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Architecture logicielle
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(12/10/2006 18:17:29)
Oracle veut mieux informer sur ses correctifs
La série de correctifs diffusée par Oracle mardi 17 octobre prochain aura des airs de première. L'éditeur va en effet lui appliquer un ensemble de nouvelles mesures destinées à rendre ses rustines plus lisibles par les administrateurs système. Les vulnérabilités concernées par les correctifs diffusés par Oracle seront notées selon le système CVSS (Common Vulnerability Scoring System), soutenu notamment par Cisco et IBM. En outre, l'éditeur va fournir un descriptif des failles corrigées et isolera clairement dans une liste spécifique les failles susceptibles d'être exploitées par un pirate distant, y compris s'il ne dispose d'aucun accès autorisé au serveur. Darius Wiles, directeur d'Oracle Security Alerts, explique vouloir ainsi répondre aux attentes des utilisateurs : « nos clients nous demandent désormais une information mieux formatée. Ils veulent une évaluation objective de ce qui est le plus important. » Jusqu'alors, l'évaluation de l'importance d'un correctif proposé par Oracle se faisait par le truchement d'une matrice d'interprétation scindant les risques en trois catégories. (...)
(11/10/2006 18:01:04)Spring 2.0 en version finale
Spring, le framework sans doute le plus populaire dans le monde Java, vient de sortir en version 2.0 finale. Ce framework léger, basé sur l'inversion de contrôle (IoC), a été adopté par de nombreux développeurs comme une alternative à la plate-forme de développement lourde qu'est Java Platform Enterprise Edition (Java EE). Selon Rod Johnson, créateur du framework Spring et président d'Interface21, la société derrière le projet, cette version met l'accent sur la simplicité et la puissance, tout en restant retro-compatible avec les versions précédentes. Parmi les nouveautés, on notera des améliorations dans le coeur du conteneur IoC, incluant de nouveaux scopes pour les beans Spring, avec la possibilité de créer ses propres scopes ; la configuration XML extensible, basé sur XML Schema avec la possibilité de créer ses namespaces ; de nombreuses améliorations dans le support de l'AOP (Programmation Orientée Aspect) notamment pour exploiter les avantages du langage AspectJ ; le support amélioré de JMS Messaging ; l'utilisation des nouveautés de Java 5 telles que les annotations ; l'extension du modèle de composant Spring pour supporter les langages dynamiques tournant dans la JVM tels que JRuby, Groovy, BeanShell ; l'ajout d'un Portlet MVC Framework, très demandé par la communauté Spring... La liste complète des nouveautés peut être consultée sur le site de Spring 2.0. Dès le premier jour, la nouvelle version du framework a été téléchargée à plus de 10 000 exemplaires, ce qui vient grossir le million de téléchargement de la version précédente. (...)
(11/10/2006 18:00:24)L'état du développement Web 2006/2007
Menée durant l'été 2006 auprès de 5000 professionnels du Web, une étude réalisée par SitePoint et Ektron sur les grandes tendances du développement Web est selon les deux organisations, la plus grande enquête jamais réalisée auprès de ce public. Les questions portaient sur leur travail, les outils qu'ils utilisent, les plates-formes pour lesquelles ils développent et les pratiques utilisées dans les tâches de conception et de développement. Dans le domaine des standards, si CSS semble bien implanté (69% l'utilisent principalement), la validation à 100% du code HTML/XHTML ne préoccupe que 25% des développeurs. Les autres s'accommodent d'erreurs occasionnelles ou ne valident pas du tout leur code. Concernant les pratiques mises en oeuvre dans le travail de développement, la moitié a adopté la programmation objet, 36% les revues de code, 34% les tests unitaires, 29% le versioning, 18% MVC. En revanche, 24% n'utilisent rien de tout cela. Dans le domaine des outils, Dreamweaver reste l'IDE le plus utilisé (40%). 30% utilisent encore un éditeur de textes et 11% Visual Studio. Sans surprise, la plate-forme PHP reste la plus populaire, avec 68% des développeurs Web qui l'utilisent conjointement à d'autres plates-formes serveur, et 33% qui l'utilisent seule. A la question « Pour quelle plate-forme pour laquelle vous ne développez pas actuellement envisagez-vous de développer dans les 12 mois à venir ? », PHP n'intéresse alors plus que 15%, alors que Ruby on Rails attire 24% et les plates-formes Microsoft et .NET 25% et 22%. Doit-on y voir le déclin annoncé de PHP au profit de Ruby, d'autant que le futur PHP6 ne semble pas faire l'unanimité ? Parmi les technologies et les techniques utilisées, Flash reste prédominant avec 40% d'utilisation, suivi des bibliothèques JavaScript avec 38%. Ajax représente 30%. En revanche, pour les 12 mois à venir, Ajax a la cote, 46% des développeurs Web envisagent d'introduire cette pile technologique dans leurs projets Web, alors que Flash ne représente plus que 27% des intentions. Non, nous n'en déduirons pas comme le font certains blogs qu'Ajax va supplanter Flash, ces deux approches continueront probablement de coexister, parfois au sein des mêmes projets. L'étude se termine par une série de réponses à la question « what will be the next big thing on the Web ? » Les spéculations vont bon train : visualisation 3D, information portable, focus sur le contenu, vidéo, immersion totale, etc. Nous vivons une époque charnière du Web et le meilleur, que nous prépare ces développeurs, reste à venir. Une version « preview » de 25 pages de cette étude est disponible gratuitement à cette adresse. L'étude complète comporte 53 pages de données brutes, d'analyses et de commentaires. (...)
(11/10/2006 17:56:10)Les spécifications finales d'Open XML sont publiées
Comme annoncé la semaine dernière, le comité technique (TC45) de l'Ecma a officiellement publié lundi 9 octobre la version finale des spécifications d'Open XML, standard bureautique de Microsoft, inclus dans le prochain Office 2007. Marc Gardette, responsable Stratégie et spécialiste des standards chez Microsoft, rappelle que "ce draft a été approuvé à l'unanimité des membres du comité technique TC45 de l'Ecma, y compris par Apple et Novell". Ce dernier étant un fervent supporter d'OpenOffice.org. Les spécifications seront soumises au vote de l'assemblée générale de l'organisme les 7 et 8 décembre prochain, avant d'attaquer le processus de soumission auprès de l'ISO. Une étape cruciale dans la normalisation, confirme Marc Gardette, car "si l'ISO décide d'adopter ce format, ils en contrôleront l'évolution". OpenXML vise à concurrencer le format ouvert de l'Oasis OpenDocument (ODF), déjà normalisé par l'ISO, et choisi par nombre d'administrations européennes pour gérer leurs échanges de documents. (...)
(11/10/2006 12:38:39)BEA World : une vision à 360° centrée sur l'offre maison
L'édition européenne de BEA World, qui se tenait hier et s'achève aujourd'hui à Prague, n'aura été finalement qu'une session de rattrapage de l'édition de San Francisco du mois dernier (avant une troisième et dernière session de la conférence utilisateurs à Pékin en décembre). Peu d'annonces donc (voir l'encadré ci-dessous), l'essentiel ayant été dit aux Etats-Unis : l'émergence d'un style architectural commun, orienté services, pour l'ensemble des produits de BEA (les familles Tuxedo, WebLogic et AquaLogic), baptisé mSA, et le pilotage de l'ensemble des outils au travers d'un espace de travail collaboratif orienté rôles, Workspace 360. Néanmoins, plus d'un millier de clients, prospects, partenaires, journalistes et analystes ont fait le déplacement, ne serait-ce que pour éclaircir ce qui se cache derrière cette vision à 360° de la SOA, que BEA promet pour le courant de l'année 2007. Les grandes fonctions exposées comme des services Ainsi mSA, micro Services Architecture, désigne une façon d'exposer les grandes fonctionnalités des produits de l'éditeur sous forme de services, telles que la gestion de règles, le routage de messages, etc. L'idée, nous a expliqué Paul Patrick, architecte en chef de la gamme AquaLogic, est de pouvoir personnaliser les fonctionnalités des produits BEA en fonction des besoins des clients, en les étendant ou en les recombinant. « Mais, précise-t-il, les trois familles continueront d'être vendues telles quelles, nous n'avons aucune intention de nous transformer en vendeur de composants. » Autrement dit, il faudra acheter un produit pour bénéficier d'une de ses fonctionnalités - sauf négociation commerciale... Par ailleurs, si mSA désigne une façon d'architecturer les produits selon les préceptes des SOA (architectures orientées service), il ne s'agit en aucun cas de services Web ou de protocoles ouverts : l'assemblage de services est laissé aux seuls soins de BEA. Seule une porte est laissée ouverte pour des acteurs de l'Open Source, un moyen pour BEA de se dire ouvert tout en complétant son offre à peu de frais. Et le développeur ne devrait pas savoir quel produit il utilise en fait, BEA tâchant de focaliser son attention plutôt sur le service rendu. Un espace de travail commun, des rôles distincts La création des processus à partir des services fonctionnels et techniques sera dévolue à WorkSpace 360, un espace de travail collaboratif fonctionnant aujourd'hui sous forme de portail (un passage éventuel au client riche Eclipse laisse Paul Patrick dubitatif), offrant des interfaces différentes selon les rôles : architecte, développeur, responsable IT et analyste métier. Un même produit, tel que AquaLogic BPM, l'outil de gestion de processus hérité de Fuego, devrait ainsi pouvoir être manipulé par des populations différentes avec des angles de vision différents. Workspace Central, un référentiel des actifs logiciels, hérité lui du rachat de Flashline, assurera la cohérence. Voir également, à ce sujet, l'interview de Rob Levy, CTO de BEA Systems. (...)
(09/10/2006 17:44:56)Salesforce.com ouvre son langage Apex à ses clients
Salesforce.com devrait profiter de sa conférence utilisateurs "DreamForce", qui s'ouvre aujourd'hui à San Francisco, pour annoncer la mise à disposition de son langage de programmation Apex et de sa plate-forme de développement. Apex est un langage de programmation dont la syntaxe est proche de Java et qui est utilisé par les développeurs de Salesforce.com pour créer son logiciel de CRM hébergé. Apex a été spécifiquement optimisé pour bâtir des applications multi-clients. En rendant Apex et les outils associés accessibles à ses clients, Salesforce espère créer une troisième source de revenus pour compléter la vente de ses services hébergés et les revenus de licences qu'il tire de son réseau de partenaires AppExchange. Avec Apex, les clients pourront personnaliser les différents composants de Salesforce ou bâtir leur propre code pour remplacer certaines fonctions développées par l'éditeur. Salesforce.com s'interroge toujours sur le mode de facturation qu'il devrait utiliser pour Apex. La plate-forme Apex devrait être incorporée dans la prochaine version du logiciel CRM de la firme, Salesforce Winter '07, prévue pour le quatrième trimestre 2006 tandis que le langage Apex sera mis à disposition des clients au premier semestre 2007. (...)
(09/10/2006 17:43:52)OpenAjax se méfie des mashup exogènes
Ajax, aussi, expose les entreprises à des risques de sécurité. A l'occasion de l'AjaxWorld Conference, David Boloker, fondateur de l'OpenAjax Alliance (*) et CTO chez IBM, interviewé par nos confrères d'Infoworld, a pointé du doigt les menaces que constituent les services d'agrégation de contenu exogène (ou mashup) pour les systèmes d'informations. Les "mashup", symbole de l'avènement du très en vogue Web 2.0, sont des sites Internet permettant à l'internaute de fédérer et syndiquer du contenu provenant de sources extérieures, en s'appuyant sur l'éventail des technologies couvertes par Ajax, notamment Javascript, DOM, et CSS. Pour David Boloker, ce principe représente deux dangers : un premier très connu, représenté par le scripting côté serveur, et dont on peut se protéger. Le second, davantage lié à une brique fondamentale d'Ajax, Javascript, qui nécessite une exécution sur le poste client. "Si vous créez des mashup à partir de sources internes ou de partenaires - des sources de confiance -, les mashup sont sécurisés. Le problème intervient surtout quand on crée des agrégations entre ma société et une personne inconnue, qui peut soit injecter du code Javascript malformé, soit essayer de prendre le contrôle de ma machine. Comment alors sécuriser les mashup en autorisant ou non leur accès ?" Un problème que l'OpenAjax Alliance compte par ailleurs résoudre en travaillant en collaboration avec ses membres et le W3C. Encore trop de développeurs inexpérimentés Plus globalement, les problèmes de sécurité ne seraient pas uniquement liés au fonctionnement de Javascript, mais également à l'immaturité des développements provoqué notamment par un manque d'expérience de certains développeurs. "Si les projets de mashup ont abouti grâce à des développeurs chevronnées, certaines personnes développent en Javascript sans savoir comment écrire le code. Et dans le cas de mashup, cela peut être catastrophique", note-t-il. Un manque de repère, en somme, que le consortium prévoit de combler courant 2007 avec OpenAjax Hub, sa première implémentation de référence du modèle de programmation Ajax (*)L'OpenAjax Alliance est un consortium créé en février 2006 qui rassemble l'essentiel des grands acteurs du secteur (dernier en date, Sun) dont l'objectif est de développer et de promouvoir l'utilisation des technologies de clients riches Ajax (Asynchronous JavaScript and XML). (...)
(09/10/2006 14:04:20)Oracle se paie le Français Sunopsis pour intégrer les données
Pour Oracle, l'intégration de données hétérogènes passe par une énième opération de croissance externe. Pour compléter son offre d'ETL (Extract, Load & Transform, extraction, chargement et transformation de données), le géant de la base de données met la main ce lundi 9 octobre sur Sunopsis, éditeur français spécialiste de l'intégration de données. Le montant de la transaction, très discrète, n'a pas été communiqué. Dans un communiqué, Oracle indique que Sunopsis et lui-même ont des produits complémentaires. La société de Larry Ellison promet une intégration prochaine des solutions de Sunopsis à Oracle Warehouse Buidler, son offre d'entrepôt de données. Mais la technologie Sunopsis sera également incorporée à l'offre de gestion des données de référence (MDM) du middleware d'Oracle. Sunopsis avait peu à peu constitué une offre d'intégration d'applications (EAI) basée sur ses outils d'intégration de données, et se vantait de proposer une offre SOA intégrée, pour le marché des entreprises de taille moyenne. Oracle propose déjà une offre de hub de données (Customer Data Hub), mais ses multiples acquisitions pour étoffer son middleware rendent en effet nécessaire de posséder en propre un outil d'ETL. Cela promet encore quelques mois de plus pour intégrer toute l'offre. Toutefois, Oracle est encore loin, dans ce petit jeu des acquisitions, d'IBM, qui pour la seule partie intégration de données a racheté Ascential, DWL ou encore Trigo. (...)
(06/10/2006 09:48:33)Google indexe les lignes de codes sources
Dernière trouvaille Google : Indexer le code source des programmes mis à disposition sur Internet. Le pharaonique moteur de recherche inaugure ce jeudi son service sous le nom de "code search", qui devrait selon lui aider les développeurs et les adeptes du code à repérer dans les longs programmes l'unique portion de code qui les intéresse. Au lieu de télécharger l'ensemble du logiciel et de naviguer dans son code. Les lignes de programme recherchées seront surlignées dans l'ensemble du programme et, cerise sur gâteau, la licence (généralement Open Source) qui régit le logiciel sera mentionnée. "Code Search va piocher également dans les archives de type zip, tar.gz et .tar" ajoute Google. Les fonctionnalités avancées de recherche proposent enfin des filtres par type de licence, par langues et par nom de fichier. Google travaille actuellement à publier les API de Code Search. (...)
(05/10/2006 17:42:33)OpenOffice en baisse au Massachusetts mais en vogue au Danemark
Très surveillé depuis l'annonce de son adoption du format libre OpenDocument, l'Etat du Massachusetts vient de perdre un deuxième CIO en moins de six mois. Louis Gutierrez, le directeur informatique de l'Etat, a claqué la porte en mettant en cause les coupes budgétaires effectuées par l'administration. Gutierrez avait pris la succession en janvier de Peter Quinn, l'ex-CIO de l'Etat responsable de la décision d'adopter le format ODF comme format de travail pour les agences gouvernementales de l'état. Dans sa lettre de démission, Gutierrez indique que "l'esprit d'innovation informatique au sein du gouvernement du Massachusetts est parti en fumée en août, lorsque la législature s'est achevée sans prendre de décision sur le budget IT". En août, Gutierrez avait annoncé que l'Etat pourrait repousser la date d'adoption d'ODF (fixée au 1er janvier 2007, NDLR) pour permettre le déploiement de la suite OpenOffice. En fait, il semble désormais que l'Etat s'oriente vers le maintien de Microsoft Office assorti d'un plug-in ODF. Le Danemark poursuit sa route vers OpenDocument Au Danemark, OpenDocument a le vent en poupe. Selon une étude du cabinet danois Rambøll Management A/S, le gouvernement local pourrait économiser 125 millions de couronnes (environ 16,5 ME) au cours des 5 prochaines années s'il adoptait OpenOffice au lieu d'Office 2007. Le rapport vient appuyer une décision du parlement du 2 juin dernier qui contraint les institutions à échanger leurs informations avec les citoyens en utilisant des formats ouverts. Commandé par l'OpenSource Business Association danoise, il est pris avec des pincettes par le gouvernement. S'il se félicite du débat ouvert par le rapport, Adam Lebech, le patron de l'agence informatique et télécoms danoise, relève que le rapport ne se préoccupe que d'analyser les coûts, mais ne s'intéresse pas aux économies que pourrait générer la bascule vers des formats ouverts. Ce qui n'empêche pas certains départements d'avancer. Ainsi, Helge Sander, le ministre de la Recherche danois, a expliqué qu'ODF est devenu le format officiel de son ministère depuis le 1er septembre (...)
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