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(05/05/2011 16:58:04)
ZA THD, un label pour les zones d'activité équipées en très haut débit
Dans le sillage du programme national de développement du très haut débit qui prévoit 2 milliards d'euros d'investissement public pour le déploiement de fibre optique en France, le ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, Eric Besson, annonce le lancement d'un label Zone d'activité très haut débit, sous l'acronyme « ZA THD ». Celui-ci vise d'une part à « valoriser » les projets d'aménagement de zones apportant un accès Internet à très large bande aux entreprises qui s'y installeront. D'autre part, il apporte à ces dernières une visibilité sur la disponibilité de ce type d'infrastructures et l'accès à ce niveau de qualité de services.
Ce label a donc vocation à concerner tout à la fois les pouvoirs publics, les collectivités territoriales, les opérateurs de télécommunications et les entreprises. Sa création était prévue dans le plan « France numérique 2012 » qu'Eric Besson avait suscité lors de son premier passage au développement de l'économie numérique, en qualité, alors, de secrétaire d'Etat. L'action numéro 13 du plan prévoyait en effet de « créer un label d'Etat, d'ici au premier semestre 2009, afin d'identifier les zones d'activités qui seraient pré-équipées en réseaux à très haut débit, afin d'augmenter l'attractivité des territoires ». Cette remise en mémoire, qui figure sur le site web consacré au label (www.labelzathd.fr), fait aussi apparaître que le projet a souffert d'un petit retard...
Onze zones d'activités déjà labellisées
Le label ZA THD est attribué par le gestionnaire du label, Setics, au nom de l'Etat, après examen du dossier de candidature. Les conditions d'attribution reposent sur deux principes. En premier lieu, le très haut débit doit être déployé exclusivement sur de la fibre optique accessible pour chaque parcelle de la zone d'activité. Par ailleurs, les offres de détail en très haut débit (100 Mbits/s symétrique) devront se faire dans un cadre concurrentiel, caractérisé par la présence de plusieurs opérateurs. Le tarif fixé pour l'obtention de ce label varie entre 1 350 et 1 500 euros HT suivant le nombre de dossiers déposés.
Onze zones d'activité équipées en très haut débit ont déjà été labellisées : dans la Drôme, le Pas-de-Calais, l'Eure, le Nord, la Savoie, le Puy-de-Dôme, les Côtes-d'Armor, l'Herault, la Seine-et-Marne et le Loiret (où l'on en trouve deux). Le site web LabelZATHD permet de les localiser précisément et de vérifier si elles disposent de l'option « infrastructure redondante » ou possèdent des offres adaptées aux TPE/PME. Il renseigne aussi sur le cahier des charges définissant le niveau d'exigence que doit atteindre une zone d'activité pour obtenir le label.
Illustration : La Zoopôle de Ploufragan, dans les Côtes-d'Armor (Bretagne) a déjà obtenu le label. (...)
Skype objet des attentions de Facebook et Google
Skype, spécialiste de la voix sur IP, est face à plusieurs hypothèses pour son avenir. La société, fondée par Niklas Zennstrom, pense depuis longtemps à entrer en bourse. Or, selon Reuters, deux autres alternatives sont possibles. La première est le rachat. Facebook serait le principal intéressé. L'agence de presse rapporte que Mark Zuckerberg aurait rencontré les dirigeants de Skype pour discuter d'une éventuelle acquisition.
Autre orientation, un rapprochement avec Google pour la création d'une entreprise commune. La firme de Mountain View dispose d'un outil de voix sur IP via Google Voice. Un partenariat renforcé avec Skype pourrait lui permettre d'améliorer son service, de baisser la concurrence entre les deux acteurs et de mieux négocier le prix des appels. La valorisation de Skype est estimée entre 3 et 4 milliards de dollars. Il reste au PDG de l'entreprise, Tony Bates, ex-vice-président de Cisco Systems, arrivé à la tête de Skype en octobre dernier, de faire ses choix.
Shell installe des outils collaboratifs sur un cloud hybride
Shell devait accroître la collaboration et la fluidité de celle-ci entre des équipes très éclatées. Pour atteindre cet objectif, le pétrolier a décidé de mettre en place des outils en ligne accédant à une base unique mondiale pour partager des documents et échanger des informations. Pour gagner en flexibilité et baisser les coûts, la DSI de Shell a choisi de déployer cette solution en SaaS.
Le pétrolier a signé un contrat avec T-Systems et Microsoft pour déployer BPOS, Sharepoint et Fast Search sur un cloud hybride opéré par T-Systems. Le déploiement mondial a débuté en avril 2011. Selon Microsoft, Shell sera l'un de ses plus importants clients mondiaux pour cette offre.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Réelle reprise des services IT, selon Gartner
« Il est clair que les effets de la récession de 2008 et 2009 se font encore clairement sentir. Mais le marché des services IT a rebondi », estime Kathryn Hale, vice-présidente en charge de la recherche chez Gartner. Ce rebond bien venu a permis au secteur de revenir, à peu de chose près, à son niveau de l'année 2008 lors de laquelle il avait généré une croissance de 8% et un chiffre d'affaires de 806 Md$.
L'an dernier, c'est le segment du support logiciel qui a affiché le plus fort dynamisme avec une progression de 6,6% en valeur. A l'opposé, les croissances les plus faibles ont été réalisées par les segments de la gestion de processus (process management) et du support matériel qui ont enregistré une progression plus faible d'un point que celle initialement attendue par Gartner. Le conseil et le développement/intégration ont en revanche légèrement dépassé les prévisions initiales. Du côté des clients, ce sont les dépenses des gouvernements qui ont le moins progressé l'an dernier, du fait des politiques de réduction des dépenses publiques visant à réduire les déficits nationaux.
HP profite peu de la reprise du marché
Par zone géographique, Gartner constate que, comme en 2008, ce sont les prestataires de services dont le siège social est basé en Inde qui ont connu la plus forte croissance l'an dernier. Elle s'est élevée à 18,9% en moyenne et leur permet de totaliser 5,5% de part de marché dans le monde (+0,7% comparé à 2009).
HP, qui n'appartient pas à cette population, est l'entreprise qui a le moins profité de la hausse des dépenses en services IT en 2010 avec une progression de seulement 0,3% de son chiffre d'affaires dans ce secteur. Il reste tout de même second du TOP 5 des prestataires de services mondiaux de Gartner, derrière IBM dont les revenus ont progressé de 2,6% pour une part de marché (PDM) de 7,1%. Fujitsu figure en troisième position (3% de PDM) devant Accenture qui signe la plus belle croissance du TOP 5 de Gartner (+6,1%). Enfin, CSC arrive en dernière position avec une part de marché qui reste stable à 2% dans le monde pour une croissance en valeur de seulement 0,6% en 2010. (...)
Semestriels Sage: bon début d'année
Sage, l'éditeur britannique de logiciels de gestion, a terminé le premier semestre de son exercice 2011 (clos en mars) sur un chiffre d'affaires de 865 M€(*). Un montant en hausse de 3% par rapport au premier semestre 2010 lors duquel les revenus de l'entreprise affichaient un repli de 2%. L'EBITA du groupe (notion proche du résultat d'exploitation) a crû quant à lui de 5% à 222 M€.
En France, la hausse de l'activité est en ligne avec celle du reste du groupe, soit +5% pour un chiffre d'affaires de 169 M€. La progression de L'EBITA de la filiale française est en revanche bien supérieure puisqu'elle atteint +14% à 43 M€. Celui-ci correspond à 25,4% du chiffre d'affaires.
(*) Résultats communiqués en Livres Sterling, retraduits sur la base de la moyenne du taux de change pour le semestre, soit 1 £ pour 1,16 €, précise l'éditeur.
EBITA, bénéfice avant intérêt, impôt et amortissement des immobilisations corporelles.
Crédit Illustration : D.R.
(...)
SAP espère faciliter l'adoption des ERP avec iRise
SAP a signé avec son partenaire iRise un accord mondial pour revendre le logiciel de celui-ci sous le nom de SAP Application Vizualisation. L'outil permet de visualiser l'apparence finale d'une application sans écrire de code, explique l'éditeur qui espère ainsi renforcer la réussite des projets de ses clients.
iRise constate que les méthodes traditionnelles pour décrire les exigences métiers des projets SAP (tableurs, fichiers texte, organigrammes...) n'ont guère changé au cours des vingt dernières années et que les utilisateurs métiers ont toujours autant de difficultés à les décoder. De surcroît, bien souvent, ces utilisateurs ne savent pas ce qu'ils veulent faire avec le logiciel avant d'avoir véritablement pu interagir avec lui.
Les visualisations procurées par iRise donnent aux utilisateurs la possibilité de découvrir le logiciel beaucoup plus tôt, quoique virtuellement. Cela peut permettre de réduire la facture en limitant la réécriture de l'application, tout en facilitant la formation et la gestion du changement.
Réduire les difficultés des projets ERP
« Les simulations sont si proches des applications définitives qu'il n'est guère possible de faire la différence entre les deux », affirme iRise sur son site web, en précisant qu'elles peuvent être assemblées facilement, y compris par des collaborateurs non techniciens. Ces visualisations peuvent être publiées pour être consultées par différents utilisateurs ou accessibles dans un fichier protégé par un mot de passe.
Dans un communiqué, SAP cite en exemple le fournisseur d'électricité National Grid qui a mené un programme pilote avec le logiciel iRise. A la suite de réponses très positives des utilisateurs, le groupe aurait prévu de l'adopter comme outil standard pour les projets de déploiement.
S'il s'avère que les outils de visualisation répondent vraiment à leurs promesses, ils pourraient avec le temps réduire certaines des difficultés que les entreprises rencontrent avec leurs projets de mise en place d'ERP, voire prévenir les échecs. L'utilisation de tels outils pour les ERP est en hausse, selon China Martens, analyste pour Forrester Research. (...)
Atos Origin et ZTE s'unissent sur les compteurs intelligents en Chine
Atos Origin et ZTE ont annoncé la création d'une coentreprise dans le domaine des compteurs électriques intelligents pour les entreprises du secteur public en Chine. Cette structure commune sera basée à Nankin. Les deux entreprises n'ont pas donné les détails sur les termes financiers de ce partenariat.
ZTE sera en charge des plates-formes de services télécoms et apportera sa base clients, tandis qu'Atos, via sa filiale internationale Atos WorldGrid, apportera son expérience dans le secteur en Europe. Cette dernière est notamment partenaire d'ERDF pour le projet Linky en France. Le potentiel de croissance de la Chine en matière de « smart utilities » est une des raisons de l'investissement commun réalisé par les deux sociétés.
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