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Architecture logicielle

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(12/02/2008 17:59:36)

TechDays : Entity Framework au niveau des autres ORM, pour Evaluant

Encore en bêta, la solution de correspondance relationnel-objet de Microsoft, Entity Framework, serait déjà au niveau des solutions du marché, en termes de performances. Les TechDays, événement gratuit de Microsoft France rassemblant à Paris plusieurs milliers de développeurs, ingénieurs réseaux et systèmes, hébergent un « Symposium DotNetGuru », animé par les experts, non-Microsoft, de la communauté DotNetGuru. Parmi eux, Sébastien Ros, d'Evaluant, qui a présenté un comparatif sur les performances brutes de plusieurs ORM (Object-relational mappers). Une exclusivité mondiale, précise Sami Jaber, animateur de la communauté. Un ORM vient s'intercaler entre les sources de données, généralement relationnelles, et le code, plutôt habitué à manipuler des objets. Il fournit ainsi une couche d'abstraction qui a plusieurs mérites : cela découple les éléments, ce qui simplifie les évolutions futures, et le code généré est - théoriquement - optimisé. En environnement .Net, plusieurs solutions existent déjà.[[page]] Sébastien Ros, cofondateur d'Evaluant et membre de DotNetGuru, a distingué : Nhibernate (portage d'Hibernate, solution Java à la base), LLBLGen, Genome et Euss (réalisé par Evaluant). Microsoft travaille de son côté sur ADO.Net Entity Framework. Pour reprendre la définition donnée lors des TechDays, Entity Framework « n'est pas un outil de mapping relationnel objet », mais peut en assumer le rôle dans la mesure où il s'agit d'« un ensemble de technologies supportant le développement d'applications orientées données et autorisant le développeur à utiliser des modèles logiques associés à des sources de données physiques ». Au terme d'une batterie d'essais, Sébastien Ros a montré qu'au niveau des performances pures (temps d'accès aux données dans différentes conditions), Entity Framework faisait jeu égal avec Nhibernate. Les deux sont devancés de peu par Euss et LLBLGen, mais sont deux fois plus rapides que Genome. (...)

(12/02/2008 12:31:10)

Bill Gates en faveur de la programmation déclarative

A l'occasion de l'édition 2008 d'Office System developers conference, Bill Gates a souligné l'importance de réduire la part de code dans le développement d'applications. Et fort de ce constat, le futur retraité de Microsoft a la solution : un langage de programmation déclaratif, sur lequel l'éditeur confirme travailler. Sans indiquer où en est l'avancée des recherches, Bill Gates estime à 8 ou 10 ans la durée du projet. « La plupart du code aujourd'hui est du code procédural [ndlr, qui repose sur les étapes à franchir - des routines- comme par exemple le PHP]. Et il existe [ndlr, dans l'esprit des développeurs] le Saint Graal qui consiste à écrire moins de code. Nous investissons beaucoup pour pouvoir affirmer que l'adaptation des applications ne devrait prendre qu'un dixième du code produit aujourd'hui. » La programmation déclarative consiste à isoler le problème indépendamment du contexte. Selon Wikipédia, « en programmation déclarative, on décrit le quoi, c'est-à-dire le problème.[...] Alors qu'en programmation impérative (par exemple avec le C ou Java), on décrit le comment, c'est-à-dire le solution ». Citons à titre d'exemple Prolog. Ou, dans le cas de Microsoft, XAML, langage déclaratif basé sur XML servant à décrire des interfaces graphiques ; en l'occurrence, XAML fait ainsi le pont entre les outils de design (la suite Expression) et les outils de développement (Visual Studio). Ce projet s'inscrit sans doute dans le cadre d'Oslo, vaste initiative liée à la mise en oeuvre d'architectures orientées services (SOA). Le but de Microsoft dans ce cadre est de privilégier la modélisation, par le biais de DSL (Domain specific languages). Microsoft a également évoqué la possibilité d'utiliser un langage déclaratif, connu aujourd'hui sous le nom de code D. (...)

(08/02/2008 17:02:01)

Microsoft attend 10 000 personnes à ses TechDays

Les TechDays organisés par Microsoft France à Paris de lundi à mercredi prochains s'annoncent encore plus imposants que ceux de 2007. Avec plus de 15 000 inscrits ce vendredi, les organisateurs attendent plus de 10 000 visiteurs uniques sur les trois jours, en se référant au succès de l'an dernier. Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France, cite ainsi les statistiques de la première édition : « 8 000 visiteurs uniques pour 13 000 inscrits ». Le nombre de sessions passe à près de 300, dont près de la moitié seront animées par des experts travaillant pour des laboratoires ou des partenaires de Microsoft. Cette deuxième édition de l'événement, qui fait jeu égal avec les conférences européennes - payantes et en anglais - reste gratuite pour les visiteurs. Selon Marc Jalabert, le financement vient pour la moitié environ des partenaires, dont le nombre a été augmenté. Il y en a une centaine cette année, à tel point que l'événement tient désormais salon sur deux étages du Palais des congrès de la Porte Maillot. Parmi les partenaires, on note la présence de « coopétiteurs » comme Sun, IBM ou EMC, et dans l'Open Source celle de Talend, récemment admis dans le laboratoire Open Source de Microsoft, mais pas celle de JBoss, pourtant lié à Microsoft par un accord spécifique - dont on voit décidément mal la concrétisation sur le terrain. Fait étonnant pour un événement parisien, d'autant que toutes les sessions seront disponibles en vidéo, « 35 à 40% des inscrits viennent de province », précise Marc Jalabert. Toutefois, même si la tournée en province des DevDays n'existe plus, Marc Jalabert promet qu'il y aura « des sessions TechNet et MSDN avec des partenaires dans cinq ou six grandes villes ». (...)

(07/02/2008 12:08:59)

Cape Clear disparaît en tant qu'ESB indépendant

L'un des pionniers des bus de services d'entreprise (ESB), Cape Clear, disparaît du marché. Du moins en tant que produit indépendant. Workday, éditeur de solutions progicielles à la demande (mode Saas, software as a service), créé par David Duffield, un ancien patron de Peoplesoft, a conclu un accord pour racheter Cape Clear, qui était déjà un partenaire depuis 2006. Workday indique d'ailleurs que toutes ses solutions déployées reposent pour leur couche d'intégration sur l'ESB de Cape Clear. En juillet dernier, un rapport de Forrester plaçait Cape Clear en pole position des ESB autonomes, à côté de BEA. Forrester notait que Cape Clear a « l'une des implémentations disponibles les plus complètes de la couche de services Web », et a su conquérir un marché plus important que ne le laisse supposer sa taille. Néanmoins, quand la transaction sera close, d'ici un mois environ, l'ESB de Cape Clear ne servira plus que de support middleware pour Workday. Annrai O'Toole, CEO de Cape Clear, écrit dans son blog que le rachat d'un éditeur de technologies SOA (architectures orientées services) par un fournisseur de services progiciels en ligne peut paraître surprenant, mais constitue en fait une évolution logique. Pour Annrai O'Toole, qui va devenir vice-président de Workday responsable de l'offre d'intégration, les SOA n'ont pas un but technique, mais un objectif lié au business ; il s'agit pour lui de rendre possible les applications demandées par le métier. (...)

(06/02/2008 16:18:05)

