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(02/04/2010 10:31:50)
SAP lance son outil collaboratif StreamWork
Comme prévu, SAP vient d'annoncer la disponibilité générale de son outil de collaboration en ligne, désormais baptisé StreamWork. Le logiciel a été accessible pendant plusieurs mois en version bêta, d'abord privée, puis publique, début février. Il y a presque un an maintenant que SAP a mentionné pour la première fois, sous le nom de Constellation, cette application de prise de décision en groupe, alors en gestation. Livrée en bêta publique sous l'appellation « 12Sprints », faisant référence à la méthode de développement agile Scrum, le logiciel vient donc de se voir définitivement nommé. « StreamWork » veut évoquer la fluidité. Le nom souligne la vocation de l'outil à fournir à une équipe géographiquement dispersée un espace en ligne pour avancer sans à-coup et sans entrave sur des sujets de toute nature, exigeant une prise de décision documentée et argumentée.
« Ce peut-être la sélection d'un packaging pour un produit, donne en exemple David Meyer (photo), vice-président senior, responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, basé en Californie, dans la Silicon Valley. Ou encore, le choix d'une date et d'un lieu pour un événement. On travaille avec l'outil comme on le ferait autour d'un tableau blanc », nous a-t-il expliqué le mois dernier, à l'occasion d'un déplacement en Europe, au Cebit de Hanovre. Différentes méthodes et matrices (Swot*, notamment) sont proposées aux personnes participant à la réflexion, afin de peser le pour et le contre des solutions suggérées, en fonction de leurs inconvénients et avantages respectifs. Chacun donne son avis, en direct, et l'historique des conversations et des échanges est conservé.
« Ce logiciel n'est pas concurrent de Google Wave, mais complémentaire, considère David Meyer. Ce que nous voulons avant tout, c'est respecter la façon dont les gens travaillent. Nous ne voulons pas contrôler mais faciliter les choses, les rendre possible ».
La version payante offre plusieurs niveaux de sécurité
Librement utilisable dans sa version bêta, StreamWork va se maintenir dans une version gratuite, la Basic Edition. Celle-ci est limitée à cinq activités ouvertes (auxquelles on pourra inviter tout participant), à 250 Mo de données stockées par utilisateur et à un historique d'un an sur les dossiers fermés. Ce produit d'appel permet en revanche de collaborer sans limite aux activités ouvertes par d'autres groupes. Il autorise aussi l'ajout de méthodes supplémentaires, de commentaires et de fichiers.
Quant à l'édition dite professionnelle, on peut s'y abonner pour un an, en France, au prix de 96 euros (110,4 euros TTC) par utilisateur. Elle permet d'ouvrir jusqu'à cent activités personnelles, de disposer d'un espace de stockage de 5 Go et de conserver jusqu'à deux années d'activités déjà bouclées. Cette version dispose surtout de fonctions de sécurité à appliquer à différents niveaux (par utilisateurs et par groupes).
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David Meyer, qui a supervisé le projet 12Sprints, a rejoint SAP/BusinessObjects il y a un peu moins de deux ans, après être passé chez Plumtree, acquis par BEA Systems, qu'il a quitté après son rachat par Oracle. « Marge Breya [vice-présidente exécutive et directeur général de SAP/BO pour la plateforme décisionnelle] m'a convaincu que je pourrais diriger un projet à la manière d'une start-up en intégrant SAP », confie-t-il. 12Sprints a démarré en s'appuyant sur le code des applications BusinessObjects On Demand, outils décisionnels en ligne [récemment livrés dans une nouvelle version]. « J'ai demandé à pouvoir développer en utilisant les méthodes agiles, on ne pouvait pas faire autrement. Mais Business Objects travaillait de toutes façons sur ce mode depuis des années ».
La toute première version bêta de l'outil a été livrée en avril 2009. Les premières prises en main se sont faites par un groupe restreint d'entreprises, chaque utilisateur au sein de ce cercle étant en mesure d'inviter qui il souhaitait dans la boucle. « Nous avons eu un profil Facebook sur l'outil 12Sprints avant même que l'identité de ses développeurs soit connue et que l'on sache qu'il s'agissait de SAP », indique David Meyer. Entre mai et novembre 2009, une liste blanche précisait le nom des entreprises autorisées à participer au test. Il suffisait d'en faire partie pour y accéder.
L'utilisateur peut porter son contexte SharePoint dans StreamWork
La bêta privée arriva début décembre. On y accédait sur invitation. « Vous pouvez facilement créer une activité. Que vous utilisiez MS SharePoint ou un outil de wiki, vous pouvez en porter le contexte dans 12Sprints [désormais StreamWork], explique David Meyer. On peut aussi y présenter des PowerPoint et les accompagner immédiatement de commentaires. Il y a eu une adoption rapide du produit pendant sa phase bêta. Les meilleurs jours, nous avons pu avoir entre 500 et 1 000 inscriptions. Bien sûr, les niveaux d'activité sont différents, certains utilisateurs sont très actifs, d'autres se sont juste enregistrés. Fin février, il y avait plusieurs milliers de personnes qui utilisaient l'application. »
Certains éditeurs américains ont déjà développé des fonctionnalités complémentaires au logiciel. Evernote, par exemple, qui propose un outil de prise de notes, permet d'intégrer ces contenus à une activité StreamWork. Scribd, de son côté, utilise sa technologie d'affichage de documents pour offrir la lecture de fichiers Word et Excel directement dans l'environnement StreamWork.
500 000 tweets par jour en France
D'après une étude de géolocalisation des tweets réalisée par la société Semiocast , les membres de Twitter basés en France envoient un total d'un demi-million de messages chaque jour. 44% des tweets émis en France sont en français, et 34% en anglais. La France, est avec l'Italie, le pays où l'on "twitte" le moins dans la langue officielle. A l'inverse, 85% des tweets émis au Brésil sont en portugais, et 95% des tweets du Japon sont en japonais.
Malgré un développement croissant observé ces derniers mois, Twitter connaît une popularité relative dans l'Hexagone. Sur 13,5 millions de tweets pris en compte du 21 au 28 mars, environ 1% provient de France, contre 30% pour les Etats-Unis, 15% pour le Japon, et 12% pour le Brésil. L'Indonésie occupe le quatrième rang sur Twitter, avec 10% des messages publiés, devant la Royaume-Uni (6%). Suivent, avec 1% ou plus des messages, le Canada, le Mexique, les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Australie, le Venezuela, la Corée du Sud et la France.
Twitter permet désormais de géo-étiqueter les tweets en leur associant des coordonnées GPS. Toutefois, seuls 0,5% des tweets sont ainsi géo-étiquetés, souligne l'étude. Le logiciel le plus utilisé pour géolocaliser les tweets est ÜberTwitter sur BlackBerry (26% du total). Début mars, Twitter avait annoncé avoir franchi le cap des 10 milliards de messages (ou "tweets"). Quelques jours plus tôt, le site de micro-blogging lancé en 2006 Twitter avait indiqué que ses membres publiaient un total de 50 millions de messages chaque jour, soit une moyenne de près de 600 messages postés par seconde. (...)
940 millions d'internautes sur les réseaux sociaux
Cette étude a été menée sur un panel de près de 3.000 personnes de 14 pays, dont la France et huit pays de l'Union européenne, les Etats-Unis, le Brésil, l'Australie, la Russie et la Chine. 72% des personnes sondées font partie d'au moins un réseau social, ce qui correspond à 940 millions d'utilisateurs dans le monde, souligne InSites Consulting. Cité par 51% des personnes interrogées, Facebook se pose comme le réseau social le plus populaire. Le site américain a récemment revendiqué pas moins de 400 millions de membres à travers le monde. Suivent MySpace (20% des sondés) et Twitter (17%). LinkedIn est quant à lui le réseau social le plus utilisé dans le cadre professionnel (16%).
Autre enseignement de l'étude, les utilisateurs des réseaux sociaux se connectent en moyenne deux fois par jour (9 fois par mois sur les réseaux professionnels). Deux catégories d'utilisateurs se distinguent : ceux qui se connectent beaucoup, mais écrivent rarement et observent davantage les autres (14%), et ceux qui se connectent fréquemment et écrivent très régulièrement (26%). En moyenne, un utilisateur de média social possède 195 amis sur son réseau, mais ce chiffre grimpe à 360 amis pour l'Amérique latine, à 236 au Portugal, et à 200 aux Etats-Unis. 58% des utilisateurs confient également avoir déjà supprimé au moins une fois un ami de sa liste.
Cette enquête a été réalisée en janvier 2010 auprès de 2.884 consommateurs de 18 à 55 ans dans 14 pays : Belgique, Pays-Bas, Royaume-Uni, France, Allemagne, Espagne, Italie, Portugal, Brésil, Etats-Unis, Australie, Roumanie, Russie et Chine. (...)
Le droit à l'oubli numérique adopté au Sénat
Les sénateurs ont adopté à l'unanimité mardi 23 mars un projet de loi sur le droit à la vie privée sur Internet qui prévoit notamment de garantir un droit à l'oubli sur Internet. Le texte vise à faire de l'adresse IP une donnée personnelle et permettre à "toute personne justifiant de son identité de supprimer les données la concernant". Egalement au programme, l'assouplissement du principe de consentement préalable en matière de cookies sur les sites Internet visités, et l'inscription dans les programmes d'instruction civique de la sensibilisation des élèves à la protection des données. Le texte renforce par ailleurs le rôle de la Cnil (Commission nationale informatique et libertés) en instaurant une obligation de notification, auprès de cette organisme, des failles de sécurité rencontrées par les entreprises sur leurs sites.
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iGroups : un réseau social original pour iPhone et iPad
Selon les informations du blog, Patently Apple, spécialisé dans les brevets déposés par Apple Basé sur un système spécifique de cryptage des données permettant de sécuriser les informations privées, iGroups permettrait à Apple de développer un système de réseau social exclusif aux utilisateurs d'iPhone en premier lieu, puis étendu à d'autres terminaux par la suite. Avec ce service, il suffit de créer un groupe et d'y inviter des participants. Les utilisateurs peuvent détecter un groupe lorsqu'ils sont physiquement proches de son créateur. Paramétrés pour être effectifs un certain laps de temps, les iGroups permettent à un membre de communiquer à tous les autres en simultané, par sms ou e-mail. Le scénario mis en avant est celui d'un concert de rock, où les possesseurs d'iphone peuvent constituer pendant l'événement un groupe éphémère et s'échanger des commentaires.
Un service qui va au-delà des produits Apple
Si d'autres options comme le partage de fichiers et de calendriers sont évoquées, la véritable révolution d'iGroup consiste dans la possibilité d'inclure d'autres participants non-détenteurs d'un iPhone, le bluetooth ou le wifi étant suffisant pour les ajouter à la liste des membres et leur envoyer des messages. Plus encore, iGroups permettrait, via un système de mini-routeur, d'agglomérer une multitude d'appareils ne disposant pas d'une balise GPS en utilisant les connexions des autres terminaux. Ainsi, si un téléphone détecte dix autres appareils grâce au bluetooth, l'iPhone qui héberge le groupe pourra également les inclure dans son réseau.
iGroups serait donc un créateur de réseau social ponctuel n'impliquant ni web, ni création de compte. Prévu pour arriver avec iPhone OS 4.0, l'utilisation d'une telle fonctionnalité impliquerait donc une mise à jour du système d'exploitation des précédentes générations de smartphones.
Crédit Photo: Patently Apple
(...)(22/03/2010 17:16:31)L'outil collaboratif Novell Pulse Enterprise 2.0 passe en bêta
« Dans les semaines à venir, nous allons procurer aux conférenciers, un compte pour entrer dans le système Pulse et offrir à chacun cinq accès pour leurs collègues, » a déclaré Ken Muir, directeur de la stratégie, en charge des technologies dans l'unité Collaboration Business de Novell. « L'idée est de donner aux clients l'opportunité d'essayer Pulse et d'avoir leur feedback sur notre produit en phase finale, avant qu'il ne soit mis à la disposition de tous, » a t-il expliqué.
Pulse permet de partager des documents en temps réel avec ses collaborateurs et de paramétrer les profils des employés, tout en laissant aux gestionnaires informatiques le contrôle administratif pour établir le cadre d'utilisation et garantir la sécurité. En plus de conserver des informations sur les domaines de compétences des salariés, les profils permettent aussi aux utilisateurs de mettre à jour les statuts et de diffuser d'autres notifications à leurs collègues de travail. Pulse sera également doté d'une boîte de réception unifiée, et bénéficiera de l'intégration à l'application Wave de Google, qui combine la fonction d'e-mail, de messagerie instantanée et la mise en commun de documents.
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A l'image d'autres produits similaires vendus par IBM, Microsoft, Socialtext, NewsGator, Jive Software et autres, Pulse s'emploie à adapter les services et les applications du Web 2.0, en particulier le microblogging et le réseautage social, et à faire coïncider le système collaboratif avec les objectifs de l'entreprise. Novell prévoit d'offrir Pulse en mode SaaS (Software-as-a-service) dans un cloud et comme solution logicielle installée sur site. L'éditeur prévoit de lancer la version définitive de sa suite au cours du second semestre 2010.
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