité FAI de Bouygues Telecom. Bouygues Telecom compte sur ses 9.3 millions d'abonnés à la téléphonie mobile [[page]] Bouygues Telecom compte sur son vivier de 9.3 millions d'abonnés à la téléphonie mobile pour prendre des parts de marché à ses concurrents. Prudente, la direction de l'opérateur ne s'engage cependant sur aucun objectif. Emmanuel Forest, directeur général délégué chez Bouygues Telecom, déclare simplement que "l'opérateur s'est donné les moyens d'assurer sa croissance avec une infrastructure technique reposant sur 1167 NRA (Noeuds de Raccordement Abonné) couvrant la métropole." 2 000 conseillers pour le service après-vente Chapitre service après vente, le talon d'Achille d'un grand nombre de FAI, l'opérateur se veut rassurant et précise que " 2 000 conseillers ont été spécialement formés aux problématiques ADSL avec le support d'un prestataire externe, TechCity." Précisons encore que, comme ses concurrents, le FAI propose une installation à domicile pour les clients réfractaires à la technique. L'utilisation d'Ethernet sur CPL pour relier boîtier ADSL et boîtier TV Pour ce qui concerne l'équipement chez l'abonné, Bouygues Telecom livre une Bbox composée de deux éléments. D'un côté, il y a un modem/routeur ADSL Ethernet avec WiFi (802.11 b/g). De l'autre, on installe un boîtier TV Ethernet avec un disque dur de 120 Go. Pour relier ce dernier à la boîte ADSL, Bouygues Telecom recommande l'utilisation d'un réseau Ethernet sur courant porteur (CPL). Deux ports USB pour imprimante et disque dur [[page]] Originale, la boîte ADSL offre deux ports USB pour connecter une imprimante et un disque dur externe à partager sur le réseau. Cette fonction NAS (Network Attached Storage) supporte le protocole UPnP pour partager ses fichiers avec tous les ordinateurs de la maison. Jusqu'à 20 Mbit/s en zone dégroupée En zone dégroupée, Bouygues Telecom indique un débit maximum de 20 Mbit/s et dans les zones éligibles, il annonce un bouquet de chaînes TV sur un micro via le portail Bbox. Impossible en revanche d'enregistrer la TV sur son PC comme le permet une solution comme ADSL TV avec un abonnement pris chez Free ou chez Neuf Cegetel. Pas de stockage en ligne type NeufGiga non plus même si une offre de ce type serait en cours de développement. Un pare-feu est proposé en standard tout comme une solution de contrôle parental associée au site Web Bbox Junior. Une cinquantaine de chaînes TV La partie TV comprend une cinquantaine de chaînes. Elle a été particulièrement soignée avec une gestion originale des sources TNT SD/HD et IP. L'assistant de configuration sélectionne en effet la meilleure source quand une chaîne est disponible sur plusieurs émetteurs. Mieux encore, en cas de défaillance de la TNT ou plus probablement de la TV IP, la Bbox commutera automatiquement sur une autre source. Cette option est très intéressante pour TF1, M6 ou France Télévisons qui sont disponibles sur plusieurs sources, mais un peu moins pour TV5 Monde. Autre point à souligner, cette gestion permet d'enregistrer une chaîne tout en regardant un autre canal. L'enregistrement des programmes est toutefois facturé 5 € par mois. L'offre de VOD est fournie par TF1Vision [[page]] Le disque dur de 120 Go est livré en standard avec la boîte TV mais le service d'enregistrement ne sera activé qu'après la souscription de ce forfait. Proximité d'un grand groupe audiovisuel oblige (TF1, LCI, TF6, ...), l'exportation des enregistrements vers une clé USB ou sur un micro (via un logiciel FTP) est également impossible même pour les sources audiovisuelles non protégées, comme Arte ou France 5 par exemple. Enfin, une fonction media center comme chez Free, Neuf Cegetel ou Orange est également à l'étude pour l'année 2009. Sans surprise, l'offre de VOD est fournie par TF1Vision même si d'autres prestataires sont attendus dans les prochains mois selon Emmanuel Forest. Au final, Bouygues Telecom arrive avec une offre originale avec son forfait 3 ou 6 heures vers les téléphones mobiles. Verdict début 2009 pour savoir si Bouygues réussira son entrée sur le marché des FAI. (...)
(16/09/2008 10:54:56)L'Arcep va contrôler les opérateurs Wimax de près
Le déploiement du Wimax dans l'hexagone est très loin des objectifs fixés. Tel est le constat du rapport édité le lundi 15 septembre par l'autorité de régulation des télécoms (l'Arcep) suite à une étude réalisée au cours de l'été. L'Arcep constate que « les déploiements [du Wimax] restent encore très modestes et sont aujourd'hui très inférieurs aux engagements pris par les titulaires d'autorisations » en juillet 2006. Si le constat est aussi sévère, c'est parce que les opérateurs avaient promis monts et merveilles lorsqu'ils s'étaient vus attribués leurs fréquences d'émission Wimax. Mais pour le moment, ils sont très loin d'avoir respecté leurs obligations. Il aurait du y avoir 3 564 sites déployés au 30 juin 2008. La réalité est que l'on compte 524 sites (dont 512 opérationnels) - c'est à dire 15% des objectifs - et environ 4 000 clients, particuliers et professionnels, à travers la France. La répartition territoriale n'est pas homogène Par ailleurs, l'Arcep regrette que la répartition sur le territoire national ne soit pas homogène. En Haute-Normandie, par exemple, la moitié des sites prévus (50 sur 100) a bien été installée et trois offres commerciales sont déjà disponibles. En revanche, dans la région Rhône-Alpes, aucun des 446 sites n'a encore été déployé remettant donc aux calendes grecques la commercialisation des huit offres stipulées dans le cahier des charges. Ces retards peuvent en partie s'expliquer par la redistribution des cartes entre les titulaires d'autorisation. De 10 titulaires à l'origine (6 conseils régionaux et 4 opérateurs privés), ils sont aujourd'hui 19 titulaires (14 collectivités et 5 opérateurs). L'Arcep note que la plupart des Conseils régionaux ont en effet cédé leurs droits aux Conseils généraux. Il serait cependant injuste de jeter la pierre aux seules collectivités locales car les industriels n'ont pas vraiment montré l'exemple. Exception faite de Nomotech qui a déployé les deux sites qui lui avaient été imposés dans le Morbihan. Un avancement inégal suivant les opérateurs [[page]] Selon le classement établi par l'Arcep, on trouve bien placé l'opérateur SHD (filiale de Neuf Cegetel et de SFR) qui a installé 86 sites sur 177 et qui gère au moins un site dans chaque département où il détient une autorisation (régions Ile-de-France et Paca). Quant à HDDR France, il atteint 170 sites sur 312 « obligations ». Altitude Wireless pour sa part a installé 212 sites sur 1796. Le bonnet d'âne revient à Bolloré Télécom qui n'a déployé que 11 sites sur 968 obligations avec un seul site départemental sur 60. Néanmoins, au cours de l'été, Bolloré a racheté, une partie des licences de HDRR. Cette transaction lui permet non seulement de devenir un opérateur quasi national avec des autorisations dans 20 régions sur 22 mais surtout, elle porte son nombre de sites installés à 140 pour 1134 obligations. Les titulaires d'autorisations mis sous surveillance L'Arcep ne s'est pas contentée de juger, elle a voulu savoir pourquoi les opérateurs privés et publics ont pris autant de retard : « le facteur principal évoqué de façon commune est le retard des équipements terminaux en termes de disponibilité et de maturité technologique » constate le régulateur. En clair, alors qu'il existait une technologique Wimax, mature et disponible (la version 802.16 d) mais pour un usage fixe, les opérateurs ont préféré se tourner vers l'autre technologie, la 802.16 e qui permet « le nomadisme, annonce de meilleure performance et des économies d'échelle » mais dont les équipements ne sont pas prêts et un Wimax qui pour « le moment ne répond pas aux performances annoncées ». Face aux manques des opérateurs, l'Arcep ne pouvait pas rester sans réagir. C'est pourquoi, tout en reconnaissant leurs difficultés technologiques, le régulateur a décidé de « mettre sous surveillance les titulaires d'autorisations et d'organiser le suivi de l'avancement de leurs déploiements ». Les opérateurs devront transmettre tous les six mois l'état d'avancement de leurs déploiements. (...)
(16/09/2008 10:18:44)HP annonce près de 25 000 licenciements suite au rachat d'EDS
HP annonce qu'il va licencier environ 24 600 employés au cours des trois prochaines années afin de "rationaliser" la société à la suite de son acquisition d'EDS pour 13,9 milliards de dollars. La société va supprimer environ 7,5% des emplois au cours de ces trois ans, dont la moitié aux Etats Unis. En fin de compte, environ la moitié de ces postes sera remplacée. Ce programme de restructuration devrait permettre à HP d'économiser environ 1,8 milliard de dollars par an. HP va passer une charge de 1,7 milliard au quatrième trimestre de 2008 dans le cadre de ce programme de restructuration. La rédaction de LeMondeInformatique.fr reviendra sur ce sujet, dans le courant de la journée. (...)
(16/09/2008 10:09:41)Diffusion de contenus dynamiques : Adobe acquiert le Danois YaWah ApS
Adobe vient de racheter pour un montant non communiqué le Danois YaWah ApS, éditeur d'une solution destinée aux professionnels du marketing multicanal et du commerce électronique. Produit phare de YaWah ApS, le serveur d'images eRez permet en effet de gérer, d'archiver, d'échanger et de diffuser des images en haute résolution. Adobe prévoit d'intégrer ces outils à Scene7, sa plateforme hébergée de diffusion de contenus dynamiques issue du rachat du Californien Scene7 en mai 2007. Cette offre de services hébergés permet aux e-marchands de distribuer leurs vidéos publicitaires et les images de leurs catalogues. Accélérer l'adoption de Scene7 en Europe La technologie de Scene7 permet de redimensionner dynamiquement les images haute définition en fonction du contexte (zooms, vignettes, présentation des produits sous divers angles). Parmi les services proposés par Scene7 figure un configurateur de produits en ligne permettant, par exemple, de modifier la couleur et la texture des objets présentés). En rachetant YaWah ApS, l'éditeur américain compte accélérer l'adoption de sa plateforme, en particulier en Europe. (...)
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