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Architecture logicielle
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(18/10/2006 17:41:47)
Les projets en environnement Oracle en quête de professionnels
Pour Oratech, SSII spécialisée dans l'ingénierie de projets et la formation en environnement Oracle (bases de données, serveurs d'applications, outils de développement), le cap est mis sur une croissance de 20% des effectifs avant la fin de l'année, pour passer d'une force vive de 45 à 55 ingénieurs et technico-commerciaux. En dépit d'une démarche de cooptation volontariste, avec prime, Bruno Croizat, pdg d'Oratech, constate que la frilosité des profils qualifiés en place risque bien de faire obstacle à l'atteinte de cet objectif. "Est-ce la crainte d'une rechute du marché?", s'interroge-t-il. Pour les petites structures positionnées sur ce créneau, il est aussi difficile de débaucher à la concurrence que de dénicher des jeunes déjà opérationnels. A quoi s'oppose la bonne santé des affaires dans cette spécialité: au dernier exercice bouclé au 30 juin 2006, Oratech affichait une croissance de 20% du chiffre d'affaires et un bénéfice multiplié par quatre par rapport à 2005. (...)
(18/10/2006 17:49:04)Ingres s'implante en Inde
Poursuivant sa stratégie de développement mondial, Ingres vient d'ouvrir des bureaux en Inde. L'éditeur vient de recruter Vivek Bhatnagar pour diriger sa nouvelle implantation de New Delhi. Vivek Bhatnagar est un ancien d'Informatica. Il sera chargé de développer l'activité d'Ingres sur le sous-continent indien. Sur place, l'éditeur a déjà conclu des partenariats avec des prestataires de services locaux dont, notamment, Cognizant et netCustomer. Hors des Etats-Unis et outre l'Inde, Ingres dispose de bureaux en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. Mais Ingres cherche désormais à toucher les marchés émergents, notamment l'Inde, le Brésil et l'Europe de l'est. En juillet, Ingres a procédé à sa première acquisition depuis son indépendance en novembre 2005 avec le rachat de Thinking Instruments. Cette opération a permis à l'éditeur de s'ouvrir l'Europe centrale. Ingres entend reproduire l'expérience sur d'autres marchés, notamment européens. (...)
(18/10/2006 17:44:09)Virtualisation: Microsoft ouvre sa spécification VHD
Microsoft vient d'annoncer que le programme OSP (Open Specification Promise), autorisant les développeurs à utiliser librement les spécifications de l'éditeur, allait désormais s'étendre à la virtualisation. L'éditeur ouvre en effet les spécifications de VHD (Virtual Hard Drive), un format qui permet à une unique machine d'avoir plusieurs OS et applications simultanément. Il s'agit "d'un format de fichier permettant de stocker les machines virtuelles", commente Marc Gardette, responsable stratégie chez Microsoft. Dans un communiqué, Microsoft rappelle que sa technologie était déjà licenciée auprès de 60 éditeurs. Mais "nous avons entendu le retour de la communauté sur la nécessité de rendre encore plus accessible cette technologie, note Marc Gardette. Notre objectif est d'en accélérer l'adoption de promouvoir l'intéropérabilité". Le mois dernier, l'éditeur de Redmond avait inauguré son vaste programme OSP -en ouvrant 35 standards de services web. (...)
(18/10/2006 09:31:01)IBM livre le nom et le prix de son outil d'intégration de données
IBM entamera au mois de novembre la commercialisation de son outil d'intégration de données, Information Server. Celui-ci est issu du rachat d'Ascential en 2005 pour 1,1 Md$. Information Server, jusqu'ici évoqué sous le nom de code Hawk, sera proposé à partir de 100 000 $. Il est déjà en test chez 75 entreprises utilisatrices. IBM livrera Information Server avec une copie de DB2 et d'Application Server. Mais, selon Big Blue, rien n'empêchera d'utiliser Information Server avec des logiciels d'éditeurs tiers. Par ailleurs IBM a adapté quelques-uns de ses outils pour en assurer le fonctionnement optimum avec Information Server. Parmi eux, on compte WebSphere Customer Center 7.0, qui offre une vue unifiée des clients de l'entreprise. (...)
