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(04/05/2011 13:26:36)

Trimestriels Iliad : Un effet Freebox Revolution

127 000 est le chiffre qu'il faut retenir pour les résultats du 1er trimestre 2011 d'Iliad. Il s'agit en effet du nombre de nouveaux abonnés nets de résiliation acquis par Free, le meilleur depuis 2007 souligne l'opérateur. Le groupe affiche ainsi une part de marché de 32% de conquête sur cette période. Au total, Iliad revendique 4 661 000 abonnés au 31 mars 2011. Ces bons chiffres s'expliquent bien évidemment par le déploiement de l'offre Freebox Revolution (la version v6 plus prosaïquement). Cette dernière présentée à la fin de l'année 2010 a été en priorité proposée aux nouveaux abonnés. Le FAI confirme que les délais de livraison de la Freebox Revolution pour les anciens abonnés sont « plus longs que d'ordinaire ». L'opérateur a d'ailleurs été obligé par la justice de livrer cette fameuse Freebox à un abonné qui estimait avoir suffisamment attendu. L'opérateur promet une amélioration dans les semaines à venir et une résorption des problèmes d'ici l'été. Autre bonne nouvelle, le taux d'abonné dégroupé dépasse les 90%

Les finances impactées par les soubresauts réglementaires


Sur le plan purement financier, Iliad affiche un chiffre d'affaires en hausse de 1,1% à 509,8 millions d'euros. Cette faible croissance s'explique d'une part par le changement de régime de la TVA (effective depuis le 1er  janvier 2011, au mois de février pour les abonnés) et d'autre part par la baisse des tarifs des terminaisons d'appels fixes. En conséquence, le revenu moyen par abonné pour le premier trimestre 2011 s'est élevé à 35,8 euros en retrait par rapport à la même période en 2010. L'opérateur reste néanmoins confiant en indiquant que l'Arpu pour les abonnés Freebox Revolution affiche 38 euros.


(...)

(04/05/2011 10:02:50)

La Société Générale structure son programme d'authentification

Pour renforcer la sécurité de son SI, la Société Générale a mis en place le programme Safe (Service d'Authentification Fédérateur d'Entreprise). L'objectif est de définir des droits d'accès à chaque application et d'authentifier l'utilisateur de manière certaine et unique. L'origine de l'utilisateur est en général interne mais peut aussi être externe. Il s'agit alors d'ouvrir le SI de la Société Générale à des non-salariés du groupe, mais de le faire en toute sécurité.

Ainsi, la première implémentation du programme Safe se fait dans une filiale commune de la Société Générale et de La Poste dédiée à la gestion de la monétique, Transactis. Les droits d'accès aux applications de Transactis devaient donc être accordés autant à des salariés de la Société Générale qu'à d'autres du groupe La Poste. De ce fait, les annuaires des utilisateurs peuvent provenir de l'établissement bancaire autant que de l'entreprise postale.

Pour à la fois gérer une authentification unique, avec les droits d'accès afférents dans chaque application, et fédérer les différentes sources d'identités, la Société Générale a choisi Sign&Go de l'éditeur Ilex avec une intégration appuyée par Business & Décision.

Le coût du projet n'a pas été communiqué.

(...)

(04/05/2011 09:39:51)

Délais de paiement, les entreprises et l'Etat sur la voie de l'amélioration

Sur 2009, les délais de paiement clients des entreprises se sont réduits de 51 à 49 jours, leurs délais fournisseurs de 59 à 56 jours. En 2010, ces chiffres se sont encore améliorés. L'Association des credit managers montre que 64% des entreprises continuent de percevoir une baisse des délais de paiement. Selon la Fédération des industries mécaniques, 84% de ses adhérents respectent le délai maximum légal de 60 jours.

Derrière cette tendance de fond, le rapport relève que la réduction des délais fournisseurs est supportée, non seulement par les PME, qui ont entamé cet effort dès 1999, mais depuis 2007 par les ETI et les grands comptes. Par ailleurs, il évalue à 2 milliards d'euros, en 2009, comme en 2008, l'effet de la réduction de ces délais sur la trésorerie des entreprises.

