Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 1181 à 1190.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/08/2011 16:45:43)

Rakuten, l'acquéreur de PriceMinister, met la main sur l'Allemand Tradoria

Le groupe japonais Rakuten est bel et bien lancé dans la constitution d'un groupe de e-commerce en Europe. Et ce, par croissance externe. Un an après le rachat du français PriceMinister, il acquiert 80% de l'allemand Tradoria. Cette société allemande fondée en 2007 traite avec 4 400 boutiques offrant 8 millions de produits. C'est une plate forme de e-commerce fournissant des solutions de boutique en ligne.

« L'an passé, nous avons vu d'importantes synergies avec le groupe Rakuten qui ont contribué à étendre nos activités respectives au niveau mondial et à stimuler la croissance, commente Pierre Kosciusko-Morizet, P-dg de PriceMinister. Nous sommes impatients de travailler aux côtés de Tradoria et de Rakuten, dans la construction de la plus forte plate-forme européenne de commerce électronique, offrant aux commerçants et aux consommateurs, une expérience sans faille et sans frontière ».

Illustration : le site Tradoria (...)

(02/08/2011 16:40:46)

Google et LivingSocial se paient des sites d'achats groupés

Dealmap, un agrégateur de sites d'achats en groupe, a déclaré lundi qu'il avait été racheté par Google pour un montant non communiqué. L'acquisition de la société californienne (installée à Menlo Park) pourrait aider Google à renforcer sa présence sur un marché où il a fait son entrée en juin dernier avec Google Offers. Dealmap rassemble des « bonnes affaires », des remises et des coupons issus de différentes sources et les positionne sur une carte des Etats-Unis. En plus d'offrir cette information à travers son site web et ses e-mails, la société propose des applications pour les téléphones Android et iPhone d'Apple et l'Ipad. Elle revendique plus de 2 millions d'utilisateurs.

« Nous sommes impressionnés par ce que l'équipe de Dealmap a accompli et sommes ravis de l'accueillir au sein de Google », a déclaré la firme de Moutain View dans un communiqué, en ajoutant : « Nous avons été enthousiasmé par le succès rencontrés par nos offres de commerce, et nous pensons qu'elles peuvent nous aider à développer de meilleurs produits et services pour les consommateurs et les vendeurs ».

Google Offers, réponse à Groupon, va s'étendre

Pour sa part, Dealmap a fait savoir qu'il continuerait à maintenir ses principaux produits et les services de ses partenaires. Mais la société a fait savoir qu'elle n'accepterait pas de nouvelles affaires sur son site web ou ses applications mobiles. Elle invite donc les « business owners » intéressés à soumettre leurs propositions directement sur Google Offers.  « Nous sommes prêts à partager davantage sur nos projets d'intégration et de transition, et  nous tiendrons nos partenaires et  consommateurs informés des  progrès effectués et des dernières actualités », a indiqué Dealmap.

Google a commencé à tester Google Offers en juin à Portland (Oregon). Sa réponse à Groupon couvre désormais plusieurs villes américaines, dont Portland, San Francisco et New York. L'éditeur  prévoit d'étendre ses services à Austin, Boston, Denver, Seattle et Washington DC.

Quant à LivingSocial, sociétée située à Washington DC et spécialisée dans les achats groupés et les bons de réduction, il se développe en Asie. La firme a déclaré lundi qu'elle  avait signé un accord définitif pour acquérir TicketMonster, un site de e-commerce social installé en Corée du Sud qui propose des offres quotidiennes et des achats instantanés, des événements et des forfaits touristiques à plus de 2 millions de membres en Corée et en Malaisie.

LivingSocial opère déjà dans 23 pays, y compris dans les Philippines, en Thaïlande et  en Indonésie où il a également réalisé des acquisitions.

(...)

(02/08/2011 15:39:01)

Quatre choses à savoir sur Edge d'Adobe

Afin de comprendre ce que le logiciel Edge (attendu pour 2012) fait et ne fait pas, voici une sélection de caractéristiques importantes de cette technologie d'animation pour le web mise au point par Adobe et basée sur HTML. Une pré-bêta du produit est proposée gratuitement au téléchargement depuis hier.

1 - Edge n'est pas destiné à « remplacer » Flash. Contrairement à ce dernier, requis pour lire des vidéos sur YouTube ou pour faire tourner des jeux sur Facebook, la technologie exploitée par Edge a été spécialement conçue pour exécuter des « animations simples, » comme celles utilisées pour les publicités en ligne. Ce qui est surtout remarquable, c'est qu'Adobe a incorporé du HTML5 dans Edge, la norme préférée et poussée par Apple comme alternative à Flash pour lire les vidéos sur le Web. Actuellement, les appareils mobiles d'Apple comme l'iPhone et l'iPad ne supportent pas le format Flash. Pour justifier ce choix, Steve Jobs, le PDG d'Apple, avait affirmé que Flash « plantait trop souvent et puisait trop d'énergie sur les batteries des appareils mobiles » pour être considéré comme un standard efficace pour l'Internet mobile. La grande nouvelle est donc qu'Adobe se met un peu au HTML5. En revanche, la question d'une norme vidéo HTML5 qui remplacerait Flash reste, elle, toujours d'actualité. « Avec l'arrivée de la nouvelle norme HTML5, le langage offre davantage de fonctionnalités, si bien que nous voyons des gens commencer à l'utiliser dans des domaines autrefois réservés à Flash », comme l'a déclaré Devin Fernandez, chef de produit Edge chez Adobe.

2 - Edge a été conçue avec l'Internet mobile à l'esprit. En réponse à d'autres critiques formulées par Apple, Adobe a affirmé qu'Edge avait été « conçu et testé pour fonctionner de manière fiable sur les plates-formes iOS et Android, les appareils compatibles WebKit et avec la plupart des navigateurs internet (Safari, Chrome, Firefox). » Ces dernières années, l'Internet mobile est devenu un service de base pour de nombreux utilisateurs. Adobe a voulu répondre à cet usage en apportant une norme d'animation fonctionnant aussi bien que sur un PC de bureau classique.

3 - Il existe plusieurs manières de créer des animations avec Edge. Les utilisateurs ont à leur disposition trois méthodes principales pour créer leurs propres animations avec Edge : en important des fichiers graphiques de formats différents et compatibles Internet, dont SVG, JPG, PNG ou GIF ; en ajoutant des « éléments d'animation» à des pages Web existantes en HTML à l'aide d'un script java qui, selon Adobe, « sait faire le tri entre le code HTML original et le code d'animation de Edge  » ; en créant ses propres animations à partir de zéro à l'aide d'une série d'éléments de construction au format HTML, texte et graphiques, récoltés sur Internet. Dans tous les cas, Edge travaille de concert avec les outils de design web professionnels d'Adobe, en particulier Dreamweaver CS5.5, Flash Professionel CS5.5 et Flash Builder 4.5 (et versions antérieures). Le nouvel outil vise les concepteurs qui cherchent un moyen efficace pour utiliser les standards du Web - HTML, Java Script et CSS -  pour créer du contenu animé avec des transitions, à l'image de ce que fait Flash.

4 - Edge est toujours en mode « preview ». Inutile donc de le chercher partout pour changer le monde du web la semaine prochaine. C'est la première incursion d'Adobe dans le HTML5 pour les animations, ce n'est donc pas encore prêt pour une utilisation de premier plan. L'éditeur américain a livré une pré-bêta au public afin d'avoir en retour « une évaluation et des commentaires qui l'aideront à façonner les caractéristiques et la feuille de route du format Edge de demain. » Néanmoins, on peut dire avec certitude que si Edge fait mouche auprès des développeurs Web et des utilisateurs du Net, Adobe va multiplier ses utilisations du HTML5 pour soutenir davantage de normes susceptibles de servir pour des applications vidéo et des jeux plus complexes. Même s'il a en parti hérité de Flash Professionel et d'After Effects, Edge est présenté comme un outil rapide et léger. Adobe pense que les utilisateurs finiront par utiliser Edge pour accomplir plus facilement et plus rapidement certaines tâches qu'ils font maintenant avec Flash.

Adobe Edge est disponible sur Adobe Labs, pour Windows et Mac. A noter que sur Mac, il faut disposer des versions 10.6 ou 10.7 d'OS X pour l'utiliser.

Crédit photo : Adobe

(...)

(02/08/2011 13:53:17)

Un cheval de Troie affectant Android enregistre les appels téléphoniques

Voilà qu'un malware touchant Android est maintenant capable d'enregistrer des conversations téléphoniques, si l'on en croit un expert en sécurité de l'éditeur américain CA. Alors qu'un précédent cheval de Troie, également découvert par CA, récupérait le détail des appels entrants et sortants et la durée de la communication, le malware identifié cette semaine enregistre la conversation au format AMR et la stocke sur la carte SD, ainsi que l'expliquent nos confrères de Network World.

