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(20/04/2007 11:17:40)

Intégration de données : code Java et mode ELT pour Talend Open Studio v.2

Talend annonce la version 2.0 d'Open Studio, sa solution ETL en Open Source utilisée pour l'intégration de données opérationnelle et pour les projets d'analyse décisionnelle (ETL, extract, transform and load : extraction, transformation et chargement de données). Parmi les apports majeurs du produit, la partie Designer (basée sur Eclipse) génère maintenant des tâches de transformation de données en code Java, en plus de la génération de code Perl déjà disponible. « Java est l'un des langages les plus déployés, nous devions donc apporter une réponse aux directions des systèmes d'information ayant fait ce choix», justifie Bertrand Diard, fondateur de Talend, avec Fabrice Bonan. Autre nouveauté importante, la possibilité d'utiliser conjointement les modes ETL et ELT. La première approche (extract, transform, load) est la plus classique et la plus courante. « Le mode ETL est naturellement utilisé dans des environnements très hétérogènes », explique Yves de Montcheuil, directeur marketing de Talend (ancien directeur marketing produit de Sunopsis). « En revanche, l'utilisation du mode ELT (extract, load, transform) peut être plus judicieuse en environnement homogène.» Si la plupart des fournisseurs ont privilégié l'un ou l'autre mode, Talend considère qu'ils sont complémentaires. « On pourra désormais les utiliser successivement dans un même processus, selon que l'un ou l'autre est plus pertinent dans le contexte », précise Bertrand Diard. Enfin, la puissance d'un ETL reposant principalement sur sa connectivité, en particulier pour l'intégration de données opérationnelle, la version 2.0 d'Open Studio a enrichi le nombre de ses connecteurs. Il y en avait 40 dans la précédente version, tous proposés en Perl. Avec la v.2.0, on en trouve maintenant une centaine, disponibles à la fois en Perl et en Java. « Nous capitalisons sur ce qui existe déjà dans la communauté Open Source », indique Bertrand Diard, faisant référence aux 35 000 connecteurs Perl existants. L'éditeur a notamment ajouté des connecteurs pour SugarCRM et Salesforce.com (deux applications de gestion de la relation client - GRC, la première proposée en Open Source), un autre pour les annuaires LDAP, ainsi que des connecteurs natifs pour les bases de donnée DB2, Ingres, PostgresSQL et Oracle (en plus des connecteurs SQL Server et MySQL déjà disponibles). A noter également que les fonctions ETL de Talend peuvent être exposées comme un service Web pour être utilisées, par exemple, dans un processus de BPM (business process management). Et, qu'à l'inverse, Open Studio peut lui-même « consommer » des services Web. (...)

(17/04/2007 16:34:19)

Oracle lance AIA, son offre d'applications composites

Oracle s'est officiellement lancé sur la voie des applications composites. L'éditeur a annoncé AIA (Application integration architecture) à la conférence utilisateurs Collaborate '07, à Las Vegas. Le principe d'AIA est de fournir des processus prêts à l'emploi sous forme de packs, s'appuyant à la fois sur l'offre progicielle d'Oracle et sur son middleware Fusion. C'est donc très proche de ce que SAP propose depuis longtemps avec ses xApps (ou Cross Apps) : relier divers modules fonctionnels, à l'aide notamment d'un outil de gestion des processus métier (BPM) et d'un bus de services (ESB) afin de construire des applications dites composites, collant davantage aux besoins des clients. « Cela a la même ambition, confirme Lionel Dubreuil, responsable marketing techno pour les applications chez Oracle France. Sauf que pour nous, les applications composites peuvent s'appuyer sur notre offre, celle de nos partenaires mais aussi sur toutes les applications que nous avons rachetées. » Lionel Dubreuil explique par ailleurs qu'AIA s'inscrit dans la stratégie d'évolution des produits qu'Oracle avait déjà annoncée. De fait, avec toutes ces technologies à intégrer (Oracle a procédé à plus de 20 Md$ d'acquisitions en un peu plus de deux ans), seule l'option SOA (architecture orientée services) est valable : exposer des fonctionnalités en tant que services, et orchestrer ces derniers à l'aide d'un outil de BPM. L'effort d'intégration qu'Oracle doit réaliser se situant alors au niveau de la définition des objets métier des applications. A partir du moment où les différentes applications partagent un vocabulaire XML, il est possible de recourir à un référentiel commun et d'assembler les services reposant sur ces objets. Oracle souligne que les clients comme les partenaires peuvent ainsi réaliser leurs propres applications composites, tout reposant sur des standards. De même, le recours à XML permet de mettre à jour les applications tout en conservant la personnalisation des objets métier. Dans sa présentation aux Etats-Unis, Oracle a même employé la notion de « sustainable integration » (intégration durable). Oracle veut faire d'AIA une opportunité pour les partenaires Un pack AIA fournit les outils nécessaires à la réalisation et à la personnalisation de l'intégration d'un processus métier. Une licence AIA comprend notamment l'outil Aris pour la modélisation des processus métier, et un droit d'utilisation de la SOA Suite. Néanmoins, rares seront les clients qui n'ont aucun élément middleware en interne. « Un client qui aurait déjà fait un choix tiers pourra utiliser son produit, mais ne bénéficiera pas du côté 'prêt à l'emploi', commente Lionel Bubreuil. Nous avons déjà des clients qui utilisent notre offre BPEL [le moteur d'exécution des processus métier, NDLR] avec un autre ESB. » Il est cependant légitime de penser qu'il sera plus simple d'utiliser le moteur BPEL d'Oracle avec un ESB tiers, plutôt que l'inverse. Les packs AIA pourront aussi être utilisés pour se connecter à des services fournis par des applications non-Oracle. Un appel du pied d'Oracle envers les éditeurs et SSII, appelées à constituer, comme pour SAP, un écosystème. « Les partenaires pourront développer leurs propres objets, venant en complément de l'offre Oracle ou s'y substituant, explique Lionel Dubreuil. Par exemple pour intégrer du Salesforce à la place de Siebel OnDemand ou du back-office SAP à la place du nôtre. » Les deux premiers packs livrés sont justement des processus reliant le progiciel E-Business Suite d'Oracle à son offre de gestion de la relation client Siebel CRM. Les suivants viendront entre autres compléter l'intégration de Siebel avec ses offres de facturation et de gestion de la distribution, mais aussi avec des modules de l'offre JDEdwards EnterpriseOne. (...)

(13/04/2007 17:36:10)

Services Web : l'Oasis approuve la version 2 de BPEL

BPEL 2.0 est officiellement un standard. L'Oasis a approuvé hier la version deux de ce Business Process Execution Language, langage d'exécution des processus métier, qui décrit la façon dont les processus métiers peuvent être transcrits sous forme de services Web et interagir. Surtout, BPEL décrit la façon dont les exceptions - lorsque tout ne se déroule pas correctement dans l'enchaînement des processus - doivent être gérées. La norme a été initiée en 2002 par Microsoft et IBM. Aujourd'hui, ce sont 37 éditeurs, dont Adobe, Oracle et Sun, qui soutiennent les spécifications. Elles étaient pour l'heure en version 1.1, mais la plupart des éditeurs proposaient déjà des produits supportant la version 2 de la norme dans leurs offres BPM (Business process management) ou SOA (Architectures orientées services). (...)

