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(02/03/2010 11:56:17)

SharePoint ancre les outils sociaux à l'entreprise

Wikis, microblogging, forums de discussion, partage de favoris, groupes et communautés en ligne, et autres outils à inclure à la liste "des logiciels de réseaux sociaux» entrent à grands pas dans les entreprises à grand pas. Les salariés, surtout les plus jeunes, exigent que les outils sociaux qu'ils utilisent sur Facebook et Twitter soient impliqués dans leur environnement de travail. En outre, le credo culturel qui a un temps prévalu chez les cadres dirigeants contre l'intégration des outils sociaux a perdu de sa vigueur. Et personne ne le sait mieux que Microsoft dont la prochaine version de SharePoint 2010 a pris en compte le fait que la culture d'entreprise est à l'intégration de fonctionnalités de type réseau social. De manière aussi à rester en phase avec les vendeurs de solutions « agiles » qui proposent de plus en plus de systèmes sociaux aux entreprises. Car presque la quasi-totalité des vendeurs de solutions Entreprise 2.0 - Socialtext, Jive, Newsgator, Atlassian - ont construit leurs applications sociales pour qu'elles soient compatibles avec SharePoint. La stratégie (et le souhait) des vendeurs a été calquée sur cette nécessité, et selon eux, même les clients réfractaires accepteront d'intégrer leurs outils au sein du grand navire SharePoint. En même temps, ces fournisseurs sont en concurrence avec SharePoint, et plus SharePoint 2010 se montrera « social friendly », plus cette concurrence sera forte. Lier les outils sociaux à l'entreprise Une des entreprises à pouvoir témoigner d'une intégration réussie des outils sociaux dans SharePoint est le géant du conseil Accenture. Ces derniers temps encore, le département IT d'Accenture faisait remarquer que les cadres dirigeants avaient beaucoup assoupli leur résistance à l'encontre des outils de réseautage social. « La meilleure remarque que j'ai entendu d'un cadre dirigeant est : « je sais que je ne comprends pas, mais je sais que nous devons le faire », a déclaré Kevin Dana, en charge de l'informatique sociale et collaborative au sein de l'entreprise. Il y a deux ans, Accenture a commencé à expérimenter la mise en place d'un réseau social via MySites de SharePoint, avec des pages de profil incluant une photo, l'intitulé du poste du salarié, ses compétences, son e-mail et des informations d'agenda, une bibliothèque de documents et une liste de ses collègues de travail (surnommé «Colleague Tracker"). « Ces profils MySite se sont avérés très statiques et très limités en matière de personnalisation, » a expliqué Kevin Dana. « Ce dont l'entreprise avait besoin était un site officiel où les employés pouvaient devenir membres et un site principal, où ils pouvaient partager des informations sur un secteur ou des sujets donnés via les wikis, le microblogging, les tags et le partage de liens. » Accenture a finalement choisi d'intégrer la suite SocialSites de Newsgator dans SharePoint 2007 pour renforcer les outils existants. Après avoir mené, de mars à août 2009, des essais pilotes sur la suite Newsgator, Accenture a passé SocialSites en mode de production. Pour finir, Accenture a utilisé SocialSites de Newsgator pour son site de Groupe et pour son site de profile People (MySites). Le résultat final ressemble tout à fait aux nouvelles pages Feeds de Facebook. [[page]] « La suite Newsgator a permis de parfaire les outils sociaux incomplets de SharePoint, » a fait remarquer Kevin Dana, comme l'accès au microblogging, la mise à jour des statuts, le partage de liens, les tags, l'activité de flux et d'information, comme la gestion d'alertes pour rappeler les anniversaires des salariés. Avec Newsgator, Kevin Dana dit avoir également réussi à personnaliser les messages individuels postés sur le blog en attribuant une étiquette par groupe, de manière à créer des agrégations de posts et éviter ainsi aux utilisateurs de se rendre à la page du groupe dans lequel ils veulent mettre leur contribution. En janvier, Accenture comptabilisait 37.000 visiteurs uniques et 86.000 visites sur les pages SocialSites de la plateforme SharePoint. A la question : « Pourquoi avoir choisi Newsgator parmi d'autres solutions d'intégration de réseaux sociaux au sein de l'entreprise ? » Kevin Dana a répondu qu'il avait préféré Newsgator parce qu'il avait été conçu pour se placer au dessus de SharePoint et non pas à côté. «L'intégration de réseaux sociaux apporte une plus-value précieuse quand elle s'accorde aux objectifs de l'activité», dit-il, "et Newsgator est architecturé pour cela." SharePoint s'ouvre Il y a un an et demi, Edelman, l'une des plus grandes agences de RP du monde avec 3200 employés et 51 bureaux répartis sur la planète, a mis en place simultanément SharePoint 2007 et Newsgator SocialSites pour ses salariés. « Nous utilisions déjà des serveurs d'entreprise Newsgator. Nous avons donc décidé de poursuivre cet investissement en ajoutant leur plug-in de réseautage social, » explique David Rosenberg, vice-président en charge du développement des services Internet / Corporate MIS chez Edelman. Aujourd'hui, chez Edelman 3500 employés ont accès à SocialSites de SharePoint. Le géant des relations publiques utilise aussi SharePoint pour la gestion des documents ainsi que pour son intranet d'entreprise (appelé Fusion) où les clients peuvent télécharger et partager des fichiers. La plate forme extranet, où les clients peuvent communiquer dans un environnement sécurisé, fonctionne également sous SharePoint. David Rosenberg explique que, l'un des apports importants de l'intégration de Newsgator dans SharePoint est d'avoir permis d'enrichir les pages de profil MySites de fonctions sociales. L'agence a ensuite pu créer des groupes et des pages communautaires qui sont reliés entre elles par le biais du microblogging, de tags et via le partage de liens. « L'avantage d'un serveur d'entreprise Newsgator utilisé avec SocialSites, dit David Rosenberg, est que Edelman peut relayer les Feeds externes - de blogs externes (d'employés ou de clients), de comptes Facebook et Twitter - sur le flux des pages MyClient et MySite de SharePoint. «C'est un gain important pour nous car, en tant que cabinet de relations publiques et de communications, nous voulons que les choses soient le plus ouvertes et le plus sociales possibles», a déclaré David Rosenberg. Devancer SharePoint 2010 Edelman et Accenture se préparent activement à une mise à niveau vers SharePoint 2010. Pourtant, même si l'un et l'autre admettent que les outils sociaux de SharePoint 2010 ont été améliorés, ils pensent qu'ils ne sont pas encore au niveau des outils de partage de liens social et de microblogging de Newsgator Enterprise 2.0 et de solutions d'autres vendeurs, y compris la capacité à créer des pages groupes et communautaires, disent ils. Toutefois, Kevin Dana d'Accenture fait remarquer que, bien que les vendeurs de logiciels sociaux fournissent de meilleures fonctionnalités que SharePoint 2010, ils devront tous s'adapter à lui pour survivre. « Ils doivent devancer Microsoft», dit-il. « Quitte à ce que Newsgator soit allégé de certaines caractéristiques nouvellement disponibles dans la version 2010. » (...)

(01/03/2010 15:16:30)

Microsoft fait fermer Cryptome.org après publication d'un document confidentiel

Le Global Compliance Handbook, un document de 22 pages, contient un certain nombre de détails sur les informations recueillies par Microsoft par l'intermédiaire de ses logiciels et services Windows Live, Hotmail, Messenger, MSN Groups, et même la plate-forme de jeux Xbox Live. Il dévoile notamment quelle information Microsoft stocke, pendant combien de temps elle est conservée, et comment elle peut être consultée par la police et les services de sécurité en conformité avec les exigences juridiques américaines. Après avoir découvert le document sur le site, Microsoft aurait demandé son retrait, en s'appuyant sur le US Digital Millennium Copyright Act (DMCA), mais sa requête ayant été rejetée par John Young, le rédacteur en chef et fondateur de Cryptome, Microsoft a persuadé l'hébergeur Network Solutions de retirer le site, lequel a été mis hors ligne le 25 Février. Mais ce n'est pas certain que Microsoft ait été bien avisé de s'en prendre si lourdement à un site qui s'est imposé dans les cercles de défense des droits civiques comme un rempart important contre le secret gouvernemental. D'ailleurs, Microsoft n'aurait pas réussi à rendre ce document aussi public, s'il avait essayé. En effet, le guide est désormais disponible en téléchargement à partir de diverses sources Internet, y compris le site Wikileaks spécialisé dans les dénonciations de certains abus. Le document sera sans doute aussi transféré à des milliers de personnes, parfois sans comprendre la signification - ou le manque de signification - de ce qu'il contient. Un éclairage intéressant sur les pratiques des compagnies IT Le guide, qui comporte en lui-même peu de révélations techniques, montre comment une société telle que Microsoft effectue une surveillance de l'information à partir des traces laissées par les visiteurs sur les sites Internet visités. Ainsi, il apparaît que tout texte ou toutes images téléchargées vers un service Microsoft sont conservés pendant 90 jours, ainsi que la date et l'heure du téléchargement et l'adresse IP de la connexion. Il faut noter aussi que toutes les données globales de compte client Hotmail - y compris par conséquent la traces des emails - sont conservés aux États-Unis, ce qui les rend accessibles par les autorités américaines en vertu des lois en vigueur. Les non-résidents américains n'en ont peut être pas conscience, mais les éléments ne sont détruits qu'après 60 jours d'inactivité du compte. Le document laisse entendre que Microsoft ne stocke pas les conversations entre les utilisateurs de Windows Live Messenger, son service de messagerie instantanée. Le service le plus suivi semble être celui de la Xbox Live, où les noms, adresses et données relatives aux cartes de crédit permettent de tracer les utilisateurs en ligne. Ce qui n'est guère surprenant, étant donné que c'est un service pour lequel les utilisateurs doivent payer et donc la surveillance n'est pas tout à fait effectuée au profit de Big Brother. (...)

(01/03/2010 13:56:26)

Les réseaux sociaux, relais d'informations sur les catastrophes naturelles

Après le tremblement de terre au Chili et le tsunami qui a suivi dans le Pacifique, les ONG, les autorités gouvernementales, les entreprises et les habitants ont utilisé Google, Twitter, Facebook et YouTube pour aider et fournir des informations. Ainsi, Google a annoncé l'adaptation de l'application People Finder pour retrouver des victimes de la catastrophe qui a touché le pays d'Amérique du Sud. En parallèle à ce service de crise, Google facilite le don d'argent pour l'Unicef et Direct Relief International. Le moteur de recherche ouvre également ses liens vers d'autres applications maison comme YouTube ou Maps et les actualités pour suivre les informations sur les aides en cours. Cette dernière catastrophe a également montré la puissance de communication de Twitter qui a publié beaucoup de messages en temps réel. L'éditeur de microblogging a orienté les demandes de dons vers la Croix Rouge chilienne. Facebook n'est pas en reste où de nombreuses pages et groupes ont publié des photos et des informations sur le désastre. Et Xynthia ? Un rapide tour sur Internet montre que plusieurs personnes ont publié des vidéos sur YouTube montrant la puissance des vagues ou la désolation de certains quartiers noyés sous les eaux. Certains sur Twitter ont réalisé des flashs en temps réel sur la tempête, notamment dans le sud-ouest. Au final, l'utilisation des réseaux sociaux ont servi principalement de relais d'information. Un message publié sur le site 20 minutes, indiquait même que « la préfecture a demandé aux habitants d'évacuer (2000 personnes selon Twitter (sic)) ». (...)

(22/02/2010 11:43:38)

Pour une bonne intégration des réseaux sociaux en entreprises.

La notion de réseau social appartient à la sociologie et est loin d'être neuve. Elle a été introduite par l'anthropologue John A. Barnes en 1954. Cependant, c'est sa traduction sous la forme de plates-formes sur Internet qui lui donne toute sa signification actuelle. Aujourd'hui, plus aucune entreprise, même de petite taille (à l'exception peut-être des boutiques de quartier), ne peut plus se permettre de ne pas avoir de site web, au minimum une vitrine de présentation et de contact. Le développement des réseaux sociaux interdit de la même façon aux entreprises de les ignorer : leurs clients, leurs partenaires, leurs salariés voire leurs concurrents y sont déjà.Y être, soit. Mais pour faire quoi, avec quels moyens, quels profits et quelles stratégies ? L'objectif du dernier ouvrage de Christine Balagué et David Fayon, Facebook, Twitter et les autres... Intégrer les réseaux sociaux dans une stratégie d'entreprise, est précisément de répondre à cette question. Pour commencer, les auteurs s'attachent à préciser ce qu'est un réseau social, à quoi les individus utilisent les différents types, pourquoi et avec quelles conséquences. Une fois ce contexte indispensable posé, les auteurs s'attachent à tous les usages possibles des réseaux sociaux en ligne pour les entreprises : communication pure, publicité en ligne classique, échanges avec des prospects ou des clients, recrutement de salariés ou de partenaires... Sans oublier les risques, limites et, bien entendu, manières de mesurer l'efficacité de la stratégie mise en oeuvre. Les outils périphériques comme les agrégateurs sont également étudiés. Enfin, l'ouvrage se projette sur les enjeux de demain, à commencer par la question de la pérennité économique des réseaux sociaux en ligne. Sur le fond, le seul sujet qui manque, finalement, c'est l'usage interne aux organisations des réseaux sociaux avec les enjeux de management et les risques liés aux indiscrétions voire aux félonies des salariés ou ex-employés. L'ouvrage est loin d'être un exposé théorique. Il alterne analyses, interviews d'acteurs du domaine, anecdotes, schémas et exemples. Il en est très agréable à lire. (...)

(17/02/2010 17:26:45)

MWC 2010 : Facebook Zero, version super light pour mobiles

Facebook, qui revendique plus de 400 millions de membres dans le monde, a annoncé mardi au salon Mobile World Congress de Barcelone l'arrivée d'une nouvelle version simplifiée de son site destinée aux téléphones mobiles. Baptisée "Zero", cette version allégée permettra aux utilisateurs disposant d'un faible débit d'accéder rapidement aux messages publiés sur leurs pages et celles de leurs contacts. Facebook Zero devrait être disponible dans les prochaines semaines. Le célèbre réseau social a récemment indiqué que plus de 100 millions de personnes utilisent régulièrement leur téléphone portable pour se connecter à Facebook. (...)

(17/02/2010 16:05:15)

Google Buzz mode d'emploi

Lancé récemment, il était presque impossible pour les utilisateurs d'un compte Gmail de passer à coté de Buzz, le réseau social de Google. Pratiquement obligés de cliquer, de nombreux d'utilisateurs sont devenus, parfois malgré eux, les premiers membres du troisième plus gros réseau social après Facebook et Twitter. A peine un jour après, les accusations concernant le non-respect de la vie privée ont fusées, a tel point que le buzz s'était retourné contre la firme de Mountain View. Cacher vos contacts Contrairement à Twitter où les utilisateurs affichent le nombre des 'followers' à leur page, les utilisateurs de Google Buzz ont de multiples raisons de garder certaines informations privées. En effet, s'il est possible de se cacher derrière un pseudonyme sur Twitter, les listes d'abonnées sur Google Buzz sont publiques et contiennent de nombreuses informations comme, par exemple, les noms, prénoms, adresses e-mail ou encore leur blogs personnels des contacts. Avec la suggestion automatique des profils d'abonnés, ce procéder peut conduire à des situations inconfortables pour les utilisateurs qui auraient supprimés ou ajoutés des contacts jugés indésirable par leur entourage. Il est possible de cacher les listes de ses abonnés et abonnements, pour les protéger en se rendant dans les paramètres de son profil Google et de désactiver leur affichage. Apprendre à gérer l'interface de Buzz Si vous êtes débordés par le flux d'informations trop massif de votre page, des filtres sont disponibles par défaut en bas à gauche du menu. Ils trient ou actualisent les affichages de vos contacts. Pour les configurer, il suffit de gérer ces derniers à partir de votre messagerie Gmail. Sachez qu'il est évidemment possible de cacher les « buzz » des personnes qui ne vous intéressent pas et même d'arrêter de les suivre. Concernant vos propres buzz, il est possible de les supprimer, les modifier et de les passer sous silence. [[page]] Habiller le texte Même si la fenêtre de statut pour Buzz ne dispose pas de toutes les options d'habillement de la police des traitements de texte, boîtes e-mail et blogs, sachez qu'il suffit d'entourer votre texte * d'astérisque * _ d'underscore _ ou de - tirets - pour transformer votre texte en gras, italique ou rayé. Des add-ons en complément Pour mieux intégrer Buzz à leur environnement internet, les utilisateurs de Chrome peuvent d'ores et déjà télécharger Chrome Buzz, un module qui intègre les options de Buzz directement dans le navigateur, offrant aux utilisateurs un accès à leur compte indépendamment de la page de messagerie Gmail. Supprimer son compte Google Buzz Même s'il existe un lien pour désactiver Google Buzz en bas au centre de la page Gmail, celui-ci ne permet pas de supprimer son compte Google Buzz. Il existe tout de même un moyen pour se désinscrire totalement du réseau. Pour empêcher aux autres utilisateurs d'accéder à votre profil, il faut, d'abord cliquer sur la liste de vos abonnés depuis votre compte Buzz et les bloquer manuellement un à un. Idem pour ce qui est des profils auxquels vous êtes abonnés. Ensuite, vous devez supprimer votre profil Google en vous rendant dans vos paramètres profils et en cliquant sur supprimer mon profil en tout bas de page. Désactivez ensuite Buzz depuis la fenêtre Gmail comme indiqué au-dessus, vous serez alors totalement déconnecté du réseau. (...)

(16/02/2010 11:18:52)

Facebook séduit de plus en plus les entreprises

Après les particuliers, les entreprises commencent à investir massivement Facebook pour améliorer leur communication. De simple gadget pour internautes solitaires, Facebook devient un outil de promotion. Le Comité international Olympique a ainsi dépassé la barre du million de fans des Jeux sur sa page Facebook. Dix inscriptions par seconde sont enregistrées sur le site communautaire "aux heures les plus chargées". Etonnanmment, plus de 55% des fans sont des femmes et un tiers environ sont âgés de moins de 17 ans. Autre exemple : Citroën vient de dévoiler la future DS4 sur Facebook. Ce vendredi matin, le groupe a présenté sur sa page Facebook le cliché officiel de la DS High Rider, un concept-car préfigurant la prochaine DS4 de la marque française. Après cette présentation en ligne, le constructeur aux chevrons exposera ce véhicule au salon de Genève, du 4 au 14 mars. Enfin, Eurostar - la compagnie qui opère les trains vers l'Angleterre, suite aux très désagréables perturbations de cet hiver s'est engagé à améliorer ses informations aux voyageurs, en utilisant par exemple Facebook ou Twitter. Illustration : le concept car DS4 de Citroën (D.R.) (...)

(10/02/2010 16:35:19)

Avec son Buzz, Google met un pied dans le réseau social

Pour rattraper les Facebook et consorts, Google a annoncé mardi soir le lancement de Buzz, un réseau social maison qui permettra aux internautes de suivre l'actualité de leurs contacts en quelques clics et d'échanger messages, photos et vidéos. Ce service intégré à la messagerie Gmail, sera accessible dans quelques semaines. Google n'est pas resté impassible face à l'explosion de Facebook (400 millions d'utilisateurs dans le monde) et le succès de Twitter. La firme de Mountain View, qui attire déjà des milliards de connexions tous les mois avec son moteur de recherche, les vidéos de YouTube ou encore Google Maps, aura finalement bien son propre réseau social. Avec Buzz, qui s'intègrera bientôt dans le menu du service de messagerie Gmail, l'internaute voit apparaître les commentaires et les dernières actualités de ses contacts ainsi que sur plusieurs réseaux sociaux. Le service prend déjà en charge Picasa, Twitter, Flickr, YouTube, Blogger, et Google Reader. Facebook n'est pas dans la liste, mais celle-ci devrait "encore s'allonger", dixit Google, Buzz ayant été conçu comme un système ouvert. A noter, les utilisateurs pourront choisir entre un mode privé ou public pour partager leurs avis, actualités, photos, vidéos, etc. Google Buzz sera accessible dans quelques semaines, a indiqué Google dans un communiqué. Cet outil sera également disponible sur téléphone mobile (Google Android, iPhone, etc.). Site : www.google.com/buzz (...)

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