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Architecture logicielle

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(02/11/2007 17:51:17)

MySpace apporte son soutien à Google OpenSocial

L'initiative OpenSocial de Google vient de recevoir un soutien de poids : MySpace rejoint en effet le nombre des partenaires. OpenSocial n'est pas un nouveau réseau social, mais au contraire une technologie qui ne demande qu'à être implémentée par les réseaux sociaux existants. Son but est de fournir une plateforme de déploiement unique pour les applications de type Web 2.0, qui sont actuellement écrites spécifiquement sur telle ou telle plateforme, comme FaceBook ou MySpace. Dans le cas d'OpenSocial, l'application (ou gadget, ou widget) est écrite de façon à s'exécuter dans un container unique, Orkut. Didier Girard, directeur technique de la SSII Sfeir, a fait partie des bêta-testeurs de l'API (interface de programmation) OpenSocial : « C'est très simple d'écrire une application, et l'API fournit la garantie qu'elle fonctionnera dans tous les containers. On en revient un peu au principe du 'développer une fois et déployer partout' de Java, à ses débuts. » Pour l'instant en revanche, rien n'indique qu'il sera possible de faire discuter une application d'un container directement avec celle d'un autre container souligne-t-il. On peut imaginer une application écrite avec l'API, et déployée à la fois sur Viadeo, LinkedIn et MySpace. Il serait tentant de pouvoir échanger des informations d'un réseau social à l'autre. Mais il faudra probablement, pour ce faire, passer par un serveur intermédiaire. MySpace a annoncé il y a seulement quelques jours qu'il ouvrirait ses API ; le réseau social a pu constater combien FaceBook avait gagné en popularité suite à l'ouverture de ses propres API. Ironiquement, les développeurs devraient pouvoir utiliser les API OpenSocial avant celles de MySpace. (...)

(31/10/2007 16:08:22)

SAFECode, une association pour la qualité logicielle

Quel point commun existe-t-il entre EMC, Symantec, Juniper networks, Microsoft et SAP ? Ces cinq éditeurs ont tous - un jour ou l'autre - vu leurs logiciels remis en cause en raison de vulnérabilités informatiques. Ils ont donc décidé de créer une association, la SAFECode (pour Software Assurance Forum for Excellence in Code), qui aura pour objectif d'améliorer la fiabilité des produits et services informatiques, en généralisant les modèles d'assurance qualité pour logiciels. En clair, il s'agit de regrouper dans un pôle commun toutes les bonnes pratiques de développement et d'intégration des logiciels que chaque éditeur a développés de son côté avec ses clients. Paul Kurtz, analyste chez Good Harbor Consulting et ex-directeur de CSIA (Cyber Security Industry Alliance), prendra la tête de cette association. « L'assurance logicielle est un élément critique pour sécuriser les écosystèmes informatiques. SAFECode répond à la demande croissante des utilisateurs pour plus d'information et de dialogue sur l'assurance logicielle et pour faire progresser la confiance du public dans les technologies de l'information et les produits et services de télécommunication », affirme Paul Kurtz, directeur exécutif de SAFECode. Outre un partage des informations entre tous les membres de l'association, SAFECode interviendra également auprès des gouvernements pour les sensibiliser afin d'obtenir des standards clairs de qualité logicielle. Aucune date n'a encore été annoncée pour la publication de premières bonnes pratiques communes. (...)

(31/10/2007 10:47:05)

Un test pour mesurer la performance des middlewares JMS

L'association professionnelle Spec (Standard performance evaluation corporation) annonce la mise au point du test SPECjms2007. Ce test devra permettre de mesurer les performances des middlewares orientés messages (MOM) qui utilisent Java Message Service. JMS (Java Message Service) est l'implémentation en Java des technologies d'échange asynchrone de messages entre applications. Elle est donc supportée par la grande majorité des MOM, celui de Sun évidemment, mais aussi de BEA, IBM et Oracle, ainsi que plusieurs acteurs de l'Open Source dont Red Hat. On retrouve Sun, BEA, IBM et Oracle dans la liste des acteurs ayant collaboré à la mise au point du test SPECjms2007, aux côtés de l'université allemande Technische Universitat Darmstadt et de la Fondation Apache. (...)