(05/04/2007 16:53:55)

Software AG doit racheter Webmethods pour 546 M$

Lorsque Software AG parle de recentrage sur son métier d'éditeur d'outils pour les SOA, c'est du sérieux. Deux mois après avoir annoncé son « plan ambitieux de développement », Software AG vient de révéler son intention de racheter Webmethods, spécialiste 'pure player' des architectures orientées services. La transaction s'effectuera pour 546 M$ en numéraire - si les actionnaires de deux groupes l'approuvent. Dans une conférence de presse téléphonique tenue plus tôt dans la journée, le patron de Software AG, Karl-Heinz Streibich, a insisté sur la complémentarité des deux entreprises et la similitude de leurs approches du marché. Les deux réalisent en effet les trois quarts de leur chiffre d'affaires grâce au logiciel (nouvelles licences et maintenance), Software AG est particulièrement présent en Europe (66% de son CA), Webmethods en Amérique du Nord (62% du CA). De même, sachant que Software AG réalise encore moins du tiers de son CA avec Crossvision, son offre SOA (le reste provenant principalement de l'offre traditionnelle, la base de données Adabas et l'environnement de développement Natural), la combinaison Software AG + Webmethods pourra afficher une répartition de son chiffre d'affaires à égalité entre SOA et outils traditionnels. « Un portefeuille très équilibré qui nous rendra fort », explique Karl-Heinz Streibich. Le portefeuille clients (environ 3000 pour Software AG et 1500 pour Webmethods) devrait s'élever à 4000 références, une fois dédoublonné. « Un grand pas en avant » vers l'objectif du milliard d'euros de CA Côté offre produits, Peter Kürpick, responsable de la stratégie produits pour Software AG, a esquivé les questions sur le recouvrement des gammes, indiquant qu'il s'agirait de prendre « le meilleur des deux mondes ». Il a en revanche évoqué le fait que Webmethods était « un leader très fort en ce qui concerne l'intégration BPM [Business process management, gestion des processus métier, NDLR] et Software AG un leader très fort en ce qui concerne l'ESB [Enterprise service bus, bus de service applicatif, NDLR] ». Pour Webmethods, dont le chiffre d'affaires stagnait à un peu plus de 200 M$, cette acquisition est très logique dans un marché où les petits acteurs ne peuvent survivre que s'ils sont très forts sur des niches technologiques, face à des Oracle ou IBM qui élaborent des plateformes complètes. Dave Mitchell, CEO de Webmethods, qui devrait rester dans l'équipe de management, a laissé entendre que l'éditeur avait étudié plusieurs offres, celle de Software AG paraissant « la plus attractive » pour la société et les actionnaires. Pour améliorer sa visibilité sur le marché des SOA, Software AG avait annoncé un plan pour atteindre le milliard d'euros de chiffre d'affaires d'ici à 2011 - l'éditeur allemand affiche 483 ME pour son année fiscale 2006. Il a depuis légèrement retouché son logo, faisant disparaître la mention « the XML company », qui pouvait prêter à confusion sur son coeur de métier, et a investi massivement pour être largement présent au Cebit, notamment en sponsorisant un espace SOA. Mais clairement, commente Karl-Heinz Streibich, c'est ce rachat qui constitue « un grand pas en avant » vers cet objectif. (...)

(28/03/2007 12:31:33)

Le marché du BPM dépassera le milliard de dollars cette année

Un milliard de dollars dès cette année et 2,6 Md$ en 2011, le marché des logiciels de BPM (Business process management, gestion des processus métier) devrait faire partie des secteurs dont la croissance sera la plus rapide, prédit Gartner. Le cabinet d'études, qui tient en ce moment son Gartner BPM Summit à Londres, explique cette envolée par la façon dont Internet change la façon de faire des affaires, en plaçant le client au centre. Et donc en forçant les entreprises à accélérer la modernisation de leurs processus. De 2006 à 2011, le taux de croissance annuel moyen pour les suites de BPM devrait se situer à 24%. Janelle Hill, vice-présidente de Gartner, estime que « le BPM gagne la triple couronne : économiser de l'argent, économiser du temps et ajouter de la valeur. Le BPM procure à la fois un retour sur investissement rapide et de la valeur à long terme. » Le BPM, poursuit Gartner, est une composante majeure des architectures orientées services (SOA), et une raison essentielle pour y passer. Une étude de l'an passé indique que les entreprises devraient dépenser 22% de leur budget IT sur les SOA, les services Web et les initiatives 2.0. Côté éditeurs, le marché devrait encore se réduire. Gartner identifiait 50 acteurs du BPM en 2003, et ne comptait en 2006 que 25 éditeurs offrant une suite de BPM. Et Gartner s'attend à ce qu'au moins quatre d'entre eux soient rachetés par les éditeurs majeurs, tels qu'IBM, SAP et Oracle. (...)

(12/03/2007 11:51:25)

BPM : Lombardi ouvre sa filiale française

C'est pour répondre, dit-il, au succès croissant de ses produits de BPM (business process management, gestion de processus métier) que Lombardi crée une filiale en France. La société, qui s'enorgueillit de compter Renault F1 parmi ses clients, affirme réaliser 30% de son CA en Europe. C'est Greg Pope, VP des opérations européennes, qui dirige de Londres. Lombardi faisait partie l'année dernière des « leaders » dans le quadrant magique de Gartner, qui prédisait alors que d'ici à 2008, sur 150 éditeurs, seuls 25 auraient les reins assez solides pour se développer en tant qu'éditeurs de suites de BPM et exister encore. Les autres éditeurs de la catégorie « leaders » étaient Fuego (racheté par BEA), Savvion et Pegasystems. (...)

(02/03/2007 14:59:39)

EMC lance sa suite de BPM intégrant la technologie de Proactivity

EMC va présenter sur le salon Documation, qui se tiendra au Cnit (Paris) du 07 au 08 mars prochains, sa nouvelle suite de gestion des processus métiers (BPM, Business Process Management) EMC Documentum Process. C'est la première version à intégrer la technologie d'analyse et de supervision des activités métiers acquise par EMC Documentum en juin 2006, avec le rachat de Proactivity. Cette suite de BPM permet de construire et de gérer de bout en bout des processus métiers en orchestrant les interventions des utilisateurs, ces derniers accédant indifféremment à des données structurées et à des contenus non structurés. Le tout en disposant désormais d'outils pour simuler, améliorer et contrôler en temps réel le bon déroulement des processus. Le moteur d'exécution des processus qui coordonne les différentes interactions (actions des utilisateurs, accès aux données et intégration interapplicative) repose sur une architecture orientée services. L'éditeur souligne qu'il a réalisé une intégration directe avec les fonctions de traitement de l'information d'EMC (formulaires électroniques pour la saisie des données, extraction du contenu des documents papier, environnements de partage de connaissance...). (...)

(27/02/2007 15:47:03)

Microsoft veut faire de Vista un client des applications de BPM

D'ici à la fin de l'année, les applications de BPM (Business process management, gestion de processus métier) pourront s'exécuter directement sur Windows Vista. La couche workflow de Vista, WWF (Windows Workflow Foundation) bénéficiera dès le mois de mars d'une mise à jour lui offrant le support de BPEL (Business process execution language), le langage d'exécution des processus métier. La version supportée sera la 1.1, mais Microsoft pense pouvoir implémenter la 2.0 (encore au cours de finalisation au sein de l'organisme de normalisation Oasis) avant fin 2007. Le but de WWF est de servir de support à des applications de workflow. De l'enchaînement des tâches à celui des processus, il n'y avait qu'un pas, que Microsoft entend favoriser également en créant une alliance avec divers partenaires : les membres de la Business Process Alliance s'engagent à aider leurs clients à bâtir des applications de BPM sur la plate-forme Microsoft. Ont déjà adhéré à la BPA : Amberpoint, Ascentn, IDS Scheer, Fair Isaac, Global360, InRule Technology, Metastorm, PNMsoft, RuleBurst et SourceCode Technology Holdings. (...)

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