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Blogs / réseaux sociaux

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(09/02/2010 12:23:15)
Les familles ne sont pas assez prudentes sur Internet
D'après ce sondage, deux enfants sur trois ont déjà partagé leur adresse email, et la mise en ligne des photos personnelles explose de 382% entre 10 et 16 ans.Publié dans le cadre de la septième Journée pour un Internet plus sûr, une manifestation qui vise à sensibiliser parents et mineurs aux risques de sécurité sur le Web et les réseaux sociaux, ce sondage fait la lumière sur les pratiques des enfants sur le média Internet. Premier enseignement, les plus jeunes n'hésitent pas à partager sur Internet des informations relatives à leur adresse email (67,5%), voire leur adresse postale (23,6%). Ils sont également 43,7% à publier leurs photos, et 34,7% à révéler leur liste d'amis. Et à mesure qu'ils grandissent, ces jeunes internautes ont tendance à communiquer de plus en plus ces informations. Ainsi, la mise en ligne de photos progresse de 382% entre 10 et 16 ans, tandis que le partage d'adresse email grimpe de 173%. La mise à jour de statut en temps réel explose de 514% sur la même période. Des ados trop confiants Si 74,7% des enfants de 10 ans déclarent ne pas mettre en ligne des informations que leurs parents ne souhaiteraient pas voir, ce taux chute à 27% pour les adolescents de 16 ans. En moyenne, les jeunes, et surtout les filles, redoutent que leurs parents accèdent à des informations liées à leur vie sentimentale ou leurs histoires personnelles. Interrogés sur la manière dont ils prennent conseil pour savoir ce qu'il est sûr ou non de mettre en ligne, 67% des enfants se tournent vers leurs parents, et 44% vers leurs amis. En revanche, à partir de 15 ans, ils privilégient avant tout les amis (61,5% des 15 ans), voire le Web (16,2%). Quant aux parents, ils sont 21% à déclarer ne pas savoir où s'informer concernant le partage d'informations personnelles sur Internet. 15% des parents d'enfants de 15 ans en viennent même à demander conseil à leurs propres enfants. Par ailleurs, les parents sont aussi enclins que leurs enfants à révéler des informations personnelles : email (91,8%), date d'anniversaire (85,7%), adresse postale (74,7%), photos (51,3%) ou CV (33,5%). Globalement, 99,2% des enfants se connectent à Internet depuis leur domicile. L'école est un lieu de connexion pour seulement 13,6% des jeunes internautes. A noter 13,5% des adolescents de 16 ans se connectent à Internet via leur téléphone mobile. Cette étude a été menée du 26 janvier au 2 février par l'institut Opinion Matters pour Trend Micro, éditeur de solutions de sécurité sur Internet, auprès de 526 parents d'enfants âgés de 10 à 16 ans, et de 500 enfants de 10 à 16 ans. (...)
(08/02/2010 17:44:57)Mardi 9 février, journée européenne de l'Internet
La Journée pour un Internet plus sûr (Safer Internet day), initiée en 2004 par la Commission européenne, a lieu mardi 9 février. A l'heure de l'explosion des réseaux sociaux en ligne, cette manifestation a pour but de sensibiliser les internautes les plus jeunes des dangers qui peuvent exister sur la Toile. Une campagne sera notamment lancée pour encourager les adolescents à "réfléchir avant de publier". Selon la Commission européenne, les sites de socialisation (Facebook, MySpace, etc.) comptent plus de 41,7 millions d'utilisateurs réguliers en Europe, dont une grande partie sont des enfants et des adolescents. A l'horizon 2012, ce chiffre devrait passer à 107 millions. Bruxelles estime que ces jeunes internautes "ne réalisent pas toujours que les informations personnelles qu'ils publient telles que des photos ou des vidéos restent en ligne et sont accessibles à tous, ce qui les expose à des risques tels que le harcèlement en ligne et les sollicitations d'adultes à des fins sexuelles en ligne". D'où le thème de 7ème édition de la Journée pour un Internet plus sûr : "Tu publies ? Réfléchis !". Une campagne, lancée à partir de mardi 9 février dans plus de 60 pays dans le monde, sensibilisera les jeunes internautes sur les possibilités qu'ils ont de contrôler leur identité en ligne en utilisant les options de paramétrage des sites de socialisation. La Commission européenne publiera également un rapport sur la façon dont une vingtaine d'entreprises signataires d'un accord en 2009 ont mis en oeuvre des mesures pour améliorer la sécurité des mineurs qui utilisent des sites de socialisation. Facebook, MySpace, Dailymotion ou encore Skyrock s'étaient notamment engagés par cet accord à mettre place des dispositifs de sécurité pour protéger leurs jeunes utilisateurs. Par ailleurs, un site Internet dédié met avant plusieurs reflexes à adopter par les jeunes utilisateurs de réseaux sociaux, comme ne pas répondre aux messages de harcèlement, dénoncer des contenus choquants aux autorités, ou parler avec une personne de confiance des problèmes rencontrés en ligne. En décembre 2008, l'Union européenne avait adopté un programme couvrant la période 2009-2013 qui consacre la somme de 55 millions d'euros pour le financement d'actions visant à rendre l'Internet plus sûr pour les enfants. Site : www.keepcontrol.eu (...)
(02/02/2010 15:18:26)Facebook, Twitter : trois fois plus d'attaques en 2009
Alors que de plus en plus d'entreprises autorisent l'utilisation de réseaux sociaux comme Facebook et Twitter au travail, les attaques de cybercriminels contre ces réseaux ont explosé. C'est ce que révèle une enquête publiée par l'éditeur de logiciels de sécurité Sophos, qui constate que le nombre de logiciels malveillants et de spams a augmenté de 70% sur ces réseaux au cours des 12 derniers mois. 57% des utilisateurs ont été 'spammés' et 36% se plaignent d'avoir reçu des logiciels malveillants via les sites de réseautage social. La manière la plus courante de se faire piéger est détaillée dans le chapitre « Cinq arnaques et plus à éviter sur Facebook et Twitter ». Selon Graham Cluley, consultant senior chez Sophos, « les utilisateurs passent plus de temps sur les réseaux sociaux, partageant des informations personnelles sensibles et précieuses, et les pirates ont flairé où se faire de l'argent. » Pour lui, la hausse spectaculaire des attaques constatée cette année est une alerte. « Les réseaux sociaux et leurs millions d'utilisateurs doivent mieux se protéger contre la cybercriminalité organisée, au risque de devenir la proie de voleurs d'identité, d'être victimes d'escroqueries, et de servir de cible pour les logiciels malveillants. » Facebook en première ligne Sur les 500 entreprises interrogées par Sophos, 72% se disent préoccupées par le comportement de leurs salariés sur les réseaux sociaux, et se demandent même s'ils ne mettent pas leur activité en péril. Parmi elles, près de la moitié (49 %) autorisent à tout leur personnel un accès sans contrôle à Facebook et aux autres sites de réseautage social. «Alors que les entreprises sont plus tolérantes quant à l'accès de leurs salariés aux réseaux sociaux, la menace des logiciels malveillants, le spaming, le phishing et le vol d'identité ne cessent d'augmenter sur Facebook », déclare Graham Cluley. Paradoxalement, à la question « selon vous, quel est le réseau social qui présente le plus de risques ? », 60% des personnes interrogées ont cité Facebook. « Nous ne devons pas oublier que Facebook est de loin le plus grand réseau social - et on trouve des pommes pourries dans le plus grand des vergers», explique Graham Cluley. « La vérité est que l'équipe de sécurité de Facebook travaille dur pour contrer les menaces sur leur site. Il faut juste reconnaître que surveiller 350 millions d'utilisateurs n'est pas une tâche facile. Mais il n'y a pas de doute non plus que de simples changements de comportement pourraient renforcer la sécurité des utilisateurs. Par exemple, l'an dernier, les recommandations publiées par Facebook sur la manière de configurer les paramètres de vie privée pour mieux se protéger a eu un effet inverse, puisque cela a encouragé de nombreux utilisateurs à partager leurs informations avec tout le monde », rappelle-t-il. Linkedln, moins menacé mais pas à l'abri Le rapport souligne également les problèmes de sécurité inhérents à LinkedIn, un réseau social ciblé vers les professionnels, qui permet de créer entre eux, entre autres choses, un réseau de compétences et de recherche d'emplois. Bien que LinkedIn soit considéré de loin comme le moins menacé des réseaux, Sophos estime qu'il peut tout de même offrir aux pirates une source importante d'informations. « Les attaques ciblées contre certaines entreprises font beaucoup l'actualité en ce moment, et plus le cybercriminel dispose d'informations sur la structure de l'entreprise, plus il lui sera facile de cibler l'ordinateur de la personne à laquelle il veut précisément envoyer une pièce jointe infectée », explique Graham Cluley. « Des sites comme LinkedIn fournissent aux pirates un annuaire d'entreprise complet, listant les noms du personnel et leurs fonctions. Remonter jusqu'aux victimes potentielles à partir de leurs adresses électroniques est ensuite un jeu d'enfant ! » (...)
(29/01/2010 17:03:27)L'Apec ouvre une passerelle vers Viadeo
L'Apec vient d'ouvrir sur son site Web un espace qui établit une passerelle vers les fonctions du réseau social professionnel Viadeo. Les cadres utilisant leur compte Apec pour gérer leur recherche d'emploi vont, depuis cette interface, accéder à l'actualité de leur compte Viadeo et retrouver leurs contacts, directs et potentiels. S'ils souhaitent se renseigner sur une entreprise qui recrute, ils pourront, par exemple, vérifier si l'un de ces contacts y travaille, donne en exemple l'Association pour l'emploi des cadres. Au sein du même espace, le cadre accède aussi à des conseils pour mieux utiliser les réseaux professionnels dans sa recherche. Il y a deux ans, un partenariat similaire avait déjà été signé par l'association avec LinkedIn. L'an dernier, c'est Cadremploi et Keljob qui s'installaient dans Facebook. On imagine bien tout l'intérêt que cette combinaison de fonctions présente pour un demandeur d'emploi. En revanche, l'utilisation parfois abusive, par les recruteurs, des informations personnelles publiées sur les réseaux sociaux, ont conduit les professionnels du secteur à vouloir mettre en place certaines règles du jeu. En France, la « Charte Réseaux sociaux, Internet, Vie Privée et Recrutement » a ainsi été établie, à l'initiative de l'association 'A Compétences Egales', qui regroupe 40 cabinets de recrutement autour de la lutte contre la discrimination à l'embauche. Cette charte a notamment été signée par l'Apec et Viadeo, ainsi que par le Medef et Syntec Informatique et plusieurs autres organisations professionnelles importantes. Elle préconise en particulier de « limiter le recours aux réseaux personnels, du type Facebook ou Copains d'avant [...] à la seule diffusion d'informations, plus particulièrement d'offres d'emplois à des utilisateurs ayant manifesté leur intérêt pour de telles informations ». Elle recommande ensuite de « privilégier l'utilisation des réseaux professionnels, du type Viadeo ou LinkedIn » et, surtout, « de ne pas utiliser les moteurs de recherche ni les réseaux sociaux comme outils d'enquête pour collecter des informations d'ordre personnel [...] ». Les cadres ayant ouvert un compte sur le site de l'Apec peuvent maintenant, depuis cet espace, accéder à leurs contacts sur Viadeo. (...)
Google active la fonction recherche sociale
Google a annoncé que son service de recherche sociale allait, dans les prochains jours, être intégré à son célèbre moteur, les liens afficheront donc les publications des utilisateurs de réseaux sociaux, directement dans les résultats. Persuadé des possibilités d'améliorations du système, Google a cependant notifié qu'il ne s'agirait que d'une version bêta. « Nous pensons être encore loin d'explorer tout le potentiel de la recherche sociale, nous ne faisons pour l'instant qu'en gratter la surface ». affirme Maureen Heymans, responsable technique en charge de la recherche sociale. Les utilisateurs, pour en bénéficier, devront obligatoirement posséder un compte Gmail, et seront encouragés à remplir leur page de profil avec les liens de leurs sites web, blogs, photos, pages de réseaux sociaux etc. En recoupant toutes ces informations et en y ajoutant celles de leurs contacts, le moteur de recherche fournira des liens « proches » de l'utilisateur qui lui paraîtront donc, plus pertinents. Google affichera également les publications présentes dans les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Myspace, etc) qualifiés comme étant très prolifiques en terme d'informations « tant leurs utilisateurs y passent du temps une fois connectés». Ces sites ont en effet prouvé leur utilité pour répandre rapidement des informations sur les évènements majeurs de l'actualité. Cette arrivée de la recherche sociale s'inscrit dans la volonté qu'a la firme de Mountain View de toujours améliorer son moteur de recherche, notamment pour rester compétitif vis à vis de Bing, l'outil de Microsoft. Les deux sociétés qui avaient signés un accord avec Twitter en octobre 2009 sont également en train de développer une autre évolution pour la recherche sur Internet: la recherche sémantique (...)
(28/01/2010 17:29:45)Selon une étude Markess, le collaboratif atteindrait 7,8% de croissance en 2010
En France le marché du collaboratif en entreprises se montait à 860 millions d'euros en 2009, il atteindra le milliard en 2011. Le taux de croissance annuel moyen est de 7,8%. Ce marché est aux mains de multiples acteurs, principalement des éditeurs et des intégrateurs. Ce sont eux qui vont profiter de la croissance de ce marché. Les 200 responsables d'entreprises interrogés par Markess ont cité, dans 54% des cas, les éditeurs et, à 40%, les intégrateurs et les SSII. Ont également droit à plusieurs mentions : les cabinets conseil (32%), les hébergeurs (15%), les infogéreurs (8%), les opérateurs de télécoms (8%). Ces responsables ont également répondu à 80% qu'ils recourraient, pour les solutions de collaboration, à un prestataire externe. Ces prestataires viennent d'horizons et de métiers très différents. C'est la caractéristique de ce marché. On retrouve aussi bien « les poids lourds du marché » venus de l'office productivity » comme Microsoft et IBM que des éditeurs spécialisés. Parmi ces derniers, certains viennent de la gestion de contenu comme Alfresco, Jalios, Nuxeo. D'autres de la conférence à distance tels que Cisco, Genesys, Skype. La gestion de projets est présente avec des acteurs comme Augeo Software. Le monde de l'applaication sociale pointe le nez avec Bluekiwi. Le partage de fichiers est un autre grand acteur avec Oodrive. Sans oublier « les telcos » comme Orange business services. Ou des acteurs tels que EMC, Open Text présents à d'autres titres. « C'est une typologie d'acteurs qui devrait bouger dans les années à venir » note Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée du cabinet Markess en charge de la recherche. Quatre axes principaux sur ce marché L'autre changement à venir tient aux nouveaux besoins clients détectés ou à détecter. Markess classe le collaboratif selon quatre axes principaux : les échanges, les plannings projets, la présentation, les contenus. Pour chacun d'eux, le cabinet identifie les besoins actuels et ceux à venir. Pour les échanges, sont connus : la messagerie et les communications vocales, vont entrer en jeu : les fameux réseaux sociaux, la messagerie instantanée, la gestion de présence. Pour le deuxième axe, le planning des projets, l'agenda partagé est connu, la gestion proprement dite de projet va se mettre en place. Quant au troisième point, la présentation, il fait déjà intervenir : la présentation en ligne et la conférence à distance, vont prendre du poids : la conférence à distance et la conférence web. Enfin, sur le quatrième point, les contenus, si le partage de fichiers et de contenus est connu, les espaces collaboratifs, la création de contenus à plusieurs vont se mettre en place. Voilà pour l'aspect usages qui constitue autant d'argumentaires pour les intégrateurs. Markess note aussi des changements techniques à prendre en compte, en terme d'intégration évidemment, de sécurité, d'archivage, d'accès distant, de recherche avancée ou d'interactivité. Le collaboratif implique aussi d'autres modifications, situées moins dans l'informatique que dans l'organisation de l'entreprise. (...)
(27/01/2010 15:15:18)Pour distinguer Bing, Microsoft mise sur la recherche sémantique
La technologie sémantique donne aux ordinateurs la capacité de mieux comprendre les informations tapées par l'utilisateur, afin de fournir de meilleurs résultats, plus pertinents pour les internautes. C'est Scott Prevost, le directeur de développement de Bing, le moteur de recherche de Microsoft, qui a qualifié la technologie sémantique comme un outil d'avenir pour mieux répondre aux requêtes des utilisateurs. Il a ensuite affirmé que les recherches dans ce domaine avaient déjà commencé chez Microsoft. Avec la technologie sémantique, les ordinateurs pourront comprendre les sens des mots lorsqu'ils sont placés dans une phrase, et pourront les mettre en relation pour proposer, non pas des pages contenant les mots clefs d'une recherche, mais des réponses directes. « Plus perfectionné, plus rapide, moins cher et allant à l'essentiel ». C'est ainsi que Scott Prevost, également directeur général de Powerest (moteur de recherche axé sur les articles Wikipédia, racheté par Microsoft en 2008), voit l'avenir de Bing. « La recherche sémantique offrira des réponses pertinentes aux utilisateurs et les aidera même pour leurs prises de décisions. Le moteur va devenir plus interactif, avec plus d'options pour aider les utilisateurs à trouver des réponses concrètes». Il a ensuite ajouté que la quantité de pages dîtes « pertinentes » qui sont en fait de vieilles pages web rendait la situation actuelle « critique ». Vendredi dernier, Google, le leader des moteurs de recherche, a fait une annonce similaire en parlant de recherche en « highlighting », c'est à dire « éclairée ». Au lieu de pointer des pages avec des mots-clefs, Google pourrait directement afficher une réponse. Le moteur s'aligne ainsi sur celui de Microsoft qui se différenciait jusque-là par sa volonté de privilégier les pages qui contenaient le plus de connaissance. Quoi qu'il en soit, cette guerre entre les leaders de la recherche sur Internet est l'un des signes majeurs de l'arrivée du web 3.0 placé sous le signe de la sémantique. (...)
(22/01/2010 15:01:22)La Twittersphere s'essoufle, mais les utilisateurs s'aguerrissent
La semaine de Twitter Inc avait bien démarré : le président Barack Obama et le fondateur de Microsoft, Bill Gates, ont rejoint le réseau social et commencé à envoyer leurs premiers « tweets ». Mais l'enquête publiée par HubSpot Inc, une société spécialisée dans les statistiques Internet et basée à Cambridge, Massachusetts, remet les choses à leur place. L'étude qui a analysé 5 millions de profils Twitter et 6 millions de tweets, est venue affirmer que le taux d'inscription de nouveaux utilisateurs au service de Twitter diminuait de façon spectaculaire depuis l'automne, de quoi dernier ternir un peu le paysage. Si au cours des deux dernières années, la croissance de Twitter a été très rapide, le rapport publié par HubSpot sur la « Twittersphere » montre que le taux de croissance de Twitter est tombé à 3,5% en Octobre quant il atteignait 13% sept mois auparavant. Pour tempérer, le rapport note cependant qu'une enquête récente réalisée auprès des utilisateurs de Twitter a montré qu'ils étaient de plus en plus aguerris dans les usages du réseau social. En bref, moins d'utilisateurs inscrits mais ceux là étaient devenus de meilleurs Twitterers. Des utilisateurs plus actifs la nuit Selon HubSpot qui a dressé le profil de l'utilisateur moyen, un Twitterer suit en moyenne plus de personnes, il a également plus d'adeptes, et met ses posts à jour beaucoup plus souvent qu'en 2009. Par exemple, l'utilisateur moyen, qui affichait environ 60 adeptes en juillet dernier, en compte désormais 300 en janvier 2010. «Ce changement est peut-être le reflet du ralentissement du taux de croissance", note le rapport. « Mais la population actuelle des utilisateurs de Twitter l'utilise plus qu'il ya quelques mois. De plus, une part plus importante de cette population est constituée par des utilisateurs expérimentés. » Pour calmer les utilisateurs de Twitter qui se sentent frustrés de ne pas avoir autant d'adeptes que les « géants » Twitterers Ashton Kutcher ou Oprah Winfrey, HubSpot indique que 82% des utilisateurs du réseau social totalisent moins de 100 adeptes chacun. Sur les habitudes d'utilisation du service, le rapport constate que les utilisateurs de Twitter sont plus actif la nuit. Notamment, la plage horaire de 22-23 heures est celle pendant laquelle le site est le plus visité. Enfin, HubSpot constate que Twitter est devenu un phénomène de plus en plus international. L'étude fait remarquer qu'en juillet dernier, le Top 20, qui établit un classement par lieux géographiques en fonction du nombre de tweets envoyés, comportait 15% de territoires situés hors d'Amérique du Nord. En janvier, ce chiffre a atteint 40%, marquant la première apparition du Brésil, de l'Allemagne, de Singapour et de l'Indonésie dans le classement. (...)
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