(30/10/2007 18:04:00)

L'OpenDocument Foundation lâche ODF pour CDF

« Après des mois de tests, nous croyons que le format CDF du W3C répond, et même au delà, aux besoins du marché. Et cela, sans le recours à des extensions propriétaires [...] nécessaires pour la conversion de documents, d'applications et de processus vers ODF. » Le couperet est tombé. Après cinq ans d'existence et de soutien du format de fichier ODF (OpenDocument), l'OpenDocument Foundation jette l'éponge et abandonne simplement le support du format qui lui avait prêté son nom, au profit de CDF (Compound Document Format) soutenu par le W3C. La faute à des raisons techniques, d'abord, mais également à des dissensions à l'Oasis, l'organisme qui le développe. Puis enfin, à Sun. L'OpenDocument Foundation, dont la mission principale est de soutenir un format universel prônant l'interopérabilité, avait, il y a cinq ans, opté pour ODF, estimant qu'il correspondait davantage à leur définition du standard que les autres technologies du marché. L'OpenDocument Foundation est membre de l'OpenDocument Alliance qui, quant à elle, fédère les supporters d'ODF. Si l'organisme raconte sur son site comment il a été amené à prendre sa décision, Sam Hiser, vice-président de la fondation explique sur son blog que CDF est un format universel plus viable qu'ODF. Concrètement, CDF répond davantage à la « charte d'interopérabilité » de la Foundation en garantissant une meilleure compatibilité avec Open XML, le format de Microsoft, mais également en termes de convergence entre desktops, serveurs et périphériques, de portabilité et de d'indépendance des fournisseurs. « Sun ne s'intéresse qu'à son application » Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Sam Hiser admet que des tensions à l'Oasis ont barré la route à l'adoption du standard dans les entreprises. Des dissensions qui ne sont pas en ligne avec la mission de l'organisme. Une importante part des responsabilités incomberait, selon lui, à Sun qui a donné des signes clairs en février, qu'« il était plus intéressé à rendre sa propre version de StarOffice interopérable avec les formats de Microsoft Office ». Et d'aller plus loin, en suspectant le constructeur et l'accord de 2 Md$ qu'il a noué avec Microsoft, d'être pour quelque chose dans « l'apparent désintérêt du groupe à faire interopérer ODF avec Open XML ». Au final, l'OpenDocument Foundation devrait changer de nom, sans que toutefois Sam Hiser ne communique sur le prochain nom de baptême. (...)

(30/10/2007 18:03:15)

Microsoft dévoile Oslo, sa vision pour les SOA

Les applications composites au sein de l'entreprise et au-delà de ses frontières sont le nouveau cheval de bataille de Microsoft. L'éditeur a profité de sa conférence SOA & Business Process à Redmond pour dévoiler Oslo, nom de code pour un ensemble d'investissements techniques dans plusieurs lignes de produits. Le but est d'harmoniser les développements pour « simplifier les SOA », rendre usuelles les applications composites, et in fine concrétiser la promesse logiciels plus services (« software plus services »). Pour plusieurs observateurs du secteur, l'annonce est à prendre au sérieux, elle marque un engagement fort. Microsoft donne cinq domaines clés pour les investissements de ces prochaines années : - Les logiciels serveurs : l'effort continuera de porter sur Biztalk, qui sert déjà de socle pour le déploiement et l'administration des applications ; - Les services : Microsoft proposera une offre commerciale, « Biztalk Services 1 », donc fournie avec un support, de services hébergés (messagerie, authentification, workflow) permettant de mettre en place des applications composites sortant des frontières de l'entreprise ; - Le framework : la version 4 de .Net se focalisera sur le développement guidé par les modèles ; - Les outils : Microsoft prévoit d'inclure dans Visual Studio 10 des outils de gestion du cycle de vie des applications devant faciliter la conception et le déploiement d'applications distribuées ; - Le référentiel : Microsoft veut « aligner les référentiels de métadonnées des produits des divisions outils et serveurs ». Concrètement, Microsoft System Center 5, Visual Studio 10 et Biztalk Server 6 devraient partager une même technologie de référentiel pour les données concernant l'administration et le déploiement des modèles applicatifs. (...)