A ces données plutôt positives, le rapport oppose trois points noirs. D'abord, le niveau des paiements en retard s'accroit. Le délai se réduit, mais le montant augmente, comme le montre une étude d'Altares.

L'Etat handicapé par le déploiement de Chorus


Surtout, si les entreprises sont de plus en plus vertueuses, l'Etat dérape sérieusement. Les difficultés informatiques et organisationnelles rencontrées par l'Etat seraient à l'origine de cette évolution négative. En 2005, les ministères ont mis en place des services facturiers pour mieux maîtriser leurs dépenses. De 2006 à 2009, le délai moyen de paiement de l'Etat s'est réduit à 20 jours. En 2010, il est remonté à 27 jours en raison des difficultés techniques pour le déploiement du système CHORUS. Le rapport précise néanmoins que ce retard a été résorbé à la fin 2010 et que le système CHORUS devrait porter ses fruits dans les prochaines années. Les ERP adoptés dans les autres administrations que celles de l'Etat ont également perturbé les processus de facturation et de paiement.

Le rapport remarque également que des tensions subsistent dans certaines relations interentreprises. Elles passent par des interprétations erronées ou des détournements de textes. Ne sont pas à exclure des délais cachés dans les procédures administratives et des abus manifestes au regard des règles du droit.

Le rapport Lorenzi se conclut par des propositions. Cinq. Il préconise une enquête auprès des directeurs financiers des grands comptes pour vérifier leur comportement et leur pratique de la LME. Il demande une enquête auprès des TPE, mal cernées par les outils statistiques, sur leurs délais de paiement. Il demande la diffusion d'outils de substitution : crédits de campagne, affacturage inversé, dispositif spécifique aux activités saisonnières. Le rapport demande au Ministère de l'Intérieur de participer à ses travaux pour intégrer la question des collectivités locales. Enfin, il préconise que Bercy nomme un responsable chargé de faire appliquer les chartes de bon comportement sur ce sujet.  


(*) sous la direction de Jean-Hervé Lorenzi, avec l'aide de la Banque de France et de plusieurs fédérations d'entreprises

(...)

(03/05/2011 17:14:46)

Violation de brevets Java : Oracle et Google canalisent leurs griefs

Avec l'objectif d'accélérer l'issue du dossier, Oracle et Google ont respectivement soumis au tribunal, vendredi 29 avril, des propositions visant à réduire le nombre de plaintes entrant dans le cadre de leur procès pour violation de brevets autour du langage de développement Java. En août dernier, Oracle a attaqué Google au motif que son système d'exploitation mobile Android enfreignait sept de ses brevets Java. La société mise en cause s'était alors défendue d'avoir mal agi.

Le juge s'occupant du dossier, William Alsup du tribunal du District Nord de Californie, a déclaré qu'il espérait avoir bouclé l'affaire d'ici la fin du mois de novembre. Cette semaine, il a demandé aux deux parties de lui soumettre des propositions pour se limiter, dans ce dossier complexe, au nombre de plaintes pouvant être jugées. Oracle propose de ramener le nombre des siennes à 75, contre 132 actuellement, d'ici le 30 juin prochain, puis à 35 au 2 septembre. Avant le 17 octobre et la conférence finale préalable au procès, la société de Larry Ellison identifiera un nombre de plaintes jugeables. Le procès lui-même est prévu pour le 31 octobre 2011.

Dans le même temps, Oracle veut que Google réduise le nombre de ses déclarations de références d'antériorité ou de combinaisons de références à quatre par brevet, d'ici le 8 juillet. Il demande aussi qu'il limite à trois par brevets le nombre de causes d'invalidité, d'ici le 2 septembre. La société de Larry Page et Sergey Brin devra alors déterminer d'ici le 17 octobre un nombre de causes d'invalidité pouvant être prises en compte.

Pendant ce temps, le bureau des brevets s'affaire

Google, pour sa part, suggère un dégraissage plus agressif à son adversaire. Dans un premier temps, il voudrait qu'Oracle ne retienne qu'une quarantaine de plaintes, ou bien s'en tienne à ce que spécifie le tribunal. La deuxième phase verrait Oracle choisir un ensemble de vingt plaintes d'ici le 29 juillet. Dans une troisième phase, l'éditeur de Redwood devrait se limiter à un petit nombre de plaintes pouvant être jugées, deux par exemple, ou bien le nombre requis par la cour. En retour, Google réduirait de façon significative le nombre de ses références d'antériorité au fur et à mesure des étapes.

Les documents remis par les deux éditeurs abordent aussi le réexamen en cours des brevets d'Oracle par le bureau américain des brevets et marques (Patent and Trademark Office, PTO), qui a été déclenché par Google. Oracle fait valoir que le procès ne devrait pas s'arrêter ni être repoussé dans l'attente du résultat de ce réexamen. Ce dernier n'apportera pas grand-chose, ni pour le tribunal ni pour les parties en présence, estime Oracle qui ne voit pas comment il serait possible de les attendre sans causer une importante rupture dans le planning prévu par le tribunal.

En tout état de cause, ce réexamen ne devrait pas être achevé avec fin 2013, bien après la fin programmée du procès, souligne Oracle. Pour l'éditeur, cela n'aurait pas de sens pour le tribunal de conditionner la gestion de ce dossier à la réponse du bureau des brevets. Mais Google de son côté escompte bien que le PTO livre un nombre significatif de réponses dans les prochains mois.

Crédit illustration : D.R.

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(03/05/2011 10:11:40)

Le CNRS centralise ses données sur son portail Isidore

Le Très Grand Equipement Adonis du CNRS vise à préserver, diffuser et partager les savoirs en sciences humaines et sociales dans une logique d'ouverture des données publiques. Il consiste à agréger et diffuser les contenus de 850 sources représentant plus d'un million de publications, puis de nettoyer et normaliser toutes les données, de les enrichir (classification automatique, annotation à la volée), et de les aligner sur des référentiels partagés par la communauté scientifique grâce à une trentaine de traitements distincts avant de les mettre à disposition grâce à un moteur de recherche sémantique. La grande hétérogénéité des sources est une caractéristique forte du projet : entrepôts structurés de données non-structurées (thèses, fonds multimédias, livres...), sites web et blogs, flux RSS... L'unification et l'uniformisation des métadonnées et des accès constituaient le grand défi à relever.

L'ensemble des données d'indexation sont au format RDF afin de permettre une recherche sémantique via le langage SparQL dans un portail dédié. Le projet repose sur les technologies de l'éditeur Antidot, Antidot Information Factory permet de collecter les sources, de les nettoyer et de les enrichir et Antidot Finder Suite rend disponible les données via un portail de recherche sémantique.

Le coût du projet n'a pas été communiqué.

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(03/05/2011 09:45:39)

Un Conseil National du Numérique mal né

L'Internet Society France, Alain Benichou, président d'IBM France ou encore Guy Mamou-Mani, président du Syntec Numérique, nous ont fait part de leur étonnement suite à l'installation du CNN par Nicolas Sarkozy le 27 avril dernier. Dans un communiqué l'Internet Society « s'étonne que la composition du Conseil National du Numérique ne la reflète pas totalement » et interpelle le pouvoir en place avec deux questions fort pertinentes : « Que serait Internet sans la communauté technique qui le fait sans cesse évoluer et que serait Internet sans les utilisateurs qui y tissent les liens qui préfigurent les usages de demain ? »

Parmi les grands absents de ce « machin » numérique, citons les membres de la société civile, les élus, les associations de consommateurs, du monde du Libre (pourquoi pas de représentant de l'April), de certains pôles de compétitivité (Cap Digital) ou encore de l'industrie IT (constructeurs, SSII...).

Une vision du numérique limitée à Internet

Président du Syntec Numérique, Guy Mamou-Mani se félicite pour commencer de la création du CNN : « il faut remettre le numérique au centre de l'économie et de la transformation de l'Etat, mais en même temps les nominations ne correspondent pas au contexte général ». Après le déjeuner des blogueurs à l'Élysée, le président du Syntec Numérique avait été catastrophé par le casting des invités conviés à débattre du numérique en France. L'angle choisi lors de ce lunch était l'Internet politique en France et pas du tout celui de l'économie et de la modernisation de l'Etat. « J'ai bien peur que le Président ait une vision du numérique qui se limite à Internet. Il est intéressé par l'Internet des marchands, pas par notre business. [...] Nous avons réussi à avoir un représentant au CNN [Bruno Vanryb, PDG d'Avanquest Software et président du collège Éditeurs de logiciels du Syntec Numérique, NDLR] alors que j'en attendais quatre ou cinq. Pourquoi Vanryb et pas les autres ?  Le Président n'a pas compris que les SSII et les intégrateurs faisaient du numérique. Cela confirme bien que la vision du numérique est partielle en France. » Pour autant, Guy Mamou-Mani ne veut pas être totalement négatif : « Il faut porter notre voix [...] J'ai ainsi invité le Président à visiter une des entreprises du Syntec et il a accepté. On a progressé, il faut continuer ».

