Flux RSS

Architecture logicielle

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2077 documents trouvés, affichage des résultats 821 à 830.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(24/06/2009 10:53:17)

Microsoft retire son connecteur Oracle de .Net

Microsoft retire le connecteur OracleClient d'ADO.Net (ActiveX Data Object). System.Data.OracleClient, de son nom complet, est une interface d'accès aux données pour les applications .Net connectées à un SGBD Oracle. Les réactions des développeurs sont plutôt négatives. Mais Microsoft assure qu'une "part importante" de ses clients utilisent déjà d'autres solutions. L'éditeur de Redmond continuera d'assurer la maintenance d'OracleClient pour son .Net Framework version 4.0. Parmi les solutions de rechange figurent Oracle Data Provider for .NET (ODP.NET) ainsi que des produits de DataDirect Technologies et de Devart (ex-Core Lab). Ce retrait s'inscrit dans la politique d'économie de l'éditeur qui a fait disparaître plus d'une douzaine de logiciels de son catalogue. (...)

(23/06/2009 08:42:08)

Tribune : le concept de bases de données épaisses, pour en finir avec la lourdeur et la lenteur

Et si la réponse au problème de compétences dans le développement informatique passait par une utilisation plus optimale des bases de données ? Dans une tribune publiée dans le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr, Frédéric Brouard, spécialiste en bases de données relationnelles, met en avant le concept de développement en bases de données épaisses comme remède à bien des maux actuels. Le concept de SGBD épais vise à inclure davantage de traitements au sein même de la base. Les avantages, écrit Frédéric Brouard, sont nombreux : vitesse de traitement améliorée, langage de développement stable, possibilités étonnantes du SQL réduisant sensiblement le temps de développement. Et de citer quelques statistiques : « Réduction par un facteur 3 à 4 des lignes de code client, donc réduction potentielle par ce même facteur des bugs non encore découverts, division par un facteur 10 à 100 des temps de réponse du système, réduction par un facteur 2 à 3 du temps global de développement. » Frédéric Brouard relève aussi l'inconvénient majeur de cette approche : « Il convient que tous les acteurs d'un tel projet maîtrisent les techniques des bases de données relationnelles, ce qui est rarement le cas ! » A la place, dénonce l'auteur, les développeurs requièrent à des lignes et des lignes de code, ou bien se reposent sur les derniers frameworks à la mode, au risque que quelques années après, plus personne ne sache les maîtriser et donc maintenir l'application. A toutes fins utiles, en enseignant qu'il est aussi (au Cnam, à l'Isen Toulon et à Toulouse le Mirail), Frédéric Brouard donne les conseils et techniques pour déterminer où placer son code métier et quelles fonctions utiliser dans SQL. En passant, l'auteur égratigne aussi les ORM (outils de correspondance relationnel-objet), qui se sont imposés pour simplifier le dialogue entre le code applicatif objet et les SGBD relationnels. Pour lui, avec de tels outils, « le nivellement se fait par le bas », à la fois en termes de possibilités fonctionnelles et de performances. « Il est vrai, écrit-il avec une ironie féroce, qu'en SQL on ne dispose que de quelques instructions pour faire la même chose avec la performance en plus. » Au final, estime Frédéric Brouard, il faudrait améliorer la connaissance du SQL parmi la population de développeurs. Un voeu pieux ? Retrouvez la tribune de Frédéric Brouard sur le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr. (...)

(22/06/2009 12:14:43)

Tibco propose une plateforme applicative « élastique » dans le cloud

Tibco, éditeur spécialisé dans le middleware, a décidé de se lancer... dans le middleware en ligne. Et pas forcément de la façon dont on s'y attendait, puisque à la différence de certains éditeurs du domaine des architectures orientées services (SOA) et des échanges interapplicatifs, Tibco ne fournit pas un simple service d'intermédiation en mode Saas, mais une véritable plateforme applicative en ligne, qu'on peut ranger dans la catégorie Apaas (Application platform as a service), pour suivre la classification de Gartner sur les offres de cloud. L'offre Tibco Silver ressemble un peu à celle de Microsoft, Azure, ou à celle de Google avec AppEngine, dans la mesure où il est proposé aux développeurs d'y déposer leurs applications, pour un tarif qui variera en fonction de l'usage : nombre d'utilisateurs et/ou de bande passante consommée et/ou d'instances de l'application déployées, etc. La grande différence, assure Tibco, c'est qu'avec Silver la montée en charge et le retour à une consommation moindre des ressources s'effectueront de façon automatisée. C'est dans cette automatisation des choses que Tibco met son savoir-faire, en rendant l'offre EC2 (Elastic compute cloud) d'Amazon vraiment élastique. L'éditeur a en effet adapté son offre de CEP (Complex event processing) pour surveiller l'utilisation des ressources et prendre des mesures prédéfinies. « Notre moteur de règles Business Events donne à la plateforme son élasticité, explique Thierry Schang, directeur de la R&D de Tibco. Il analyse non seulement la charge de la CPU, mais aussi l'évolution du temps de réponse des requêtes et les contrats de niveau de service pour chaque requête. » Des applications conformes à SCA déployées « en quelques minutes » Au fur et à mesure, d'autres outils seront adaptés à cet usage en ligne, notamment, indique Thierry Schang, en ce qui concerne la gouvernance et la sécurité. Un moteur d'orchestration de processus devrait également être de la partie. Le but est de pouvoir déployer des applications conformes au standard SCA (Service component architecture), de façon à pouvoir relier simplement consommateurs et producteurs de services. Tibco destine cette offre à des grandes entreprises souhaitant déployer rapidement des applications pour le grand public sans présumer de leur succès, ou bien des applications destinées à un usage interne mais dont l'usage subit des variations saisonnières - « typiquement des applications de paie ou de comptabilité utilisées juste quelques jours dans le mois ». En revanche, l'infrastructure d'Amazon sur laquelle s'appuie Tibco ne garantit pas sa disponibilité au delà de 99,95% (A noter qu'aux Etats-Unis, Amazon propose une fonction d'autoscaling qui permet de voir évoluer l'infrastructure en fonction de la montée en charge). Thierry Schang minimise ce problème face aux gains attendus : « Je ne pense pas que ce soit dangereux, on voit ce que ça peut apporter en souplesse, en rapidité de déploiement : on supprime les phases de spécifications, d'achat de serveurs... passant ainsi de plusieurs mois à quelques minutes ! » Disponible dès aujourd'hui en bêta - sur dossier - Tibco Silver accepte des applications en Java, .Net, Ruby, Python et C++. D'autres langages suivront. De même, Tibco évalue d'autres plateformes qu'EC2, ainsi qu'une possibilité de donner aux clients la maîtrise de la localisation géographique de leurs données. Aucun tarif n'est encore fixé. (...)

(17/06/2009 17:35:14)

EnterpriseDB fait évoluer son SGBD compatible Oracle et change de direction

EnterpriseDB, connu pour proposer un SGBD compatible Oracle à moindre prix, annonce les versions 8.3 de Postgres Plus et de Postgres Plus Advanced Server. Cette évolution apporte en particulier la possibilité d'installer en mémoire tout ou partie d'une base qui sert essentiellement à la consultation. Infinite cache, qui ne nécessite aucune modification de code, apporte, bien sûr, un net gain de performance. Postgres s'améliore aussi sur son principal élément différenciateur : la compatibilité avec le SGBD d'Oracle. Il reçoit également des outils supplémentaires pour faciliter les migrations. Quelques jours avant l'annonce de cette version 8.3, Alfresco et EnterpriseDB signaient un partenariat aux termes duquel Alfresco Enterprise, l'outil de gestion de contenu du premier, et le SGBD du second bénéficieront désormais d'un support technique commun. Enfin, la version 8.3 de Postgres arrive dans un EnterpriseDB qui vient de changer de direction. Après avoir passé les six dernières années chez Red Hat à différents postes de haut niveau dans la vente et le marketing, Ed Boyajian, a été nommé président et directeur général. Il succède à Andy Astor qui se concentre sur le "business development". Cette nomination intervient moins de trois mois après qu'un groupe d'investisseurs, au rang desquels figure IBM, a injecté 10 M$ dans la société. Sur ces entrefaites, celui-ci avait annoncé que la version 9.7 de son SGBD DB2 intégrait désormais Postgres... (...)

