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Architecture logicielle

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(30/03/2009 16:37:24)

Microsoft n'aime pas l'Open Cloud Manifesto

L'Open Cloud Manifesto est le dernier mouvement en date à se positionner en promoteur de standards pour le cloud. Ce genre d'association s'apprécie à l'aune de ses membres. Parmi les trente-huit sociétés qui adhèrent à ce projet, visant à faciliter l'interaction entre les différentes approches de cloud, on note les présences, de Cisco, d'EMC, d'IBM, de Juniper, de Novell, de RackSpace, de Red Hat, de SAP, de Sun et de VMware. L'Open Cloud Consortium s'est aussi joint à ce Manifesto. En revanche, on notera l'absence d'Amazon, d'Oracle et de Microsoft. Ironie de l'histoire - ou manoeuvre stratégique - Microsoft, sous la plume de Steve Martin, directeur de l'administration de la plateforme développeurs, accuse l'Open Cloud Manifesto de ne pas être ouvert : « Il nous semble qu'une société, ou quelques-unes, préféreraient contrôler l'évolution du cloud computing au lieu de chercher à trouver un consensus parmi tous les intéressés (y compris les utilisateurs) par l'entremise d'un process "open" ». A chacun de juger. (...)

(27/03/2009 16:20:51)

Ensemble, Oracle et HP se sont aussi intéressés à Sun

A entendre Paul Otellini, PDG d'Intel, Sun chercherait à se vendre depuis des mois. La mise sur la place publique par le Wall Street Journal de tractations entre IBM et le constructeur californien, qui ne s'est jamais remis de l'explosion de la bulle Internet en 2000, n'était en fait qu'un des épisodes d'une triste quête. Citant une source anonyme, mais apparemment bien renseignée, notre confrère britannique The Register semble confirmer ces dires en indiquant qu'Oracle s'était associé à HP pour scinder Sun. L'éditeur aurait proposé 2 Md$ pour les activités logicielles de Sun, HP s'offrant tout le reste. La proposition d'IBM de tout reprendre pour 6 à 8 Md$ aurait mis un terme aux tractations en cours. Tant de monde autour du lit du malade Sun indique bien que la société ne souffre pas d'un manque de technologies, bien au contraire, mais de son incapacité à en tirer des profits. Un profil qui rappelle celui de Digital avant son rachat par Compaq. Fondée sur l'Open Source et le logiciel, la stratégie de Jonathan Schwartz, qui a succédé à Scott McNealy mi-2006 à la tête de Sun, n'a pas payé. Mais le dirigeant avait-il le choix ? Il a tout de même persisté à investir 1,8 Md$ en R&D, soit plus de 13% des 13,3 Md$ de chiffre d'affaires annuel de Sun. A titre de comparaison, IBM ne consacre que 6,1 Md$ à la R&D, soit 6% de ses 98,78 Md$ de chiffre d'affaires annuel. Oracle convoitait MySQL, les outils d'annuaire et de gestion d'identités Oracle voulait jeter son dévolu sur MySQL, le seul SGBD Open Source qui lui fait de l'ombre, ainsi que sur les outils d'annuaire et de middleware de Sun, sur la gestion des identités et, aussi, sur les laboratoires où est né Java. Même en Open Source, l'environnement Java continue d'être très activement soutenu par Sun. Les intérêts d'HP étaient moins clairs, Solaris étant autant à la peine que son propre HP-UX pour résister à la montée en puissance des plateformes Windows/ Linux. L'accord ayant peu de chance d'aboutir, on peut ironiser à peu de frais sur l'intérêt qu'aurait eu HP à récupérer la ligne de processeurs SPARC alors que l'Itanium d'Intel peine à évoluer au même rythme... HP aurait aussi pu être intéressé par le savoir-faire de Sun en matière de stockage et de réseau. (...)

(27/03/2009 12:31:28)

Gartner sur le cloud : la croissance est là, mais ses voies sont incertaines

Dans un marché atone, il est bon de savoir qu'un segment technologique devrait générer de la valeur. Et ce sera le cas des services en ligne, hébergés dans le cloud, à en croire Gartner : « Les revenus mondiaux des services de cloud computing devraient dépasser 56,3 milliards de dollars en 2009, soit une hausse de 21,3% par rapport à 2008. Le marché devrait atteindre 150,1 milliards de dollars en 2013. » Mais attention, tout le monde n'entend pas la même chose par cloud ; sur ces 150,1 Md$, la location de puissance de calcul des datacenters, par exemple, ne représentera que 6,80 Md$. En prévision de son prochain « Outsourcing & IT Services Summit » de Londres en juin, l'institut a donc fait le point sur un marché aux contours... difficiles à définir. C'est d'ailleurs tout l'intérêt de cette étude que de catégoriser les choses. Par « cloud services », ou services accessibles via le cloud computing, Gartner entend : - les services applicatifs métier (tels que paie, publicité, impression, e-commerce, etc., ainsi que les services d'accès aux données), qui représentent le plus gros de ce marché : 38,9 Md$ en 2008, 119,3 en 2013. Sachant que l'essentiel de ce marché est lié à la publicité en ligne, qui devrait encore compter pour la moitié du chiffre d'affaires de ce segment en 2013, selon Gartner ; - les applications en ligne payantes (typiquement, les offres Saas), qui connaîtront une des plus fortes croissances annuelles, passant de 5,04 Md$ à 20,2 Md$ entre 2008 et 2013 (soit un taux de croissance annuel moyen de 32%) ; - les services d'infrastructures applicatives (environnements de développement et middleware en ligne), catégorie parfois appelée Apaas (Application platform as a service), qui, pour Gartner, devraient rester un marché restreint, passant de 1,52 Md$ à 2,26 Md$ de 2008 à 2013 ; - les services d'infrastructure (serveurs, OS, systèmes virtualisés, etc., mais aussi services de supervision), qui comptent pour un petit 0,96 Md$ en 2008 et atteindront - malgré un taux de croissance annuel moyen de presque 54% - seulement 8,37 Md$ en 2013. Gartner crédite en effet cette catégorie d'un potentiel important, mais lui prédit un démarrage lent. Attention aux inquiétudes des utilisateurs, et aux échecs passés Il faut noter aussi que Gartner ne prend en compte, pour réaliser ces estimations, que le chiffre d'affaires généré par la vente de services aux entreprises. Cela exclut la vente de matériels ou de services professionnels aux fournisseurs de services en ligne. De même, l'outsourcing traditionnel est lui aussi exclu. Dans ses recommandations, l'institut s'adresse particulièrement aux fournisseurs de services en ligne - ou à ceux qui voudraient le devenir - et les incite à se montrer très prudents. D'une part, pour ne pas créer trop de « hype », du bruit autour d'un phénomène qui sera lent à prendre. Ensuite, parce que beaucoup d'obstacles restent à écarter du chemin. Les inquiétudes des utilisateurs sur la confidentialité, la conformité, les performances, les possibilités d'intégration, etc., doivent être prises en compte. Gartner encourage aussi à faire autant attention à son modèle économique et à sa stratégie de tarification qu'à son infrastructure technique. Enfin, si on excepte le marché de la publicité en ligne, qui a fait ses preuves avec Google, et celui de l'e-commerce, qui a fait ses preuves avec Amazon ou Ebay, les segments liés aux services en ligne sont très nombreux et tous ne connaîtront pas le succès. Il faut se souvenir, note Gartner, « de la lente évolution des nouveaux modèles de fourniture de services, de l'échec des fournisseurs d'applications hébergées (ASP) dans les années 90 et de l'émergence graduelle mais très limitée du Saas ». (...)

(25/03/2009 17:11:13)

Le cloud d'Amazon directement accessible depuis Eclipse

Les développeurs utilisant Eclipse peuvent désormais prévoir les déploiements dans le 'cloud' d'Amazon, EC2, directement depuis leur environnement de développement favori. Un billet sur le blog officiel d'Amazon Web Services annonce en effet la publication d'un plug-in gratuit et Open Source pour Eclipse, AWS Toolkit for Eclipse. « Vous pouvez concevoir un cluster basé sur Tomcat entièrement hébergé dans EC2 directement depuis Eclipse, indique le billet de blog. Vous pouvez spécifier le nombre d'instances désirées et le type d'instance que vous souhaitez. [...] Le plug-in gérera votre cluster, démarrera les instances en fonction des besoins. » Amazon explique ce geste par la popularité de plus en plus grande d'Eclipse au sein de la communauté des développeurs. Néanmoins, cette popularité n'est pas franchement nouvelle. L'élément nouveau serait plutôt à chercher du côté d'Azure, le cloud de Microsoft, directement relié à l'outil de développement maison, Visual Studio. Pour l'heure, le plug-in supporte les déploiements d'applications Java dans le serveur d'applications Tomcat, mais l'éditeur d'EC2 prévoit de « supporter d'autres langages et serveurs d'applications au cours du temps, tels que Glassfish, JBoss, WebSphere et WebLogic ». (...)

(25/03/2009 16:41:37)

Microsoft propose des programmes Open Source, dont PHP, aux développeurs Web

La plateforme d’outils gratuits de Microsoft pour les développeurs Web s’enrichit de programmes Open Source, et notamment des applications PHP. La promotion de ce langage de script par Microsoft, au même niveau que son propre langage ASP.Net, peut surprendre au premier abord. Toutefois, on se souvient que la collaboration de Microsoft avec Zend Technologies, l’inventeur de PHP, ne date pas d’hier. Et que tout comme il l’a fait avec JBoss, Microsoft préfère faire en sorte que les outils populaires – même Open Source et concurrents de ses propres produits - puissent tourner avec le maximum d’efficacité sur Windows, pour ne pas laisser le champ libre à Linux. En l’occurrence, la version bêta de Microsoft Web Platform Installer 2.0 comprend donc, outre les propres outils Web gratuits de Microsoft (le serveur Web IIS, la base SQL Server 2008 Express, le framework .Net et l’atelier Visual Web Developer Express), une version de PHP pour Windows, ainsi que plusieurs outils Open Source et/ou gratuits écrits en .Net ou en PHP, pour mettre en place un blog (Wordpress, dasBlog, SubText, BlogEngine.Net), gérer du contenu (DotNetNuke, Umbraco, Acquia Drupal, SilverStripe CMS), supporter un wiki (ScrewTurn Wiki) ou une galerie photo (Gallery). (...)

(25/03/2009 15:12:13)

Octo Technology : « Les RIA de Microsoft et Adobe ont un niveau de maturité assez exceptionnel »

L’internétisation des applications de gestion a beau être un néologisme barbare, il s’agit aussi d’une réalité. Qui a souvent mal tourné, les interfaces HTML n’offrant pas la même productivité que leurs prédécesseurs sur clients lourds. Aujourd’hui, estime Djamel Zouaoui, architecte senior d’Octo Technology dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, les technologies d’applications Internet riches (RIA) offrent la productivité attendue à la fois par les utilisateurs et par les développeurs. Djamel Zouaoui animera, en duo avec son collègue David Alia, une session sur le sujet des RIA lors de la prochaine Université du SI d’Octo Technology (les 1er et 2 juillet prochains à Paris, en partenariat avec LeMondeInformatique.fr). Le propos des deux consultants, focalisé sur Flex d’Adobe et Silverlight de Microsoft, privilégie le pragmatisme. Au risque de susciter une petite polémique, car ce choix délibéré écarte de fait plusieurs autres solutions, notamment en Open Source, mais aussi et surtout des technologies plus respectueuses des standards, alors qu’Adobe comme Microsoft s’appuient chacun sur leur ‘player’. Interview à lire et à commenter sur le blog Ingénierie logicielle. (...)

(24/03/2009 18:09:22)

La base décisionnelle Sybase IQ 15 accélère ses temps de chargement

Sybase livre à la fin de ce mois la troisième version majeure, en dix ans, de sa base de données décisionnelle, Sybase Interactive Query. Les fondamentaux de l'offre demeurent, en particulier les trois caractéristiques techniques qui font de Sybase IQ 15, moteur relationnel SQL, une base particulièrement adaptée aux environnements décisionnels, axée sur la réduction des temps de réponse : son mode de stockage de l'information en colonnes plutôt qu'en tables (*), l'indexation complète de la base et l'usage intensif de la compression des données pour optimiser un peu plus les performances. Une combinaison qui est actuellement exploitée par 1 500 clients dans le monde, parmi lesquels des utilisateurs comme BNP Paribas, Cora, Le Monde, Norauto, Atos Worldline, Premalliance ou Phildar, notamment. En France, la moitié de ces clients exploitent Sybase IQ au-dessus d'un SGBD Sybase (ASE), l'autre moitié l'alimente à partir du SGBD d'un autre fournisseur. La restitution des données se fait à partir des outils de requête du marché (SAP/BO, SPSS, Microstrategy...). Avec la nouvelle version, IQ 15, l'un des apports majeurs réside dans la gestion des ressources disque. Jusque-là, cet aspect de l'offre manquait un peu de souplesse, de l'aveu même de l'éditeur. Il est désormais possible de placer les données sur des environnements disque distincts pour prendre en compte la gestion du cycle de vie des informations (les plus anciennes pourront être stockées sur des ressources disque moins performantes). A noter que cette gestion n'est pas automatisée. Toujours sur l'aspect stockage, le partitionnement horizontal des données (chaque colonne est découpée en segment) apporte davantage de flexibilité de gestion sur les grands volumes, qui mettent en jeu des milliards de lignes. François Guérin, responsable avant vente pour Sybase IQ, évoque à ce sujet des applications au sein desquelles les clients gèrent des dizaines de téraoctets (la plus grosse base IQ est celle de l'administration fiscale américaine, l'IRS, qui réunit 130 To de données compressées). Chargement multi-serveurs et depuis des postes distants La technologie multiplex de Sybase IQ permet de déployer l'environnement sur plusieurs machines à partir d'une seule base. Cela permet, notamment, de réserver une machine à l'alimentation des données, de répartir la charge sur plusieurs serveurs pour les utilisateurs sur Internet, et d'attribuer des ressources privées à un groupe d'utilisateurs (par exemple, le département marketing pour des applications de datamining). Avec Sybase IQ 15, ces capacités ont été améliorées. Il est possible d'effectuer des bascules instantanées vers une machine de secours et de mettre en place des scénarios d'alimentation multinoeuds. Pour les grands volumes, le chargement des données a encore été optimisé avec la capacité de charger les données directement depuis des postes distants, ou d'effectuer du chargement multi-serveurs. Des optimisations ont également été effectuées sur les index, la parallélisation d'opérations internes et les traitements SQL. D'autres améliorations concernent les fonctions d'administration et de sécurisation des données (nouvelles options pour gérer les connexions, cryptage possible des données sur le disque), ainsi que le support d'IPv6. IQ représente 20% de l'activité base de données de Sybase La commercialisation de Sybase IQ se décline en deux versions. La tarification de l'offre Small Business Edition tient compte du nombre de coeurs par serveur et du nombre d'utilisateurs. L'édition Enterprise comporte en plus une tarification basée sur le volume de données compressée sur la base. La division base de données de Sybase représente toujours 70% de son chiffre d'affaires (1,13 Md$ en 2008). Cette activité se répartit entre le moteur Sybase classique ASE (60% du revenu de la division), l'offre IQ (20%) et les autres outils d'infrastructure parmi lesquels Power MC (20%). Les 30% restants du chiffre d'affaires sont réalisés avec les deux autres divisions : Sybase iAnywhere et Sybase 365 qui se concentrent sur les offres de mobilité. (*) Utilisé pour les applications décisionnelles, le mode de stockage par colonne permet de ne lire que les données utiles, donc de lire moins de données qu'avec les SGBD traditionnels et d'obtenir de meilleurs temps de réponse. (...)

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