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Architecture logicielle
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(25/10/2007 16:02:43)
Oracle 11g disponible sous Windows
Trois mois après la version Linux de son SGBD Oracle 11g, Oracle annonce celle pour Windows. Cette version embarque des fonctionnalités propres à cet environnement telle l'exploitation du service Windows Volume Shadow Copy de Windows Server, ainsi que, par rapport à la version précédente, une amélioration de l'intégration à l'environnement de développement Visual Studio, au gestionnaire d'annuaire Active Directory et à Kerberos, le protocole d'identification réseau que Microsoft a retenu par défaut. En même temps que sa disponibilité, Oracle annonce que 11g Windows établit un nouveau record performance/prix à l'aune du test TPC-C avec 102 454 transactions par minute (tpm) et un prix de 0,73$ par transaction. Selon Oracle, l'édition standard de 11g améliore de 47% les performances et de 20% les coûts par rapport au précédent record établi en août dernier. Celui-ci (100 926 tpm à 0,74$ la transaction) était détenu par Oracle 10g sous Oracle Linux dans une configuration quasi identique. Le faible écart entre les deux tests s'explique par le fait que la "gratuité" d'Oracle Linux est "compensée" par un coût de maintenance qui le hisse au même niveau de prix que Windows Server et sa maintenance. Le test de 11g a été effectué sur une configuration estimée à 74 556 $ qui se compose d'un HP Proliant ML350G5 animé par un Xeon quadricoeur à 2,66 GHz avec 24 Go de mémoire sous Windows Server 64 bit SP1 R2 avec un stockage en attachement direct. Plus significatif, Oracle 11g permet d'obtenir un ratio prix/performances selon le TPC nettement meilleur que Microsoft SQL Server 2005. Toujours à configuration comparable, celle sous SQL Server avait atteint 82 774 tpm pour un prix de 0,84$ la transaction en mars dernier. Aux Etats-Unis, les prix des différentes versions calculés par processeur sont : 5000$ (Standard Edition One), 15 000$ (Standard Edition) et 40 000 (Enterprise Edition). En France on paye 3700€, 11 105€ et 29 612€, soit 6% plus cher que le taux de change officiel. Une bonne entrée en matière pour la négociation tarifaire. En savoir plus La page du classement des 10 configurations ayant le meilleur rapport Prix-Performance selon le TPC (Transaction Processing Performance Council). (...)
(24/10/2007 17:04:43)Google contribuera au code de MySQL
L'éditeur suédois MySQL, qui fonde le développement de son SGBD sur du code ouvert, a tracé les grandes lignes de son évolution jusqu'en 2009. A cet horizon, Google, qui vient de signer un "Contributor Licence Agrement", aura fourni du code pour enrichir ce SGBD. Google, qui utilise beaucoup MySQL, aurait de fortes compétences en matière de réplication et de gestion d'instances multiples. Elle pourrait figurer dans une mise à jour de la version 6.0, laquelle est attendue pour fin 2008. Cette 6.1 « googlisée » est prévue pour début 2009. (...)
(24/10/2007 09:32:40)Oracle/BEA : BEA se dit prêt à se vendre... plus cher
Visiblement, l'ultimatum d'Oracle a porté. Après que la firme de Larry Ellison a déclaré qu'elle mettrait un terme dimanche à son offre de 17 $ l'action sur BEA, ce dernier a réagi par un communiqué stipulant que l'éditeur de middleware n'était pas opposé à la vente. Enfin, cela s'entend, si Oracle relevait son offre : « Le conseil d'administration de BEA n'a pas indiqué qu'il s'opposerait à une transaction qui reflète de façon appropriée la valeur de BEA, à l'issue d'un processus raisonnable. » Oracle relèvera-t-il son offre ? Pour Ray Wang, analyste chez Forrester, « s'ils veulent vraiment dominer le marché du middleware, alors c'est une acquisition qu'ils devraient vouloir mener à terme ». Comme l'expliquaient nos précédents interlocuteurs, si BEA tombait dans d'autres mains, c'est Oracle qui se ferait distancer sur ce marché. (...)
(23/10/2007 17:54:02)Oracle/BEA : Oracle mettra un terme dimanche à son offre sur BEA
Oracle a fixé une limite à son offre d'acquisition de BEA : à partir de dimanche, son offre à 17 $ l'action, qui valorise l'éditeur à 6,7 Md$, ne sera plus valable. Oracle explique que le conseil d'administration de BEA a non seulement rejeté cette offre, mais aussi toutes les demandes d'entrevue, et qu'il n'a aucune envie de s'engager dans un long processus. On sait toutefois que l'éditeur n'a pas eu peur, pour ses précédents rachats, de repousser ses limites en termes de temps et d'argent. Et si Oracle mettait vraiment un terme à son offre, le mal aux yeux du public - en termes d'image pour BEA - est fait. (...)
(23/10/2007 17:21:05)MySQL ouvre sa feuille de route à ses clients français
Plus d'une centaine de personne s'est rendue aujourd'hui à la première conférence utilisateurs de MySQL en France. Au menu, les évolutions technologiques de la base de données Open Source, et des témoignages d'utilisateurs (Crédit Mutuel, Skyblog, Alcatel-Lucent), dans le cadre prestigieux d'un hôtel du 16e arrondissement parisien. Robin Schumacher, responsable du développement produit, a évoqué le matin la feuille de route de MySQL, indiquant que Falcon, le moteur transactionnel maison, serait en disponibilité générale fin 2008, début 2009. L'éditeur suédois avait commencé ses travaux sur Falcon à la suite du rachat par Oracle d'Innobase, l'éditeur de son moteur transactionnel le plus utilisé, InnoDB. La sécurité, sujet majeur de la version 7 Autres améliorations ou nouveautés promises avec la version 6 de MySQL, des fonctions liées à la haute disponibilité, avec des possibilités de réplication semi-synchrones (nécessitant une validation de l'enregistrement, ou 'commit'), voire synchrones pour une évolution de la solution distribuée DRDB (distributed raw block device). La version 7, censée arriver un an après, mettra pour sa part l'accent sur la sécurité : gestion des groupes et des rôles, cryptage transparent des données, audit des données, support des systèmes d'authentification externes... Il s'agit, nous a expliqué David Axmark, confondateur et vice-président de MySQL, d'un besoin essentiel pour les acteurs de la banque. Guère intéressé par une stratégie à la EnterpriseDB, qui consiste à se rendre totalement (ou du moins, le plus possible) compatible avec Oracle car « cela demande énormément d'efforts », David Axmark préfère se concentrer « sur ce qui compte le plus, les nouveaux projets » plutôt que de viser un marché de migration. S'intégrer dans une architecture de sécurité distribuée, où les informations s'échangent avec le protocole SAML, est donc un pré-requis pour ces nouveaux projets. Le support spécifique de XML viendra... quand les besoins seront exprimés Côté innovations technologiques, David Axmark croit surtout dans l'optimisation. Ainsi, Falcon est optimisé pour les processeurs multicoeurs - même si David Axmark regrette que les bus mémoire et les systèmes d'exploitation soient en retrait sur ce sujet. L'autre credo de MySQL est la variété de réponses à un variété de besoins, une approche opposée à celle que revendique par exemple le docteur Stonebraker, qui explique que le stockage vertical est l'avenir des bases de données. « C'est stupide, pourquoi augmenter le niveau de complexité, alors qu'on peut faire les choses simplement. » Ainsi, pour lui, hormis lorsqu'une application requiert du décisionnel en temps réel, « par exemple pour proposer une offre à un client en train de payer à une caisse », il vaut mieux séparer les bases de production et d'analyse. « Surtout que cela ne coûte pas cher d'avoir 1 To sur un PC pour y analyser les données. » Robin Schumacher a en effet rappelé que MySQL offre une dizaine de moteurs de stockage différents, et que plusieurs éditeurs tiers proposent les leurs : InnoDB et SolidDB pour le transactionnel, Infobright et NitroEDB pour le datawarehouse, DB2 sur plateforme IBM i5... Quant à un moteur spécifique pour XML, il ne faut pas l'attendre de si tôt, la faute aux clients qui n'ont pas une idée précise de ce qu'ils veulent, estiment Kaj Arnö, vice-président responsable des relations avec la communauté Open Source, et David Axmark. « Dès que nous aurons des requêtes spécifiques, nous le ferons », indique Kaj Arnö. (...)
(22/10/2007 17:26:15)IBM et Business Objects étendent leur partenariat
Pour simplifier la mise en place des solutions d'analyse décisionnelle, IBM et Business Objects viennent de renforcer leur partenariat portant sur des solutions conjointes. L'accord porte, d'une part, sur la livraison par le fournisseur américain d'une solution décisionnelle BO « d'entrée » dans ses solutions de datawarehouse basées sur DB2. D'autre part, Business Objects va revendre l'entrepôt de données d'IBM avec sa suite BusinessObjects XI et ses applications de gestion de la Performance. Cette annonce intervient quinze jours après l'offre d'achat faite par SAP à Business Objects. Une offre qui, rappelons-le, prévoit que le spécialiste français du décisionnel continue à fonctionner comme une entité indépendante de l'éditeur allemand. Cette annonce commune sonne donc comme un vote de confiance de la part d'IBM. (...)
(22/10/2007 14:52:38)Amazon offre 100 000 dollars au meilleur développeur de services Web
Amazon vient de lancer un concours au meilleur AWS (Amazon Web Service), autrement dit un Service Web utilisant les technologies du célèbre site de vente en ligne. Les développeurs (individuels, ou start-up) intéressés ont jusqu'au 28 octobre pour déposer leur candidature sur le site de la société en remplissant un formulaire dans lequel ils décrivent leur application, qu'elle soit encore au stade de simple idée ou déjà finalisée. Amazon retiendra les 5 meilleurs AWS en se basant sur l'originalité, la créativité mais également le service rendu au site. Les cinq finalistes seront ensuite invités au siège de la société à Seattle en novembre pour présenter leur application à un jury qui prendra alors sa décision. Le prix remis au vainqueur s'élève à un montant total de 100 000 dollars, dont 50 000 dollars en cash ainsi que différents avantages en termes notamment de formation avec les experts techniques de la société. (...)
(19/10/2007 12:48:19)Sun revisite les plug-in de Java
Sun va changer son architecture de plug-in lors de la prochaine mise à jour de Java Platform Standard Edition 6. Le but sera de rendre plus simple l'installation d'applications Java, aussi bien en entreprise que pour les particuliers. La plateforme Java devrait ainsi se lancer plus rapidement, et les applications se lanceront pendant que le reste de la plateforme se télécharge en tâche de fond. Elle pourra également faire fonctionner des applications plus lourdes que celles actuellement en place. Les utilisateurs pourront choisir application par application leur environnement Java (JRE). Enfin, la compatibilité avec Vista sera améliorée, avec la création d'applets certifiées. Pour l'instant, aucune date pour cette mise à jour n'a été donnée. Les plug-in Java seront compatibles avec Solaris, Linux et Windows, les navigateurs Internet Explorer 6 et 7 et Firefox. (...)
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