Pour IBM, OpenXML est techniquement inférieur à ODF

Enième réponse du berger à la bergère. Après les commentaires incendiaires de Jean Paoli, gourou XML chez Microsoft, IBM a décidé à son tour de monter au créneau. Une salve supplémentaire dans la bataille qui oppose les deux groupes sur le terrain des formats bureautiques, ODF et Open XML. Si chez Microsoft on estime IBM responsable de l'échec de la normalisation ISO d'Open XML, Big Blue attaque lui sur le terrain même de la qualité du standard Microsoft. Selon Big Blue, point de complot ni de conspiration contre Open XML. Le format XML de l'éditeur de Redmond est tout simplement « techniquement inférieur ». Et ainsi sa sécheresse fonctionnelle serait, en partie, la cause de l'échec de l'approbation d'Open XML lors du processus rapide à l'ISO. La France, par le biais de l'Afnor, s'était elle-même prononcée contre (non, avec commentaires). Relevés par le site Ars Technica, les cinglants propos de Bob Sutor, vice-président des standards et de l'Open Source chez IBM, rappellent en substance que si « faire du business implique d'essayer de refiler au marché IT un semblant de produit comme OOXML réalisé dans la précipitation, techniquement inférieur et spécifique, nous sommes fiers de nous ranger aux côtés des dizaines de pays et des milliers d'individus qui ont la volonté de combattre un tel mauvais comportement ». Un cran supplémentaire dans les tensions qui existaient entre les deux groupes. En février dernier, Jean Paoli et Tom Robertson signaient une lettre ouverte dénonçant les tentatives d'IBM auprès des instances internationales pour enrayer le processus de normalisation d'OOXML à l'ISO. Jean Paoli avait enfoncé le clou le 31 janvier 2008 en racontant que le format serait aujourd'hui une norme si IBM n'avait pas été là. (...)

(05/02/2008 12:28:14)

Sun encourage à essayer la version 8.3 de PostgreSQL

Même en cours d'acquisition de MySQL, Sun encourage ses clients à essayer la version 8.3 de PostgreSQL, qui vient de sortir. De fait, PostgreSQL était jusqu'à présent la base de données Open Source de prédilection de Sun, qui l'avait incluse dans son système d'exploitation Solaris 10. Sun propose aussi des offres de support spécifique pour ce SGBD, tout comme il compte le faire pour MySQL. Sun saisit donc l'opportunité, avec la sortie de cette nouvelle version de PostgreSQL, de montrer que l'achat de MySQL ne remet pas en cause ses choix, tant en termes techniques - même si on imagine mal que MySQL ne remplace pas sous peu PostgreSQL comme SGBD standard dans Solaris - qu'en termes de soutien aux projets libres : « La base de données PostgreSQL donne aux utilisateurs un choix de SGBD non propriétaire, leur permettant d'économiser de l'argent, d'améliorer leurs performances et d'accroître leur productivité. Sun croit que le choix est important et est impliqué dans la réussite de PostgreSQL », écrit Rich Green, vice-président exécutif de Sun responsable de l'offre logicielle. Toujours sous licence BSD, PostgreSQL met dans sa version 8.3 l'accent sur les performances. Le temps de maintenance et l'impact des points de vérification sur les performances ont été réduits, écrivent les responsables du projet. Associés à d'autres améliorations, « ces changements accélèrent également de manière significative le débit de traitement des transactions, de 5% à 30%, selon la charge ». Parmi les composants optionnels arrivés en version 1.0, on notera le support de SNMP et un débogueur graphique de procédures stockées. (...)

(04/02/2008 17:14:04)

