La société d'économie mixte SGIM est le troisième bailleur social sur le territoire parisien avec 12 600 logements locatifs gérés à partir de 120 loges de gardien et espaces d'accueil. Les gardiens d'immeubles assurent un lien indispensable entre le siège et les locataires, notamment pour remonter les réclamations. Mais, par nature, chaque loge est éloignée du siège, située dans un immeuble en location.

Pour améliorer le lien entre les gardiens et le siège, accroître la visibilité du siège sur ce qui se passe dans les immeubles notamment en terme de réclamations et atteindre à terme le « zéro papier », la SGIM a décidé d'informatiser les relations entre les gardiens et le siège. Accessoirement, cette informatisation vise aussi à valoriser les gardiens et leur métier. Mais la dispersion géographique rendait cette informatisation délicate. La SGIM souhaitait que tous les postes soient configurés de la même façon, que les données soient sécurisées, que le déploiement soit simple et rapide, que le dépannage soit aisé et enfin que l'exiguïté de certaines loges soit prise en compte.

Un client léger comme solution


Pour tenir compte de toutes ces contraintes, le bailleur social a décidé de recourir à la virtualisation des postes. Chaque loge est équipée d'un client léger Wyse fixé derrière un écran plat, ce qui prend peu de place. La centralisation des postes grâce à la virtualisation facilite le déploiement (un poste peut être créé en quelques instants), la maintenance (le dépannage s'effectue au siège) et la sécurisation (tout est stocké au siège).

L'intégrateur TR Services, déjà en charge d'autres chantiers comme la téléphonie, a été retenu avec les logiciels de virtualisation de l'éditeur Neocoretch. Le déploiement de la solution a été effectué par lots de 25 loges.

Le coût du projet n'a pas été dévoilé.