(17/06/2009 12:02:09)

Salesforce.com propose un accès gratuit à sa plateforme de développement en ligne

L'éditeur de logiciels de CRM Salesforce.com espère attirer davantage de développeurs et d'éditeurs vers Force.com, sa plateforme de développement d'applications en ligne, en proposant un accès gratuit. Gratuit, certes, mais limité. Ainsi, Force.com Free Edition donne la possibilité de développer une seule application, à déployer sur un maximum de cent utilisateurs. L'offre inclut toutefois une formation en ligne, des exemples d'applications et un environnement de test. L'accès payant, lui, démarre à 50 dollars par utilisateur et par mois. Selon Salesforce.com, 110 000 applications personnalisées auraient déjà été développées sur la plateforme Force.com. L'un des arguments avancés par l'éditeur en faveur de son environnement est qu'il permettrait aux entreprises de concevoir des applications plus rapidement que les outils traditionnels. Il avance un récent rapport de Nucleus Research qui s'est penché sur 17 projets Force.com. En moyenne, les développeurs interrogés auraient pu créer les applications 4,9 plus vite que dans un environnement Java ou .Net, grâce, explique Nucleus, à la possibilité de configurer rapidement les interfaces utilisateurs, aux composants préconstruits et aux workflows personnalisables. Sans oublier que les applications Force.com sont déployées dans l'environnement de production de Salesforce.com, ce qui évite aux développeurs d'avoir à se préoccuper de choisir la base de données et le serveur d'application et leur permet de passer plus de temps sur le test de l'application. China Martens, analyste au cabinet d'études 451 Group, reconnaît que Salesforce.com aimerait effectivement bien être positionnée comme un choix possible face à Java et .Net. (...)

(16/06/2009 17:06:34)

Microsoft Visual Studio 2010 Lab Management entre en phase bêta

La réponse de Microsoft au Lab Manager de VMware a atteint la phase bêta. Comme lui, et comme les produits de VMLogix, de Surgient et de Skytap, Visual Studio 2010 Lab Management vise à permettre d'automatiser la gestion des machines virtuelles en environnement de développement. Ce type d'outils permet un gain considérable de temps et d'énergie. Visual Studio 2010 Lab Management est construit avec des briques en provenance d'Hyper-V (hyperviseur), de Visual Studio 2010 (environnement de développement) et de l'outil d'administration System Center Virtual Machine Manager (SCVMM) 2008. Il bénéficie d'un atout : son intégration dans Team Foundation Server (TFS). (...)

(15/06/2009 16:52:49)

Un week-end twitpocalyptique, ou le bug de l'an 2000 appliqué à Twitter

2 147 483 647. C'est le nombre de twitts qui terrorisait, jusqu'au week-end dernier, les inconditionnels de Twitter. Celui au-delà duquel le réseau de micro-blogging devait connaître une Twitpocalypse, c'est-à-dire un 'bug de l'an 2000' appliqué à ce service 2.0. De fait, il y eut des ratés. Mais, comme au 1er janvier 2000, bien moindres que ce que certains avaient prédit. Le moteur de Twitter n'a pas cessé de fonctionner quand le nombre de twitts a dépassé le nombre fatidique. En revanche, un certain nombre de clients pour Twitter, notamment pour iPhone et Mac, ont été inopérables pendant plusieurs heures. Ainsi, Twitteriffic, conçu pour le smartphone d'Apple, ne pouvait plus être utilisé, et Tweetie, développé pour Mac OS, proscrivait la rédaction de nouveaux messages. Ce dysfonctionnement tire son origine dans la façon dont sont archivés les twitts. Chaque message hérite d'un numéro d'identification unique. Et le nombre de 2 147 483 647, qui a été atteint vendredi, correspond au plus grand entier signé qu'un système 32 bit peut manipuler, soit (231)-1. Lorsque le total des twitts émis depuis l'entrée en service de Twitter a atteint cette limite, certains clients ont reçu des micro-messages identifiés par un nombre n'entrant pas dans la plage de ceux que leur code les autorisait à prendre en considération. Ce n'est donc pas Twitter qu'il convient de mettre en cause, mais les développeurs des clients tiers, qui ont conçu leurs applications sur une base de 32 bit et avec des entiers signés. S'ils avaient opté pour des entiers non signés - c'est-à-dire en excluant de fait les nombres négatifs - ils auraient permis à leurs outils d'accepter deux fois plus de twitts avant de planter. La démarche eut été frappée du sceau du bon sens étant donné qu'il était peu probable que le nombre de twitts soit négatif. Les clients déficients fonctionnent de nouveau, leurs développeurs ayant appliqué les corrections nécessaires. Celles-ci consistent à basculer soit vers un adressage construit sur la base d'entiers non signés, soit vers une identification en 64 bit. Dans ce dernier cas, et en considérant que les entiers sont non signés, Twitter pourra enregistrer quelque (264)-1 messages avant qu'une nouvelle Twitpocalypse survienne à nouveau. Soit 18 446 744 073 709 551 615 twitts. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >