Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 1421 à 1430.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(07/06/2011 11:46:40)

HP livre un tableau de bord au-dessus de son offre logicielle

Sous la forme d'un tableau de bord destiné aux directions informatiques, le logiciel IT Executive Scorecard, annoncé la semaine dernière par HP, vient chapeauter le portefeuille applicatif de gestion des performances IT constitué par le groupe californien. Un portefeuille que HP a largement étoffé au fil des années, notamment avec les rachats de Peregrine, Mercury, ArcSight, ou encore, Fortify (cf encadré ci-dessous).

A travers le tableau de bord, qui propose plus de 200 indicateurs de performances (KPI), les DSI vont pouvoir faire remonter des informations issues des différentes solutions de HP installées dans l'entreprise : le développement applicatif (ALM), la gestion des infrastructures (Operations Management), les fonctions de sécurité, la planification financière. Ils pourront dès lors bénéficier d'une vision plus claire pour répondre aux diverses questions qu'ils se posent quotidiennement : « Est-ce que je dépense correctement mon budget ? Mes clients sont-ils satisfaits par rapport aux benchmarks de mon secteur d'activité ? Quels sont les projets en retard ? », donne en exemple Claire Delalande, responsable Marketing et Partenaires HP Software France.

HP IT Executive Scorecard
Ci-dessus, quelques indicateurs pouvant être affichés dans l'IT Executive Scorecard de HP (cliquer ici pour agrandir l'image)

Un jeu de données unifié

A partir d'une technologie fournie en OEM par SAP Business Objects, l'IT Executive Scorecard s'appuie sur l'IT Data Model pour intégrer les données provenant de l'ensemble de la suite applicative de HP, désormais regroupée sous le nom de « IT Performance Suite ». L'objectif du logiciel, c'est d'unifier ces informations issues de différentes sources dans un seul jeu de données.

Il est également possible de récupérer des mesures provenant de logiciels édités par d'autres fournisseurs. Le logiciel IT Executive Scorecard propose des rapports préétablis qui peuvent être personnalisés. Il devrait être disponible en juillet prochain. (...)

(07/06/2011 11:46:18)

Virgin Mobile devient full MVNO avec SFR

L'opérateur s'associe avec SFR pour le premier accord d'Opérateur Mobile Dégroupé (Full MVNO) en France. C'est la maison mère de Virgin Mobile en France, Omea Telecom, et son président Geoffroy Roux de Bézieux qui annonce la signature d'un contrat global avec SFR, comprenant l'utilisation du réseau mobile 3G+ et du réseau fixe ADSL de l'opérateur.

Ce premier accord d'opérateur mobile dégroupé, inédit en France, est d'une durée de cinq ans renouvelable.  Cette démarche  vient  compléter l'accord existant avec Orange. Omea Telecom annonce avoir choisi Ericsson comme fournisseur de solution de coeur de réseau.

En route vers l'ADSL

L'équipementier suédois fournira donc à Virgin Mobile l'ensemble de l'infrastructure télécoms nécessaire à la gestion complète de ses clients : HLR (système contenant les bases de données relatives aux cartes SIM des clients de Virgin Mobile), les plateformes de services et les équipements de contrôle et de routage du trafic (commutateurs circuit et solutions paquet). L'exploitation et la maintenance de ce réseau seront assurées par Ericsson.

De plus, SFR sera le prestataire de Virgin Mobile pour le lancement début 2012 de sa Virgin box. Virgin Mobile proposera ainsi une offre de services quadruple play personnalisée, intégrant la fourniture d'accès à Internet, la téléphonie fixe et mobile, ainsi qu'un bouquet de 250 chaînes de télévision.
(...)

(06/06/2011 14:39:21)

Google, Microsoft et Yahoo réunis autour du référencement web

Une fois n'est pas coutume. Dans le domaine de la recherche sur le web, Google a joint ses efforts à ceux de ses concurrents associés, Microsoft et Yahoo, afin d'améliorer l'exploration des sites et l'indexation des données structurées. Généralement issues de bases de données, ces dernières perdent leur format d'origine lorsqu'elles sont converties en HTML.

Sur le site « Schema.org », les trois sociétés proposent ainsi différents jeux de balises HTML qu'elles aimeraient voir utilisées par les responsables de sites web afin de mettre en évidence les données structurées de leurs pages. En encourageant le recours à des tags communs, l'objectif est d'aider les moteurs de recherche à mieux comprendre les sites web par une meilleure identification, exploration et indexation des données structurées, explique Google dans un billet de blog.

Schema.org

Schema.org contient plus d'une centaine de tags HTML différents répartis entre plusieurs catégories : les productions créatives (articles de presse, livres, logiciels, blogs, films, tableaux...), les événements (sportifs, culturels...), les éléments intangibles (énumérations, quantités, classements...), les organisations (entreprises, clubs, administrations, établissements publics, boutiques...), les personnes, les lieux, les produits. A chaque type d'objets sont associés de propriétés. L'ensemble est présenté dans une arborescence.

Schema.org succède à SearchMonkey

Yahoo a été le premier à lancer une initiative de ce type avec sa plateforme de développement SearchMonkey, qui fut en son temps assez largement popularisée. Elle avait vocation à inciter les webmasters à  renforcer le signalement des données structurées sur les sites, rappelle Hadley Reynolds, analyste chez IDC. Lorsque Yahoo décida d'arrêter SearchMonkey l'an dernier, ce fut une sérieuse perte pour le secteur des technologies de recherche, a-t-il indiqué par mail à nos confrères d'IDG News Service. L'analyste trouve donc intéressant de voir les trois principaux fournisseurs du domaine de la recherche se regrouper sur la question des données structurées.

« Au fur et à mesure que les responsables de sites ajouteront des tags qui correspondent au nouveau catalogue de schémas publié, il sera plus facile pour les trois grands moteurs de recherche de restituer le type d'interactions enrichies qui s'annoncent comme devant être la prochaine étape de concurrence entre eux dans la course à l'audience », souligne Hadley Reynolds.

Dans l'esprit, le nouveau programme reprend certains aspects de SearchMonkey, auquel s'ajoute l'apport significatif de Google et Microsoft, estime l'analyste d'IDC. « L'une des priorités des développeurs web va donc être de faire monter leurs sites dans les classements des moteurs de recherche ». (...)

(06/06/2011 12:06:16)

IBM dote les villes d'un outil de gouvernance IT

Karen Parrish, vice-présidente d'IBM sur l'activité solutions industrielles a annoncé « cette plateforme qui doit permettre aux municipalités de faire des économies et d'avoir une réponse rapide en cas de catastrophe ». Ce logiciel, baptisé Intelligent Operations Center, synthétise un ensemble de données issues d'une grande variété de systèmes IT, tels que les réseaux d'eau, la traçabilité des équipements publics, les transports ou la gestion du trafic routier. Il offrira visuellement un résumé des données recueillies, en utilisant un certain nombre de règles développées par IBM.

IOC proposera une série de tableaux de bord, ainsi que des connecteurs pour les différents systèmes de gestion back-end. Il comprend aussi un certain nombre de programmes IBM, comme le serveur d'applications WebSphere et la base de données DB2.  « Nous avons construit un centre opérationnel qui est capable de récupérer un ensemble de flux en temps réel, travailler et analyser les données et fournir des renseignements essentiels aux gestionnaires afin qu'ils puissent prendre des décisions plus rapidement et de manière plus efficace », précise Karen Parrish.

Intelligent Operations Center IBM

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Du sur-mesure avec des « faisceaux de points communs »


IBM a conçu IOC de façon modulaire. Différents modules seront lancés au cours des 12 à 18 prochains mois. Ces unités complémentaires couvrent des données spécifiques, telles que la gestion de l'eau ou la sécurité publique. « Les responsables locaux pourront donc intégrer ces modules en fonction de leurs besoins les plus critiques », souligne Karen Parrish et d'ajouter « nous allons construire ces modules à partir des expériences de plusieurs projets individuels et en extraire les redondances ».  Aucun d'eux ne sera néanmoins disponible lors du lancement de la solution.

