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(08/07/2011 15:54:50)

Oracle exigerait jusqu'à 20 dollars par terminal Android

Si Oracle gagne le procès qu'elle a intenté contre le géant du web, les conséquences pour Google et l'ensemble du marché Android pourraient être désastreuses, selon les analystes. Oracle ne va sûrement pas se contenter d'un paiement forfaitaire, mais exigera une part sur chaque téléphone et tablette vendus. Pour les fabricants de terminaux, ce coût supplémentaire changerait la donne et ils regarderont sans doute à deux fois avant de s'engager sur la plateforme Android. Certes, ils n'abandonneront pas Android pour quelques dollars versés sur chaque combiné vendu, mais ils pourraient par contre commencer à s'intéresser à d'autres plateformes, comme Windows Phone, et réduire le nombre de téléphones sous Android.

Cette bataille a commencé l'an dernier, Oracle accusant Google de contrefaçon et d'atteinte au droit d'auteur pour des brevets utilisés dans Android. Oracle affirme que Google utilise sans licence la machine virtuelle Dalvik qui fait tourner les applications Java sur les appareils Android, technologie développée par Sun Microsystems, dont Oracle a bouclé le rachat l'année dernière. « Compte tenu de ce que j'ai pu voir jusqu'à présent, je pense qu'Oracle est en position de force, » a déclaré Dave Mixon, avocat chez Bradley Arant Boult LLP Cummings, qui a suivi le dossier de près. Lors d'une audience préliminaire qui donne généralement la tendance dans les litiges sur les brevets, le juge avait donné un avis favorable à Oracle.

Google est sur la défensive et Oracle maintient la pression. « Oracle a pris une posture agressive. L'éditeur a compris qu'il avait mis Google en difficulté et qu'il pouvait gagner, » a déclaré l'avocat. L'éditeur de Redwood a aussi trouvé un bon levier en réclamant directement aux constructeurs un droit de licence sur le logiciel - de 15 à 20 dollars par appareil. « Oracle a approché les principaux OEM, les invitant à adhérer à un programme en vertu duquel ils acceptaient de licencier directement la technologie auprès d'Oracle, » a déclaré Jonathan Goldberg, analyste chez Deutsche Bank. Pour l'instant Oracle a refusé de commenter cette information et Google n'a pas voulu réagir.

Oracle commence à négocier avec les constructeurs de terminaux

« Ce coût de licence mettrait Android et Windows Phone 7 au même niveau, » a ajouté l'analyste. Microsoft rappelle souvent que, même si Android est techniquement libre, les équipementiers doivent financer les recherches nécessaires pour intégrer le logiciel sur leur matériel. La licence payée par les fournisseurs pour Windows Phone inclut le support qui permet l'intégration du logiciel. « Les fabricants de terminaux mobiles vont devoir réfléchir sérieusement pour décider s'ils continuent ou non avec Android, » a déclaré Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates. « Ils ont opté pour Android parce que le système était gratuit et qu'ils pouvaient le modifier. Si les termes changent, les fabricants vont commencer à considérer le coût. » Même s'il est certain que les constructeurs de téléphones ne voudront pas complètement abandonner Android, la manière dont ils dépendent d'Android va être remise en question.

« Le fait qu'Oracle approche les constructeurs pour leur proposer un accord sur la licence ressemble fort à un stratagème en vue d'engager des négociations, » a déclaré Dave Mixon. «  Google n'est pas seulement attaquée par Oracle. Il est aussi soumis à la pression de ses clients, » a t-il ajouté. « Si les partenaires de Google disent au géant de la recherche qu'Oracle fait pression sur eux pour leur faire payer la licence de la technologie, ils peuvent inciter Google à négocier avec Oracle, » a t-il déclaré. Cependant, il est peu probable qu'Oracle demande vraiment aux constructeurs de payer aussi cher pour chaque appareil Android vendu. « Finalement, je pense que personne ne paierait cette somme. Oracle veut tuer Android, » a estimé Jonathan Goldberg. Selon lui, Oracle accordera des remises, permettant aux équipementiers de payer beaucoup moins que 15 dollars par téléphone. « C'est un équilibre délicat pour Oracle, » a déclaré Dave Mixon. « Ils veulent le succès d'Android. Ils ne veulent pas faire peser sur Android le risque de donner à quelqu'un les motifs de trouver une alternative en accord avec le droit. »

