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(19/12/2006 18:04:49)

Microsoft publie la liste de compatibilité pour Vista

Microsoft a rendu publique la liste de compatibilité pour son système d'exploitation Windows Vista, une liste qui énumère l'ensemble des matériels et composants validés pour fonctionner avec son système d'exploitation de nouvelle génération. La liste a pour but d'aider les particuliers et les entreprises, mais aussi les assembleurs et intégrateurs de PC, à vérifier la compatibilité de leurs PC avec l'OS. Elle est accessible à l'adresse https://winqual.microsoft.com mais uniquement avec le navigateur Internet Explorer (des tests avec FireFox et Safari se sont révélés infructueux). La liste de compatibilité vient rejoindre une série de sources d'informations et d'outils déjà publiés par l'éditeur, dont l'outil de test de compatibilité applicative mais aussi le Windows Vista Upgrade Advisor. (...)

(20/12/2006 09:55:16)

Gartner: pas de dénouement dans la guerre des formats bureautiques avant 2008

Selon Gartner, aucun vainqueur ne devrait se dégager clairement de la guerre que se livrent actuellement les formats de document OpenDocument (ODF) et Open XML avant 2008. Le cabinet d'analyse recommande donc aux organisations qui n'ont pas un besoin immédiat d'un format XML pour leurs données, de continuer à utiliser des formats binaires en attendant d'y voir plus clair. Gartner note que Microsoft a récemment marqué des points face à OpenDocument avec l'acceptation de son format Open XML par l'Ecma en tant que standard. Cette ratification pourrait en effet permettre à Microsoft de rattraper son retard à l'ISO face à OpenDocument. Le format ODF a été ratifié par l'ISO en mai 2006. Cette normalisation lui permet notamment d'être utilisé par les organisations, notamment les grands clients gouvernementaux, qui exigent l'utilisation de standards. Du fait de sa ratification par l'Ecma, Open XML, le format de Microsoft, devrait lui aussi passer sous les fourches caudines de l'ISO dans le courant 2007. Ce qui n'empêche pas ses opposants de continuer à critiquer le format de Microsoft. IBM, le seul à avoir voté contre la ratification d'Open XML à l'Ecma, estime ainsi qu'Open XML sert, avant tout, les intérêts de Microsoft alors qu'OpenDocument profite à l'industrie dans son ensemble. Big Blue estime aussi que les quelque 6000 pages de documentation d'Open XML rendent le format trop complexe à mettre en ?uvre. Microsoft, de son côté, continue à expliquer que la taille de sa spécification est le fruit de sa plus grande richesse et de sa compatibilité avec ses formats antérieurs. (...)

(19/12/2006 18:05:27)

L'Afpa balise les parcours de VAE

Tripler les flux de validation des acquis de l'expérience (VAE) en 2006 : telle est, depuis juin, la consigne du ministre délégué à l'emploi Gérard Larcher. Ce qui amènerait le dispositif à passer le cap des 60 000 titres (équivalences de diplômes) attribués à des personnes justifiant, par l'expérience et après passage devant un jury, d'un certain niveau de compétences. Un objectif qui nécessitait non seulement une simplification des modalités d'accès (arrêté du 9 mars 2006), mais surtout un renforcement de l'accompagnement des candidats sur des « itinéraires longs, complexes et à l'issue incertaine » comme le dénonçait en 2005 une étude du Cereq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications). Ce à quoi répond précisément le site d'information Oriadis lancé par l'Afpa (Association pour la formation professionnelle des adultes). Certes, la majorité des 20 500 validations enregistrées en 2005 concernent un tout premier niveau de qualification (certificats de compétence professionnelle, ou CCP) destiné notamment à faciliter le reclassement de chômeurs. La gratuité de la démarche pour les chômeurs indemnisés est, d'ailleurs, confirmée. Mais en informatique (réseaux et télécom inclus), les huit titres ouverts à la reconnaissance de l'acquis par l'expérience couvrent des profils de postes que l'on sait porteurs de débouchés. Et la VAE correspond à un objectif bien concret des informaticiens en exercice ou demandeurs d'emploi qui veulent valoriser leur CV dans un milieu particulièrement sensible au sésame que constitue le diplôme. Voire rivé sur le fatidique bac+5. Pour les ingénieurs « maison », c'est plus souvent la reconnaissance face à des pairs bardés de diplômes qu'une promotion dans la hiérarchie des postes qui compte. En 2005, la VAE conduite dans le cadre de l'Afpa, a permis à plus de 3400 personnes de décrocher un titre (pour 144 types de titres qui peuvent en faire l'objet) et près de 12 000 d'obtenir un certificat de compétences (CCP, qui vaut pour validation partielle). Une statistique à rapprocher de la part croissante que prend le secteur des technologies de l'information (informatique et télécoms) dans l'activité de formation de l'Afpa. Une part qui atteint, en 2005, près de 40% de l'ensemble des stages et des cours dispensés par les centres des 22 directions régionales de l'Afpa. Entre recherche d'organisme valideur, identification du titre, élaboration du dossier de candidature, préparation au jury de validation, recherche de financement, ce sont autant d'étapes que détaille le site Oriadis, avec moult conseils et aides en ligne, qui peuvent guider les informaticiens concernés sur la voie de la VAE. (...)

