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(07/07/2011 09:31:15)

ManPower souhaite acquérir des SSII comme Proservia

Il  y a un mois, Manpower annonçait le recrutement d'Alain Roumilhac. C'est l'ancien n°2 de la SSII Osiatis qu'il a quittée au mois de septembre dernier, avant de fonder un cabinet de conseil, Clemadel. Avant Osiatis, Alain Roumilhac a évolué chez IBM pendant 18 ans, occupant les fonctions de vice-président d'IGS en charge des lignes de services. C'est donc un homme expérimenté de l'industrie informatique et de ses services que la société de travail temporaire a recruté. Une société dirigée en France, depuis 2007, par Françoise Gri, ancienne PDG de IBM France. Pourquoi  un profil comme celui d'Alain Roumilhac dans une société de travail temporaire ?

Alain Roumilhac a été nommé directeur général pour l'Europe du sud de Manpower, en charge de deux marques : Experis et Manpowergroup Solutions. Le groupe de travail temporaire se redéploie en effet au plan mondial à travers le lancement de marques métiers : Manpower, Experis (recrutement pour les grandes entreprises), FuturSkill (évaluation de compétences), Right Management (management des talents) et Manpower Group Solutions (outsourcing). Elles sont destinées à mieux cibler et mieux accompagner les différents types de clientèles de Manpower.

Les deux directions ne peuvent s'exprimer davantage

Ce redéploiement passe également par une croissance externe. C'est la raison du projet de rachat de Proservia. Au stade actuel, Manpower a annoncé publiquement son intention de prendre le contrôle (*) de la société Proservia (**), dont la cotation a été suspendue. Les deux directions ne peuvent s'exprimer davantage, avant la communication du projet au CCE de Proservia et l'avis de l'Autorité de la concurrence.

Les premiers pas de Manpower dans le monde des SSII seront scrutés de près. Le Syntec Informatique devrait s'irriter de cette intrusion. La Fédération professionnelle déploie de multiples efforts pour effacer son image ancienne de fournisseurs de main d'oeuvre  et l'assimilation des SSII à des sociétés  de travail temporaire.

(*) « Majorité en capital et en droits de vote » explique le communiqué officiel

(**)  Proservia a réalisé un CA de 47,8 ME en 2010, en croissance organique de 7,6%

(...)

(07/07/2011 10:21:19)

Renault unifie sa messagerie avec Orange Business Services (MAJ)

Orange Business Services (OBS) vient d'annoncer avoir achevé la migration des 80 000 comptes de messagerie du groupe automobile Renault répartis sur de nombreux systèmes différents vers une implémentation unique de Microsoft Exchange 2007. Le projet, d'une durée de près de trois ans, a concerné les implantations dans 118 pays et 17 langues différentes.

La migration s'est opérée à la vitesse moyenne de 2000 utilisateurs/semaine. L'objectif était de centraliser sur une seule solution toute la messagerie du groupe et de créer une gestion d'agendas partagés plus efficace. De plus, la messagerie est désormais accessible en mobilité sans perte en sécurité.

Pour Renault, comme pour beaucoup d'entreprises, la messagerie est une application certes banalisée mais stratégique. Un dysfonctionnement de cet outil a un impact direct et immédiat sur la capacité de l'entreprise à produire et à vendre. Sécurité et fiabilité étaient donc des objectifs majeurs du projet.

Le coût de ce projet n'a pas été révélé.

(...)