Un candidat très décalé

D'autres voix, comme celle d'Alain Benichou, se font également l'écho de cette incompréhension du pouvoir politique. Le patron d'IBM France et son équipe s'estiment ainsi être un acteur important du numérique et s'étonnent de la présence au sein du CNN de "certains géants générant moins de marge qu'un carnet de timbres [voir la liste des fameux membres pour comprendre NDLR]." La publication des membres du récent Conseil National du Numérique a également laissé pantois le président d'IBM France. Pour développer l'industrie numérique, Alain Benichou propose d'opérer dans un environnement supportant moins de contraintes régaliennes et d'impulser l'économie numérique par le haut - c'est-à-dire en commençant par l'Etat avec un grand projet de dématérialisation.

Dernier gag suite à la nomination du CNN. Les membres devaient élire leur président, et le candidat qui a failli être élu - suite à une campagne très dynamique - n'est autre qu'un entrepreneur haut en couleur spécialisé à l'origine dans les sites de charmes sur Internet. Finalement devant le tollé annoncé, les membres ont fini par se rallier à un candidat moins sulfureux, Gilles Babinet. Un CNN né sous de mauvais auspices donc même si le Président de la République ne s'est pas interdit d'étoffer l'équipe dans les prochains mois.

 

Crédit photo : L. Blevennec/elysee.fr

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(02/05/2011 15:15:40)

Yves de Talhouët prend la direction de HP Europe

Depuis 2006, Yves de Talhouët était directeur général de HP France, il est promu ce 2 mai à la tête de la zone Europe étendue. Avec un double titre : senior vice président pour l'entité Enterprise business et directeur général pour la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). Comme toute la direction EMEA du constructeur californien, il sera basé à Genève et rejoindra d'autres français à l'Europe comme Frédéric Dussard (patron de l'activation EMEA de la division ESSN) et de Xavier Poisson-Gouyou Beauchamps (directeur commercial EMEA de Converged Infrastructure). Le nom du successeur d'Yves de Talhouët à la tête de HP France n'a pas encore été dévoilé.

Avant HP, Yves de Talhouët avait dirigé Oracle France de 2004 à 2006, il fut également vice président consulting et intégration pour l'Europe du sud de Schlumberger et Atos Origin, et avait également fondé Devotech.  

Yves de Talhouët, 53 ans, est diplômé de Polytechnique (1980), de l'ENST et de Sciences Po Paris.

Crédit photo : HP

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(02/05/2011 14:59:17)

Forte croissance des livres électroniques prévue en 2011

D'ici la fin 2011, le marché mondial du livre électronique devrait compter 27 millions de liseuses électroniques, selon les pronostics de Digitimes.com. Pour parvenir à ce chiffre, le site s'est basé sur les résultats du premier trimestre de cette année qui a connu un bond des livraisons des liseuses de 236%.

Entre janvier et mars derniers, 4,8 millions de supports ont été livrés à travers le monde, soit une hausse de 236% en un an. Le secteur des « e-readers » est principalement boosté par le continent nord-américain qui devrait recevoir 72% des livraisons prévus en 2011. Avec un démarrage plus lent, l'Europe rentre progressivement dans l'ère numérique et devrait s'approprier 16% des liseuses fabriquées, devant l'Asie (10%).

Le Kindle d'Amazon demeure le grand leader du marché avec 60% des ventes de readers. Aux Etats-Unis, son prix devrait d'ailleurs passer en dessous des 99 dollars au cours de l'année. Digitimes.com estime que 63 millions de e-readers devraient trouver preneurs dans le monde d'ici 2014.

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