Crédit photo : HTC

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Cependant, Oracle pourrait ne pas être le seul à demander aux OEM de payer pour utiliser une technologie dans Android. Microsoft, qui affirme aussi que certaines de ses technologies sont utilisées dans Android, a annoncé qu'elle avait négocié des accords de licence pour les appareils Android de HTC et quelques autres fabricants de plus petite taille. La firme de Redmont demande également à Samsung de lui verser 15 dollars par téléphone sous Android. Microsoft pourrait tirer d'Android une source de revenus, mais l'éditeur préfèrerait plutôt que sa propre plateforme mobile Windows réussisse : elle présente davantage de potentiel en terme de revenus possibles avec les services connexes. 

Cela signifie que les motivations de Microsoft sont différentes de celles d'Oracle pour demander aux OEM des droits de licence raisonnables sur Android. « Si les grands équipementiers comme Samsung et Motorola peuvent se permettre de payer un ou deux dollars de plus par téléphone, ce coût pourrait avoir un impact plus important en Chine, où de nombreux fabricants de téléphones utilisent Android, » a déclaré Johnathan Goldberg. « A qui vont-ils payer ce droit ? A Oracle?

Un Android à la sauce chinoise ?

Les constructeurs chinois ont une approche très différente de la propriété intellectuelle», ajoute-t-il encore. Les fabricants de téléphones chinois ne paieraient probablement pas pour licencier Android et pourraient faire de la plateforme un casse-tête pour les utilisateurs et les développeurs. « Je ne pense pas qu'ils abandonneraient Android, mais ils pourraient l'utiliser illégalement. Ils pourraient transformer l'OS massivement », a encore déclaré l'analyse. Selon lui, les équipementiers chinois continueraient à utiliser Android, mais afin d'éviter d'avoir à payer des frais de licence, ils continueraient son développement hors de la communauté Android et de Google afin d'éviter d'être repérés. 

Cela empêcherait Google de tirer des ressources potentielles d'Android, à partir des nombreux services implémentés dans l'OS. Cela contribuerait également à fragmenter encore plus la communauté, actuellement divisée en raison des multiples versions d'Android présentes simultanément sur le marché. « C'est déjà un problème et celui-ci deviendrait tout simplement ingérable, » a encore déclaré Jonathan Goldberg.

Repartir de zéro

Afin d'éviter tout frais de licence, Google a certainement cherché à savoir s' l pouvait simplement construire une base qui rendrait caduque toute violation de la technologie d'Oracle. « Dans la mesure où un certain nombre de brevets litigieux ne sont pas énoncés dans la plainte, il est difficile de savoir à quel point Google est dépendante de la technologie d'Oracle pour Android, » a déclaré l'analyste. Mais il pense plutôt que la technologie couvre des fonctions de niveau relativement bas, qu'il serait difficile de remplacer. « Remettre à plat une partie de l'OS prendrait du temps et entraînerait probablement des problèmes de compatibilité avec les téléphones existants sur le marché, » fait remarquer Jack Gold. « Ils devraient tout recommencer. Ce n'est jamais une bonne chose, » a t-il dit. 

Dans l'intervalle, la bataille juridique continue. « Selon le degré de motivation de chaque parti, l'affaire pourrait traîner pendant des années avec les procédures d'appels et les expertises successives pour identifier le droit des brevets, » a estimé Dave Mixon. « Mais si Google pense perdre au final, le conflit pourrait bien trouver une issue rapide, » a t-il déclaré. « Dans ce cas, nous connaitrons sans doute le montant de la redevance, mais les termes de l'accord amiable resteront probablement confidentiels, » a t-il dit. « Google serait perçu comme le perdant et Oracle insisterait probablement sur la confidentialité pour garder la posture du vainqueur, que ce soit justifié ou non. »

(...)

(08/07/2011 15:41:19)

L'Autorité de la concurrence favorable à un tarif social sur le triple play

Dans son communiqué officiel, l'Autorité de la concurrence explique que « les mécanismes sociaux à destination des plus fragiles peuvent toujours être rendus compatibles avec le droit de la concurrence. L'intervention des pouvoirs publics est légitime, dès lors qu'elle vise à corriger une défaillance du marché et à remplir un objectif d'intérêt général. »

Cependant, elle constate dans le même temps que tout ceci n'est pas possible « en l'état actuel des directives communautaires du « paquet » télécom ». Elle suggère donc que le gouvernement « étende l'éligibilité de la réduction sociale, actuellement réservée aux offres fournissant uniquement le service téléphonique, aux offres multiservices haut débit incluant ce service aux côtés de l'accès à Internet. Sous réserve de l'appréciation de la Commission européenne, une telle extension paraît compatible avec le cadre communautaire. »

Mis en place afin de lutter contre la fracture numérique, le service universel en téléphonie offre une réduction de l'abonnement téléphonique aux ménages en difficulté, sous condition de ressources.

(...)

(08/07/2011 09:39:09)

La Snecma mise sur une GED Open Source

La division MRO (Maintenance, Repair and Overhaul) du groupe Safran, plus connue sous le nom Snecma assure la maintenance complète de moteurs d'avions civils et militaires. Pour ce faire, elle doit gérer près de 50 000 documents utilisés par les opérateurs en ateliers pour effectuer ces opérations de maintenance selon les procédures prévues. Chaque document subit plusieurs mises à jour par an.

Pour optimiser la gestion de ces documents, Safran a décidé, en 2007, de lancer le projet @érodoc. Il s'agit de faciliter d'une part l'accès au bon document dans sa bonne version par les 600 à 700 opérateurs en atelier, d'autre part la mise à jour par la soixantaine d'ingénieurs méthodes.

Une solution Open Source


Pour atteindre cet objectif, Safran choisit l'intégrateur Sollan qui préconise une intégration de la solution d'Alfresco dont il est partenaire gold.

Chaque pièce envoyée en maintenance est accompagnée d'un bon comportant un code barre spécifiant l'opération à mener. L'opérateur scanne ce code barre avec une douchette et accède ainsi immédiatement à la documentation adéquate (texte, schémas, photos...) pour décrire la pièce et les procédures à appliquer. En cas de besoin, l'opérateur peut commenter le document afin que les ingénieurs méthodes l'améliorent. Les modifications font l'objet d'un processus de validation parfaitement tracé.

Le coût du projet, toujours en cours de déploiement mondial, n'a pas été précisé.

(...)

(08/07/2011 09:25:23)

IBM renforce ses relations partenaires dans le cloud

IBM propose à tous une même certification : « cloud computing specialty », même si les partenaires visés appartiennent à des univers très différents : grossistes, intégrateurs one tiers, revendeurs en two tiers, hébergeurs.  

IBM a d'ailleurs procédé à une cartographie et une revue d'effectifs ces derniers mois  des acteurs de l'indirect en France. Sur le seul créneau des hébergeurs, « big blue » a par exemple recensé 700 prestataires pour en sélectionner et discuter avec une centaine d'entre eux.  Au final, IBM a défini cinq grandes catégories d'acteurs : les cloud builder comme Sogeti, D.FI, APX ; les cloud services solution provider ; tels que Arago Consulting, Synergie Informatique, SK Telecom, les hébergeurs Hardis, Aspenium, Aspaway; les cloud application provider comme Coheris, Cylande, Divalto, Eliadis ; les cloud technology provider comme Jamcracker (un agrégateur de services cloud), Kaavo, Servoy.

