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Architecture logicielle

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(10/02/2009 15:58:29)

Techdays'09 : Visual Studio, Windows 7 et Azure, fers de lance de la stratégie de développement de Microsoft

Prévus pour durer trois jours, les Techdays ont démarré ce mardi matin au Palais des Congrès de Paris avec un tour d'horizon d'une heure des nouveautés concernant les développeurs. Devant un amphithéâtre quasiment comble, Thomas Serval, nouveau directeur plateformes et écosystème (suite à la nomination de Marc Jalabert au poste de directeur du marketing et des opérations, au comité de direction de Microsoft France), a passé en revue les technologies et concepts tels que Surface, LiveMesh, Windows 7, .Net 3.5, Solver Foundation, S+S, Azure... Développement et débogage PHP directement dans Visual Studio Le pivot de toutes ces démonstrations était l'atelier de développement Visual Studio ; une importance résumée par un slogan 'emprunté' à Tolkien : « un seul outil pour les programmer tous ». La seule véritable nouveauté était d'ailleurs l'annonce de l'intégration d'un plug-in PHP dans Visual Studio 2008. Intérêt: la possibilité non seulement de profiter de la puissance de Visual Studio pour écrire du PHP, mais aussi de déboguer directement le code produit. Jusqu'à présent, il fallait soit utiliser deux ateliers différents, soit, pour combiner Visual Studio et PHP, bidouiller une intégration, éventuellement avec des bouts de code fournis en Open Source, ou acheter un plug-in auprès de JCX Software (environ une centaine d'euros). Microsoft a conclu un accord commercial avec l'éditeur de ce plug-in pour inclure sa technologie avec Visual Studio. En France, la filiale de l'éditeur a même décidé de le fournir gratuitement, nous a précisé Laurent Ellerbach, responsable des relations avec les développeurs. Des milliers de personnes inscrites pour voir les nouveautés de Seven [[page]] Passant rapidement sur WPF (Windows Presentation Framework), l'interface riche qui devait se généraliser lorsque Vista aurait connu le succès, l'équipe de Microsoft a pris le temps de présenter Windows 7. « Vous vous êtes inscrits par milliers aux sessions sur Seven, on a dû réagencer l'agenda, il y a désormais deux sessions par jour », a expliqué Eric Mittelette, responsable des relations techniques développeurs. Survolant quelques nouveautés de Seven - dont la personnalisation de la barre de tâches, ou le support natif du 'multitouch' (manipulation des objets de l'écran avec plusieurs doigts) -, Microsoft a pressé les développeurs de tester leurs applications sur le système d'exploitation. L'idée, nous a expliqué par la suite Thomas Serval, est « que les éditeurs de logiciels tiers soient prêts et puissent bénéficier du raz de marée attendu avec Seven ». Le discours était certes le même avant la sortie de Vista, mais il est vrai que, de ce que la bêta laisse voir pour l'instant, Windows 7 est bien plus prometteur. Après avoir donné un aperçu des nouveautés qui viendront avec la version 2010 de Visual Studio - comme un éditeur de tests fonctionnels capturant automatiquement en vidéo les scénarios de test (un must pour les rapports de bugs) -, Microsoft a proposé une explication de texte toujours utile de sa stratégie S+S. S+S et Azure pour la plus grande liberté de choix possible Guère pressé de rejoindre le clan des éditeurs de Saas (applicatifs disponibles en ligne), Microsoft avait présenté sa stratégie Software plus services (S+S) qui a l'avantage de conserver l'importance des logiciels installés sur les postes clients. Puis est venu le train du 'Cloud computing', auquel Microsoft a rattaché ses wagons, avec l'annonce de Windows Azure. Au final, tout cela aboutit à « la plus grande liberté de choix possible pour le développeur et l'éditeur de logiciels », a expliqué Thomas Serval. Aujourd'hui, le développeur peut recourir à des briques techniques (comme SQL Server Data Services) voire des services applicatifs en ligne (comme Exchange Online), héberger son application en ligne (sur Azure - s'il s'agit d'une application .Net : la liberté de choix a tout de même ses limites), rien qu'en sélectionnant l'option de déploiement dans Azure au sein de Visual Studio. Et il suffit de modifier le fichier de configuration l'accompagnant pour modifier le nombre d'instances souhaitées. Zoomant sur un des services en ligne de Microsoft, l'outil de synchronisation LiveMesh, l'équipe de développement de Microsoft France a montré une première mondiale: l'utilisation du service de synchronisation de fichiers pour synchroniser une application, réalisant ainsi un service applicatif de collaboration en temps réel. (...)