Pour construire ces unités additionnelles, IBM s'appuie sur 2 000 projets qu'elle a réalisés pour des villes comme New York, Memphis, Washington et Dubuque (on peut citer également la ville de Nice qui a emporté en mars dernier le Challenge Smarter Cities pour bénéficier de l'expertise d'IBM en matière de planification stratégique, de gestion des données et de compétences technologiques). Avec ce travail préalable, Big Blue a remarqué des « faisceaux de points communs», comme la gestion centralisée du personnel ou la décongestion du trafic routier.

IBM prévoit le lancement d'IOC à partir du 17 juin prochain. Karen Parrish n'a pas voulu révéler certains détails comme le prix ou la durée d'intégration d'un tel logiciel. Elle a simplement indiqué que le logiciel se connectera facilement à des systèmes IT normalisés et des adaptations particulières seront nécessaires si les systèmes sont plus anciens. La dirigeante a également indiqué que la version initiale du logiciel sera intégrable directement chez le client, mais une offre en mode hébergée est envisagée dans les futures versions.

Illustration: Intelligent Operations Center

Crédit Photo: IBM
(...)

(06/06/2011 10:31:00)

Acer va licencier 300 personnes en EMEA

Le groupe informatique taïwanais a présenté un plan financier pour les prochaines années marqué par des mesures drastiques. La plus spectaculaire voit le nouveau PDG mondial, JT Wang,  renoncer à sa rémunération et supprimer les primes pour l'ensemble des salariés. Les dépenses de fonctionnement seront réduites de 30 millions de dollars par an.

En EMEA, les mesures annoncées incluent le licenciement de 300 salariés, soit 15% de son effectif européen. Acer « espère que par l'abaissement des frais d'exploitation, l'entreprise peut rapidement obtenir du business et retrouver le bon chemin pour sa croissance ».

(...)

(06/06/2011 10:18:16)

Un bailleur social parisien mise sur Wyse pour sa VDI

La société d'économie mixte SGIM est le troisième bailleur social sur le territoire parisien avec 12 600 logements locatifs gérés à partir de 120 loges de gardien et espaces d'accueil. Les gardiens d'immeubles assurent un lien indispensable entre le siège et les locataires, notamment pour remonter les réclamations. Mais, par nature, chaque loge est éloignée du siège, située dans un immeuble en location.

Pour améliorer le lien entre les gardiens et le siège, accroître la visibilité du siège sur ce qui se passe dans les immeubles notamment en terme de réclamations et atteindre à terme le « zéro papier », la SGIM a décidé d'informatiser les relations entre les gardiens et le siège. Accessoirement, cette informatisation vise aussi à valoriser les gardiens et leur métier. Mais la dispersion géographique rendait cette informatisation délicate. La SGIM souhaitait que tous les postes soient configurés de la même façon, que les données soient sécurisées, que le déploiement soit simple et rapide, que le dépannage soit aisé et enfin que l'exiguïté de certaines loges soit prise en compte.

Un client léger comme solution


Pour tenir compte de toutes ces contraintes, le bailleur social a décidé de recourir à la virtualisation des postes. Chaque loge est équipée d'un client léger Wyse fixé derrière un écran plat, ce qui prend peu de place. La centralisation des postes grâce à la virtualisation facilite le déploiement (un poste peut être créé en quelques instants), la maintenance (le dépannage s'effectue au siège) et la sécurisation (tout est stocké au siège).

L'intégrateur TR Services, déjà en charge d'autres chantiers comme la téléphonie, a été retenu avec les logiciels de virtualisation de l'éditeur Neocoretch. Le déploiement de la solution a été effectué par lots de 25 loges.

Le coût du projet n'a pas été dévoilé.

(...)

(06/06/2011 09:56:32)

Solutions 30 récupère l'activité intervention informatique de MPS

MPS a une longue histoire. En 1999, le géant américain du transport express, UPS, rachetait une société française Finon, issue de plusieurs rapprochements. En 2009, UPS cédait cette activité de maintenance à ses cadres, elle prenait le nom de MPS France. Basée à Roissy, MPS compte 45 points de présence en France, trois agences (Belfort, Bordeaux, Lyon) et antennes (Massy et Nantes). L'opération  de reprise entamée en 2009 ayant tourné court, la société a engagé un processus judiciaire entraînant la reprise de son activité de maintenance informatique.

Cette dernière représente un chiffre d'affaires annuel de 5 millions d'euros (ME) et 67 salariés. « Sept de ces salariés rejoindront notre siège, les 60 autres seront répartis dans nos agences » nous explique Gianbeppi Fortis, le Président du directoire de Solutions 30. Trois mois seront nécessaires pour réaliser l'intégration complète de MPS dans Solutions 30. Outre le personnel et les agences, la société compte de nombreux contrats à reprendre, signés avec de grandes marques comme Canon, HP, Samsung ou IBM.

Cette activité rejoindra le coeur de Solutions 30, son métier historique : PC 30, qui représente encore 80% de son activité.  Solutions 30 reste attentif à tout dossier qui se présenterait encore dans les Tribunaux de commerce, en particulier en maintenance, où Solutions 30 était candidat à la reprise de A&0 systemes il y a quelques semaines à peine. Le dossier est finalement revenu à Verdoso. Mais les deux métiers connexes, celui du dépannage atomisé entre de multiples sociétés, et celui de la maintenance, victime de fortes baisses de facturation, provoquent une consolidation du marché. Un acteur comme Solutions 30, fort de ses 54,7 ME de CA, réalisés en 2010 peut se placer sur de nouveaux dossiers.

(...)

(03/06/2011 17:09:51)

Pour les PME du numérique, l'Etat crée un fonds de 400 millions d'euros

Conscient que les PME rencontrent des difficultés de financement, l'état crée un Fonds Commun de Placement à Risque, FCPR, le « FSN PME » (le Fonds National pour la Société Numérique) de 400 millions d'euros, géré par la Caisse des Dépôts et consignation, CDC Entreprise. Cela représente une partie des 1,4 milliard d'euros alloués au financement classique de projets innovants.

30 projets financés d'ici la fin de l'année

C'est Eric Besson, ministre de l'économie numérique, qui en a fait l'annonce le mercredi 1er juin. Il ambitionne que « d'ici à la fin de l'année (...), plus de trente projets innovants puissent être instruits par ce FCPR à destination des PME. Cette intervention de l'Etat doit permettre de faire émerger en France les champions de l'internet du futur ». Quatre porteurs de projets étaient présents aux côtés du ministre le jour de cette annonce. Parmi eux, on note ma-résidence.fr (www.ma-residence.fr) et MySkreen (www.myskreen.com).

Le premier est un site internet communautaire qui permet de partager et de connaître toutes les personnes qui constituent votre vie locale. On peut y trouver des petites annonces et des bonnes adresses, des informations utiles sur les commerces de proximité. On peut  proposer par exemple des gardes de chat ou de l'arrosage de plantes. Le second est un site qui propose des films et des émissions TV en VOD, la proposition de services semble très classique. Il y avait également Gutenberg Technology, entreprise de technologie et d'édition de livres papier et numériques créée en 2009.

Avec ces 400 millions d'euros, Eric Besson estime que jamais l'état français n'avait investi une telle somme pour soutenir les petites et moyennes entreprises innovantes du secteur. Sans donner de plus amples informations sur le nombre de projets actuellement financés.

8 domaines prioritaires pour l'investissement

Le FSN, Fonds national pour la Société Numérique, investira prioritairement dans huit secteurs qui sont: l'informatique en nuage (« le cloud computing »), la valorisation et la numérisation des contenus scientifique, les technologies de base du numérique (notamment nanoélectronique et logiciel embarqué), l'e-santé, la sécurité et la résilience des réseaux, les systèmes de transport intelligents, la ville numérique, et l'e-éducation. Le gouvernement rappelle également que l'économie numérique représente plus de 1 150 000 emplois directs ou indirects, majoritairement dans des PME.

Photo: Eric Besson lors du discours de clôture. A gauche, René Ricol, commissaire général à l'investissement. A droite, Augustin de Romanet, Directeur général de la Caisse des Dépôts.
(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >