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(19/12/2006 00:00:00)

Interview de Jean-Marc Salaün, directeur marketing d'Isotools (part II)

Propos recueillis par Sandrine Chilotti, journaliste, CIO-Online.com (...)

(18/12/2006 18:34:48)

Les salariés de Hummingbird France se révoltent contre la suppression de 50 postes sur 81

Cinquante suppressions de postes sur 81 : c'est le tribut que Hummingbird France doit payer à la fusion avec OpenText, qui a racheté son concurrent dans la gestion de contenu cet été. En octobre dernier, la direction d'OpenText avait annoncé qu'elle supprimerait 15% des 3500 postes de la nouvelle entité, soit 525 emplois dans le monde. « Cela est nécessaire pour éliminer les redondances qui surgissent invariablement lorsque deux sociétés s'unissent », avait déclaré John Shackleton, le PDG d'OpenText. Mais ce mal nécessaire accompagnant chaque fusion-acquisition se déroule dans des conditions très particulières en France. Ainsi, alors que la fusion est opérationnelle (le standard de Hummingbird répond au nom d'OpenText, l'en-tête du papier a été changé...), l'interlocuteur de la direction reste le comité d'entreprise d'Hummingbird et seuls les salariés d'Hummingbird sont concernés par le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). Du reclassement en Poitou-Charentes ? Tout devait apparemment se passer très vite (le responsable des ressources humaines mondiales d'OpenText ne manque d'ailleurs pas de signaler chaque semaine par email la fermeture de tel ou tel bureau dans le monde). Après l'annonce d'octobre, le CE approuve le PSE, et la direction de Hummingbird résilie les baux immobiliers (avec effet fin janvier) et contrats de leasing pour les véhicules. Mais la grogne monte chez les salariés, dont beaucoup ne comprennent pas la passivité du CE, voire parlent de « collusion ». « Ils ont le même avocat », tempête un salarié. « Le CE a refusé de demander la nomination d'un expert-comptable », indique un autre. Un autre encore dénonce le miroir aux alouettes que constitue l'offre de la direction dans le cadre du PSE : « La direction propose 2,3 mois de salaire par année d'ancienneté, or c'est faux, car la part variable est importante. J'ai fait le calcul pour moi, cela revient à 1 mois par année ! » Cela vaut d'ailleurs aussi bien pour les commerciaux que pour les équipes réalisant l'intégration. Les critiques fusent également sur le choix du cabinet d'aide au reclassement, Multicibles, qui se définit lui-même comme le « n°1 du conseil en recrutement en Poitou-Charentes ». Décision en référé jeudi prochain Les collaborateurs de l'entreprise dénoncent par ailleurs la motivation économique du PSE. « La plupart des gens ont été augmentés en 2006, il y a une quarantaine de BMW dans le parking, on avait un train de vie qui ne ressemblait pas à une société en dépôt de bilan. » Tous les salariés que nous avons contacté mentionnent également le mécanisme d'optimisation fiscale concernant les revenus liés à l'activité connectivité d'Hummingbird : « les charges salariales sont en France, mais les revenus vont en Suisse, donc forcément, les comptes sont toujours négatifs ! » Pour les salariés, qui voient leurs produits arrêtés, les postes de marketing et de commerciaux supprimés dans leur quasi-totalité, « il s'agit de préparer la mariée, en réduisant les coûts, afin de pouvoir se vendre à un HP, Oracle ou autre ». Un salarié se porte donc volontaire pour devenir délégué syndical et, avec le soutien de la CFDT, informe l'inspection du Travail. Qui prononce la carence du PSE. L'inspection du Travail soulève en effet une dizaine de lièvres, à commencer par le fait que le PSE ne désigne pas des postes, mais des métiers (donc des personnes). Fort de ce constat, le représentant syndical attaque le CE et la direction des ressources humaines en référé : le tribunal de grande instance se prononcera jeudi. A l'heure où nous publions cet article, nous n'avons pas encore de réaction officielle de la part de la direction d'OpenText. (...)

(18/12/2006 17:13:29)

IBM et Intel proposent un système de mesure des performances de la virtualisation

IBM et Intel viennent de soumettre un système de mesure des performances des environnements virtuels au consortium Spec (Standard performance evaluation corp) pour évaluation. Ce système, baptisé vConsolidate, mesure les performances de la mémoire et des processeurs des environnements constitués de deux serveurs et plus. Lorie Wigle, directeur marketing serveurs d'Intel, assure que vConsolidate permettra aux DSI d'estimer les performances qu'ils pourront atteindre dans le cadre d'un projet de consolidation de leur infrastructure. Cet outil devrait être disponible dans le courant du premier semestre prochain. Jay Bretzman, directeur marketing pour les systèmes x d'IBM, assure, quant à lui, que vConsolidate est déjà utilisé par d'autres constructeurs. Le consortium Spec a créé fin octobre un groupe de travail pour la création d'un benchmark portant sur les outils de virtualisation. Ce groupe a jusqu'à la fin janvier pour déterminer si la création d'un tel outil est nécessaire et, si oui, pour en établir les principes. Pour le Spec, l'enjeu est notamment d'aboutir à un benchmark qui soit cohérent pour toutes les plateformes et « juste pour tous », en évitant qu'un éditeur ou constructeur « lance quelque chose, de manière isolée, qui pourrait favoriser une configuration précise». La virtualisation progresse au sein des centres de données et les solutions logicielles se multiplient sur le marché. Si VMware est aujourd'hui l'acteur dominant, les hyperviseurs de Microsoft et XenSource devraient arriver à maturité au cours des 24 prochains mois. Virtual Iron et XenSource viennent en outre de mettre récemment à jour des offres qui se veulent bien plus économiques que celles de VMware, avec l'ambition de le rattraper. Intel et AMD devraient aussi étendre la portée de leurs solutions d'assistance à la virtualisation - à la pertinence parfois contestée - et l'un pourrait prendre l'avantage sur l'autre en termes de performances. De même, certains constructeurs devraient intégrer des hyperviseurs maison directement dans le firmware de leurs serveurs. (...)

(18/12/2006 17:10:55)

Nette progression des informaticiens free lance

L'Insee a publié ses premiers résultats de l'EAE (enquête annuelle d'entreprises) dans les services pour 2005. Depuis 2003, le nombre des professionnels free-lances progresse de 24 % et serait aujourd'hui de 200 000. Dans le secteur informatique, on recense 8,5% d'indépendants, soit 43 000 informaticiens environ. L'EAE est réalisée annuellement par sondage (40 000 entreprises, taux de réponses 80 %) par l'Insee auprès des entreprises de services aux entreprises. Depuis 1999, le nombre des professionnels non salariés est passé de 9 % (1999-2003) à 11 % (1999-2005). Comment distinguer les free-lances des autres professionnels non salariés. Le site Freelanc en Europe avance la réponse : la définition retenue est celle des professionnels exerçant des prestations intellectuelles dans des professions non réglementées. Résultat : il y a autant d'avocats que de conseils free-lances et deux fois plus d'informaticiens libéraux que d'experts-comptables. 15,6% d'indépendants dans des entreprises dédiées à l'entretien et à la réparation de matériel informatique 44 208 entreprises ont été recensées comme « activités informatiques » par l'enquête. Dans les 6 catégories définies, 15,6%, est le taux le plus important d'indépendants dans des entreprises dédiées à l'entretien et à la réparation de machines de bureau et de matériel informatique. Il est suivi par « autres activités de réalisation de logiciels » avec 13% et « activités de banque de données » avec 11,9%. Viennent derrière les activités de conseil en systèmes informatiques (7,5%), d'édition de logiciels (5,5%) et en traitement de données (3,8%). L'augmentation d'indépendants ou TPE (très petites entreprises) est régulière : outre les curieux qui veulent découvrir ce mode de travail, cette solution séduit principalement des informaticiens au chômage et qui peinent à retrouver un emploi ou ceux qui ont déménagé et se retrouvent éloignés d'une structure de travail classique. Mais l'indépendance est de plus en plus l'ultime recours des seniors condamnés à ce choix, lorsqu'ils sont ostracisés et tenus en dehors d'un système qui privilégie davantage la jeunesse à l'expérience. Sources : - Le site Freelance en Europe - L'EAE sur le site de l'Insee (...)

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