Tous seront encadrés par les équipes de Philippe Sajhau, vice-président business partners et mid market qui remplace depuis quatre mois Eric Taillard.

(...)

(07/07/2011 16:36:38)

Starbuck teste la BI sur iPad

Pour affiner le suivi des ventes, Starbucks a testé le logiciel MicroStrategy 9.2.1, a indiqué Thomas Ball, responsable du développement de la plateforme BI pour Starbucks. Le logiciel inclut des services transactionnels pour accompagner les dirigeants dans l'apprentissage des outils de BI depuis un appareil mobile et en l'occurrence les tablettes, précise MicroStrategy dans un communiqué.

Ces terminaux comme l'iPad sont de plus en plus utilisés dans les entreprises, mais le plus souvent pour des démonstrations ou des présentations marketing. Starbucks souhaite utiliser les tablettes pour un autre objectif : mettre des données financières ou autres directement dans les mains des dirigeants et des gestionnaires régionaux. Avec l'utilisation du logiciel de BI, ils seraient ainsi reliés à des données provenant de centaines d'utilisateurs. Thomas Ball a expliqué que la société utilisait le logiciel de MicroStrategy depuis deux ans dans une centaine de magasin.

Etre multi-plateforme

« L'avantage d'une tablette, c'est qu'elle a le GPS et peut donc de présenter des données sur un magasin en particulier sans avoir besoin de chercher les données au fin fonds d'un dossier sur un ordinateur portable ». Il ajoute « les tablettes sont particulièrement bien adaptées à la BI pour obtenir l'ensemble des informations pertinentes en temps réel ».

Même si des centaines d'iPad équipés de logiciel MicroStrategy ont été déployés pour ses propres salariés, Starbucks souhaite porter ce logiciel sur d'autres appareils pour être en mesure de créer des capacités de BI sur plusieurs plateformes. «L'idée est de créer un modèle Starbucks disponible sur plusieurs terminaux sans pour autant être lié à un seul » déclare Thomas Ball et d'ajouter « cela ne signifie pas que nous créerons notre propre application de BI multiplateforme, car nous ne sommes pas spécialiste de la sécurité sur ces équipements mobiles ».

MicroStrategy apporte à Starbuck cette sécurité avec du chiffrement AES sur les données échangées, mais aussi sur le niveau de confidentialité de l'application avec un système d'authentification. Thomas Ball reste par contre muet sur le coût d'un tel déploiement et sur le calendrier de mise en oeuvre effective.

(...)

(07/07/2011 11:46:42)

Le fonds d'investissement Permira favori pour la reprise d'Alcatel Lucent Entreprise

L'agence d'information financière Reuters avance le nom d'un favori pour le rachat de la branche Entreprises d'Alcatel-Lucent. Il s'agit du fonds d'investissement Permira. Toujours selon l'agence de presse, d'autres acteurs comme Siemens enterprise communication (SEN), Cisco et Avaya auraient regardé le dossier sans donner suite.

Le chiffre d'affaires de cette division entreprises serait proche du milliard d'euros. Le prix offert par Permira serait de 907 millions d'euros. Cette division intervient aussi bien en téléphonie d'entreprise, dans les commutateurs Lan, mais aussi dans la partie centre d'appel avec Genesys.

Créé en 1985, basé à Londres, le fonds Permira investit dans tous les secteurs et dans le monde entier.

Illustration : Alcatel-Lucent Entreprise a réalisé récemment son Dynamic Tour (...)