(06/07/2011 16:32:51)

Business One : une offre hébergée pour les partenaires SAP

La suite Business One est exclusivement distribuée par ces partenaires, certains ayant déjà hébergé la suite et commercialisé une offre à des utilisateurs finaux en appliquant eux-mêmes leurs conditions de souscription. « Mais ces partenaires devaient auparavant acheter des licences Business One à SAP, pour les revendre à leurs clients à des tarifs variables, » a déclaré la porte-parole de l'éditeur, Astrid Poelchen. « Désormais, les partenaires seront en mesure de louer des licences à la firme allemande sur une base mensuelle, et de les proposer ensuite à des conditions équivalentes à leurs clients, » a t-elle ajouté. « C'est un vrai modèle pay-as-you-go. »

Certes, « les partenaires pourraient continuer à acheter des licences, mais les nouvelles modalités devraient leur faire faire des économies, » a ajouté Astrid Poelchen. « Avec le prochain système, les partenaires pourront également proposer des tarifs d'abonnement plus attrayant pour les clients, » a-t-elle déclaré. « Le fait que l'opération soit soutenue par SAP peut également contribuer à mieux informer les clients sur les options de souscription, ce qu'un partenaire individuel aurait plus de mal à faire seul, » a t-elle affirmé. Le futur mode d'hébergement sera déployé en plusieurs phases cette année. Mais il est d'ores et déjà disponible en Chine, en France, en Allemagne, en Inde, en Italie, en Asie du Sud-Est, en Espagne et au Royaume-Uni. D'autres pays, y compris les États-Unis, seront ajoutés à cette liste un peu plus tard.

Une visibilité tarifaire appréciée


Selon l'analyste Ray Wang, CEO de Constellation Research, SAP a pris la bonne décision. « Des abonnements tarifés, c'est ce que recherchent les petites entreprises, et c'est ce que le marché recherche en général », a déclaré l'analyste. Dans un communiqué publié mardi, SAP a annoncé qu'un certain nombre de « solutions de démarrage » pour Business One étaient disponibles. Les forfaits sont proposés à tarif fixe comprenant «  la gestion financière de base, la gestion des ventes et des achats, la gestion des relations clients et les bases de données d'inventaire, des fonctions de gestion courantes utilisées dans les petites entreprises, » a déclaré SAP.

Ces solutions sont également disponibles sous forme d'implémentations pour cinq utilisateurs maximum. « Elles peuvent être opérationnelles en trois jours maximum, en fonction de la complexité de la tâche, » a affirmé SAP. Selon l'éditeur, les clients qui démarrent avec une solution au forfait peuvent passer à l'édition standard de Business One quand ils le souhaitent, sans avoir à reconfigurer l'application. Avec les forfaits de départ, SAP cherche notamment à capter des clients qui utilisent QuickBooks, ou d'autres logiciels de comptabilité, mais ont besoin de plus de fonctionnalités à mesure que la taille de leur entreprise augmente.

(...)

(06/07/2011 09:59:48)

Annuels Antemeta : Bons résultats et perspectives ambitieuses

L'intégrateur AntemetA a réalisé une hausse de 15% de son chiffre d'affaires annuel, clos au 31 mars dernier, avec 37,4 millions d'euros contre 32,5 millions un an auparavant.  AntemetA se déploie dans trois axes : stockage, sauvegarde et virtualisation avec ses partenaires HP/3Par, Symantec et VMware. Sa nouvelle offre lancée en  2009, ABC (AntemetA business continuity) de services PRA hébergés a représenté 1,2 million d'euros de CA.  La société prévoit de doubler la croissance de cette activité sur la prochaine année fiscale

AntemetA a recruté 18 salariés en 2010 et envisage 10 à 15 recrutements en 2011.

(...)

(06/07/2011 09:53:50)

L'Autorité de la concurrence se penche sur le e-commerce

L'Autorité de la concurrence vient de s'autosaisir du dossier de la vente en ligne. Celle-ci prend une importance telle que le sujet ne pouvait échapper plus longtemps à une étude de l'Autorité. Le secteur pèse en effet 31 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010, en hausse de 24%, et concernait, toujours en 2010, 27,3 millions d'e-acheteurs.

L'Autorité va rendre un avis sur l'état de la concurrence dans le e-commerce. Elle se propose d'émettre éventuellement des recommandations en cas de dysfonctionnements avérés. Dans son étude, l'Autorité se propose d'étudier plus particulièrement trois points.

