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(14/11/2008 16:22:15)

Groovy passe dans le giron de SpringSource

Groovy, l'un des langages dynamiques les plus populaires, appartient désormais à SpringSource, éditeur de Spring, le framework de loin le plus populaire pour le développement d'applications Java, et principal contributeur au serveur d'applications Tomcat. Editeur de Groovy, G2One, a accepté l'offre d'achat de SpringSource (ex-Interface 21) suivant ainsi une stratégie préconisée par son fonds d'investissement, Bay Partners, qui se trouve également être au capital de l'inventeur de Spring. Mais comme le souligne Julien Dubois, représentant de SpringSource en France, le rapprochement était de toute façon naturel, les responsables de Spring et Groovy étant souvent invités de pair dans les conférences techniques. Cofondateur de G2One et artisan du développement de Groovy, Guillaume Laforge acquiesce. « Nous avons la même objectif, dit-il, simplifier la vie des développeurs. » Concrètement, pour Guillaume Laforge, « cela ouvre des possibilités, notamment dans le domaine des DSL (domain specific languages) ». Il imagine ainsi la possibilité pour des experts métier d'écrire des règles dans « un langage métier débarrassé de toute la complexité technique », qui s'exécuteraient sur le tout nouveau serveur d'applications Java Open Source proposé par SpringSource, dm Server. De même, celui qui est désormais responsable du développement de Groovy au sein de SpringSource estime que son langage pourrait très bien servir aux administrateurs à écrire des scripts gérant Spring. Fort de « 30 à 35 000 téléchargements par mois », Groovy est intégré dans beaucoup de projets, précise Guillaume Laforge, qui cite des produits d'Oracle, IBM ou JBoss, par exemple. Dans la transaction, SpringSource récupère aussi Grails, un framework pour Groovy inspiré de Ruby on Rails, dont le but est de simplifier les déploiements en adoptant une nomenclature précise. « SAP, par exemple, l'utilise dans un projet, dans le but d'agréger des services SAP. » (...)

(12/11/2008 16:47:23)

Trimestriels : GFI Informatique peu affecté par la crise

GFI Informatique a publié des résultats trimestriels conformes aux attentes : le chiffre d'affaires est en progression de 13,5% à 180,6 M€. La SSII française affirme être capable de traverser la crise grâce à la mise en place d'un plan de « développement durable et profitable » dès le mois d'avril, à l'issue d'un premier trimestre difficile. GFI Informatique avait alors dû faire face à des frais inattendus (5 M€) pour contrer l'OPA hostile de Fujitsu Services lancée en mai 2007. Pour accompagner sa croissance, GFI recrute 200 collaborateurs qui iront renforcer les agences du grand Sud (Lyon, Grenoble, Aix-en-Provence, Montpellier) et de l'Est de la France (Belfort, Metz, Nancy, Strasbourg). Les profils recherchés sont variés. Pour le pôle Intégration de systèmes (nouvelles technologies J2EE, .Net, PHP, Java, grands systèmes, ERP), GFI recrute des chefs de projets, des consultants SAP et Business Objects, des développeurs, des ingénieurs études et développement, des techniciens helpdesk... En Infrastructure et production (dans les environnements Windows, Unix, Linux et Oracle), GFI recherche des analystes programmeurs, des architectes et des analystes fonctionnels. Deux sessions de recrutement sont organisées au sein du siège social de GFI Informatique, dans le 8e arrondissement de Paris, les 14 et 28 novembre prochains. Le groupe compte actuellement 10 051 salariés contre 9 484 il y a un an. En France, GFI Informatique emploie 6 096 collaborateurs, soit 204 personnes de plus qu'en septembre 2007. (...)

(10/11/2008 17:33:42)

Google, Microsoft, MySpace et Facebook parlent interopérabilité

Les quatre sociétés Google, Microsoft, Facebook et MySpace ont discuté ensemble de l'ouverture de leurs plateformes aux développeurs. Si les intentions sont bonnes, les discours sont plus ou moins catégoriques en fonction des intervenants. Certains prônent le 100% ouvert, d'autres - Microsoft en tête - sont plus mesurés. A l'occasion du Web 2.0 Summit qui s'est déroulé du 5 au 7 novembre derniers à San Francisco, des dirigeants de Google, Microsoft, MySpace et Facebook se sont assis autour de la même table pour discuter interopérabilité et ouverture de leurs plateformes. D'après eux, tout le monde peut y gagner : les éditeurs, les développeurs et les utilisateurs. Et il ne faut pas considérer les développeurs comme des rivaux, mais au contraire leur apporter des outils - mais aussi des règles - pour créer de nouvelles applications,. Eliott Schrage, vice-président de la communication chez Facebook (poste qu'il occupait chez Google jusqu'en mai dernier) a déclaré que la société mettait l'accent sur la transparence avec les développeurs, en particulier en ce qui concerne les modifications de la plateforme applicative. De son côté, Amit Kapur, chef d'exploitation de MySpace (qui s'est lui aussi ouvert aux développeurs tiers) a insisté sur les directives qui doivent être « très claires entre les développeurs et les fournisseurs ». Et de fait, MySpace a procédé de manière très progressive à l'ouverture de ses API. Il a mis en place un espace sécurisé où les développeurs peuvent déployer leurs applications. Pas question pour autant de donner la clé à tous, seuls certains membres ont accès à cette plateforme, alors que chez Facebook, ce sont quelque 400 000 développeurs qui ont créé 24 000 applications à ce jour. Google : « MySpace et Facebook ne sont pas de vraies plateformes de développement, Microsoft a perdu la bataille du Web » En plus de règles très claires, les fournisseurs doivent également présenter un engagement très ferme vis-à-vis de leur plateforme, afin de favoriser la confiance des développeurs. « Nous voulons rassurer les développeurs, les investissements qu'ils font en termes de temps et de ressources sont protégés sur le long terme », a déclaré David Treadwell, vice-président des services de la plateforme Live de Microsoft. [[page]]Google, représenté par son vice-président de l'ingénierie Vic Gundotra, n'a pas manqué de mettre son grain de sel. Pour lui, ni Facebook ni MySpace ne sont des plateformes de développement, ils se contentent de proposer de développer des petites extensions « à la manière d'Office de Microsoft ». Ni plus ni moins. Vic Gundotra s'en est également pris au monopole de Microsoft, chez qui il travaillait il y a un peu plus d'un an. « Le contrôle de la plateforme par un seul fournisseur est, par définition, contraire à l'innovation ». Et de défendre les deux bébés de Google, OpenSocial, une plateforme de widgets et de services Web ouverte aux développeurs d'applications tierces lancée il y a un peu plus d'un an et Android, dont le code à récemment été mis à disposition de tous. A court d'arguments, David Treadwell a défendu Microsoft, rétorquant que certaines plateformes doivent être contrôlées par un même et unique fournisseur. Cette réflexion n'a pas ému Vic Gundotra qui a répondu « ces dix dernières années ont été marquées par la bataille entre Windows et le Web. Et c'est le Web qui a gagné ». D'ailleurs le géant de Redmond doit avoir conscience de son retard, Steve Ballmer a lui-même annoncé que Microsoft songeait à lancer sa propre boutique pour la diffusion d'applications tierces. Enfin à la question de savoir quels types d'applications ils souhaitaient voir se développer plus particulièrement, les participants à la table ronde ont mentionné les applications pour les entreprises, la santé et la mobilité. (...)

(10/11/2008 16:58:50)

Steve Ballmer favorable à une boutique en ligne à la AppStore

Les rumeurs couraient depuis septembre dernier, et Steve Ballmer vient de les renforcer. Face aux succès de l'AppStore d'Apple et de la plateforme Facebook ouverte aux développeurs tiers depuis mai 2007, Microsoft songe également à lancer sa propre boutique pour la diffusion d'applications tierces. S'adressant à un parterre de développeurs le 6 novembre dernier à Sydney en Australie, Steve Ballmer a précisé : Apple et Facebook « ont rendu plus facile la mise en avant de vos applications. Il n'y a pas beaucoup d'argent à y gagner, mais le concept général de donner aux développeurs une façon non seulement de voir leur code distribué, mais de lui donner une vraie visibilité, est une bonne idée ». En septembre dernier, une annonce parue sur un site d'emploi de la région de Seattle, et vite retirée depuis, mentionnait déjà une telle boutique. Celle-ci s'appellerait Skymarket et serait liée à la sortie de la prochaine version de Windows Mobile. Steve Ballmer n'a pas confirmé toutes ces informations. Il s'est contenté d'affirmer qu'il avait failli présenter quelque chose lors de la PDC (conférence développeurs à Los Angeles) mais avait finalement conclu qu'il n'était « pas encore prêt à en parler ». Le CEO de Microsoft a ajouté que ses équipes travaillaient dur pour proposer prochainement un résultat plutôt dans l'esprit de la plate-forme de Facebook. En revanche, il y a un point sur lequel Microsoft n'imitera pas Apple, c'est sur l'utilisation de WebKit, un moteur de rendu Open Source pour les navigateurs Web (voir notre actualité dans la rubrique micro). (...)

(10/11/2008 12:37:15)

Eclipse arrête des projets SOA faute de combattants

Les projets d'outils pour les architectures orientées services (SOA) n'ont pas la cote chez les contributeurs d'Eclipse. La fondation vient d'annoncer la fin de trois projets (ALF, STP-SC et STP-SOAS), faute de soutiens parmi les sponsors et de développeurs prêts à contribuer. STP-SC et STP-SOAS sont deux sous-projets de l'initiative SOA Tools Platform (STP), qui vise à créer une plateforme, des outils, des connecteurs et des bonnes pratiques pour faciliter la conception et l'assemblage de logiciels orientés services. STP-SC (pour Service Creation) était censé créer un pont entre les outils de développement existant sur le marché et le modèle STP. Iona, qui avait initié le projet, s'est depuis retiré, expliquant qu'il y avait une certaine redondance avec le WebTools Project (WTP), qui gère la partie outillage autour des services Web. STP-SOAS (pour SOA System) décrivait des interfaces de programmation devant simplifier le déploiement d'objets SOA au sein de conteneurs d'exécution. Sybase, qui avait initié le projet, n'y contribue plus, et personne n'a pris la relève. Aucun contributeur pour ALF en-dehors de Serena ALF a démarré pour sa part d'une façon originale pour un projet Eclipse, c'est-à-dire sans code. Serena Software a émis l'idée, en 2005, de travailler sur un système de gestion du cycle de vie (ALM, Application Lifecycle Management) des applications orientées services. Le code d'ALF (Application Lifecycle Framework) a donc été écrit directement au sein d'Eclipse, dans plusieurs directions dont la gestion d'événements (pour les architectures orientées événements) et la gestion des authentifications et des accréditations, qui a donné lieu à un framework d'authentification unique (SSO, single sign-on). La fondation Eclipse explique qu'ALF connaît un beau succès d'estime, la communauté semblant plutôt désireuse de s'en servir. Mais elle constate aussi que seul Serena contribue (l'éditeur se sert d'ailleurs d'ALF dans son offre Business mashups), et qu'il n'y a aucun signe de revitalisation de ce projet dans un avenir proche. Les trois projets seront archivés. A noter cependant que l'outil de SSO sera pour sa part intégré au projet de gestion des identités Higgins (dont la version 1.0 a été oubliée en février dernier) (...)

(07/11/2008 17:05:26)

Sentrigo protège en temps réel les données contre les menaces internes

Sécuriser le périmètre d'une entreprise met-il obligatoirement ses données à l'abri. Pas sûr, répond Slavik Markovich, directeur technique de l'éditeur israélien Sentrigo, qui propose des logiciels de sécurisation s'installant aux côtés des SGBD (Systèmes de gestion des bases de données) et résidant avec eux en mémoire. « Lorsqu'une entreprise a beaucoup de défenses périmétriques, dit-il, il devient plus simple de soudoyer quelqu'un en interne... Et ce ne sera pas forcément le fait d'un grand voleur, il peut s'agir d'un détective privé. On voit aussi beaucoup de gens mus par la simple curiosité - pour voir par exemple la table des salaires. Or la menace interne est quelque chose dont on se préoccupe très peu aujourd'hui. » Avec son offre Hedgehog, Sentrigo propose une protection contre les dangers en interne - y compris contre des super-utilisateurs (privileged users) voire le DBA (administrateur de bases de données) lui-même. Hedgehog scrute en effet tous les événements et les enregistre (sans possibilité d'en effacer). Un éditeur de règles plutôt intuitif permet d'automatiser des actions (générer une alerte, bloquer une transaction, bannir l'utilisateur, etc.) en fonction des comportements observés. La solution fonctionne même lorsque la base tourne en environnement mutualisé. Considérant que les deux tiers des DBA n'appliquent pas les correctifs (pour ne pas provoquer d'interruption du service ou s'exposer à des incompatibilités), Sentrigo double son outil d'un service de type anti-virus : Hedghog se connecte alors régulièrement à un serveur central, et télécharge des « correctifs virtuels » afin de diminuer les vulnérabilités des bases qu'il protège. Forrester prédit un marché de 900 M$ d'ici à 2010 [[page]] Le cabinet d'études Forrester estime que les outils d'audit et de protection en temps réel des bases de données devraient se multiplier. Les réglementations sont de plus en plus draconiennes, et certaines certifications ne se contentent plus de vagues concepts. PCI DSS (Payment Card Industry Data Security Standard), par exemple, imposé aux Etats-Unis par les grandes sociétés de cartes de paiement, donne des obligations en matière de protection des données et d'audit. Forrester pense que ce marché devrait atteindre les 900 M$ d'ici à 2010. En revanche, ce foisonnement de petits acteurs (Forrester cite Guardium, Imperva, Tizor, Application Security, Lumigent...) marque le début d'un marché appelé à se concentrer, ce qui n'est pas forcément rassurant pour une entreprise utilisatrice. Sentrigo Hedgehog est distribué en France par Cortina, qui appartient désormais au Groupe Arca. Le produit supporte les bases Oracle (à partir de la version 8i) et Microsoft (à partir de SQL Server 2000). La prochaine base sur la liste sera Sybase ASE. Quant à MySQL, Slavik Markovich s'interroge : « Nous ne sommes pas sûrs que les utilisateurs de MySQL aient envie de payer une licence... » Vendu environ 2 000 euros par CPU, le logiciel est téléchargeable pour un essai gratuit. Et comme le souligne Slavik Markovich, il n'y a pas besoin d'arrêter la base pour l'installer. (...)

(06/11/2008 18:24:29)

Sun combine MySQL à ses serveurs en cinq nouveaux packages

Sun vient d'annoncer cinq nouvelles solutions conçues pour optimiser les performances de sa base de données Open Source MySQL avec ses serveurs et systèmes de stockage, tout en réduisant les coûts de consommation électrique. Ces cinq offres s'accompagnent d'un programme d'évaluation gratuit de 60 jours à l'issue duquel les clients pourront acquérir les produits à un prix réduit (jusqu'à -40% sur le tarif). Virtualisation et gain de place La première offre, Sun Systems for MySQL x86 Performance associe le support de MySQL Enterprise Gold aux serveurs Sun Fire X2250, X4240 ou Blade X6250, ainsi qu'au système de stockage en grappe J4200 (à partir de 1 500 dollars avec le serveur X2250 pouvant recevoir jusqu'à deux processeurs Xeon d'Intel). La deuxième solution, Sun Systems for MySQL Virtualization, met à contribution des technologies de virtualisation gratuites en Open Source telles que Solaris Containers et LDoms. Elle s'appuie sur les systèmes CoolThreads de Sun (décrits par le constructeur jusqu'à cinq fois plus performants que des systèmes x86 dans un espace deux fois moins important) et ses technologies Open Storage sous Solaris. Des solutions pour les contenus numériques, les environnements multi-niveaux et les sauvegardes [[page]] Troisième package, Sun Systems for MySQL Rich Media Storage vise la gestion des contenus numériques, en pleine explosion. Il repose sur Open Storage, le serveur Fire X4540 et le système de stockage J4000. Là encore, le constructeur met en avant un ratio capacité/prix qu'il juge très concurrentiel (il donne en exemple le ratio 1 dollar/Go avec le J4000). Le quatrième package, Sun Systems for MySQL Multi-tier deployment, concerne les déploiements en environnement multi-niveaux. Enfin, le cinquième, Sun Systems for MySQL Backup, destiné à la protection des données, s'appuie sur un serveur Sun Fire X4540 et sur la solution de sauvegarde Zmanda ZRM for MySQL Enterprise. (...)

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