(07/07/2011 11:03:52)

Les DSI perdent un peu la maîtrise des budgets IT, selon Gartner

Les DSI perdent peu à peu la maîtrise du budget IT. C'est ce que révèle une enquête menée conjointement par Gartner, Financial Executives Research Foundation (FERF) et Committee of Finance & IT (CFIT) of Financial Executives International (FEI) entre octobre 2010 et janvier 2011 auprès de 344 CFO (Chief Financial Officer) et contrôleurs financiers. En effet, 26% des investissements IT sont autorisés par les seuls directeurs financiers, alors que seulement 5 % des investissements IT sont autorisés par les DSI seuls. Dans le même temps, 42 % des départements IT des organisations en réfèrent directement au directeur financier, contre 33 % au PDG. Les résultats divergent en fonction de la taille des entreprises interrogées. Ainsi, dans les entreprises de moins de 50 millions de dollars de chiffre d'affaires, 47 % des départements IT en réfèrent directement au directeur financier, contre 58% dans les entreprises dont le chiffre d'affaires est compris entre 50 et 250 millions de dollars, et 46% dans les entreprises qui génèrent plus d'un million de chiffre d'affaires.

Une communication constructive entre les deux éxécutifs


«Ce haut niveau de report aux CFO ainsi que leur influence sur les investissements technologiques démontre l'importance pour les entreprises de s'assurer que le CFO dispose d'une connaissance solide des technologies, explique John Van Decker, Vice Président de la recherche chez Gartner. Il souligne à quel point il est essentiel que le DSI et le CFO aient une compréhension commune de la manière dont ils peuvent tirer parti de la technologie.» Il a également précisé que les départements informatiques devraient s'atteler à comprendre les opinions du responsable financier dans les décisions d'investissements IT et à nouer avec leur celui-ci une relation qui ressemblerait à un partenariat d'affaires : « Cela permettrait aux entreprises de devenir plus agiles. Cette flexibilité leur offrira la possibilité de sélectionner les meilleures pratiques offrant ainsi de meilleures perspectives métiers. »

www.ICTjournal.ch

Crédit Photo: D.R

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(07/07/2011 09:54:08)

Les dépenses liées aux mobiles en baisse depuis 2006, selon l'ARCEP

L'ARCEP a mis au point ce nouvel outil afin de pouvoir mesurer les évolutions de prix du marché mobile en France auprès des clients d'Orange France, SFR et Bouygues Telecom. La méthodologie retenue ne permet toutefois que de calculer une dépense minimale théorique (en fonction de la consommation), et non la dépense réelle des clients.

Pour le régulateur, cette tendance à la baisse masque cependant des évolutions contrastées. Les utilisateurs de gros forfaits ont bénéficié de baisses des prix supérieures à la moyenne alors que les plus petits consommateurs ont vu les prix diminuer dans de bien moindres proportions. Seules les cartes prépayées voient leur prix augmenter (+1% par an en moyenne). Ceci s'explique surtout par la réduction de la durée de validité de certaines de ces cartes.

Cette baisse moyenne, l'ARCEP l'attribue surtout à deux phénomènes : l'apparition de forfaits illimités lors de certaines plages horaires et la répartition temporelle avec le bénéfice des appels moins chers le soir et le week-end.

L'Autorité précise qu'elle n'a pas tenu compte de la consommation des données, l'accès à Internet et aux services en ligne étant encore faibles sur la période 2006/2009 (de 4 à 8% des revenus mobiles).

Un prochain indice devrait être publié avant la fin de l'année, incluant les chiffres de 2010 (...)

(07/07/2011 09:45:37)

Nomotech acquiert Numeo pour se renforcer dans le haut débit rural

Nomotech compte 70 collaborateurs et a réalisé 13 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010. Numeo a réalisé la même année 7 millions d'euros avec 30 collaborateurs. Le premier  affiche 1300 sites radios et 16 000 abonnés. Numéo a déployé un millier de sites et compte 21 000 abonnés. Les deux sociétés sont en croissance et rentables nous précise Philippe Le Grand de Nomotech, démentant toute idée de stratégie défensive dans ce rapprochement. Il s'agit toutefois de peser davantage, par exemple avec l'arrivée du Vdsl2 d'Orange concurrent direct pour le déploiement du haut débit dans les territoires ruraux.

(*) Ozone était le nom d'un opérateur de wifi lancé en 2001 par Rafi Haladjian, lui-même acteur de la télématique  puis des télécoms avec la création d'une autre société France Net (devenue Fluxus) en 1994 et revendue à BT en 2001.

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