Ce logiciel malveillant installe par ailleurs un fichier de configuration qui comporte des informations clés sur le serveur distant et les paramètres, relate dans un billet de blog Dinesh Venkatesan, chercheur en sécurité chez CA. Ce faisant, il semble suggérer que les appels ainsi enregistrés peuvent être téléchargés vers un serveur géré par un utilisateur malintentionné.

Dinesh Venkatesan a testé le cheval de Troie en question dans un environnement contrôlé avec deux émulateurs mobiles fonctionnant avec des services Internet simulés. Il a publié des captures d'écran des résultats obtenus. Il apparaît que le malware ne peut être installé que si le propriétaire du terminal sous Android clique sur le bouton « Installer » d'un message qui ressemble de façon frappante aux écrans d'installation des véritables applications.

Une fois que le malware et le fichier de configuration du serveur distant sont installés sur le terminal sous Android, le processus d'enregistrement et de stockage sur la carte SD se met en route dès que l'utilisateur effectue un appel téléphonique.

Appliquer des principes de sécurité de base

« Il est déjà largement reconnu que cette année sera celle des malwares sur mobiles. Nous recommandons donc aux utilisateurs de smartphones de raisonner de façon logique et de mettre en oeuvre les principes de sécurité de base lorsqu'ils surferont sur Internet et lors de l'installation de n'importe quelle application », conseille ainsi Dinesh Venkatesan.

Alors qu'Android procure davantage de flexibilité que l'iPhone en autorisant l'installation d'applications tierces, même celles qui n'ont pas été approuvées pour l'Android Market, cette liberté va de pair avec une prise de risque accrue. Les applications infectées par des malwares ont même été trouvées sur l'Android Market, mais les utilisateurs peuvent se protéger en installant des logiciels antivirus, de la même façon qu'ils le feraient sur un PC.

(...)

(02/08/2011 12:06:13)

Brève disponibilité de Skype pour iPad

Attendue pour la fin juin sur l'iPad d'Apple, la solution de téléphonie et de chat vidéo sur Internet Skype a été proposée hier soir sur les boutiques en ligne d'Apple avant d'être rapidement été retirée. C'est ce que Skype a indiqué dans un message posté sur Twitter, en précisant que l'application était sortie prématurément. « Nous savons que Skype pour iPad était attendu avec impatience et nous excusons pour la gêne occasionnée », a regretté la société basée à Luxembourg dans un deuxième message posté sur Twitter. Néanmoins, il n'est pas précisé si Skype pour iPad va être bientôt disponible. Une vidéo de l'application avait pourtant été mise en ligne en juin.

Dans une interview accordée en juin à TUAW, blog spécialisé sur Apple, Rick Osterloh,  vice-président en charge du design des produits grand public chez Skype, avait déclaré  que la version  pour iPad inclurait des fonctions de chat et d'appel audio et vidéo. Il a précisé que certaines caractéristiques propres à l'application pour PC et Mac, en particulier le partage de fichiers, ne fonctionnent pas dans la  version de Skype pour iPad en raison de la façon dont la solution gère les fichiers.

En mai dernier, Microsoft avait annoncé le rachat de  Skype  pour quelque 8,5 milliards de dollars. L'éditeur de Windows avait déclaré qu'il continuerait à soutenir les produits de Skype sur des plate-formes concurrentes. L'application Skype est déjà disponible sur une variété de plates-formes, dont le Mac et l'iPhone.

(Mise à jour) Skype for iPad est finalement arrivé sur l'iTunes App Store ce mardi 2 août.

Illustration : Message Twitter de Skype (crédit : D.R.)

(...)

(01/08/2011 18:54:21)

Microsoft condamné à payer 70 M$ à Alcatel-Lucent

Microsoft a été condamné à payer 70 millions de dollars  à l'équipementier réseau Alcatel-Lucent dans le cadre  d'un litige sur les brevets courant depuis plusieurs années et qui, à une époque, aurait pu coûter 1,5 milliard de dollars à Microsoft. Un jury de San Diego a rendu son verdict vendredi dernier dans cette affaire où Microsoft est accusé d'avoir violé des brevets dans plusieurs produits, et notamment dans Outlook. L'action en justice a été intentée par Lucent en 2003, avant sa fusion avec Alcatel.

En 2007, un jury du même tribunal avait condamné  Microsoft à payer 1,5 milliard de dollars à Lucent pour cette infraction. Le juge avait annulé cette décision, arguant que Microsoft n'avait enfreint qu'un seul  des deux brevets en cause, et que le second était détenu conjointement par un institut de recherche européen, de sorte que le tribunal n'avait pas les compétences pour se prononcer. Lucent avait alors fait appel, mais une cour d'appel fédérale avait confirmé la décision du tribunal.

Microsoft réfléchit à l'étape suivante

Les deux entreprises ont ensuite statué sur la plupart des plaintes, mais certaines sont restées en suspend et les opposants se sont de nouveau retrouvés au tribunal. La somme réclamée à Microsoft a fini par se monter à 511 millions de dollars avant qu'un nouveau procès soit demandé. Le dernier en date est survenu après que le Federal Circuit (juridiction qui traite les appels) a ordonné la mise en place d'un nouveau procès sur les dommages, renversant le jugement initial de plus de 500 millions de dollars pour le même brevet, a déclaré Microsoft dans un communiqué.

« Le verdict d'aujourd'hui reflète une tendance positive dans le droit des brevets et dommages associés issus des précédents avis du Federal Circuit dans ce cas-ci et dans d'autres »,  a déclaré Microsoft dans un communiqué. « Toutefois, nous continuons de soutenir que la loi actuelle demande une répartition réelle des dommages et intérêts lorsque l'infraction concerne une petite fonctionnalité d'un produit riche en fonctionnalités. C'est à cette lumière que nous examinons le verdict et les prochaines étapes de cette affaire. »

Nos confrères d'IDG News Service indiquent qu'une  porte-parole de Microsoft a refusé de dire si cela signifiait que la société allait déposer un recours. De leur côté, les porte-paroles d'Alcatel-Lucent n'ont pu être joint pour commenter cette information.

Crédit illustration : D.R.

(...)

(01/08/2011 17:36:46)

Facebook versera 500 dollars, ou plus, aux chasseurs de bugs

Facebook a décidé de rémunérer les hackers qui trouveraient des bugs pouvant affecter les services de son site, à condition que ces problèmes soient signalés en premier aux équipes techniques du réseau social. En lançant le programme web « Security Bug Bounty »,  Facebook emboîte ainsi le pas  à Google et Mozilla.

Pour les bugs liés à la sécurité - par exemple les failles XSS (cross site scripting) - la société proposera une prime de 500 dollars. Pour les failles plus importantes,  Facebook payera davantage, mais sans préciser cette fois de montant précis. A partir de vendredi, le site lancera White Hats (https://www.facebook.com/whitehat/), un portail où les chercheurs pourront s'enregistrer et signaler des bugs.

300 000 dollars de primes versés par Google

De son côté, Google offre entre 500 et 3 000 dollars de primes, selon la gravité de la faille. La firme de Mountain View a commencé à payer début 2010 pour les bugs trouvés sur son navigateur, puis a étendu son programme en novembre dernier à d'autres domaines.  Selon un porte-parole de Google, cette démarche a aidé la firme à découvrir un grand nombre d'erreurs de programmation au cours des huit derniers mois, dont la plupart dans des produits moins connus. « Nous sommes très heureux du succès de notre programme de récompense, a déclaré un représentant de la firme dans un e-mail. Nous avons déjà payé 300 000 dollars et nous avons pu voir un échantillon de bogues intéressantes ».

En attendant, les équipes de sécurité de Facebook sont déjà fortement engagées dans le dialogue avec des chercheurs en sécurité. La société est contactée par des hackers entre 30 à 50 fois par semaine. Les informations fournies par ces derniers ont permis de déclencher entre un à trois « bugs actions », par semaine, a indiqué Alex Rice, responsable des produits sécurité chez Facebook  « La plupart des attaques sont de type XSS (cross-site scripting) ou CSRF (cross-site request forgery) », a-t-il ajouté. « Ce sont deux erreurs très communes de programmation web pouvant être utilisées par des escrocs pour tromper des membres de Facebook. »

Facebook offre une récompense de 500 £ par bug de sécurité
Crédit photo : Arvind Balaraman - freedigitalphotos.net (...)

(01/08/2011 17:20:24)

Semestriels Econocom : chiffre d'affaires en léger recul

Econocom publie les chiffres (provisoires) de son 1er semestre 2011. Deux lectures sont possibles. Dans la première, le chiffre d'affaires consolidé a doublé passant de 361 à 765 millions d'euros, c'est évidemment avec le rachat d'ECS. Mais, à périmètre comparable, le CA a baissé de 2%, c'est dû au désengagement de plusieurs activités, explique la société.

Econocom souligne le dynamisme de ses activités commerciales et les résultats positifs du rapprochement mené avec ECS. Les principaux objectifs, progression forte du résultat opérationnel courant et hausse du CA annuel (qui passerait à 1,4 milliard d'euros), sont confirmés.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >