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(23/04/2010 18:06:58)
Conférence F8 : Une API pour mailler Facebook aux autres sites
Facebook a modifié sa plateforme de développement d'applications pour que le réseau social puisse mailler les informations de ses utilisateurs avec les données d'autres sites web afin accroître encore ses capacités de personnalisation et de valorisation. Ainsi, un internaute se rendant sur un site d'actualités ou de partage de titres musicaux pourra se voir proposer un contenu tenant compte des préférences qu'il aura indiqué sur Facebook ou sur d'autres sites inclus dans la boucle.
Ou encore, il pourra accéder à la liste de ses amis Facebook déjà enregistrés sur le site et, pourquoi pas, consulter les commentaires qu'ils y ont postés. De cette façon, un accueil personnalisé sera mis en place, au hasard des sites que l'on visite, a expliqué Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, à l'occasion de sa conférence développeurs F8 qui s'est tenue le 21 avril à San Francisco
C'est la nouvelle interface de programmation (API) Open Graph, remplaçant Facebook Connect, qui va permettre aux développeurs d'interfacer le réseau social et les activités des utilisateurs avec les autres sites web.
Illustration : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook lors de la conférence F8 (Crédit photo : DR)
Conférence Chirp : Twitter expose son modèle économique
Twitter explique enfin comment il compte gagner de l'argent. Le site de microblogging tient en ce moment à San Francisco sa conférence développeurs, baptisée Chirp [en français, « pépier »], et c'est dans ce cadre que Dick Costolo, son directeur général, a abordé la question. Le modèle économique de la société va reposer sur deux piliers. Les tweets sponsorisés, récemment dévoilés, constituent le premier d'entre eux. Les annonceurs publicitaires paieront pour que ces micro-messages apparaissent en tête des résultats de recherche pour certains mots-clés.
Le deuxième pilier du modèle résidera dans les comptes commerciaux qui ont déjà été évoqués l'an dernier par la société. Ce service permettra à une entreprise d'ouvrir un compte Twitter payant en échange d'outils d'analyse détaillée et de la possibilité de laisser plusieurs personnes publier des messages sur le même compte. Ce dispositif, actuellement testé par deux cents clients environ, sera étendu plus largement, a expliqué Dick Costolo, sans toutefois préciser quand.
Le modèle comporte des risques de dérive
C'est un modèle simple mais qui présente quelques risques. Twitter, en effet, devra prendre soin de déployer ses tweets sponsorisés de façon à ne pas décourager les fidèles du site qui ont pris l'habitude d'un service sans publicité, de même que les partenaires qui y ont construit des applications, comme TweetDeck (ces développeurs ont conçu un utilitaire qui permet de rester en lien avec ses contacts via Facebook, MySpace).
Twitter devra aussi être prudent sur la façon dont il gère les données comportementales de ses utilisateurs à partir de leur fil de tweets. Les réactions suscitées dans ce domaine à l'encontre de Facebook et Google ont déjà illustré les risques qu'il y avait à s'immiscer un peu trop librement dans la vie privée des internautes.[[page]]Les tweets sponsorisés n'apparaissent aujourd'hui que lors des recherches, rappelle Dick Costolo. Les informations géolocalisées devraient suivre, ce qui permettra par exemple à une chaîne de cafés comme Starbucks de cibler les utilisateurs de telle ou telle ville.
Mais Twitter représente aussi une mine d'informations, les tweets révélant tant de choses sur les centres d'intérêt, les goûts musicaux, etc. Le directeur général de la société reconnaît que ces données pourraient être exploitées par des annonceurs pour cibler certains groupes. « Notre objectif est de les empêcher de se comporter d'une façon qui pourrait gêner nos utilisateurs, par exemple en les spammant. C'est pourquoi nous effectuons prudemment ce déploiement ».
La deuxième journée de la conférence, baptisée Hack Day, va rassembler l'écosystème Twitter autour d'applications, de projets et de start-up qui s'appuient sur la plateforme de microblogging. On y parlera outils de marketing et d'analyse des informations livrées par les consommateurs, mais aussi outils de développement.
Vision croisée sur l'adoption du e-commerce
Le e-commerce est en pleine croissance. Le FEVAD (Fédération des Entreprises de Vente à Distance) avec l'appui du Secrétariat d'Etat chargé du commerce a à ce titre annoncé dans une étude publiée en février dernier qu'en France, les ventes en ligne ont progressé de 26% en 2009. En réponse à cet engouement, nombre d'entreprises qui ne sont pas des pure player se lancent de plus en plus dans la commercialisation de leurs produits sur la toile. Face à ce nouveau modèle économique, des équipes se créent, spécialisées dans le web et travaillent en étroite collaboration avec la direction générale, les directeurs produits et les services marketing. « On fait attention à notre métier, car il est de plus en plus important » précise Sylvain Caubel, Directeur e-commerce chez Lafuma. Bien que le e-commerce soit traité à part de la vente traditionnelle, le dialogue est indispensable entre les managers. Comme le précise le responsable, « notre activité e-commerce est directement rattaché à la direction générale et deux fois par an nous travaillons ensemble pour regarder les budgets. En complément, nous réalisons un point mensuel sur les contrôles de gestion de chaque ligne produits ».
Mathieu Parisot, Directeur e-commerce pour la société Philips France, ajoute à ce titre « mon combat quotidien est de convaincre l'équipe commerciale ». Parfois des conflits peuvent émerger car les directions en charge des produits estiment parfois qu'ils sont en concurrence avec l'activité du e-commerce. Mathieu Parisot a trouvé un remède « il ne faut pas mettre exactement les mêmes produits sur le web et dans les points de vente ». De son côté, le cadre de Lafuma affirme qu' « après comparaison des bases de données, il s'avère que nous n'avons que très peu de clients en commun ».
Complémentarité financière et diversité stratégique
En dépit de l'indépendance de la filière e-commerce, la gestion des coûts est étroitement liée à celle des directions en charge des produits, car les frais engendrés sur le web leur sont directement imputés. Au total, six types de coûts sont distingués : les ressources humaines, les achats, la logistique, la technologie, la publicité ainsi que le service client avant la vente associé à la constitution de base de données. Le groupe Lafuma a réalisé des développements importants pour assurer un service conséquent à ses clients. Il précise à ce titre que : « nous avons permis aux magasins d'approvisionner des commandes web».
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Un tel projet web nécessite une organisation exemplaire. « En mars nous élaborons des prévisions pour les six mois à venir et en avril, mai et juin nous projetons les années futures ». En plus, il faut réfléchir régulièrement à des stratégies à mener pour attirer davantage de client sur le site Internet de commercialisation, mais pas uniquement. Sylvain Caubel annonce « nous avons un pôle appel qui constitue environ 20% de nos commandes ». Le but est de capter une clientèle qui cherche la mobilité, la facilité d'accès, sans pour autant passer par Internet. C'est notamment le cas des personnes âgées.
Philips se lance, lui, dans une toute autre activité annexe et mise sur les réseaux sociaux. Mathieu Parisot insiste « j'ai exploré les réseaux sociaux et j'ai remarqué que la marque a sa place ». Le e-commerce s'attaque donc désormais aux sites communautaires. « Sur le web il faut aller où sont les clients. Nous avons donc décidé de nous en remettre de plus en plus aux blogueurs dont nous nous servons comme relais » explique Mathieu Parisot. Selon lui, les systèmes d'information doivent être utilisés au mieux. Il prévoit donc d'une part de faire intervenir les internautes sur leur site de vente en ligne et d'autre part de conquérir les téléphones mobiles.
(...)(14/04/2010 09:27:30)Facebook renforce sa communication sur la sécurité
Le réseau social annonce l'arrivée d'un espace de sécurité pour ses 400 millions d'utilisateurs. Elaboré par Facebook et son Comité consultatif de sécurité, fondé fin 2009 pour répondre aux attentes de ses membres en matière de sécurité, cette page apporte de nouvelles ressources pour informer aussi bien parents, autorités, éducateurs, qu'adolescents sur les outils de sécurité fournis par le site. Il comporte notamment un portail interactif proposant du contenu multimédia créé par Facebook et des organisations indépendantes spécialisées dans la sensibilisation des personnes à la sécurité en ligne. (...)
(13/04/2010 17:07:45)La pub arrive sur Twitter
Twitter a dévoilé sa stratégie de monétisation avec l'introduction de pubs sur ses pages. Le site de micro-blogging va proposer un système de "Promoted Tweets" (ou "tweets sponsorisés") grâce auquel les annonceurs peuvent acheter des mots clés et envoyer de courts messages promotionnels. Concrètement, les utilisateurs verront ces tweets en tête de certaines pages de résultats de recherche.
Début mars, Twitter avait annoncé avoir franchi le cap des 10 milliards de messages (ou "tweets"). Quelques jours plus tôt, le site de micro-blogging, lancé en 2006, avait indiqué que ses membres publiaient un total de 50 millions de messages chaque jour, soit une moyenne de près de 600 messages postés par seconde. (...)
Attention aux fausses pubs sur Facebook
Selon Sandi Hardmeier, une chercheuse spécialisée dans la sécurité Internet, une publicité malveillante a été découverte dans une application pour Facebook qui redirigeait les utilisateurs vers un logiciel antivirus factice. La bannière en question, une publicité pour des cartes de voeux, apparaissait par intermittence dans Farm Town et a attiré, selon les informations publiées par Facebook, plus de 9 millions d'utilisateurs mensuels. « Lorsque la publicité au format Flash Shockwave était affichée, l'utilisateur était redirigé depuis Facebook vers un site web vendant de faux logiciels antivirus, après avoir traversé différents domaines, » a déclaré Sandi Hardmeier, qui s'intéresse aux publicités malveillantes et a rédigé un post sur ce sujet dans un blog.
Une note publiée sur le site Web de SlashKey, le développeur de Farm Town, informe qu'«à l'heure où nous écrivons, nous pensons que cette redirection entrainée par une ou plusieurs annonces sur le site est sans danger pour votre ordinateur, mais vous ne devez en aucun cas suivre les liens dirigeant vers un quelconque logiciel vous proposant de « nettoyer votre système. ». Ajoutant que « la plupart des « bons antivirus et des programmes antimalware sauront repérer ce logiciel malveillant et le neutraliser. » Pour sa part, Sandi Hardmeier ne croit pas que ce malware soit inoffensif. « Je suis déçu de voir que le développeur cherche à minimiser le risque, » dit-elle.
Matt Brummett, un des gérants de Adknowledge, le réseau de publicité en ligne propriétaire de Cubics.com, diffuseur de l'annonce a déclaré que « le faux placard avait été retiré du site. Quant a l'agence hollandaise AdSeven Media qui a relayé l'annonce à Cubics.com, « elle a été bannie de leur réseau, » a ajouté Matt Brummett. Selon lui, Adknowledge utilise différentes techniques pour contrôler et empêcher les fausses annonces et il est rare que ces vérifications soient contournées. « Nous avons identifié le problème sur cet accident, et nous allons le résoudre, » a t-il ajouté.
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Les faux sites d'antivirus prétendent habituellement que les ordinateurs des visiteurs sont infectés et les pressent de télécharger un logiciel souvent totalement inefficace. Les consommateurs piégés payent jusqu'à 70 dollars US pour acheter leur logiciel, par ailleurs difficile à désinstaller de son ordinateur, sans compter qu'ils arrivent rarement à récupérer leur argent. Les experts en sécurité estiment que ce commerce de centaines de faux programmes antivirus représente une industrie de plusieurs millions de dollars. L'an dernier, un rapport de Panda Security avait montré que près de 35 millions d'ordinateurs dans le monde pouvaient être infectés chaque mois par de faux programmes antivirus.
C'est le navigateur Chrome de Google qui a permis de détecter les domaines malveillants utilisés pour rediriger les utilisateurs et déjouer les parades. Google a en effet intégré à son navigateur une technologie de « navigation sécurisée » qui permet d'éviter aux utilisateurs d'être dirigés vers des sites Web potentiellement dangereux. « Ce qui n'est pas le cas d'Internet Explorer 8, » a déclaré Sandi Hardmeier encore en train de tester Firefox 3.6. On sait que les pirates ont trouvé des astuces pour faire entrer leurs publicités malveillantes dans les réseaux qui fournissent les innombrables placards s'affichant sur les sites Web. Et les sites de réseaux sociaux comme Facebook sont une cible de choix pour les fraudeurs en raison de leur nombre élevé d'utilisateurs et donc des victimes potentielles.
La plupart des régies ont pris des mesures pour faire en sorte que ces annonces nocives ne circulent pas. Mais les façons de contourner ces protections ne manquent pas. «Certains s'adressent directement aux propriétaires des sites pour leur offrir de la publicité, » a indiqué Sandi Hardmeier. «Les réseaux « responsables » surveillent les coups tordus, les bloquent et suspendent immédiatement les fausses campagnes. » La chercheuse qui a adressé une alerte à Cubics.com, l'agence responsable d'avoir relayé l'annonce sur Farm Town, est également sur le point de notifier Facebook, précisant qu'elle n'avait pu joindre ses responsables en urgence.
Selon Forrester, les entreprises ne minimisent pas les risques liés aux réseaux sociaux
Des menaces bien identifiées
Selon Forrester, les menaces principales varient selon les réseaux sociaux. Facebook est ainsi surtout sujet d'une part aux applications virales malveillantes développées par des éditeurs tiers, d'autre part au hameçonnage. Pour Twitter, le risque principal est le spaming, qui y est très facile : de nombreux utilisateurs suivent tous leurs suiveurs. Lorsque ces derniers sont mal intentionnés, il leur suffit de suivre de nombreux utilisateurs normaux avant d'envoyer dans leur propre fil de gazouillis des messages porteurs de liens renvoyant vers des logiciels malicieux ou des sites à contenu inapproprié. Enfin, l'usage des groupes au sein d'un réseau social plus professionnel comme LinkedIn suppose d'employer de véritables animateurs de communauté qui devront vérifier que les personnes adhérant au groupe sont bien habilitées à le faire, ce afin qu'aucune information interne ne fuite à l'extérieur via ce canal de communication très pratique.
Pour autant, Forrester « ne conseille pas d'abandonner l'usage de ces réseaux sociaux, aujourd'hui indispensables à l'entreprise, mais recommande de les utiliser judicieusement ». Comme pour tous les outils, il convient de former le personnel à leur bon usage et de veiller à en cadrer les utilisations professionnelles. (...)
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