(19/12/2006 17:51:50)

ObjectWeb se restructure au 1er janvier

Le 31 décembre 2006, ObjectWeb changera de statut juridique. Et basculera d'un modèle de consortium développé en collaboration avec l'INRIA, Bull et France Télécom, à celui d'une association loi 1901 à but non lucratif. "ObjectWeb a été initialement créé sous une forme de consortium pour formaliser une situation de collaboration entre différents partenaires.[...] Au fil du temps, ObjectWeb s'est significativement développé, avec une croissance rapide et de nombreux nouveaux projets [et de plus en plus internationaux, NDLR]", explique François Letellier, actuel directeur exécutif d'ObjectWeb, dont le mandat expirera également au 31 décembre 2006. Le consortium regroupe actuellement une centaine de projets, très centrés sur le middleware et Java, soutenu par plus de 8 000 contributeurs de 80 pays différents. Face à une telle réussite, le consortium doit alors s'adapter et passer à un autre niveau. La mutation, orchestrée depuis le début 2005 par la création d'un groupe de travail, repose sur le constat de certaines limites. D'abord structurelles: "le montant des cotisations des membres étant faible, les ressources à disposition du comité exécutif ne croissaient pas aussi rapidement que la communauté", regrette François Letellier. Puis d'indépendance - face à l'INRIA- qui "lui a ouvert de nombreuses portes, mais l'a également soumis aux règles administratives d'une structure publique, avec les contraintes qui pouvaient s'ensuivre dans la gestion des fournisseurs, du personnel, des partenariats". Enfin, dernier frein de croissance, la centralisation des comités directeur et executif, qui "trouvait ses limites à un moment où des membres non hexagonaux devenaient plus nombreux". "Une plus forte implication des membres" Effective le 1er janvier 2007, la prochaine génération d'ObjectWeb (nommée OW2) doit ainsi ôter certaines contraintes imposées par la structure actuelle. La tendance s'oriente vers une collaboration plus étroite entre les membres, les comités et les prises de décision. Pour François Letellier, il s'agit d'abord d'impliquer plus fortement les membres -également financièrement. Initialement classés en Individuel ou Corporate, les membres seront, selon le nouveau cadre, répartis en trois catégories, Strategic, Corporate et Individual avec des niveaux d'implication différents. En interne, OW2 se tournera vers "une gouvernance plus collégiale, avec trois conseils traitant de l'animation technique, de l'écosystème et des opérations ". Viennent ensuite des paramètres plus technologiques, qui doivent "prendre davantage en compte la dimension marché de l'Open Source, notamment, en resserrant les liens entre utilisateurs et développeurs". Concrètement, cela se traduira par la création d'"initiatives" qui, outre le fait de faire office de plate-forme collaborative de projet Open Source, devra "s'attacher au développement d'un écosystème d'affaires [dont] le but est que l'utilisateur y trouve les prestataires de services (accompagnement, formation, certification, support) qui répondent à ses besoins". Le consortium travaille actuellement à un projet autour des bus d'entreprise (ESB) et de la SOA. Quatre autres "initiatives" devraient également éclore, autour du décisionnel, des télécommunications, de l'embarqué, de l'e-administration, sans compter la participation à la plateforme technologique européenne NESSI (Networked European Software and Services Initiative - un projet qui réunit 13 sociétés pour aider notamment à la mise en application de la stratégie de Lisbonne). "Le thème RFID est aussi à l'étude", précise François Letellier. Pas de reconduction automatique des membres "Le consortium ObjectWeb se terminant à la fin de l'année, les membres devront faire eux-même la démarche d'adhésion à l'association OW2 pour continuer à faire partie de l'aventure", commente François Letellier, tout en ajoutant que des facilités de transfert seront proposées. "Il n'est pas juridiquement possible de reporter les adhésions d'une structure à l'autre". Mais cela pose également le problème des projets actuels sous la bannière ObjectWeb v1. A ce sujet, François Letellier est clair: "OW2 sera munie d'une politique plus stricte au niveau propriété intellectuelle. Les projets ne seront pas non plus migrés automatiquement mais évalués individuellement avant transfert". (...)

(19/12/2006 17:22:39)

Hummingbird France : droit de réponse du comité d'entreprise

« A l'occasion de l'article publié sous la signature d'Olivier RAFAL intitulé « Les salariés de HUMMINGBIRD FRANCE se révoltent contre la suppression de 50 postes sur 81 », le Comité d'Entreprise de la Société HUMMINGBIRD FRANCE est gravement mis en cause. Ainsi, il est reproché au Comité d'Entreprise sa passivité, ainsi qu'une collusion avec la direction de la Société HUMMINGBIRD FRANCE ; il est évoqué un Avocat commun, le refus de demander la nomination d'un Expert-Comptable, la modicité de l'indemnité contenue dans le plan de sauvegarde de l'emploi en complément des indemnités légales et conventionnelles. Le Comité d'Entreprise entend préciser : - qu'il n'a fait nullement preuve de passivité, tout au contraire. Dès les premières annonces d'un plan de compression d'effectif à la suite du rachat de la Société HUMMINGBIRD FRANCE par la Société OPEN TEXT, le Comité d'Entreprise a réuni les salariés, puis, à la suite des consultations prévues par la loi et effectuées par la direction, a constamment rendu compte aux salariés de la situation. Ces derniers, dont le Comité d'Entreprise est l'émanation démocratiquement élue, ont considéré que la désignation d'un Expert-Comptable n'était pas opportune ; jamais le Comité d'Entreprise n'a refusé de faire droit à une demande collective émanant de salariés au titre de la nomination de cet Expert-Comptable. - que le Comité d'Entreprise a effectivement pris l'initiative de se faire assister par un Avocat, qui n'est nullement le même que celui de la Société HUMMINGBIRD FRANCE. - qu'à la suite de ses échanges continus et permanents avec les salariés, le Comité d'Entreprise a opté pour une stratégie de négociation ferme, mais pragmatique avec la direction, en se focalisant sur deux points importants : - la qualité des mesures d'accompagnement, - la prise en compte au titre des mesures consécutives aux licenciements des salaires les plus bas au sein de l'Entreprise. Ainsi, à titre d'exemple, le Comité d'Entreprise a obtenu : - d'une part, que les salariés ayant moins de deux ans d'ancienneté reçoivent néanmoins une indemnité, alors qu'ils ne bénéficient pas, en principe, de l'ancienneté pour ce faire, - d'autre part, que l'ensemble des salariés bénéficie, en complément des indemnités légales et conventionnelles, d'une indemnité spéciale de licenciement, intégrant tout à la fois la question de l'ancienneté et la part fixe et variable de la rémunération, ce qui permet à la plupart des salariés, s'ils venaient à être licenciés, de bénéficier d'une indemnité spéciale oscillant entre 12 et 18 mois de salaire, - enfin, que les salariés bénéficient de 9 mois d'accompagnement d'un cabinet d'out-placement, qui, contrairement à ce qui est indiqué dans l'article, objet de ce droit de réponse, dispose de bureaux à PARIS et d'Experts dans le recrutement dans le secteur informatique. Le Comité d'Entreprise tient à terminer le présent droit de réponse en soulignant que les résultats et avancées ainsi obtenus ont rencontré l'adhésion de la majorité des salariés, contrairement à ce qui est inexactement indiqué. En réalité, les propos attribués à certains salariés dans cet article sont manifestement ceux d'une fraction minoritaire des salariés de la Société HUMMINGBIRD FRANCE, tous membres du département commercial, qui perçoivent les plus grosses rémunérations de la Société HUMMINGBIRD FRANCE et qui tentent, par ce biais, et au travers d'une syndicalisation récente, à obtenir, dans le cadre de cette compression d'effectif, des avantages personnels et indus. (...)

(19/12/2006 17:19:51)

Hummingbird France : une majorité de salariés défend son CE face à la section CFDT

A deux jours du référé qui statuera sur la légalité du plan de sauvegarde de l'emploi en cours chez Hummingbird France (voir notre article d'hier sur ce PSE), les salariés se mobilisent pour protester contre la tactique de la section CFDT de l'éditeur. Pour rappel, ce sont 49 emplois (et non 50 comme écrit hier par erreur) sur 81 qui doivent être supprimés à l'issue du PSE. Plusieurs salariés mécontents ont monté une section syndicale et, avec l'aide de la CFDT, alerté l'inspection du travail et attaqué la direction en justice (l'audience aura lieu jeudi). Ces salariés dénoncent la passivité du CE. Ces accusations ont fait bondir la plupart des collaborateurs de l'entreprise. Nous avons pris ainsi connaissance d'un courrier de soutien au CE, signé par plus de 40 salariés (hors les huit membres du CE et les membres de la direction - voir l'encadré ci-dessous). « Pétition téléguidée par la direction », dénonce encore un des salariés luttant contre le PSE. Quoiqu'il en soit, les témoignages affluent à la rédaction, afin d'appuyer le contenu de cette lettre de soutien. « Le CE a accepté de ne pas nommer d'expert-comptable, et obtenu 2,3 mois de salaire par année d'ancienneté au lieu de 1,4, qui était proposé au départ, raconte un salarié. Il y a eu un débat sur égalité et équité. » Ce qui a abouti, explique-t-il, à plafonner les indemnités des gros salaires à 80 000 euros, afin de pouvoir offrir davantage aux licenciés aux émoluments les plus modestes. « C'est pour ces gens-là que le CE s'est battu. » « Ceux qui restent n'ont pas à subir ça » Une collaboratrice de l'entreprise dénonce de même l'avidité des protestataires, qui risque de nuire à la viabilité de la structure. « Il ne s'agit pas de dire que le PSE est très bien, dit-elle, mais d'aller vite, et de penser à la trentaine de personnes qui vont rester. » Un autre salarié : « Je fais partie des gens qui vont partir, mais ceux qui restent n'ont pas à subir ça. » Un autre encore nous écrit : « En effet, il s'agit d'un fait rare : les employés, le CE et la direction sont tous d'accord sur les termes de ce PSE. Les quelques agitateurs boycottent toutes les réunions depuis le début du processus et s'efforcent de pratiquer une politique de la terre brûlée. Les autres avancent dans une perspective positive, participent aux réunions avec les avocats, le cabinet de replacement, etc. » Egalement remonté, un collaborateur revient sur le choix du cabinet de reclassement : « Le fameux "cabinet de reclassement en Poitou Charente" est représenté par la consultante qui a déjà travaillé pour Hummingbird lors d'un précédent licenciement en 2004 et les anciens collaborateurs qui ont eu affaire avec elle étaient très satisfaits de ses prestations. J'ai moi-même assisté à sa présentation et elle semble très bien maîtriser le marché de l'informatique et de plus les personnes ayant critiqué le choix de ce cabinet ne sont même pas venues à la présentation. Personne ne s'était inquiété du professionnalisme de la consultante lors du premier plan mais maintenant que les "syndiqués" sont des personnes à reclasser, c'est une levée de hallebardes. » Quant au constat de carence établi par l'Inspection du Travail, un salarié estime qu'il est le fait d'une présentation erronée des événements : « toutes les réponses ont été apportées par la direction dans le PSE ». Le tribunal de grande instance tranchera jeudi. La direction d'OpenText nous a d'ailleurs fait savoir qu'elle ne s'exprimerait qu'à l'issue de ce référé. (...)

(19/12/2006 12:29:49)

Trimestriels Oracle : déception sur les ventes de logiciels

Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 4,2 Md$ (+26%) Bénéfice net : 967 M$ (+21%) Oracle a bouclé un deuxième trimestre fiscal qui "n'a rien eu d'époustouflant", selon les termes employés par Safra Catz, la directrice financière. La croissance des ventes de logiciels s'est en effet inscrite dans le bas de la fourchette communiquée précédemment par le groupe. L'ensemble des licences a rapporté 3,21 Md$, soit 19% de plus qu'un an auparavant. Oracle attendait une progression comprise entre 19 et 21%. En ce qui concerne les souscriptions de nouvelles licences le constat est encore plus sévère. Là où le groupe escomptait en effet une croissance inscrite dans une fourchette de 15 à 20%, il ne réalise qu'une progression de 14%, à 1,2 Md$. Selon Safra Catz, Oracle a effectivement manqué ses objectifs de croissance des revenus tirés des logiciels. Un échec dû notamment à la finalisation de gros contrats qui a glissé sur le trimestre suivant. Le groupe pourra se consoler en voyant les services croître de 40,6% sur un an, à 949 M$ L'ensemble des revenus sur le deuxième trimestre atteint 4,2 Md$ et progresse de 26%. Enfin, soulignons que pour un groupe censé avoir réalisé un trimestre en demi-teinte, Oracle parvient tout de même à publier un bénéfice net en hausse de 21%, qui s'aligne à 967 M$. (...)

(19/12/2006 10:38:02)

Trop peu d'experts en sécurité

Le manque d'experts en sécurité freinerait l'établissement de nouvelles règles sur la conformité en entreprise, révèle une étude du London School of Economics (LSE), mandatée par McAfee. Ce phénomène est appuyé par la difficulté qu'ont les entreprises à embaucher et retenir le personnel qualifié. L'équipe de Jonathan Liebenau, responsable de l'étude, s'est adressée à des DSI et des responsables sécurité travaillant dans de grands comptes financiers en Europe, en Asie et aux Etats-Unis. Dès la mi-2006, le nombre de brèches de sécurité a oscillé entre huit et dix par semaine aux Etats-Unis. Ainsi, 94 millions d'enregistrements de données sensibles ont été compromis. Selon Jonathan Liebenau, les entreprises américaines atteignant une certaine taille ont l'obligation d'établir des rapports de leurs failles dès qu'elles sont découvertes. «Cette pratique tend à s'étendre aux autres régions du monde», assure-t-il. Cependant, les alertes que cela va générer risquent de détourner le personnel spécialisé des autres problématiques de sécurité au moins aussi importantes. Et le pool d'experts capables de jauger de l'importance d'une faille est relativement réduit, indique-t-il. Enfin, le rapport souligne que les personnes formulant les règles de sécurité ne sont bien souvent pas celles qui les gèrent. (...)

(19/12/2006 10:37:03)

HP intègre le chiffrement automatique des données à HP-UX 11i v2

Hewlett-Packard vient d'annoncer la disponibilité d'une mise à jour gratuite pour son système d'exploitation HP-UX 11i v2 qui apporte le chiffrage à la volée des données. Avec ce nouvel ajout, HP-UX devient capable de chiffrer nativement les fichiers et dossiers sur les plates-formes Integrity Itanium de la marque. Selon IDC, le chiffrage des fichiers et dossiers est devenue la première priorité de dépense des grands comptes en termes de sécurité, devant l'investissement dans les pare-feu, les outils de détection d'intrusion, les anti-virus et les anti-spyware. HP n'est pas le premier à s'intéresser au chiffrage de données puisque Sun Microsystems a déjà ajouté des capacités de chiffrage natives à Solaris ( des fonctions autrefois réservées à Trusted Solaris), et que Microsoft propose une fonctionnalité similaire avec BitLocker. HP va toutefois un peu plus loin que ses concurrents en proposant une puce optionnelle pour les serveurs Integrity, puce dont la mission est de stocker de façon sécurisée les clés et certificats numériques. (...)

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