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(12/05/2011 16:17:19)
Trimestriels Cisco : Restructuration en vue avec 4 à 5000 licenciements
Cisco publie les résultats de son troisième trimestre fiscal (février, mars, avril 2011). Le chiffre d'affaires, 10,9 milliards de dollars, est en hausse de 4,8%. Mais, le bénéfice trimestriel (base Gaap) baisse de 17,6% à 1,8 milliard de dollars, la marge brute chute de 61,3%. Le quatrième trimestre devrait se situer entre zéro et deux pour cent de progression.
Sur neuf mois, le CA a progressé de 29,2 milliards de dollars à 32. Le bénéfice net (base Gaap) est de 5,3 milliards de dollars, contre 5,8, en non Gaap de 6,8 contre 6,9. La baisse du bénéfice net enregistrée au troisième trimestre se retrouve donc sur neuf mois et rend pessimiste sur l'exercice annuel, achevé fin juillet et dévoilé au mois d'août prochain.
Dans une note datée du mois d'avril dernier, John Chambers, le PDG mondial, admettait avoir déçu les investisseurs, entraîné la confusion pour les salariés et perdu de la crédibilité sur le marché. Un mois après, le choc est encore plus fort. Cisco a déjà annoncé des mesures de restructuration. Fin avril, la firme s'est séparée de sa gamme de caméra vidéo Flip. Elle va tailler dans sa structure interne de conseils. Et la semaine dernière, Cisco se réorganisait en cinq divisions : les routeurs et les commutateurs, la collaboration, les centres de données, la vidéo et les architectures métiers. Mais d'autres mesures sont en cours.
4 à 5 000 licenciements selon AP
Parmi elles, un programme de retraite anticipée comparable à celui engagé en 2009. Il y aurait aussi des licenciements, selon Gary Moore, nommé COO au mois de février dernier. Au total, Gary Moore annonce un plan de réduction de 1 milliard de dollars dans les coûts de fonctionnement. Il devrait se traduire par le licenciement de 4 à 5 000 salariés sur un total actuel de 73 000, selon l'agence de presse américaine Associated Press (qui évalue à 6% du nombre de salariés total le nombre de licenciements nécessaires).
John Chambers, pour sa part, a admis sur le trimestre une baisse dans les commutateurs, de 9% à 3,3 milliards de dollars, due à la fois à la pression concurrentielle de HP et Huawei ainsi qu'à la baisse des prix sur le marché. En revanche, les routeurs progressent de 7% (à 1,9 milliard de dollars), les technologies de collaboration ont progressé de 39% sur le trimestre, les produits sans fil de 32%, ceux liés aux centres de données de 31%.
"Nous avons reconnu nos défis, plaide Chambers. Nous savons ce que nous avons à faire. Nous avons un plan bien défini, et nous sommes une entreprise avec une expérience du marché de l'innovation. Nous remercions nos actionnaires, nos employés, nos clients et partenaires dans cette période de transition vers la prochaine phase de Cisco. "
Illustration principale : John Chambers, PDG de Cisco
Microsoft a-t-il payé Skype beaucoup trop cher
Les investisseurs ont exprimé collectivement leur opinion sur ce rachat en "faisant dégringoler le cours de l'action Microsoft de plus d'un pour cent dans l'après-midi", d'après l'édition en ligne du New York Times. De nombreux blogs consacrés aux nouvelles technologies ainsi que leurs lecteurs pensent que Microsoft a payé trop cher pour acquérir Skype, puisque c'est "le rachat le plus cher de l'histoire du géant des logiciels".
Un sondage en ligne sur le blog Mashable demande actuellement à ses utilisateurs si Microsoft a payé le juste prix pour Skype. A l'heure de publication de cet article, près de 65% des lecteurs (1048 personnes sur 1 620) estiment que Microsoft a payé trop cher. 29% des sondés (476 votes) trouvent le prix honnête, et seuls 6% d'entre eux (95 personnes) pensent que Microsoft aurait dû payer plus cher. "Le montant de cette transaction est tout bonnement hallucinant", juge un utilisateur de Twitter.
La fin de Skype ?
"Microsoft va détruire Skype quasi-instantanément, comme il a détruit Hotmail et tous les autres services qu'il a acquis", commente un microblogueur en partageant une opinion largement répandue sur le site. Certains se montrent plus optimistes, à l'instar des 1 500 utilisateurs de smartphones interrogés par le service géolocalisé d'opinion publique Qriously au sujet de l'acquisition. Devant décider si le rachat était une victoire ("win") ou une défaite ("fail"), 60% des sondés ont opté pour la victoire. Le blog The Next Web ajoute que sur ces réponses, environ 30% des personnes interrogées étaient d'avis qu'il s'agissait d'une "grande" victoire".