Annuels Informatica : +20% sur les ventes de licences

Exercice fiscal (échu au 31 décembre 2007) Chiffre d'affaires : 391,3 M$ (+20,5%) Ventes de licences : 175,3 M$ (+20%) Bénéfice net (normes US GAAP) : 54,6 M$ (+50,8%) Quatrième trimestre fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 113,9 M$ (+24%) Ventes de licences : 54,9 M$ (+28%) Bénéfice net (normes US GAAP) : 20,6 M$ (+48%) L'éditeur américain Informatica, spécialiste des solutions d'intégration de données, a enregistré des ventes de logiciels en hausse de 28% sur son quatrième trimestre fiscal, à 54,9 M$, et de 20% sur l'ensemble de son exercice 2007, à 175,3 M$. Des ventes de licences qui pèsent 48,2% du chiffre d'affaires total de l'éditeur sur le dernier trimestre et 44,8% sur l'année. L'autre part des revenus provient des ventes de services. (mise à jour) Informatica dit avoir enregistré 79 nouveaux clients sur le quatrième trimestre 2007, auxquels s'ajoutent 275 contrats supplémentaires gagnés avec sa base installée (celle-ci comptant 2 988 entreprises). L'éditeur a annoncé début novembre la version 8.5 de sa plateforme regroupant ses offres PowerCenter, PowerExchange et Data Quality. Une évolution de son offre visant à réduire les coûts d'intégration de données en particulier en réutilisant des développements existants. Rappelons que le marché des logiciels d'analyse décisionnelle (dit aussi de Business Intelligence), sur lequel évolue Informatica, a été marqué l'an dernier par une forte concentration de ses acteurs (Oracle a racheté Hyperion, Cartesis a été repris par Business Objects qui a lui-même rejoint SAP, et IBM a acquis Cognos, pour ne citer que les mouvements les plus importants). Un certain nombre d'entre eux (SAP, Cognos, Teradata, HP...) utilisent les outils développés par Informatica, lesquels sont conçus pour extraire, retraiter et faire migrer les données (d'une base ou d'un environnement à l'autre, ou pour l'alimentation d'un entrepôt de données) et à en maîtriser la qualité. Les offres concurrentes se trouvent principalement chez IBM (avec les solutions d'Ascential), SAS ou Oracle. Informatica figure donc parmi les acteurs encore indépendants du secteur du décisionnel, avec SAS, Information Builders ou Microstrategy, notamment. (...)

(04/02/2008 14:12:55)

Google veut faciliter la ré-utilisation des relations existant dans les réseaux sociaux

Comment récupérer et transmettre les nombreuses relations sociales nouées dans Facebook ou MySpace à d'autres applications sociales en ligne ? Une question sur laquelle s'est penchée Google. Et, dans la lignée d'OpenSocial - qui fournit une kyrielle d'API pour développer et croiser les applications de réseau social - , le géant de l'Internet publie Social Graph API. Des interfaces pour faciliter les travaux de développeurs pour relier, partager et intégrer des profils publiques FOAF (Friend of a friend) ou XFN (XHTML Friends Network) entre applications. Ces deux standards Web définissent les relations et les connections passées entre utilisateurs. En clair, Social Graph cartographie l'ensemble du réseau social de l'utilisateur pour l'exporter vers d'autres applications. Dans une vidéo, Brad Fitzpatrick explique comment récupérer les données publiques de MySpace, Twitter et de blogs, pour éviter de démarrer sans contact ni connexion lors de l'inscription dans de nouveaux réseaux sociaux. Une solution également aux nombreuses (re)invitations qu'un utilisateur doit effectuer à son arrivée dans un réseau social. (...)

(01/02/2008 10:45:06)

Premières assises du développement de SI durables

Le Marriott des Champs-Elysées a accueilli hier les premières Assises des systèmes d'information durables. Initiée par Pierre Bonnet, Dominique Vauquier et Jean-Michel Detavernier, auteurs de l'ouvrage « Le système d'information durable », la communauté Sustainable IT Architecture (S-IT-A) vise à réfléchir aux moyens et aux étapes de refondre les systèmes d'information pour les rendre à la fois agiles et pérennes. Plus de deux cents personnes ont répondu à l'appel, décideurs en entreprise, consultants et éditeurs. (LeMondeInformatique.fr avait lui aussi choisi de s'associer à cet événement.) Les membres de S-IT-A ont pu exposer leur vision de l'évolution des SI, vers une architecture orientée services (SOA) étendue. En effet, si les SOA sont explicitement citées comme l'architecture de référence, S-IT-A distingue plusieurs étapes dans l'application de ses concepts (voir l'illustration). De la SOA de surface à la SOA de refonte Le premier niveau serait la SOA de surface, autrement dit l'ajout de technologies estampillées SOA au-dessus de l'existant. Pour Pierre Bonnet, directeur du conseil chez Orchestra Networks, il s'agit d'une étape nécessaire pour une évolution progressive, mais pas durable. Des témoignages utilisateurs ont confirmé cette vision des choses : à plus ou moins long terme, il faut envisager une refonte. Mais pour que cette SOA de refonte ne soit pas chaotique, les promoteurs de S-IT-A préconisent la mise en oeuvre d'« une chaîne d'agilité » (ACMS, Agility chain management system), extériorisant les données de référence dans un MDM (Master data management), les règles métier dans un BRMS (Business rules management system) et les processus dans un BPMS (Business process management system). Plusieurs éditeurs du secteur, sponsors de cette communauté qui prend à rebrousse-poil le discours des éditeurs majeurs du secteur, étaient là pour confirmer cette vision. Ilog, fournisseur d'un outil de BRMS et cofondateur de cette communauté, a expliqué notamment [[page]] qu'il faut identifier les règles susceptibles d'évoluer le plus rapidement, voire d'être gérées directement par les gens du métier, et choisir d'extérioriser celles-ci pour « créer des points de flexibilité ». Mais quelle que soit l'importance des ces technologies, a insisté de son côté Mario Moreno, responsable qualité et méthodes chez Generali Assurances, le plus important est de gérer le changement du sein de l'entreprise, en sensibilisant et en formant les gens. Autre élément essentiel selon lui, il faut mettre en place une gouvernance opérationnelle, et s'appuyer sur un cadre méthodologique rigoureux, « tel que Praxeme ; d'ailleurs je n'en connais pas d'autre à ce niveau ». Pour lui, la modélisation sémantique en amont, préconisée par Praxeme, la méthode publique initiée par Dominique Vauquier, est essentielle. D'abord pour guider les investissements en SOA dans les métiers qui en ont besoin, et ensuite pour éviter de se retrouver avec des systèmes jetables car mal conçus au départ. Obtenir des financements pour refondre l'architecture Les autres témoignages utilisateurs ont aussi mis en évidence des menaces qui guettent les projets SOA, en-dehors des « SOA de surface ». Pour Jean-Pierre Latour, qui travaille sur le portail de la sécurité sociale belge, il faut par exemple faire attention à n'introduire de la flexibilité que là où c'est nécessaire, car ces technologies offrant de l'agilité augmentent les coûts de développement, induisent de la fragilité de par leur complexité, et posent éventuellement des problèmes de performance. Autre question abordée lors de cette conférence, la façon d'obtenir des financements, ou au minimum du soutien, de la part de sa direction générale pour des projets de refonte qui, dans un premier temps pour la plupart, n'apportent rien en termes de fonctionnalités. De la même façon qu'il est impossible de déterminer une stratégie unique pour commencer un projet SOA, ce type de relation avec la direction générale dépend trop du contexte pour qu'on puisse établir une tactique gagnante à tous les coups. Restent quelques exemples. Ainsi, Jean-Michel Detavernier, DSI adjoint de SMABTP, a financé ses nouveaux projets grâce aux économies réalisées avec la suppression des anciens systèmes. Jean-Pierre Latour a lancé un fonds de roulement qui sert à financer des développements réutilisables, et s'alimente en facturant des équipes projet réutilisant des composants existants. (...)

(31/01/2008 12:42:02)

Microsoft rend disponible VS Studio 2008

Microsoft a enfin rendu disponible mardi 29 janvier à l'ensemble des développeurs son environnement de développement (IDE) Visual Studio 2008. Disponible en RTM depuis novembre dernier aux seuls abonnés du réseau MSDN, VS 2008 est désormais accessible aux détenteurs de licences en volume et OEM, selon un blog MSDN. Le très attendu IDE doit notamment embarquer la version 3.5 du framework .Net, lui - même permettant le développement sur WCF (Windows Communications Foundation) et WPF (Windows Presentation Foundation), respectivement les couches services Xeb et présentation incluses dans Vista. Visual Studio 2008 est également l'une des trois composantes Microsoft à ne pas avoir essuyé de retard dans sa date de livraison. A l'inverse de SQL Server 2008 et Windows Server 2008. (...)

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