Dans un premier temps, l'impact de cette vente en ligne sur les circuits traditionnels de distribution (écarts de prix, pression concurrentielle...).Ensuite, l'Autorité va s'intéresser aux comportements qu'adoptent distributeurs et fabricants devant l'arrivée de ce nouveau mode de distribution (en clair, aux limitations éventuelles, par des pratiques anti-concurrentielles, de l'impact du e-commerce).

Enfin, l'étude passera en revue les intermédiaires du e-commerce : acteurs du paiement électronique, entreprises de livraison, comparateurs de prix. Des acteurs qui participent à leur niveau à la formation des prix.

(...)

(05/07/2011 16:37:13)

Ulysse, la co-entreprise SNCF/IBM, déraille

La Fédération Syndicale des Cheminots (regroupant CGT, UNSA, Sud Rail et la CFDT) avait manifesté le 1er avril dernier contre le choix fait par la direction d'une co-entreprise avec IBM, imposé comme contrepartie du contrat SNCF-Geodis. Baptisé Ulysse, le projet consiste à livrer la gestion de la sous-traitance des prestations informatiques de la SNCF à IBM pour un montant de 1,6 milliards d'euros sur 6 ans. Or le 30 juin dernier, la même fédération a renouvelé son appel à la grève en estimant que cette entreprise commune ne fonctionne pas et ne réalise pas les économies escomptées. La rationalisation des relations entre les informaticiens de la SNCF et les différents sous-traitants devait aboutir à des économies estimées à 290 millions d'euros en 6 ans.

Les syndicats s'inquiètent de ce que la rentabilité du projet repose sur l'offshore dans des pays à bas coût et donc de l'impact sur la disparition des sous-traitant SSII de la SNCF avec son impact sur l'emploi. Les syndicats ont indiqué que deux options étaient possibles soit une rupture de contrat, soit une révision de ce dernier. Un article de nos confrères des Echos, daté du 4 juillet, indique que ce contrat « bat de l'aile » et que la rupture de contrat a été envisagée avec des indemnités onéreuses (45 millions d'euros selon la CGT Cheminot) à la charge de l'établissement public. Les causes sont, selon le quotidien économique, à chercher à la fois dans les mauvaises estimations des volumes de sous-traitance (avec 50% de différence) et un ralentissement sur le plan décisionnel (les deux responsables de l'entreprise commune ont été remplacés rapidement).

Tous les scénarios en débat

Interrogé sur France Inter le 5 juillet, Guillaume Pépy, PDG de la SNCF s'est voulu consensuel « on est en train de débattre. On en discutera le 27 ou le 28 juillet (NDLR : date du prochain conseil d'administration). L'enjeu est de faire des économies sur notre sous-traitance informatique, sachant que les cheminots qui sont à l'informatique, qui font le travail pour le compte de la SNCF ne sont pas en cause. » Car le dirigeant sait qu'il avance en terrain miné sur le plan social, il a rappelé la volonté de l'entreprise « de garder à la SNCF des informaticiens qui sont des cheminots, et qui ont le statut de cheminots ».

Il n'est pas sûr que les propos du président de la SNCF rassurent les syndicats. Il faudra donc attendre le conseil d'administration de la fin juillet pour observer la position de l'établissement public. Interpellés, les deux protagonistes n'ont pour l'instant pas donné suite à nos demandes d'informations complémentaires.

Illustration: Guillaume Pepy, PDG de la SNCF
Crédit Photo: France Inter
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(05/07/2011 10:01:14)

Le spécialiste des jeux 2.0 Zynga s'introduit en bourse

La société Zynga a déposé en fin de semaine dernière les documents nécessaires à son entrée en bourse. Les actions mises sur le marché pourraient atteindre la somme d'un milliard de dollars, ce qui porterait sa valorisation à 10 milliards de dollars, selon les estimations les plus prudentes.

Créée il y a quatre ans, Zynga s'est spécialisée dans les jeux en ligne et plus particulièrement les jeux sur Facebook. Parmi ses produits les plus connus, on peut citer Farmville, Cityville et Mafia Wars. La startup californienne tire l'essentiel de ses revenus des biens virtuels (nourriture, outils, bétail, maisons, etc.) qu'elle vend à quelque 232 millions de joueurs mensuels répartis dans 166 pays. En 2010, Zynga a réalisé un chiffre d'affaires de 598 millions de dollars, en hausse de 400% par rapport à 2009, et un bénéfice net d'environ 90 millions de dollars. L'an dernier, la jeune société a racheté de nombreux autres éditeurs de jeux pour un total de plus de 100 millions de dollars, dont un tiers payé en actions.

Succès du social gaming

Selon les analystes, le succès de Zanga est dû à une gestion rigoureuse, à un modèle éprouvé et à une excellente connaissance du social gaming. Les jeux de la société sont avant tout destinés à passer le temps sur les réseaux sociaux et ne requièrent qu'une concentration et un engagement limités de la part des joueurs. Au niveau infrastructure, Zynga s'appuie entre autres sur le cloud d'Amazon. Un quart des revenus publicitaires de Facebook proviendrait d'ailleurs des annonces pour des jeux sociaux.

www.ICTjournal.ch (...)

(05/07/2011 09:54:16)

Pixmania gérera pour Carrefour la vente en ligne de produits high tech

Qualifié de « stratégique » l'accord signé jeudi dernier, 30 juin, entre Carrefour et Pixmania est également très concret. Les deux groupes vont développer un site de vente en ligne de produits non alimentaires dans plusieurs pays d'Europe. Au départ quatre : France, Italie, Espagne, Belgique. Mais Pixmania est présent dans 26 pays, ce qui ouvre de larges possibilités de développement pour cet accord. 

C'est Pixmania qui va développer le site qui sera présenté sous l'enseigne Carrefour. Il permettra à la fois de réserver en ligne et d'être livré à domicile sur tout le non alimentaire déjà commercialisé dans les magasins Carrefour. Le catalogue de Pixmania étant vendu, sous la marque Carrefour, dans les magasins Carrefour. Les clients pourront également commander sur le site et retirer des produits dans un magasin Carrefour.

Le non alimentaire baisse régulièrement dans son CA

Cet accord est donc à multiples facettes : technologiques avec la mobilisation des compétences de Pixmania, commerciales par un accord de vente croisé, innovant en permettant à Carrefour de résoudre la question du non alimentaire, qui baisse régulièrement dans son chiffre d'affaires. Cet accord permet également à l'enseigne nordiste de rattraper son retard sur le e-commerce. Casino, rival très direct ces derniers temps, est devant Pixamania avec sa filiale Cdiscount et ses 7,4 millions de visiteurs uniques. Pixamania en compte 6,8 millions.

L'accord signé avec Pixmania est de grande ampleur, mais ce n'est pas le premier pour Carrefour.  Début 2010, Carrefour annonçait un accord avec Virgin pour créer des « corners » Virgin dans les magasins Carrefour, avec une première expérimentation. L'accord, déjà, était destiné à redresser les ventes dans les rayons non alimentaires.  En 2006, une autre tentative visait à vendre des produits Apple dans les magasins Carrefour.

Les analystes financiers obnubilés par les autres dossiers (*) d'actualité de Carrefour n'ont pas réagi à cet accord.  Les forums boursiers faisaient néanmoins allusion à une possible prise de participation de Carrefour dans Pixmania, qui est une filiale de l'anglais Dixons Retail.  Ce serait un prolongement de cet accord. Et une réplique à Casino.

(*) avec plusieurs dossier épineux : conflit au Brésil avec une filiale de Casino, mise en bourse de Dia la filiale hard discount, cession prévue de l'immobilier à travers sa filialisation.

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