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(02/05/2011 12:22:37)
SAP obtient une suspension temporaire pour payer les dommages dus à Oracle
Oracle devra attendre encore un peu avant de mettre la main sur la somme de 1,3 milliard de dollars qui lui a été accordée en fin d'année dernière dans le cadre du procès qui l'opposait à SAP (pour vol de propriété intellectuelle par l'ancienne filiale de l'éditeur allemand, TomorrowNow).
Un tribunal américain a accédé vendredi dernier à la demande de SAP qui souhaitait bénéficier d'une suspension temporaire d'exécution du jugement pendant qu'il procédait à des requêtes dites « post-trial motions » pouvant déboucher sur un réexamen à la baisse du montant des dommages à verser. SAP a également indiqué qu'il pourrait envisager de faire appel du jugement si ce montant n'était pas révisé.
L'éditeur de solutions de gestion basé à Walldorf (Allemagne) a toujours jugé excessif le montant des dommages auquel il a été condamné par un jury californien en novembre 2010. Il avait alors souligné que la méthode utilisée pour calculer les dommages subis par Oracle n'était pas appropriée.
SAP a toujours jugé excessif le montant des dommages
Oracle avait attaqué SAP après avoir découvert que TomorrowNow, filiale acquise en 2005 par l'éditeur allemand, avait téléchargé illégalement sur des serveurs Oracle des documents servant à la maintenance de certaines applications de gestion. L'activité de TomorrowNow consistait justement à offrir, à prix réduits, des services de maintenance sur les applications en question. SAP n'a pas contesté la réalité des téléchargements et il a fermé la filiale TomorrowNow. L'objectif du procès était d'évaluer le montant des dommages subis par Oracle.
En novembre dernier, après plusieurs semaines de procès qui ont vu se succéder à la barre des témoins le PDG d'Oracle Larry Ellison, l'ancien président de la société Charles Phillips, et Jim McDermott, co-PDG de SAP, un jury a évalué à 1,3 milliard de dollars le montant des dommages. SAP de son côté estimait qu'il aurait dû se chiffrer en dizaines de millions de dollars.
Vendredi dernier, le juge Phyllis Hamilton a requis de SAP l'assurance qu'il paierait s'il devait finalement le faire. Elle a dans le même temps refusé qu'Oracle puisse faire courir des intérêts sur la somme pendant la période de suspension.
Crédit photo : Wallpapersphere
L'accès WiFi à l'hôtel analysé et noté
Bien qu'Internet soit souvent devenu une nécessité basique, trouver une connexion lors d'un déplacement peut s'avérer frustrant et onéreux. HotelChatter publie chaque année son Hotel WiFi Report, listant les pires et meilleurs hôtels en matière de WiFi.
La certitude que de nombreux voyageurs seraient prêts à payer n'importe quel prix pour une connexion internet pousse les hôtels à continuer la pratique de tarifs exorbitants - parfois plus de €20 par jour. HotelChatter affirme cependant que certaines chaînes se mettent à l'écoute des clients, en proposant le WiFi gratuit. Ils offrent un accès Wi-Fi totalement libre, gratuit dans le hall ou bien à des tarifs intéressants via un programme de fidélité.
Les hôtels de luxe ne sont pas des modèles
Mais, il semble que d'autres n'en soient pas là, notamment les plus établissements les plus luxueux. L'étude montre que ces derniers ne changent pas leurs tarifs, très élevés, alors que les hôtels économiques proposent maintenant un accès gratuit à internet.
Marriott, W Hotels et InterContinental ont été classés dans la catégorie des pires solutions WiFi, de même que Sofitel, Four Seasons, Mandarin Oriental et Ritz-Carlton. Hotel Indigo, Kimpton ont été jugés les meilleurs dans ce domaine tout comme Aloft qui remporte la palme.
En dépit de tout cela, se connecter à internet dans un hôtel se révèle toujours difficile, la qualité du réseau WiFi variant selon les pays, les chaînes et même d'un établissement à un autre.
Forte poussée des ventes de smartphones dans le monde
Au premier trimestre 2011, il se serait vendu quelque 100 millions de smartphones dans le monde, soit une hausse de 75% par rapport à la même période un an plus tôt. Selon les derniers chiffres ABI Research, publiés ce vendredi 29 avril, le marché global des téléphones mobiles atteindrait 380 millions d'unités.
Du côté des constructeurs, Nokia reste en tête des ventes de smartphones, mais décroît fortement laissant Apple et Samsung se rapprocher. En ce qui concerne les plateformes, Android se positionne pour la première fois devant Symbian (Nokia), avec 30 millions d'unités contre 25,6 millions. Autre mauvaise nouvelle pour Nokia, ABI research estime que l'iOS d'Apple devrait dépasser Nokia d'ici la fin de l'année.
Les intégrateurs peu réceptifs au cloud selon Hermitage Solutions
« Les nombreux arguments que nous entendons et lisons ces derniers mois quant aux avantages inhérents à la revente de solutions Cloud, ne semblent pas être rentrés dans les oreilles de nos Intégrateurs / Revendeurs. » C'est par ces mots que Hermitage Solutions, grossiste informatique spécialisé dans la sécurité, introduit les résultats d'un sondage qu'il a mené auprès d'une trentaine de ses clients lors de son événement partenaires du 7 avril.
Pour 89% d'entre eux, la montée du cloud computing est inévitable et ils se voient ainsi contraints d'investir sur ce marché. « Contraints », le mot n'est pas trop fort puisqu'ils ne sont que 37% à identifier ce modèle comme une opportunité à fort potentiel. En outre, la moitié d'entre eux pensent que revendre des solutions cloud va les amener à procéder à d'importants changements d'organisation dans leur société.
Un flou dans la répartition des compétences
Toutefois, 78% des revendeurs sondés estiment que le modèle de l'informatique dans le nuage se prête bien au domaine de la sécurité et comptent développer leur offre. Entre autres avantages du cloud, les clients d'Hermitages Solutions citent également la facilité d'accès aux services (82%), la récurrence des revenus (79%) et la tarification à la demande plus accessible aux PME (68%).
Reste que 60% d'entre eux estiment que l'approche du cloud computing n'est pas mature au niveau de la distribution, dans le sens où la répartition des rôles et des responsabilités entre l'éditeur, le grossiste et le revendeur n'est pas bien établie. Ce manque de maturité, ils sont également 45% à le pointer du doigt en termes de technologie. Enfin, 40% des revendeurs estiment que la diminution des contacts directs avec les clients est aussi un frein. (...)
Canon France a un nouveau PDG
Kenji Kobayashi s'installe dans le fauteuil de président de la filiale française du constructeur japonais. A ce titre, il dirige la division CBS (Canon Business Services), qui se focalise sur la vente des produits professionnels de la marque (copieurs, imprimantes), et la division CCI (Canon Consumer Imaging) qui se charge de la commercialisation de ses appareils photos numériques. Thierry Marchandise, son prédécesseur, conserve ses fonctions de directeur général finance de Canon France tout en quittant ses fonctions de président pour évoluer vers « un nouveau rôle stratégique européen ».
Présent dans le groupe Canon depuis 20 ans, Kenji Kobayashi a occupé plusieurs postes de management en Europe. Il a ainsi passé six ans au sein de Canon Europa aux Pays-Bas et était jusqu'ici en poste au sein de Canon Italie pendant quatre ans. Parallèlement à sa nomination chez Canon France il a également été promu Executive Officer du groupe japonais.
Résultats annuels Acropolis Telecom : Une année 2010 forte en investissement
L'opérateur IP Acropolis Telecom a réalisé un chiffre d'affaires de 6,3 M€ en 2010, soit une hausse de 27% comparé à l'exercice précédent. La marge brute de l'entreprise a également progressé, passant de 1,84 M€ en 2009 à 2,4 M€ l'an dernier. En revanche, son résultat opérationnel a viré dans le rouge à -493 K€ alors qu'il se situait à près de 30 K€ en an plus tôt. Le résultat net est également négatif à -345 K€.
L'entreprise explique la dégradation de sa rentabilité par les nombreux investissements qu'elle a réalisés en 2010 et qu'elle a comptabilisés en charges. Ces dépenses ont été consacrées notamment aux ouvertures de 10 agences en France et à l'acquisition de l'opérateur ToIP IPEX. Acopolis Telecom poursuit d'ailleurs sa politique d'investissement cette année avec l'achat de trois datacenters à Paris. Pour Samir Koleilat, son président, « ces acquisitions devraient assurer à Acropolis Telecom un chiffre d'affaires annuel incrémental à sa croissance courante de plus de 6 millions d'euros à l'horizon 2013»
RecapIT : Hold-up en ligne pour Sony, Mea Culpa d'Apple, un « machin » numérique installé
Une semaine écourtée en raison du lundi de Pâques, mais qui dès mardi a démarré sur les chapeaux de roues en matière de sécurité avec l'annonce de Sony d'une intrusion par « une personne non autorisée » (sic) sur son service en ligne de jeux PlayStation Network, ainsi que sur le service Qriocity. Le ou les pirates auraient subtilisé les données personnelles, y compris des informations bancaires de près de 77 millions de personnes. Cette information a soulevé un tollé parmi les utilisateurs. Des plaintes ont été déposées et les autorités en charge des données personnelles ont demandé des compléments d'informations à la firme Japonaise. Plus grave encore, il semblerait selon des experts en sécurité que des bases de données bancaires issues de l'intrusion soit en circulation sur le net. Cet évènement a passé sous silence d'autres sujets sécurité. Ainsi, selon des chercheurs AppSec, Oracle leurrerait subtilement ses clients sur la gravité de certaines vulnérabilités dans son logiciel de base de données.
Apple va rustiner iOS pas assez discret
Les données personnelles sont résolument au coeur de l'actualité cette semaine. Apple a fait un semblant de mea culpa en indiquant que le stockage des données de localisation de l'iPhone ou l'iPad avait pour origine un bug. La firme de Cupertino a annoncé une mise à jour d'iOS pour réduire la durée de conservation des données et promet aussi à terme de sécuriser ces informations. Google a joué aussi la carte de la transparence en détruisant ses vieux disques durs pour éviter la fuite des données.
Mea culpa présidentiel
Enfin pour terminer, le microcosme IT français s'est ému de la nomination et la mise en place du Conseil National du Numérique. Le Président de la République a profité de cette installation pour admettre une erreur sur Hadopi et se déclarant prêt à une autre version de cette loi contestée. Il n'en demeure pas moins que le CNN, qualifié de Medef du numérique ne fait pas l'unanimité auprès des associations de consommateurs, des ayants droits et autres syndicats industriels. Il faudra certainement attendre les premières décisions du CNN pour que la critique soit plus constructive.
IBM fête son centenaire et désire montrer un visage plus sociétal (MAJ)
Créé le 16 juin 1911 (le 15 juin en fait mais l'enregistrement officiel a été fait le 16), sous le nom de CTR (Computing Tabulating Recording), IBM approche de son centenaire. La firme d'Armonk qui a ouvert son premier bureau étranger à Paris en 1914, deviendra International Business Machines en 1924, comme nous l'a rappelé Alain Benichou, président d'IBM France depuis janvier 2010. « Pas sûr qu'aujourd'hui la France occupe la même place dans le monde », souligne malicieusement le dirigeant qui assure toutefois que « 100 ans après, cette entreprise a pratiquement tout changé. Il y a 50 ans, Tom Watson junior indiquait déjà qu'IBM était prêt à tout changer sauf ses valeurs (clients, innovation, responsabilité interpersonnelle) ».
Création de CTR en 1911
Aujourd'hui fort de ses 100 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2010 (contre 120 milliards pour HP, mais avec les imprimantes et les PC) dont 4 milliards en France, IBM n'est plus la petite « start-up » des débuts, mais tient à conserver une ligne claire : « Nous ne sommes pas le General Electric de l'informatique » pointe ainsi Alain Benichou en faisant référence à une autre compagnie, californienne cette fois. « Nous sommes sortis du marché grand public avec la vente de la division PC en 2002 suivie du rachat de PwC pour renforcer notre activité conseils et services ce qui nous a permis de devenir la pemière société de services mondiale. Nous allons résolument vers une stratégie de montée en valeur ». Une stratégie suivie avec 5 ans de retard par HP qui a racheté EDS en 2008 (13,9 milliards de dollars) sans toutefois procéder au spin off de ses activités PC et imprimantes que demandent un grand nombre d'analystes financiers.
Tom Watson, jr
IBM et HP toujours au coude à coude
Si pour les principales activités (cloud, serveurs, Unix, sécurité, administration de systèmes ou services/infogérance) HP et IBM se marquent « à la culotte », les principales différences portent pour le premier sur la gamme stockage (avec 3Par) et l'offre réseau (avec 3Com) et pour le second sur la poursuite de l'activité mainframe, la richesse du catalogue applicatif, le dépot de brevets et enfin le développement du programme SmartCity. Avec le projet City Command Center développé à la Gaude, IBM souhaite par exemple doter les villes et les agglomérations urbaines d'outils de monitoring et d'analyse prédictive pour les secteurs des transports, de la santé, de la sécurité publique, de l'éducation, des télécommunications, de l'énergie et de l'eau.

Si on se souvient qu'IBM a créé la disquette souple, on sait moins que la firme est également à l'origine du code-barre en 1973.
« Nous avons proposé à la mairie de Rio de Janeiro de calculer la densité des favelas sur les collines [à l'aide des signaux des téléphones mobiles] pour prédire les glissements de terrains cas de forte pluie », nous a expliqué Alain Benichou. Plus près de nous, la ville de Nice a remporté en mars dernier le Challenge Smarter Cities pour bénéficier de l'expertise d'IBM en matière de planification stratégique, de gestion des données et de compétences technologiques (une aide évaluée à 400 000 dollars environ). L'objectif est d'établir un diagnostic précis, ainsi que des recommandations à mettre en oeuvre permettant à la ville de répondre à l'un de ses grands défis de l'avenir : la congestion de son centre-ville. D'autres villes dans le monde comme Singapour, Glasgow, Helsinki ou encore Sapporo bénéficieront du concours de Big Blue pour réfléchir à l'amélioration de la gestion des problèmes urbains. IBM n'est pas totalement désintéressé dans cette affaire, car au final les solutions déployées reposeront en grande partie sur des solutions bleues.
Modernisation de l'état, pas de réponse de l'Elysée
En France, la direction d'IBM est également montée à l'assaut d'un vaste chantier, la modernisation du secteur public, en remettant le 3 mars dernier au président Sarkozy une « monographie » réalisée par les consultants maison sur les économies réalisables. « En suivant certaines de nos recommandations, il serait possible d'économiser 2 milliards d'euros sur le budget de fonctionnement », assure Alain Benichou. « En mutualisant la gestion des notes de frais des fonctionnaires, en rationalisant l'usage des datacenters [...] et encore, cette étude a été chiffrée à minima. Un DSI de l'État français a bien été nommé, mais il faut attendre six ans avant la moindre action », se désole le président d'IBM France qui n'a toujours pas obtenu de réaction de l'Élysée ou du gouvernement sur son rapport. De l'aveu même du dirigeant, le chiffre d'affaires réalisé par IBM dans le secteur public français [régalien, NDLR] reste très faible.
Participation d'IBM au programme spatial US, ici sur la capsule Gemini en 1965
Et pour rester dans l'actualité, la publication des membres du récent Conseil National du Numérique a laissé pantois le président d'IBM France. Ce dernier assure ne pas bien comprendre qui représentent "certains géants générant moins de marge qu'un carnet de timbres [voir la liste des fameux membres pour comprendre NDLR]." Pour mémoire en 2010, IBM a réalisé un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros et envoyé un chèque de 100 millions d'euros au fisc. Pour développer l'industrie numérique, Alain Benichou propose d'opérer dans un environnement supportant de contraintes régaliennes et d'impulser l'économie numérique par le haut - c'est à dire en commençant par l'état avec un grand projet de dématérialisation.
Peu de vrais gros projets cloud concrétisés
Toujours en 2010, la croissance d'IBM France a été portée par les transformations réalisées dans la banque, la distribution et le secteur des transports. Alain Benichou avoue suivre beaucoup de discussions sur des projets cloud chez les clients, Carrefour ou chez Danone par exemple, mais bien souvent les réalisations ne sont que des ballons d'essai. Quelquefois l'expertise d'IBM se heurte aux spécificités de certains pays. La compagnie des chemins de fer chinois a par exemple demandé à Big Blue une plate-forme de gestion et de vente de tickets. Fort de son expertise pour Deutsche Bahn, la SNCF ou le système Sabre, la compagnie d'Armonk pensait répondre sans problème au besoin du gouvernement chinois sauf que le cahier des charges table sur un volume annuel de 20 milliards de réservations. Et il ne suffit plus d'aligner les mainframes pour supporter un tel trafic. Un centre dédié a donc été créé avec l'université de Pékin pour régler le problème.
Système de réservation Sabre en 1962
Pour revenir à la France et aux cinq ans qui attendent IBM, Alain Benichou souhaite avancer dans le secteur public et accompagner la montée en valeurs des IBMers . Ce dernier sujet semble particulièrement tenir au coeur du dirigeant. Aider les salariés de la grande maison à développer leurs compétences techniques et leur esprit d'entreprise.
Crédits photos : IBM
Disparition de Didier Ruffat, ancien DG de Bull et Digital France
Il y a un mois disparaissait Didier Ruffat qui fut pendant vingt-cinq ans l'un des collaborateurs et dirigeants du premier groupe informatique français Bull, aux côtés de Maxime Bonnet, Francis Lorentz et Jacques Stern. Né en juillet 1936, à Vannes, dans le Morbihan, il aurait eu 75 ans cette année.
Diplômé de l'ESC Amiens, Didier Ruffat est entré chez Bull en 1968. Après avoir occupé des fonctions de directeur financier, il prend en 1975 la direction de Bull Portugal. Entre 83 et 90, il dirige le réseau commercial France et International du groupe IT, avant d'être nommé à la direction générale de Bull SA en 1990, puis à la tête de Bull Europe de 1991 à 1993.
Didier Ruffat rejoint ensuite le groupe américain Digital Equipment Corporation (DEC) et devient, en 1995, directeur général puis président de sa filiale française, et vice-président de Digital Equipment Europe. Il quitte la société en 1998.
Sponsor du voilier L'Esprit d'Equipes
Chevalier de l'ordre national du mérite, Didier Ruffat participa chez Bull, à l'aventure des voiliers de course L'Esprit d'Equipes, que le groupe sponsorisa dans les années 80 (projet mené par le skipper Lionel Péan, vainqueur en 1985-86 de la Whitbread, course autour du monde en équipage en monocoque avec escales).
Son fils, Arnaud Ruffat, CEO d'Atos Origin pour la France et le Maroc, rappelle que son père a également été administrateur de l'association de solidarité internationale Care France et qu'il a, pendant les dernières années de sa vie, enseigné bénévolement le français au centre de liaison et d'initiative sociale de Paris.
Marié et père de quatre enfants, Didier Ruffat avait 14 petits-enfants. Il est décédé le 21 mars 2011 à Neuilly-sur-Seine.
(crédit photo : D.R.) (...)
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