Mais que va devenir Skype? Les utilisateurs de Twitter abordent l'avenir du service avec humour: "Skype [sera] rebaptisé Microsoft Windows Live Hotmail MSN Video Chat Bing".
Les tablettes grignotent-elles vraiment le marché du PC
"L'idée très répandue selon laquelle les ventes de tablettes cannibalisent le marché des notebooks bon marché est complètement fausse", affirme sans détour dans un communiqué Stephen Baker du NPD Group. En réalité, ce taux de "cannibalisation" décline chez les acheteurs d'iPad les plus récents. Le faible pourcentage de pionniers de l'iPad (ceux qui possèdent un iPad depuis au moins six mois) qui ont abandonné leurs projets d'achat de PC au profit d'un iPad a baissé de 14% à 12% au cours de la saison des fêtes de fin d'année 2010, précise le NPD Group, et le nombre d'acheteurs récents d'iPad qui l'ont fait à la place d'un PC a décliné de 50%.
"L'explosion des ventes de PC à la sortie de Windows 7, ainsi que la forte augmentation des ventes de netbooks au même moment sont les premières causes de la faible croissance des ventes d'ordinateurs par la suite, et non la croissance des ventes d'iPad", justifie Stephen Baker. "Ce sont les notebooks Windows à plus de 500 dolars qui ont été le plus affectés par les bonnes ventes de l'iPad, avec une baisse de 25% d'octobre 2010 à mars 2011", précise-t-il.
Une autre étude totalement contradictoire
Cette étude du NPD Group suggère donc que les bonnes ventes de l'iPad n'ont rien à voir avec la faible croissance des ventes d'ordinateurs, mais une étude Nielsen datée du 5 mai aboutit à des conclusions contraires. Dans cette étude, 77% des propriétaires de tablettes interrogés ont indiqué utiliser leur terminal pour accomplir des tâches autrefois dévolues à leurs ordinateurs, portables ou de bureau. Et quand on sait que le budget des foyers n'est pas extensible à volonté, des arbitrages doivent être réalisés.
L'étude Apple iPad Owner Study II du NPD Group s'est terminée en mars, et elle portait sur les tendances qui se sont dégagées des études Apple iPad: Consumers' Perceptions and Attitudes Report (Mars 2010) et Apple iPad Owners Study (août 2010).
Résultats trimestriels : signes de reprise pour les SSII
Aedian : croissance étale
(3ème trimestre de son exercice 2010-2011, correspondant au 1er trimestre calendaire 2011)
Le chiffre d'affaires (CA) se monte sur trois mois à 10,6 millions d'euros (ME), stable par rapport à la même période de l'an passé. Sur neuf mois le CA est en croissance organique de 1%, avec 30 ME.
La SSII remarque une hausse de son taux d'intercontrats de 7,5% et celle positive de la facturation.
Altran : +10%
Altran a réalisé un CA trimestriel de 387,7ME, en hausse de 10,1% à périmètre constant.
Publié le 2 mai, ce chiffre contraste avec la déclaration de l'actionnaire principal, le fonds d'investissement Altrafin Participations (groupe Apax), qui le 27 avril dernier souhaitait le remplacement du P-dg. Rendez-vous entre les deux camps lors de la prochaine assemblée générale le 10 juin prochain.
Business & Décision : + 8,6%
Avec 63,7 ME, de CA au 1er trimestre 2011, Business & Décision réalise une progression de 8,6%, à taux de change constants. La progression est plus forte à l'international, +12,5%, qu'en France : +5,6%.
Atos Origin en baisse de 0,2%
La SSII Atos Origin publie à son tour les résultats financiers de son 1er trimestre fiscal. Contrairement à la plupart de ses consoeurs, Atos affiche un trimestre en baisse de 0,2% à 1,228 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Par secteur d'activité, l'infogérance (449 ME de CA) baisse de 1%, l'intégration de systèmes (438 ME) baise de 3,2%, les services transactionnels (254 ME) bondissent de 5,7%, le conseil (45 ME) chute lourdement de 20,8%, le BPO Médical (42 ME) progresse de 1,9%.
Ausy : + 18%
Ausy réalise une croissance organique de 18% à 67,1 millions d'euros. Cette progression atteint les 44,8% en tenant compte du rachat d'Aptus, intervenu au mois de février dernier. Au 1er avril, la SSII a également intégré le fonds de commerce « application system » d'APX.
Capgemini : + 6,4%
La 1ère des SSII en taille est aussi très bien placée en termes de performance trimestrielle avec un CA de 2,35 milliards d'euros, en progression de 6,4%. Cette progression est de 14,5% en tenant compte des acquisitions menées dans les pays émergents, notamment au Brésil.
Devoteam : + 6,2%
Au 1er trimestre de l'exercice, Devoteam a réalisé un CA de 133,8 ME, en progression organique de 6,2%, en croissance totale de 15%. La marge d'exploitation, de 6,2 ME, est identique à celle du même trimestre de l'an passé.
GFI Informatique : + 1,5%
GFI Informatique publie un CA trimestriel de 171 ME, en croissance organique de 1,5%. La France, avec +5%, est plus performante que l'international +0,3%. C'est le premier trimestre positif, après huit trimestres consécutifs de décroissance organique pour GFI.
Infotel : +7,9%
Infotel affiche un CA trimestriel de 30 ME, en progression de 7,9% par rapport au même trimestre de l'an passé, en hausse de 10,4% si l'on tient compte de l'intégration d'Harwell management intervenue au mois de juillet 2010.
Logica : + 11%
Logica réalise en France un CA trimestriel de 262 ME, en hausse de 11%, grâce à de nouveaux contrats d'outsourcing et au renouvellement de celui passé avec Michelin. Au plan international, ce CA se monte à 1,39 milliard de livres en hausse de 29%.
Micropole : + 9 ,6%
Micropole réalise un CA trimestriel de 27,5 ME, en progression organique de 9,6%.
Neurones : +17,4%
Neurones se distingue toujours par une croissance nettement supérieure à celle de la profession avec une progression de 17,4% en organique sur le 1er trimestre avec 66,9 ME de CA. Le résultat opérationnel, non audité, représente sur la même période 8,1% du CA.
Open : -3,3%
Avec un CA trimestriel de 67 ME, Open enregistre un recul de 3,3% La croissance est revenue en France, mais pas à l'international.
Osiatis : +7,3%
Osiatis affiche un CA de 67,1 ME en hausse de 7,3%.
Proservia : +9,2%
Proservia publie un CA trimestriel de 13,65 ME, en hausse organique de 9,2%. La société compte accélérer cette croissance au deuxième trimestre.
Sidetrade : +20,2%
Spécialiste du CRM en Saas, Sidetrade affiche une croissance organique de 20,2% avec un CA trimestriel de 3,3 ME.
Solucom : + 1,1%
Solucom publie les résultats de son quatrième trimestre 2009-2010, avec un CA de 28,1 ME en hausse de 1,1%.
Stéria : + 1,3%
Au 1er trimestre, Stéria a réalisé un CA de 429,1 ME en hausse de 1,3%.
(...)
Altran mise de nouveau sur le e-recrutement
Pour la deuxième année consécutive, Altran lance Innovation Weeks, une opération exclusivement dédiée au e-recrutement qui aura lieu du 16 au 27 mai 2011.
Le groupe de conseil en technologies mise sur le online pour l'aider à réaliser 2 300 recrutements en France d'ici la fin de l'année. Les priorités d'embauches s'orientent vers l'ingénierie en systèmes embarqués (378 postes à pourvoir), le développement logiciel (245 offres) et le management de projet (223). 65% des emplois concernent des profils expérimentés possédant plus de deux ans d'expérience, la part restante étant réservée à des jeunes diplômés. La majorité des postes (60%) se situent en Ile-de-France.
Entretiens, chats, et conférences au format vidéo
Durant deux semaines, les candidats pourront découvrir le groupe via le site altraninnovationweeks.com, connaître ses secteurs d'intervention, et postuler en direct aux 200 offres d'emploi qui leurs seront proposées. Au menu, plus de 3 000 entretiens, 20 heures de chat et de conférences vidéo en direct et une trentaine de témoignages de dirigeants, managers et consultants du groupe, également au format vidéo. En parallèle, une dizaine de collaborateurs d'Altran partageront leur journée de travail en temps réel sur Twitter. La plateforme online proposera également différentes thématiques sur Jobcast, la web TV interactive d'Altran dédiée au recrutement.
L'année dernière, entre 300 à 600 internautes se sont connectés en direct à chaque rendez-vous proposé sur le site. 1 200 conversations ont eu lieu entre les postulants et une centaine de collaborateurs d'Altran. Au final, 2 150 entretiens ont été réalisés en une semaine et 174 candidats ont été intégrés au sein du groupe en CDI.
(...)
Pourquoi Ozitem rachète Owentis
En 20 ans d'existence, Ozitem n'a jamais fait parler d'elle. Cette SSII classique, basée sur l'ingénierie et le conseil, aux deux tiers dans le secteur bancaire, vient de faire sa première acquisition : Owentis. Une autre SSII qui possède trois activités complémentaires : réseau, sécurité, hébergement. Owentis, à l'inverse d'Ozitem est à 90% dans l'industrie, à 10% dans la banque. Les deux entreprises sont rentables, Ozitem réalisant un peu plus de 18 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, Owentis un peu moins de 6 ME.
Une acquisition réalisée de manière très pacifique. Sans volonté farouche de croissance externe, le recours a des cabinets spécialisés n'ayant rien donné, Laurent Soulie, le PDG fondateur d'Ozitem a laissé faire le relationnel. En clientèle, ses équipes ont rencontré celles de Owentis, après plusieurs épisodes, le contact aboutit à un accord de rachat. « On s'est rencontrés, on s'est reconnus, on s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue, on s'est retrouvés » dit joliment Laurent Soulie.
Ne faut pas casser la dynamique
Les structures d'Owentis sont conservées, en particulier tout le front office, « Il ne faut pas casser la dynamique » de chacune des entreprises » souligne Laurent Soulie. Les référencements de Ozitem seront ouverts aux équipes d'Owentis. Le rapprochement et la rentabilité du nouvel ensemble occuperont l'année 2011.
Cette croissance externe ne correspond pas à un plan strictement défini, « il fallait le faire, c'était dans notre dynamique, nous avions franchi un palier, celui des 200 collaborateurs, un rachat nous permettait de passer les 300, une vraie dynamique entrepreneuriale nous tire vers l'avant » commente Laurent Soulie. « Les clients attendent ce type de démarche, même les directions achats sont attentives à notre parcours et à nos ambitions ».
Illustration principale : Répartition de l'activité d'Ozitem
Trimestriels Atos Origin : CA en recul de 0,2%
La SSII Atos Origin publie à son tour les résultats financiers de son 1er trimestre fiscal. Contrairement à la plupart de ses consoeurs, Atos affiche un trimestre en baisse de 0,2% à 1,228 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Par secteur d'activité, l'infogérance (449 ME de CA) baisse de 1%, l'intégration de systèmes (438 ME) baise de 3,2%, les services transactionnels (254 ME) bondissent de 5,7%, le conseil (45 ME) chute lourdement de 20,8%, le BPO Médical (42 ME) progresse de 1,9%.
Par pays, la France (281 ME) baisse de 2,6%, le Royaume-Uni (224 ME) progresse de 1,7%, le Bénélux (220 ME) baisse de 5,7%, l'Allemagne (121 ME) baisse de 2,1%, l'Espagne (75 ME) baisse de 6,9%.
La communication d'Atos met en évidence la réduction de l'endettement à 115 ME, un carnet de commande en hausse de 3% (à 7,5 milliards d'euros), la progression du programme TOP (qui permet de réduire les coûts de structure et d'améliorer l'efficacité), la perspective de l'intégration de SIS (branche informatique de Siemens) après le 1er juillet prochain.
Crédit photo : D.R. (...)
Annuels Avenir Télécom 2010 : CA en légére baisse
Avenir Télécom publie ses résultats annuels 2010, son exercice fiscal se terminant fin mars. Le chiffre d'affaires (CA) se monte (à taux de change constant) à 563 millions d'euros (ME) en baisse de 1,3%. L'essentiel de cette baisse s'est faite au 1er trimestre de l'exercice, donc sur la période avril-juin de 2010, avec une chute de 14,2%, le troisième trimestre fiscal (donc le 4ème calendaire) se concluant par une petite baisse de 0,8%. L'activité est en hausse sur ce début d'année, janvier-mars, de 5,2%.
C'est l'indirect qui permet à Avenir Telecom de retrouver un peu de croissance. Par indirect, Avenir entend les distributeurs professionnels : chaînes de magasins spécialisés, grande distribution, groupes internationaux de négoce en produits d'électronique grand public, commerçants indépendants. Cette activité historique est redynamisée et représente aujourd'hui 52,5% du chiffre d'affaires. Elle progresse de 9,3% sur l'année.
La distribution en direct, celle des magasins (comme Internity en France) subit la baisse de la consommation en Europe et les préférences des consommateurs en faveur, soit d'offres prépayées, soit d'offres tarifaires à bas prix.
Par pays, la France qui représente 58,3% du CA a réalisé une « forte croissance » au 4ème trimestre fiscal, les autres implantations étant (Espagne, Royaume-Uni, Portugal, Bulgarie, Roumanie) étant plus contrastées.
Crédit photo : D.R.
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