(17/10/2006 17:40:32)Mercury présente les fruits de son mariage avec Systinet
Le mariage entre Mercury, spécialiste du test et des outils de gouvernance du système d'information, et Systinet, éditeur de l'annuaire de services le plus utilisé par les fournisseurs de solutions middleware pour la mise en ?uvre d'architectures orientées services (SOA), vient de donner ses premiers fruits. Mercury, qui a acquis Systinet en janvier dernier, a annoncé à sa conférence utilisateurs Mercury World la sortie de Systinet v2, ainsi que de nouveaux produits de test intégrés à l'annuaire. La version 2 de Systinet se veut à la fois un annuaire référençant les services et un référentiel de métadonnées sur le système d'information. Entre autres nouveautés, le logiciel inclut désormais un tableau de bord pour repérer et suivre ces données et gérer le cycle de vie de ces services (demandes d'approbation, déploiement, disponibilité...). Des rapports prêts à l'emploi sont prévus pour le reporting sur ces services. Les outils de test intégrés à l'annuaire de services La gamme d'outils de test a également été remaniée afin de mieux prendre en compte les caractéristiques des SOA. Elle s'enrichit de Mercury Service Test Management, qui peut s'appuyer sur l'annuaire Systinet répertoriant les services pour élaborer des scénarios de test. Autre nouveauté, Mercury Service Test offre notamment de tester les services dépourvus d'interface utilisateur, sur le plan fonctionnel comme pour la montée en charge (avec sa technologie historique LoadRunner). Parmi les fonctionnalités spécifiques à la SOA ajoutées aux produits Mercury, notons encore dans le module Business Availability Center la capacité de détecter les services non enregistrés (« rogue services »), soit parce qu'ils existaient avant la mise en place d'une procédure d'enregistrement, soit parce qu'ils auraient proliféré de façon incontrôlée. Ils peuvent alors être supervisés au même titre que les autres : relations avec les autres services, performance, etc. Le module est intégré à LoadRunner afin de corréler les données issues des tests et celles issues de la phase de production, pour aider à la résolution des problèmes. Cet ensemble d'outils de bonne gouvernance des SOA ne vaut bien sûr que si l'on s'en sert (intégration des tests plus tôt dans la phase de développement, respect de la procédure d'enregistrement des services, etc.), or rien ne dit que les directions informatiques soient prêtes pour une telle démarche. Comme l'admet Elie Kanaan, vice-président marketing EMEA de l'éditeur, « ce n'est pas parce qu'on vend des machines à écrire qu'on aura de bons auteurs ; là, c'est pareil ». La fusion avec HP devrait conduire à une CMDB fédérée Un autre élément pourrait retarder l'adoption de ces outils de qualité pour les SOA : la prochaine fusion annoncée avec HP (voir l'encadré ci-dessous). L'éditeur de la plate-forme de supervision Openview dispose en effet déjà d'une base répertoriant les éléments matériels et logiciels de l'infrastructure informatique (une CMDB, configuration management database). Pour Elie Kanaan, à y regarder de plus près, cela ne pose pas vraiment de souci : « La CMDB de HP est héritée en fait du rachat de Peregrine, or nous avions commencé à nous intégrer avec Peregrine. Nous avons donc rouvert ce canal. » Et conclu que la meilleure solution consistait à créer une CMDB non pas unique mais fédérée, s'appuyant sur deux CMDB, l'une répertoriant les éléments d'infrastructure, l'autre les services et applications. « Elles fonctionnent sur des critères différents, comme le type ou la fréquence des changements. » Côté gestion d'applications, Elie Kanaan juge également Mercury et HP parfaitement complémentaires, « le premier avec son approche top-down, le second bottom-up ». Selon lui, HP et Mercury partagent beaucoup de clients pour lesquels il fallait réaliser des intégrations au cas par cas. Désormais, ils n'auront qu'un fournisseur, et l'intégration sera déjà faite. (...)
(17/10/2006 10:13:03)Flapjax : un nouveau langage Open Source pour les applications Ajax
Le monde des langages pour le développement d'applications Web compte un nouveau venu. Baptisé Flapjax, ce langage a l'ambition de simplifier le développement d'applications Web exploitant Ajax, ce mélange de JavaScipt et de XML qui rend plus dynamiques les interfaces Web. Proposé sous licence BSD, Flapjax se veut particulièrement efficace pour la conception des interfaces Web mais aussi pour les communications et le stockage de données sur un serveur. Les développeurs de Flapjax mettent d'ailleurs leurs serveurs à la disposition de ceux qui souhaitent tester Flapjax ou prototyper une application développée avec leur langage. Flapjax n'est pas un langage interprété côté serveur de plus, ni un nouveau langage nécessitant un énième composant d'extension côté navigateur Web : le code Flapjax peut être « compilé » en JavaScript par son développeur ou bien laissé à la charge du navigateur Web sur le poste client; son support par un navigateur Web tient à une simple librairie JavaScript téléchargée depuis le serveur. (...)
(16/10/2006 18:21:21)La licence Netweaver bientôt accessible aux développeurs individuels
SAP commence à distiller des informations en préambule à son forum développeurs TechEd, qui doit ouvrir ses portes à Amsterdam dans deux jours. Encore et toujours, il s'agit de promouvoir Netweaver, le socle technologique de la suite progicielle remaniée, et partant le middleware sur lequel les éditeurs indépendants peuvent s'appuyer pour proposer des logiciels capables de fonctionner en environnement SAP. L'éditeur allemand devrait annoncer lors du TechEd un accès facilité, à un tarif préférentiel, à la licence de Netweaver pour les développeurs individuels. Auparavant, seules les entreprises avaient droit à ce programme d'accès à la licence. SAP espère ainsi susciter des vocations, notamment pour développer le nombre de solutions connexes à son offre pour les entreprises de taille moyenne. SAP devrait par ailleurs annoncer les noms d'autres bénéficiaires de son fonds d'investissement de 125 millions de dollars, lancé en mai dernier et destiné à financer des petits éditeurs oeuvrant dans l'écosystème Netweaver. A cette date, seul l'éditeur Questra (gestion de périphériques) en a profité. Chaque éditeur ne devrait percevoir qu'un maximum de 5 millions de dollars. Mais pour ces petits acteurs, la perspective la plus alléchante est souvent celle d'un rachat pur et simple... (...)
(16/10/2006 18:29:57)La licence Netweaver bientôt accessible aux développeurs individuels
SAP commence à distiller des informations en préambule à son forum développeurs TechEd, qui doit ouvrir ses portes à Amsterdam dans deux jours. Encore et toujours, il s'agit de promouvoir Netweaver, le socle technologique de la suite progicielle remaniée, et partant le middleware sur lequel les éditeurs indépendants peuvent s'appuyer pour proposer des logiciels capables de fonctionner en environnement SAP. L'éditeur allemand devrait annoncer lors du TechEd un accès facilité, à un tarif préférentiel, à la licence de Netweaver pour les développeurs individuels. Auparavant, seules les entreprises avaient droit à ce programme d'accès à la licence. SAP espère ainsi susciter des vocations, notamment pour développer le nombre de solutions connexes à son offre pour les entreprises de taille moyenne. SAP devrait par ailleurs annoncer les noms d'autres bénéficiaires de son fonds d'investissement de 125 millions de dollars, lancé en mai dernier et destiné à financer des petits éditeurs oeuvrant dans l'écosystème Netweaver. A cette date, seul l'éditeur Questra (gestion de périphériques) en a profité. Chaque éditeur ne devrait percevoir qu'un maximum de 5 millions de dollars. Mais pour ces petits acteurs, la perspective la plus alléchante est souvent celle d'un rachat pur et simple... (...)
(13/10/2006 17:29:35)Le patron d'Eclipse à Paris pour soutenir son utilisation dans l'embarqué
Après deux jours passés à Esslingen (Allemagne) pour le premier Eclipse Summit européen, et avant de retourner dans son Canada natal où il est attendu pour un match de hockey, Mike Milinkovich, le directeur exécutif de la Fondation Eclipse, était de passage aujourd'hui à Paris pour un événement organisé par l'éditeur français TNI-Software, avec l'aide de Didier Girard (ex-Improve, désormais directeur technique du groupe Sfeir). Baptisé « Eclipse now you can », ce colloque à l'ambiance familiale a réuni une centaine de personnes, venues en savoir plus sur Eclipse en général et sur ses domaines d'utilisation dans l'univers de l'embarqué et des métiers de l'industrie. Mike Milinkovich a insisté justement sur le fait qu'Eclipse n'était pas seulement un environnement de développement Java, mais aussi, entre autres, un atelier C/C++ très utilisé dans le monde de l'embarqué, notamment par des entreprises comme Nokia pour ses applications pour téléphones. Fort du succès de la conférence d'Esslingen (qui a attiré « plus de 300 personnes, dont seulement 19 Français »), les dirigeants d'Eclipse prévoient d'y revenir l'année prochaine pour une deuxième édition. (...)
(13/10/2006 17:41:31)Ingres nomme un directeur général pour ses activités en France
Ingres donne du sang neuf à ses activités françaises. L'éditeur de la base de données éponyme nomme un directeur général à la tête de sa filiale française. Eric Soares, ex-Critical Path, aura la charge du développement des activités d'Ingres dans l'Hexagone et en Europe du Sud. Un secteur qu'il connaît bien : il a tenu le poste de directeur région (France, Italie, Espagne et Portugal) chez Novell, avant de rejoindre Critical Path en tant que directeur général France. Ingres poursuit ainsi sa relance. Et mise sur ses activités régionales et sa base installée pour lui donner l'impulsion nécessaire. Une stratégie débutée il y a plus de six mois, en ré-activant son Club utilisateurs en France. A l'époque, l'objectif principal était de renouer la collaboration entre l'éditeur et les utilisateurs (entreprises et éditeurs indépendants) de la base de données. Une tâche que devra certainement coordonner Eric Soares. "Ingres est un acteur capable de faire la différence sur son marché", affirme-t-il dans un communiqué. C'est en effet ce que prétend le cabinet Forrester, qui positionne Ingres comme une des bases de données Open Source les plus intéressantes du marché (devant MySQL), en termes fonctionnels. Allant jusqu'à la recommander aux entreprises cherchant des bases pour des applications transactionnelles à fort volume, ou pour construire des entrepôts de données de taille moyenne. (...)
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