(09/02/2009 15:33:46)

Le client riche vu par Oracle

Oracle a mis en ligne un site d'information sur les REA (applications d'entreprise riches) démontrant son savoir-faire en matière d'interfaces riches pour le Web. S'il n'édite pas lui-même de technologie de type RIA (applications Internet riches) comme Microsoft ou Adobe, Oracle veut montrer qu'il n'est pas à la traîne dans ce domaine. Son site, rea.oracle.com, illustre - notamment avec une vidéo et plusieurs exemples - ce qu'il est possible de réaliser avec les outils actuels de l'éditeur, en premier lieu le portail Webcenter, l'outil de développement Jdeveloper et les composants du cadre applicatif ADF (Application development framework). Vues par Oracle, les applications d'entreprise riches recourent aux composants Ajax, à du Flash ou au besoin à un mélange des deux. Le but est tout autant de proposer une interface Web plus attractive et plus interactive au grand public que de proposer une interface plus productive (plus proche de l'interface des outils de gestion) aux utilisateurs internes. Oracle montre par ailleurs comment utiliser ces technologies pour permettre aux utilisateurs de réaliser leurs propres combinaisons de services applicatifs (mash-up). (...)

(09/02/2009 09:49:15)

Méthodes agiles: les utilisateurs français de Scrum se fédèrent

Le petit monde des méthodes agiles se structure. Le club des utilisateurs français de Scrum vient ainsi de voir le jour, à l'initiative de Luc Legardeur, PDG du cabinet d'architectes Xebia. « Nous recourons aux méthodes agiles depuis les débuts de Xebia, raconte Luc Legardeur. Et depuis un an et demi, nous délivrons des certifications de 'ScrumMaster' [chef de projet Scrum]. » Dans le domaine informatique, deux méthodes agiles - dont le but est d'organiser plus efficacement les développements - sont principalement utilisées: XP (ou eXtreme Programming), pour la conduite des projets techniques, et Scrum (mêlée, dans le vocabulaire du rugby), pour la gestion de projet. « Il existe déjà plusieurs communautés XP, indique Luc Legardeur, mais rien ne fédère les gens pratiquant Scrum. Jeff Sutherland, le père de Scrum, avec qui nous sommes en contact régulier, nous a proposé de fonder le club utilisateurs français. » Pour fonder le SUG (Scrum user group), Luc Legardeur a contacté quelques spécialistes reconnus, comme Claude Aubry, expert indépendant et enseignant à Toulouse, Alexandre Boutin, expert à Grenoble, ou Véronique Messager Rota, auteur de l'ouvrage de référence 'Gestion de projets: vers les méthodes agiles'. Tous sont « membres bienfaiteurs et correspondants en province ». Ils seront notamment mis à contribution pour alimenter une lettre d'information mensuelle destinée à la communauté des utilisateurs de Scrum. Luc Legardeur l'estime à quelque 5 000 personnes, et cite plusieurs grands groupes y ayant eu recours: BNP Paribas, Generali, Orange, Sagem, La Poste, Areva, M6, Pierre Fabre... Une adhésion à l'association et des outils d'information gratuits L'adhésion à l'association sera gratuite, le but étant justement de « promouvoir les méthodes agiles et d'aider les gens qui les mettent en oeuvre ». Cela pourra peut-être éviter un écueil récemment mis en exergue par Hervé Lourdin, consultant d'Octo Technology. Ce dernier explique qu'avec l'augmentation du nombre de projets se réclamant de Scrum, augmente aussi le nombre d'échecs. Mais, écrit-il dans son blog, « ce n'est probablement pas 'la faute à Scrum' ». Il ne faut pas confondre la discipline méthodologique, et la façon dont elle est appliquée. La relation avec les clients sera assurée par Christophe Addinquy, du groupe Vidal, qui avait relaté son expérience réussie avec les méthodes agiles lors du séminaire 'Rencontres agiles 2007', organisé par Didier Girard (Sfeir) et Bernard Notarianni (Octo Technology). La première rencontre officielle du SUG - dont le rythme devrait être trimestriel - aura lieu le 19 mars au soir, en présence de Jeff Sutherland. En attendant, un "scrum coffee" est organisé le 11 février prochain. (...)

(06/02/2009 16:26:29)

Le fondateur de MySQL quitte finalement Sun

Après des mois d'hésitations, il est temps de tourner la page. Michael « Monty » Widenius, l'un des cofondateurs de MySQL, a annoncé hier sur son blog qu'il quitte son poste au sein de Sun pour fonder sa propre société, Monty Program Ab. Il faut dire que depuis le rachat de MySQL par Sun il y a un an, les relations entre les cofondateurs et leur nouvel employeur n'étaient pas au beau fixe. Ainsi, dès septembre dernier, après la sortie de MySQL 5.1, Monty Widenius avait déjà envisagé de démissionner . On sait désormais que les dirigeants de Sun l'ont convaincu de rester trois mois de plus pour assurer le développement de MySQL. Pendant ce temps, son compère David Axmark a claqué la porte de Sun en précisant : "Je déteste les règles que je dois suivre, mais je répugne également à les enfreindre. Il serait donc mieux pour moi de quitter mon poste, et de travailler avec MySQL et Sun sur une base moins formelle." Les trois mois de sursis s'étant transformés en sept mois sans changement, Monty Widenius jette aujourd'hui l'éponge. Il regrette principalement que le développement de MySQL Server n'ait pas été réellement ouvert, sans faire de différenciation entre le travail interne à Sun et celui des développeurs extérieurs. Malgré tout, il reconnaît que « Sun était le meilleur acquéreur possible pour MySQL ». Sa nouvelle société, Monty Program Ab, entend se concentrer exclusivement sur des projets Open Source. Elle se consacrera notamment au moteur de stockage transactionnel Maria. Certains développeurs ayant travaillé sur ce projet rejoindront la nouvelle société, tandis que d'autres resteront chez Sun, sans que cela freine leur collaboration. (...)

(06/02/2009 15:08:18)

L'Open Group veut simplifier l'architecture des SI avec la version 9 de Togaf

Le monde de l'architecture des systèmes d'information avait cette semaine les yeux braqués sur San Diego, où se tenait la conférence de l'Open Group. La raison: le consortium avait annoncé son intention d'y dévoiler officiellement la version 9 de son référentiel, Togaf (The Open Group architecture framework). Comme l'explique Eric Boulay, représentant de l'Architecture Forum de l'Open Group en France et PDG d'Arismore, Togaf « est un corpus de connaissance qui a pour objectif de professionnaliser le métier d'architecte. En oeuvrant à l'émergence de ce standard libre d'accès, l'Open Group donne à l'industrie un cadre de transformation de ses systèmes d'information, charge à chaque entreprise de l'utiliser pour définir ses standards et ses processus dans le but de fédérer l'ensemble des parties prenantes et des points de vue. » En l'occurrence, la version 9 donne plus de latitude aux architectes pour travailler ensemble de façon parallèle, grâce à une approche plus modulaire. Pour nombre d'analystes, cela devrait faciliter son adoption, car cette modularité permet de s'adapter à des besoins et à des rythmes spécifiques. Cette version prend également mieux en compte le développement d'applications orientées services, pour les SOA (architectures orientées services), grâce à « une revue détaillée de l'usage de l'ADM [Architecture development method] répondant aux transformations d'infrastructure de type SOA », explique Eric Boulay. Un vocabulaire commun et une méthode pour apaiser les tensions autour des SOA Surtout, en apportant un cadre méthodologique partagé entre les architectes, les urbanistes et les DSI, Togaf apporte un moyen d'établir un langage commun. « Le métier de transformation des SI que porte volontiers l'architecte d'entreprise est ainsi formalisé dans un cadre qui dépasse celui de la modélisation (urbanisme et architecture technique) pour rejoindre le plan stratégique et la gouvernance », estime Eric Boulay. Ron Tolido, un des directeurs techniques de Capgemini (et aussi membre de l'Open Group), pointe dans son blog plusieurs commentaires enthousiastes, dont un analyste qui pense que cela pourrait mettre fin au débat sur la mort des SOA. De fait, le A de SOA a souvent été oublié, et une méthode standard d'architecture, qu'il s'agisse de Togaf ou d'une autre, s'avère un bon point de départ pour éviter les déceptions. (...)

(06/02/2009 11:37:29)

Oracle rachète un spécialiste de la gestion de configuration logicielle

Oracle vient de racheter mValent, un éditeur du Massachusetts spécialisé dans les solutions de gestion de configuration des applications. Les conditions de la transaction ne sont pas précisées. Les logiciels ainsi récupérés viendront s'ajouter à la gamme Oracle Entreprise Manager destinée à administrer les applications. Ils la compléteront d'outils pour collecter, comparer et réconcilier les informations de configuration détaillées dans des environnements complexes (à travers de multiples applications et des centaines de serveurs, impliquant différentes équipes sur la gestion de la configuration). Ce faisant, Oracle veut renforcer ses solutions permettant d'administrer plus efficacement les systèmes opérationnels. Pour compléter sa ligne Enterprise Manager, l'éditeur avait également racheté ClearApp, en septembre dernier, pour ses logiciels permettant de gérer les performances des applications composites déployées dans le cadre d'architectures orientées services (SOA). Parmi les cadres dirigeants de mValent figurent des vétérans de l'industrie logicielle, anciens collaborateurs d'éditeurs tels que Novell, Rational, Inktomi et Open Market. (...)

(06/02/2009 11:08:44)

LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner

Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(05/02/2009 15:12:34)

Gartner : les entreprises doivent se préparer au retard du logiciel sur le matériel dans les serveurs

Le Gartner s'inquiète. Les serveurs évoluent beaucoup trop rapidement pour le logiciel. Les puces comptent un nombre de plus en plus important de coeurs. Qui plus est, ces coeurs gèrent souvent chacun plusieurs threads (instructions élémentaires). Dans le monde du x86, de deux coeurs, on est passé à quatre, et on annonce bientôt huit. Or, le multicoeur n'est pas forcément synonyme de performances améliorées, au contraire ! Car les logiciels restent à la traîne. Très à la traîne. Systèmes d'exploitation, hyperviseurs, middlewares et applications sont loin de tirer parti de toute la puissance proposée par les serveurs multicoeurs. Deux coeurs dans un processeur ne donnent pas deux fois plus de puissance. Pire encore... Carl Claunch, analyste pour le Gartner, spécialiste des infrastructures serveurs, prévient : dès qu'on dépasse deux coeurs, on peut très bien voir la performance décroître ! Le surplus de travail imposé au système par la gestion de quatre coeurs, par exemple, peut induire un tel phénomène. L'analyste estime qu'un nombre significatif d'entreprise est déjà touché et qu'il ne va cesser d'augmenter. Les hyperviseurs sont de toute façon limités à quelques dizaines de coeurs Dans deux ans, selon Carl Claunch, on devrait déjà voir apparaître des serveurs équipés de 512 coeurs au total (32 sockets hébergeant chacun 16 coeurs). Dans quatre ans, ils en accueilleront le double... Or, l'analyste rappelle que la plupart des hyperviseurs ne peuvent dépasser 64 puces. Selon lui, ESX de VMware se limite à 32 coeurs et Hyper-V de Microsoft à 24. Du coté des OS, si Linux et Windows ne dépassent pas 64 coeurs à base de x86, z/OS atteint tout juste 64 et les Unix, moins limités, supportent entre 128 et 512 puces suivant l'éditeur. Pour adapter un logiciel à une configuration multicoeur, il ne suffit pas, comme on pourrait le croire, de découper le code en plusieurs parties pour le répartir sur les puces. « Diviser le logiciel en deux ou en quatre morceaux, n'est pas très compliqué, confirme Carl Claunch. Mais quand on passe à 128 ou 256 coeurs, c'est une autre question. » D'autant que, comme le précise l'analyste, il faut aussi équilibrer ces 'morceaux' de code pour qu'ils se répartissent judicieusement sur les coeurs du processeur. Le principe même de la parallélisation, du multithreading, de la répartition de tâches... L'industrie fait des efforts pour faciliter le portage des applicatifs [[page]] Bien sûr, l'industrie informatique, celle du matériel comme celle du logiciel, travaille dur pour sortir de ce qui ressemble fort à une impasse. Ainsi, Intel et Microsoft ont tous deux rendu disponible un ensemble d'outils facilitant le travail des développeurs. « Il faut dire qu'aucun fournisseur n'a intérêt à voir réduire le taux de renouvellement des machines en entreprise ! » rappelle Carl Claunch. Les utilisateurs pourraient en effet décider de ne pas changer de matériels, pour éviter les problèmes. Les laboratoires de recherche universitaire se penchent eux aussi sur ces questions de portage. Tous s'appuient aussi, bien entendu, sur les travaux réalisés durant des décennies par le monde du HPC (calcul haute performance), même s'ils ont été menés dans des contextes très différents. « Pour l'instant, persiste cependant Carl Claunch, il n'existe pas de solution unique et simple au développement de logiciel parallélisé. » Les entreprises doivent se préparer à une migration permanente des logiciels En résumé, il faudra des mois, voire des années, pour que le logiciel rattrape son retard sur le matériel. D'autant que les constructeurs ne vont pas stopper les évolutions de leurs serveurs pour attendre le logiciel. C'est pourquoi Carl Claunch conseille aux entreprises utilisatrices de se préparer à entrer dans une période de migration permanente de leurs logiciels. « Elles ne pourront plus stabiliser les installations durant 5 ou 6 ans comme avant. » « Les entreprises étaient habituées à migrer des versions de logiciel inchangées d'une infrastructure vers une autre. Ce ne sera plus possible. En conséquence, le cycle de vie du logiciel sera de plus en plus court. » Les utilisateurs devront investir davantage de budget dans les nouvelles versions et se doter de ressources plus importantes pour la maintenance. En ces temps de crise, ce genre de conseils risque de ne pas être très bien accueilli. « Pourtant aujourd'hui, il n'y a pas beaucoup d'autre solution, note cependant Carl Claunch. Quand un éditeur sort un système d'exploitation serveur, celui-ci va durer près de dix ans. Et il devra donc s'adapter à toutes les infrastructures qui sortiront durant cette période. Il faudrait que le fournisseur écrive son OS en anticipant ces machines, y compris celles dont on ne connaît absolument rien aujourd'hui... Impossible. » (...)

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