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Architecture logicielle
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(02/10/2007 11:41:05)
Web 2.0 : attention aux risques liés à Ajax, préviennent les experts
A l'occasion de l'AjaxWorld 2007 Conference & Expo qui s'est tenue fin septembre à Santa Clara (Californie), certains experts sont revenus sur les avantages mais également les risques liés à l'utilisation d'Ajax dans le cadre des applications de type Web 2.0. Ils reconnaissent en effet que la méthode de développement Ajax (Asynchronous JavaScript And XML) permet de concevoir des applications Web plus ergonomiques, car plus interactives, et qui s'exécutent plus rapidement puisque tous les traitements sont effectués sur le poste de travail sans les allers-retours avec les serveurs toujours synonymes de délais d'attente. Mais, ces mêmes experts, issus d'IBM, Oracle, Sun ou encore de sociétés spécialisées dans la création de sites Web, rappellent que les applications Ajax sont loin d'offrir la fiabilité, la richesse fonctionnelle et tout particulièrement la sécurité d'applications s'appuyant sur un serveur. Ted Farrell, architecte en chef et vice-président outils et middleware d'Oracle, rappelle déjà qu'en raison de la jeunesse des technologies, les entreprises doivent être prudentes quand au choix de leur solution : il y a deux grands frameworks sur le marché, et entre Microsoft et Adobe, il vaut mieux qu'elles ne se trompent pas car elles risqueraient alors de se retrouver coincées pour des années. Pour sa part, Danny Allan, expert d'IBM en sécurité, s'inquiète davantage de l'utilisation de sections de code fournies par les frameworks Ajax : les développeurs insèrent dans les programmes sophistiqués des entreprises des portions de codes qu'ils ne maîtrisent pas. En d'autres termes, ils perdent le contrôle de leurs développements. Pour autant les experts se veulent rassurants, l'idée n'étant pas de bannir Ajax des applications des entreprises mais plutôt de l'utiliser en bonne connaissance de cause, en commençant par clairement identifier ce qui « doit rester sur le serveur et ce qui doit aller sur le client » pour tirer le meilleur de Web 2.0, estime Robert Brewin, CTO de l'entité Software group de Sun. (...)
(28/09/2007 17:40:05)Un consortium se crée autour de Kerberos
Kerberos va se relancer. Une kyrielle de développeurs et des grands noms de l'industrie comme Google et Sun ont décidé de promouvoir le système d'authentification inventé il y a vingt ans par le MIT, dans le cadre du consortium MIT Kerberos Consortium. Leur mission : dépoussiérer la technologie, la préparer à la mobilité et le multi-plateforme, et enfin la promouvoir. Selon Sam Hartman, un des principaux développeurs de Kerberos, interrogé par nos confrères d'Infoworld, le premier travail du consortium sera de faire revivre la technologie. « Kerberos a poursuivi son évolution jusqu'aujourd'hui, mais c'est une technologie qu'on utilise sans le savoir. » Kerberos est notamment intégré aux applications d'Apple, de Red Hat et de Microsoft et serait, selon le consortium, utilisé par 100 millions de personnes. Le consortium entend également pousser Kerberos vers les solutions mobiles et étendre ses possibilités d'authentification notamment aux transactions à distance. Enfin, il prévoit de l'aligner sur les standards de l'authentification actuels, comme SAML (Security Assertion Markup Language). (...)
(27/09/2007 15:33:24)Sun soutient ses développeurs et les fait payer
Afin qu'OpenSolaris deviennent une plateforme de référence pour le développement d'applications, Sun vient de donner un coup de pouce aux développeurs. Dans la dernière version de Solaris Express Developer Edition, disponible depuis lundi dernier, Sun a inclus un accès au support technique vocal. Il suffit pour cela de débourser les 240 $ nécessaires pour s'abonner au support traditionnel de Solaris 10. Grâce à lui, les développeurs peuvent accéder à un interlocuteur en cas de problème par téléphone, et non plus seulement par courrier électronique avec une réponse facturée à 49 $ par incident ou à 249 $ d'abonnement annuel. Ils bénéficient en plus d'une distribution automatique des nouvelles versions de Sun Express Developer Edition. (...)
(26/09/2007 17:18:41)La GPL v3 ne séduit pas les développeurs Open Source
Décidément, la version 3 de la GPL (GNU Public Licence) peine à trouver des utilisateurs. Après un accouchement long de dix-huit mois, cette licence a finalement été rendue publique en juillet dernier. Depuis, malgré quelques grands projets Open Source, comme Samba, qui l'ont adopté, elle ne séduit pas. Le cabinet d'études Evans Data a ainsi interrogé 380 développeurs Open Source à son sujet. Il en ressort que 6 % d'entre eux seulement l'utilise pour au moins un projet. Les deux tiers ne comptent pas s'en servir d'ici à la fin de l'année, et 43 % d'entre eux estime qu'ils le l'utiliseront jamais. De plus, il y a presque deux fois plus de développeurs qui se disent réticents à rejoindre un projet ayant adopté la GPL v3 que de développeurs prêts à s'y intégrer. Pour John Andrews, PDG d'Evans Data, ce sont les restrictions de la GPL, intégrées notamment pour éviter que se reproduise un autre accord à l'image de celui scellé entre Novell et Microsoft, qui expliquent ce désintérêt : « La GPL v3 est controversée car elle impose des restrictions à ce qu'on peut faire avec des programmes sous cette licence. Les développeurs sont divisés et confus au sujet de ces restrictions, certains sont contre ces restrictions, d'autres, en nombre égal, sont en leur faveur et d'autres encore pensent que, de toute façon, elles ne pourront pas être respectées. » Notons que ce sont les mêmes points qui empêchent Linus Torvalds de passer Linux sous GPL v3, au grand dam de Richard Stallman. (...)
(25/09/2007 17:40:15)+20% pour les formations en logiciels libres en 2007
La formation est un bon indicateur de l'adoption d'une technologie par les entreprises. D'après la seconde édition de l'Observatoire des logiciels libres créé par deux spécialistes de la formation, Anaska et ib-groupe Cegos, le nombre de personnes formées aux logiciels libres a progressé de 20% entre 2006 et 2007. Preuve que les environnements ouverts séduisent toujours plus. Le succès de la plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP), notamment, ne se dément pas. Par ailleurs, le catalogue de formations s'enrichit désormais de sessions dédiées à un public moins technique : c'est le cas des outils de gestion de la relation client (comme SugarCRM,) et de solutions de reporting/décisionnel (comme JasperSoft et l'ETL de Talend). L'Observatoire note un engouement indéniable pour des formations autour du langage de développement Ajax et des outils du Web 2.0. Il montre aussi que si les sessions PHP portaient à l'origine sur le langage en lui-même, les entreprises cherchant désormais à se former aux techniques et architectures avancées. Elles sont demandeuses de cursus sur des frameworks comme Symfony et le Zend Framework, qui s'imposent peu à peu. Les formations aux outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent également un certain succès. Parmi les leaders, des solutions comme JasperSoft et Talend. Anaska et ib-groupe Cegos indiquent aussi que le nombre de personnes formées aux bases de données Open Source comme MySQL a progressé de 40% cette année, et que les entreprises s'intéressent à des contenus toujours plus pointus. Enfin, ils notent que le nombre de formations autour de Linux reste stable, les universités et les écoles d'ingénieurs proposant toujours plus de formations initiales. Et que les entreprises forment de plus en plus en interne sur la suite bureautique OpenOffice.org, dont les téléchargements ont progressé de 46% entre 2006 et 2007. (...)
(25/09/2007 17:25:58)Des serveurs Dell pré-configurés avec SQL Server 2005
Dell va livrer des serveurs pré-configurés pour la base de données SQL Server de Microsoft. Les deux fournisseurs prétendent ainsi damer le pion aux offreurs de solutions décisionnelles packagées (les fameuses « appliances BI »), tant au niveau du prix que des performances et de la facilité d'installation. Cette annonce a été faite par Dell lors de la conférence annuelle des utilisateurs de SQL Server, jeudi dernier, à Denver. Le constructeur texan avait été précédé sur cette voie par HP qui a, lui aussi, lancé une offre d'entrepôt de données bâtie sur MS SQL Server, en mai, à l'occasion de la Business Intelligence Conference (organisée par Microsoft sur son campus de Redmond). Dell propose trois configurations gérant respectivement 1 To, 2 To ou 4 To de données sur un système PowerVault MD1000. Chacune d'elles comprend un serveur PowerEdge sous Windows Server 2003 équipé d'une base SQL Server 2005. Leur prix s'établit à environ 100 000 $ par To de stockage. Il est prévu que PerformancePoint Server 2007, la toute nouvelle offre décisionnelle de Microsoft (couvrant la gestion de la performance économique) vienne bientôt compléter la configuration, en option. Selon le « Olap Report », régulièrement mis à jour par le Business Application Research Center, Microsoft serait numéro un sur le marché des outils d'analyse multidimensionnelle Olap (online analytical processing). Un marché évalué à 5,7 Md$. Prêchant pour sa paroisse, Tom Casey, responsable de l'activité SQL Server chez Microsoft, estime que les packages qu'il propose avec Dell sont moins chers et moins propriétaires que les appliances BI de ses concurrents, ce qui les rend plus faciles à gérer et à intégrer. « Nous n'obligeons pas les entreprises à acheter une boîte noire », renchérit Judy Chavis, directrice marketing de Dell. Pour Jim Kobielus, analyste pour Current Analysis, tout cela est un peu exagéré. Il trouve notamment que le prix n'est pas si intéressant. Certes, il est moins élevé par rapport aux offres d'Oracle et d'IBM. En revanche, Jim Kobielus rappelle que les solutions équivalentes de Netezza, Datallegro et Dataupia ne se situent qu'entre 10 000 et 20 000 $ par To. (...)
(25/09/2007 17:21:19)Sun livre jMaki, son framework Javascript/Ajax
Sun a choisi le cadre de la manifestation AjaxWorld pour présenter jMaki, son framework Ajax*. Classé dans la catégorie des poids légers, ce framework est destiné à l'écriture d'applications web en JavaScript en environnement Ajax. On peut y utiliser les langages Java, Ruby, PHP (Hypertext Preprocessor) et Phobos ainsi que moult Widgets. *Rappelons qu'Ajax est l'acronyme d'Asynchronous JavaScript and XML (...)
(24/09/2007 15:23:14)IDC chiffre le marché français des SOA à 326 ME en 2006
Le marché français des logiciels et des services consacrés aux architectures orientées services (SOA) aurait pesé 326 ME l'année dernière, à en croire IDC. Le cabinet, qui donne ces quelques chiffres en préambule à la sortie d'une étude sur le sujet, estime que les trois quarts (76% exactement) de ce montant sont dus à des dépenses en matière de services. Prestations de service se décomposant principalement en intégration de systèmes (60%) et en conseil (30%). (...)
(24/09/2007 09:48:40)Visual Studio 2008 permettra de développer pour Windows Live
Microsoft va intégrer des outils de développement pour les applications Windows Live dans la prochaine version de Visual Studio afin de doper les outils pour sa plateforme de services en ligne et, in fine, d'en généraliser l'utilisation. Les développeurs qui utiliseront Visual Studio 2008 pourront donc utiliser le kit de développement pour connecter leurs applications aux services Windows Live, selon Adam Sohn, qui dirige la division Service Group de Microsoft. Le groupe poursuit les tests - en interne - de ces fonctionnalités, qui pourraient également être adjointes dans la version actuelle de Visual Studio. Windows Live est le nom donné à l'ensemble des services Web de Microsoft - recherche Internet, messagerie instantanée, blogs, emails, partage de photos - mais l'éditeur considère également Windows Live comme une plateforme de développement, de la même façon que Windows ou qu'Office peuvent être considérées comme des plateformes, explique Adam Sohn. Microsoft s'est appliqué, depuis des années, à faire croître sa base de développeurs pour renforcer ses technologies et faire face à la concurrence dans des secteurs pour lesquels le groupe n'a pas su être pionnier. C'est le cas pour les services en ligne, dans lesquels l'éditeur de Redmond fait face à la concurrence de Google pour le partage des revenus issus de la publicité. (...)
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