(29/10/2007 10:24:58)

Oracle/BEA : Oracle retire - officiellement - son offre

Comme annoncé dans son ultimatum, Oracle a retiré dimanche son offre d'achat à 17$ l'action sur BEA. Ce dernier avait répondu qu'il ne considérerait une proposition d'achat qu'à la somme de 21$ l'action, ce qui aurait valorisé l'éditeur de middleware à 8,15 Md$, au lieu de 6,66 Md$. Il s'agit néanmoins d'une manoeuvre officielle, des négociations pouvant avoir lieu de façon officieuse. Le conseil d'administration de BEA y est poussé notamment par Carl Icahn, qui estime, « avec plus de 58 millions de parts », être « le plus gros actionnaire de BEA ». Dans une lettre ouverte, Carl Icahn accuse le conseil d'administration d'agir au détriment des intérêts des actionnaires en se retranchant derrière un prix définitif de 21$, alors qu'il aurait dû, d'après lui, prendre en considération l'offre d'Oracle et négocier. Carl Icahn, à qui la vente rapporterait à peu près un milliard de dollars, demande donc à BEA de laisser ses actionnaires décider du sort de l'entreprise, et a engagé une procédure devant une cour du Delaware afin que BEA organise une assemblée générale avant toute décision d'ordre financier non approuvée par avance par les actionnaires. (...)

(25/10/2007 17:53:24)

Oracle/BEA : BEA fixe son prix à 8,15 Md$

A 21$ l'action, soit une somme globale de 8,15 Md$, BEA se dit prêt à se vendre « à des tiers, y compris Oracle ». Sous le coup d'une offre de la part d'Oracle à 17$ l'action, BEA avait d'abord répondu qu'il n'était pas à vendre, puis que le prix fixé ne reflétait pas la valeur réelle de l'entreprise. Finalement, comme dans toute transaction, la proie a elle-même fixé un prix - établi après avoir pris conseil auprès de Goldman Sachs, a précisé BEA - afin de pouvoir entamer des négociations. Pour Massimo Pezzini, analyste du Gartner, cela ne fait aucun doute que les actionnaires de BEA soient prêts à se vendre, 17$ l'action constituant déjà « un bon prix ». Pour lui, le délai avant la transaction est dû à une raison relativement simple : il faut s'entendre sur les 'golden parachutes', ces compensations financières qui seront accordées aux dirigeants de BEA. Quant aux dernières rumeurs disant qu'IBM pourrait intervenir, « j'ai du mal à l'envisager, dit-il, dans la mesure où IBM est de loin le numéro un du marché, et BEA le numéro deux : cela poserait des problèmes vis-à-vis des autorités chargées de la régulation de la concurrence ». (...)

(25/10/2007 17:38:08)

Microsoft réunit son écosystème français sur les SOA

Microsoft France a réuni ses clients et partenaires à Paris aujourd'hui, pour une Conférence SOA. Sous cet intitulé, il s'agissait en fait pour l'éditeur d'évangéliser son écosystème sur sa stratégie S+S (Software plus services). Celle-ci vise à embrasser la mode du service applicatif (Saas, software as a service) tout en la reliant à la nécessité de déployer en interne des logiciels d'infrastructure (Biztalk Server, SQL Server, Sharepoint Server...) et des clients riches (Internet Explorer, Silverlight...). Le public a ainsi eu droit aux exemples du pétrolier BP, qui utilise notamment Virtual Earth et SQL Server pour visualiser sur une carte le déploiement de ses collaborateurs, et de Quiksilver, qui a monté un site communautaire à l'occasion d'une compétition de surf, afin d'attirer le chaland vers son site de e-commerce. En introduction de la journée, Massimo Pezzini, analyste et vice-président du Gartner, a pour sa part donné des conseils très utiles, empreints de pragmatisme. Ainsi, dit-il, il serait stupide de s'enfermer dans une vision extrémiste de la SOA : mieux vaut définir son propre style d'implémentation. De même, afin de ne pas succomber à la complexité, Massimo Pezzini conseille de découper l'architecture de l'entreprise en domaines, joints par une plateforme commune. Et comme le soulignait ensuite au 'village partenaire' un représentant de l'éditeur Amberpoint, soulagé, Gartner estime qu'il faut faire intervenir relativement tôt la gouvernance dans un projet SOA, sous peine que cela devienne trop complexe ensuite. Microsoft a ensuite expliqué quels avantages on peut tirer de la version R2 de Biztalk. Mais aucune annonce majeure n'a été faite ; l'évolution de son offre SOA (nom de code Oslo) devrait pourtant être annoncée dans peu de temps. (...)

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