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(23/07/2010 16:02:55)
Twitter va se doter de son propre datacenter
L'entreprise, qui a fait cette annonce au lendemain d'une panne qui a empêché les utilisateurs de se connecter ou de publier des mises à jour, espère ainsi améliorer la fiabilité de ses services. L'année avait assez bien commencé pour Twitter, mais depuis le mois de juin le site de microblogging a subi plusieurs pannes dues à des pics de trafic générés en partie par la Coupe du Monde de football, mais pas seulement.
Cette migration dans datacenter construit sur mesure ne résoudra probablement pas tous les problèmes - un défaut de base de données est sans doute à l'origine de la dernière panne - mais devrait y contribuer. Elle pourra notamment aider à mieux répondre aux enjeux liés à la croissance rapide de sa base d'utilisateurs. La société affirme en effet qu'elle a décompté cette année jusqu'à plus de 300 000 nouveaux utilisateurs inscrits par jour en moyenne. " Progresser au rythme des utilisateurs et de leur activité représente un défi unique et complexe d'ingénierie," a déclaré Twitter dans un message posté mercredi. " Le fait de disposer d'un centre de calcul dédié va nous donner plus de moyens pour répondre à l'activité croissante des utilisateurs sur Twitter." Cela va également permettre au site de mieux contrôler la façon dont ses réseaux et ses systèmes sont configurés.
Une démarche logique sans être la panacée
Des géants du Web comme Yahoo, Facebook et Google ont déjà leurs propres datacenters, mais la plupart des entreprises de petite taille font appel à des hébergeurs pour gérer à leur place leurs équipements informatiques. Jusqu'à présent, Twitter s'appuyait sur le prestataire NTT America. Pour la première fois, il devra gérer lui-même ses installations. L'entreprise a souhaité réaliser un centre de calcul - il sera situé dans la région de Salt Lake City - avec une meilleure prise en compte de ses besoins de puissance et de consommation énergétique." Twitter indique également que son futur centre " abritera des systèmes multi-constructeurs et que ses serveurs tourneront sous des OS et des applications open source."
Il est peu probable que la dernière panne survenue lundi ait pu être évitée, même avec un centre de calcul dédié : la base de données du réseau social qui stocke les informations de plus de 125 millions d'utilisateurs " s'est bloquée pendant l'exécution d'une requête ". Cela a obligeant Twitter à un redémarrage forcé qui a pris une douzaine d'heures, sans pour autant résoudre tout à fait le problème. En réalité, il a remplacé la base de données défectueuse avec une copie propre et fonctionnelle, autrement dit dans le jargon des administrateurs de bases de données, " un esclave a été promu en maître."
Crédit Photo: DR
(...)(09/07/2010 12:06:22)Twitter limite les connexions pour les applis externes
Des applications comme TweetDeck et Echofon, clients de gestion pour Twitter, sont désormais limitées à 175 appels API par heure, contrairement aux 350 autorisés jusqu'à présent. Concrètement, cela signifie qu'elles ne pourront plus mettre à jour les tweets aussi fréquemment qu'auparavant. « Les problèmes d'API de Twitter continuent d'affecter tous les clients, car celles-ci sont maintenant fixées à un niveau moins élevé. Cela mènera très probablement à des erreurs du type « limite de connexions dépassée » pour TweetDeck. Nous vous suggérons donc de vous assurer que vous avez activé « Autoriser TweetDeck à gérer ma limite d'API sur Twitter », dans Paramètres > Mises à jour Twitter. Cela devrait éviter que l'application ne manque de requêtes, même si avec une limite API si basse, la fréquence de rafraîchissement sera relativement lente », peut-on lire sur les pages d'aide du programme depuis la semaine dernière.
TweetDeck révèle aussi que quelques utilisateurs ont fait état de limitations à 75 appels par heure. Reconnaissant que de nombreux utilisateurs ont reçu des rapports de dépassement de limite erronés, le service de micro-blogging affirme mener l'enquête pour en déterminer les causes. (...)
La cotation de Facebook bientôt en orbite ?
(Source EuroTMT) L'idée de l'entrée en bourse n'est pas neuve. L'information avait déjà circulé sur la Toile en 2007. Puis en mars dernier après la publication dans le Wall Street Journal d'une interview du golden boy. « Nous entrerons en bourse un jour, tout simplement parce qu'il s'agit du contrat que nous avons avec nos investisseurs et nos employés. En revanche, nous ne sommes pas vraiment pressés » déclarait à l'époque le fondateur de Facebook. Reste aussi la grande question qui circule dans le milieu des affaires, quelle sera la valorisation de la société ?
Quid de la valorisation
L'an dernier, quelques analystes estimaient que la firme pourrait être valorisée à hauteur de 40 milliards de dollars, voire 59 milliards en 2011. Pour preuve, des analystes américains citaient l'exemple de Google qui avait atteint les 27 milliards de dollars lors de son introduction en bourse en 2004. Aujourd'hui, Google pèse environ 150 milliards de dollars. Du coup, toutes les estimations sont permises en ce qui concerne Facebook. Pour la petite histoire, la décision de faire le triple saut périlleux aurait été prise après la mise au point des résultats financiers enregistrés en 2009. Une année record pour le site créé en février 2004. Depuis décembre 2009 Facebook rassemblerait plus de 400 millions de membres actifs au niveau mondial dont 15 millions en France. Soit une augmentation de 50 % par rapport à 2008.
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Toujours côté chiffres, le site a réalisé 800 millions de dollars de chiffre d'affaires, contre 300 millions l'année précédente. Selon la rumeur, ces recettes seraient par ailleurs assorties d'un bénéfice net estimé à plusieurs dizaines de millions de dollars. Ce rythme de croissance particulièrement exceptionnel en période de crise est justifié en coulisse par l'augmentation du nombre de visiteurs d'une année sur l'autre.
Garder le contrôle de la société
L'entreprise compte aujourd'hui quelque 700 salariés ainsi que des collaborateurs occasionnels éparpillés aux quatre coins du monde. Côté gestion, le passage en bourse ne changera rien au système actuel. De fait, Mark Zuckerberg n'a aucunement l'intention de lâcher les commandes de l'avion au contraire. Cet homme dont le patrimoine personnel est estimé à 4 milliards de dollars par la revue Forbes se dit en effet très à l'aise dans ses bottes de grand patron.
Et son prochain objectif, mis à part l'entrée en bourse, est de rassembler un milliard d'internautes d'ici peu. L'idée est ambitieuse mais elle permettrait à Mark Zuckerberg, de concrétiser un autre objectif, à savoir augmenter le chiffre d'affaires publicitaire. Des accords ont déjà été passés à titre de ballon d'essai notamment avec l'agence Tribal DDB de Chicago.
Rebaptisée « proximity and delivery system », la formule mise en place permet de toucher les consommateurs équipés de smartphones et de leur offrir des ristournes dans les cafés Starbucks moyennant un message expédié via Facebook. Une idée que Mark Zuckerberg veut développer en s'associant à plusieurs entreprises. Cela devrait avoir lieu avant la présentation en bourse pour augmenter les recettes, et donc la valorisation de Facebook.
Interpol chasse les fugitifs grâce aux Internautes
Il est assez rare que l'organisation internationale de police criminelle implique le grand public dans ses recherches. Avec le développement des réseaux sociaux et la vitesse de transmission des informations, Interpol a donc décidé d'utiliser ces canaux pour obtenir des informations sur des fugitifs. Cet appel au public s'inscrit dans le service, baptisé Infra-Red (International Fugitive Round-Up and Arrest - Red Notices), qui visait 450 personnes en fuite. Tous ces individus ont été reconnus coupables, ou sont soupçonnés, d'infractions graves (meurtres, abus pédosexuels, viols et trafic de stupéfiants notamment). Inauguré en mai dernier, ce service a permis d'arrêter ou de localiser 107 personnes.
Pour Martin Cox, coordinateur de l'opération Infra-Red et Sous-directeur chargé du soutien aux enquêtes sur les malfaiteurs en fuite d'Interpol. « Il y a plus de chances que quelqu'un reconnaisse l'un de ces fugitifs sur un site de réseau social ou dans un espace de discussion qu'en le croisant dans la rue, mais quelle que soit l'origine des informations dont dispose le public, nous lui demandons de nous les transmettre ».
Les informations relatives au lieu de séjour des personnes visées par l'opération Infra-Red ou de n'importe quelle autre personne recherchée au niveau international peuvent être envoyées à l'adresse fugitive@interpol.int. (...)
La recherche d'un emploi ne passe pas encore par les réseaux sociaux
Regionsjob.com vient de livrer les résultats d'une enquête sur l'utilisation réelle des réseaux sociaux dans le cadre du recrutement. 2 208 candidats et 157 recruteurs ont donné leur avis et partagé leurs pratiques. Côté candidats, l'étude montre que 36% d'entre eux s appuient sur les sites communautaires pour chercher un emploi, ce qui n'est pas négligeable en soi. Toutefois, cette pratique reste loin derrière les sites d'emploi ou jobboards (97%), les candidatures spontanées (77%), le Pôle emploi (66%), et le réseau personnel (44%). En outre, les utilisateurs de sites communautaires sont beaucoup plus actifs que les autres pour décrocher un job (utilisation de 4,8 outils contre 3,3). Plus de la moitié des personnes interrogées estiment également que les réseaux sociaux vont gagner en importance dans le futur (57%), celles qui les utilisent déjà restant les plus convaincues (78%). Les hommes (40%) sont, en outre, plus nombreux que les femmes (33%) à s'appuyer sur ce type d'outils. Ceux-ci semblent également être un bon moyen de se placer en veille active de recherche d'emploi, puisqu'ils sont surtout utilisés par des personnes en poste. S'agissant de l'âge, il semblerait que les profils de 25-34 ans soient plus enclins à s'y inscrire (40%), même si la barrière de l'âge tend à diminuer. La durée des études joue également un rôle déterminant, les Bac+5 étant plus de 56% à y recourir.
Les candidats privilégient les réseaux professionnels
L'enquête montre également que la connaissance des différents réseaux sociaux par les candidats est immense : plus de 50% pour tous (Facebook, Viadéo, LinkedIn, Twitter, les blogs), jusqu'à 92% pour Facebook. Pour l'utilisation, on reste pour le moment cantonné aux plus simples et à ceux dont la portée professionnelle est la plus évidente. Les réseaux pros sont donc en tête, avec 89% de ceux qui utilisent ces outils dans leur recherche d'emploi inscrits sur Viadéo, 51% sur LinkedIn. A l'opposé Twitter et les blogs séduisent moins, avec seulement 15% et 14% d'utilisateurs respectifs. Quant à Facebook, si 92% des personnes interrogées connaissent le service, peu de personnes l'utilisent professionnellement (6% seulement du panel). Ils sont également peu à le considérer comme pertinent (7% du panel, 8% des utilisateurs). Par ailleurs, seuls, 5% des répondants ont été contactés par ce biais.
Les sites d'emploi majoritairement utilisés par les recruteurs
Et du côté des recruteurs ? Là encore, les jobboards dominent largement (88%) devant les candidatures spontanées (80%). Les réseaux sociaux se placent bien, mieux même que chez les candidats, puisqu'ils rassemblent 47% d'utilisateurs. Niveau importance, les résultats sont plus nuancés. Alors que les sites d'emploi sont jugés importants pour 77% des sondés, les réseaux sociaux ne seraient considérés utiles qu'à hauteur de 19%. Ils restent donc loin des sites RH d'entreprise (50%) et des candidatures spontanées (42%). L'utilisation de ce type de support devrait cependant s'améliorer dans le futur, avec un bond à 44% à cette question. Reste que les réseaux sociaux ne sont pas prêts de détrôner les autres outils de recrutement, puisque les jobboards voient leur importance bondir à 87% et les sites RH à 66%. Globalement, seules la presse et le Pôle emploi voient leur importance diminuer à l'avenir.
L'âge est une variable plus importante chez les recruteurs que chez les candidats. 63% des 25-34 ans ont recours aux réseaux sociaux pour recruter, alors que la part baisse à 27% chez les 45-54 ans. Les hommes (49%) sont toujours plus utilisateurs que les femmes (44%). Les petites entreprises de 1 à 49 employés (67%) sont fortement représentées. Les dirigeants d'entreprise (67%) également. Enfin, les recruteurs connaissent bien les réseaux sociaux, même mieux que les candidats. Facebook et Viadéo sont les plus connus (97% d'utilisateurs), suivis par Twitter et LinkedIn (80% des personnes interrogées). Encore une fois, ce sont les réseaux professionnels qui tirent le mieux leur épingle du jeu (53% d'utilisateurs sur Viadéo, 28% sur LinkedIn).
Crédit photo:D.R
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