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(11/04/2011 15:44:41)
294 millions de tablettes en 2015 selon Gartner
Comparé à fin 2010, où 17,61 millions de tablettes furent écoulées, le marché s'envolerait ainsi de 1 570 % pour atteindre 294,1 millions d'unité en 2015 selon le cabinet Gartner. Apple aurait encore le monopole à cette échéance avec une part de marché de 47,1% pour le système d'exploitation iOS qui anime l'iPad.
Malgré sa position dominante, l'ardoise d'Apple devra faire face à la concurrence de fabricants dotés d'autres systèmes d'exploitation. Ainsi, iOS pesait 83,9% du marché en 2010. Une proportion qui devrait aller en s'érodant de 68,7% en 2011 à 63,5% en 2012 jusqu'à 47,1% en 2015. Le cabinet d'analyse voit Android s'affirmer comme le principal rival d'Apple avec 38,6% de part de marché en 2015 contre 14,2% en 2010. Fin 2011, le système d'exploitation de Google devrait atteindre 19,9% de part de marché sur le secteur des tablettes. QNX, développé par RIM (Blackberry), devrait atteindre les 10% dans quatre ans.
En 2011, Gartner prévoit un nombre de 69,8 millions de tablettes tactiles écoulées, soit une hausse de 296% par rapport à 2010.
(...)(11/04/2011 11:46:16)AXC et Yellowstone Software viennent renforcer les actifs de Dimo Gestion
Créée en 1995, par six associés, la société Dimo Gestion est issue de l'agence Rhône-Alpes de Cerg Finance(*), éditeur en gestion de trésorerie. Quinze ans plus tard, l'entreprise réalise 20 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) et compte deux activités, l'édition et l'intégration, dans le secteur de la gestion financière d'entreprise. Avec les rachats d' AXC et de Yellowstone Software, Dimo Gestion affiche ses ambitions à l'international.
AXC est un éditeur réalisant 1 ME de CA, avec une spécialité : la gestion des notes de frais, mais dans le secteur public. De taille trop petite pour se développer la société s'est vendue à Dimo Gestion qui complète ainsi son activité de gestion des notes de frais, où il édite le logiciel Notilus. Les équipes d'AXC rejoignent celles de Dimo Gestion à Courbevoie en région parisienne, dans le pôle CRM.
Création d'une filiale spécialisée en SaaS
Yellowstone présente un autre profil, la société est dans le CRM et le Saas. Dimo Gestion, qui a repris ce fonds de commerce, en profite pour créer une filiale, spécialisée en Saas : Dimo Apps, avec l'activité CRM de l'ex Yellowstone et celle développée par Dimo Gestion depuis 2003. D'autres développements sont en cours. Dimo Apps ce sera du Saas vertical, dans trois secteurs : le SRM, Supply relationship management, l'hôtellerie, les organismes collecteurs de la taxe d'apprentissage. L'activité Saas devant représenter 20 % de celle de Dimo Gestion en 2015.
Ces rachats et cette création de filiale marquent une étape dans le développement de Dimo Gestion. La société veut se développer davantage à l'International. Elle y accompagne ses clients en gestion de notes de frais en adaptant ses produits dans la langue et la législation locale. Parfois, Dimo Gestion crée une implantation, comme en Tunisie ou à Madrid. Elle recherche également des distributeurs à l'international.
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En France, Dimo Gestion a adopté un modèle mixte de distribution en direct et en indirect. L'éditeur raisonne suivant chaque affaire. Une quinzaine de partenaires l'accompagnent. Le 21 mars dernier, était organisé le 1er Dimo partner meeting, destiné aux partenaires français et internationaux en indirect. Se tenait également, le lendemain, le 10 ème Dimo Forum, ouvert aux clients et partenaires, avec plus de 950 participants.
La société est organisée en b.u : BI, CRM, Finance, GMAO (Gestion de la maintenance assisté par ordinateur), Dématérialisation et processus, Gestion, voyages et notes de frais. Chacune d'elles travaille sur les produits édités en propre ou ceux distribués. L'édition c'est d'abord une niche de marché, les notes de frais d'entreprise, où Dimo Gestion détient une place prépondérante en France et en Europe, avec son logiciel Notilus. Dimo Gestion a lancé un outil de GMAO avec les rachats de CIRIS et d'Ithec. Troisième produit en édition, Geck destiné aux interfaces ERP. La distribution c'est plusieurs partenariats, comme ceux noués avec Sage et Cognos.
La société s'est dotée d'un plan de développement pour l'horizon 2015. « L'objectif est d'atteindre les 40 ME de CA, souligne Guillaume Mulliez, P-dg de l'entreprise, tout en restant indépendant, ce qui est notre marque de fabrique ». Les 6 associés de départ ont aujourd'hui 9, rejoints par 15 managers. Un fonds interne, alimenté par 130 salariés est également actionnaire. On retrouve l'ADN des Mulliez : esprit d'entreprise et association des salariés au capital.
(*) Créée en 1983, la société Cerg Finance fut pionnière dans la gestion de trésorerie (cash management) en France, en 1998 elle rejoint XRT, le tout est racheté par Sage fin 2007.
Best'ware suit ses clients passant au SaaS
Le grossiste n'en tire aucune marge. Deux sessions inter entreprises réunissant 12 partenaires ont déjà eu lieu ainsi que quatre sessions en version intra entreprise. « A l'issue de ces formations, les gens vont choisir leur modèle. Une petite partie d'entre eux bâtira son datacenter en puisant dans notre catalogue. D'autres ne voudront pas acquérir de savoir-faire spécifique et nous les mettrons alors en relation avec un hébergeur local qui achètera pour leur compte le matériel qu'il va accueillir. D'autres, enfin, choisiront un modèle mixte en constituant eux-mêmes leur infrastructure cloud qu'il vont confier à un hébergeur avec qui nous pouvons, encore une fois, les mettre en relation », explique Joël Pera.
Une aide juridique pour boucler les contrats SaaS
Best'Ware positionne également l'aide à apporter aux VARS et SSII sur le plan juridique. Il a ainsi négocié des tarifs avec un cabinet d'avocats pour aider ces clients à formaliser les contrats qu'ils proposeront aux entreprise pour la fourniture de services dans le nuage. « Quand un prestataire est le seul à fournir un service à une entreprise, la recherche de responsabilités est simple. Dans le domaine du cloud computing, l'hébergeur devient également un intervenant. D'où l'importance d'un contrat qui définisse les relations entre les différentes parties en prenant en compte le cadre général de la législation et la spécificité de l'offre portée par un VAR ou une SSII», justifie Joël Pera.
Depuis un an, outre sa clientèle traditionnelle, Best'Ware cible également les éditeurs de logiciels indépendants (ISV) grâce aux offres en OEM d'IBM Software qui leur permet d'intégrer ses technologies dans leurs propres offres applicatives. Depuis peu, il commence également à adresser les hébergeurs qui s'approvisionnent traditionnellement en direct auprès des fournisseurs. Comme l'explique Joel Pera, « l'arrivée du cloud crée des besoins chez les ISV qui cherchent à faire passer leurs applications en mode SaaS. Les hébergeurs, eux, se mettent en quête de solutions d'infogérance pour le cloud.»
Une équipe renforcée
Pour Best'Ware, si les VARS, les SSII, les éditeurs et les hébergeurs ont des besoins différents ils ont également besoin les uns des autres pour évoluer vers le cloud. D'où l'idée du grossiste de se positionner comme un intermédiaire entre ces différentes populations et de créer un cercle vertueux qui lui permettrait à la fois de maintenir ses positions sur le marché des VARS et des SSII tout en renforçant sa présence auprès des « 2500 » ISV français et « 600 à 700 » hébergeurs locaux.
Pour joindre le geste à la parole, Best'Ware s'est constitué une équipe dédiée au cloud computing en embauchant notamment cinq collaborateurs. On trouve parmi ces recrues des spécialistes de l'applicatif, des datacenter et des logiciels d'administration.
Annuels 2010 Proservia : une année de recentrage
La SSII Proservia publie ses comptes 2010. Avec 47,8 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA), la société enregistre une progression organique de 7,6% et une croissance globale de 8,3%. Le résultat opérationnel passe de 0,6 ME à 2,5 entre 2009 et 2010. La marge opérationnelle bondit de 1,5% à 5,2% d'une année à l'autre.
En 2010, la société s'est recentrée sur son activité d'infrastructures, cédant WizTiVi et en rachetant NetLevel et Lynt. Pour 2011, la société indique simplement vouloir continuer sa croissance, renforcer sa politique de maîtrise des coûts et les synergies développées avec ses filiales NetLevel (infrastructures complexes) et Ovialis (MOA, architectures et décisionnel).
Stibo Systems implante ses outils MDM en France
Editeur danois, créé en 1976, Stibo Systems ouvre un bureau en France. La société traite le référentiel produits des entreprises, essentiellement des grands comptes, avec une plateforme : Step master data. Stibo est spécialisée dans ce qu'on appelle le MDM (Master data mangement), le PIM (Product information management) et la publication multicanal (web, papier, ERP, échanges de données).
La société vend en direct, mais recourt à des intégrateurs pour l'implémentation de ses produits. Elle recherche actuellement des partenaires de ce type pour l'aider à se développer en France. Elle compte déjà des clients dans l'hexagone : Manutan, Jeulin, Seton.
Société indépendante, elle dépend d'une fondation, Stibo Systems affronte des concurrents comme IBM, Sap ou Oracle dans un marché mondial qui devrait tripler de taille entre 2008 et 2013, pour atteindre près de 3 milliards de dollars.
Annuels 2010 Solutions 30 : franchir le cap des 50 millions d'euros de CA
« L'exercice 2010 représente une étape importante dans la croissance de notre groupe qui franchit pour la première fois la barre symbolique des 50 M€ », se félicite Gianbeppi Fortis, le président du directoire de Solutions30. Plus précisément, la société bien connue pour son activité dans le dépannage informatique à domicile a généré l'an dernier 54,7 M€ de facturations, soit une hausse de près de 22% comparé à 2009. Les revenus dégagés par le prestataire de services en Allemagne, Belgique, Espagne, Italie et Pays-Bas représentent 14,5% de son activité globale.
Parallèlement à la progression de l'activité de Solutions30, son résultat d'exploitation a également enregistré une hausse de près de 19% à 55,9 M€. Cela, malgré le travail mené par la société l'an dernier pour intégrer les trois sociétés qu'elle a racheté en 2009 : les activités d'intervention sur site d'Anovo en France, les activités « desktop » de SOGETI en Ile de France, la société Smartfix aux Pays-Bas.
Le résultat net grevé par des charges non courantes
En revanche, ces rachats ont contribué à faire baisser de 40,5% la rentabilité nette de Solutions30 par rapport à 2009. Elle reste tout de même dans le vert à 1,4 M€. Ce recul tient à l'inscription au bilan de charges non récurrentes et à la constitution de provisions pour charges exceptionnelles à hauteur de 1,9 M€. Cette somme a notamment financé une baisse des effectifs du groupe qui avaient progressé de 350 personnes suite à ses différentes acquisitions. 350 K€ ont également été provisionnés pour faire face à des litiges avec des fournisseurs des sociétés reprises. Enfin, Solutions30 a racheté à des associés minoritaires leurs parts dans une trentaine de ses agences. Sur les 70 implantations dont le groupe dispose aujourd'hui, seule l'agence de Reims conserve un actionnaire minoritaire aux côtés de Solutions30.
Annuels 2010 Micropole : une pression sur les prix persistante
Le PDG de Micropole en présentant les résultats annuels a utilisé des expressions qu'on ne lui soupçonnait pas : « après le passage devant la DSI, si cette dernière a signé pour un projet, nous ne sommes plus obligés d'endosser un ciré pour nous rendre dans les directions achats, et prendre une rafale ».
En clair, fin 2009, les prix ont baissé en moyenne de 2%, surtout en France. Une baisse confirmée au 1er semestre 2010, mais regagnée au second semestre par une hausse tarifaire. La pression sur les prix, qui, au-delà de la baisse ou du report des projets, a handicapé tout le secteur, semble s'être estompée. Micropole pense regagner encore quelques points, le taux d'occupation remonte également, il reste à moduler un troisième critère, celui des salaires internes dans le secteur. Réduite au pain sec depuis plusieurs années, la profession retrouvera un état normal après deux années et demi de crise.
Le paysage s'adoucit donc et Micropole affiche pour son exercice 2010 une croissance de 6,8% de son chiffre d'affaires, à périmètre et change constants, de 8,8% au total, avec un chiffre d'affaires de 102,5 millions d'euros. Dans un secteur à peine positif en 2010, Micropole reste au-dessus du lot. Et surtout, la société affiche des CA constamment positifs sur 5 ans : +13% en 2006, + 18% en 2007, +2% en 2008, + 9% en 2009 et donc + 8,8% en 2010.
Seul motif de désespoir, le cours de bourse
La rentabilité 2010 vient conforter cette trajectoire. Le résultat opérationnel courant se monte à 6,3 ME, contre 3,6 ME un an auparavant, soit 6,2% du CA, contre 3,8% en 2009. Le résultat opérationnel s'élève à 5,1 ME contre 3 ME. Enfin, le résultat net se monte à 4,2 ME, contre 2,5 ME, soit 4,1% du CA, contre 2,6%. Seul motif de désespoir, le cours de bourse, mais ceci est un autre sujet, commun à de nombreux acteurs des logiciels et services.
Sur sa lancée, Micropole se dote d'un plan de développement à trois ans. L'objectif est d'atteindre les 150 ME de CA, à la fois par croissance organique et par croissance externe. Sur le 1er volet, la société s'appuie sur ses trois activités : la BI (45%), le web IT (45%), l'ERP et la formation, sans exclure d'en développer de nouvelles. Elle tient à se distinguer en fuyant la stratégie « prix-volume » pour une approche métier plus différenciée avec des facturations plus élevées. Quant à la croissance externe, elle se fera en France ou à l'international (22% de l'activité actuelle). Visiblement l'Allemagne est en ligne de mire. A l'international, Micropole s'est renforcée en Belgique avec l'acquisition du spécialiste SAP Oasis (4ME de CA et 14% de résultat d'exploitation). Micropole est également présente en Suisse.
(...)
Que le cloud soit privé ou public, Oracle a réponse à tout
Si le PDG de Salesforce.com, présent mardi à Paris, a une idée très resserrée du cloud, public et multitenant, Oracle revendique de son côté une vision très large de la question. Hasard ou pas des calendriers, deux jours après son compatriote californien Marc Benioff, la société de Larry Ellison avait programmé son propre événement, à deux pas du Cnit de la Défense. Rick Schultz (en photo), vice président marketing technologie produit, y a donné la version du cloud selon Oracle. L'éditeur de Redwood reprend simplement la définition générique de l'agence américaine NIST (National Institute of Standards and Technology), soit « un modèle pour accéder à la demande à un pool de ressources informatiques configurables qui peut être rapidement mis à disposition, avec un minimum d'intervention de la part des fournisseurs qui le mettent en oeuvre ». Ce qui laisse à Oracle un terrain de jeu suffisamment étendu pour couvrir, avec ses matériels, middleware et applications, les trois modèles de services (SaaS, PaaS et IaaS) et les quatre modèles de déploiement (cloud public, privé, communautaire et hybride).
Les clouds privés prennent la corde
Rick Schultz a repris ce matin le b.a.-ba du glossaire cloud et des mérites respectifs des modèles privé et public. « Les entreprises vont adopter un mix de modèles, suivant ce qui s'adapte le mieux aux applications qu'elles utilisent déjà ». Fin 2010, une étude conduite par l'IOUG (Independent Oracle Users Group) auprès de 267 responsables IT a montré que 29% avaient déjà déployé un cloud interne (pour la plupart sur un périmètre limité) et que 37% donnaient déjà accès à certains processus à partir d'un cloud privé. Quant aux réticences autour du cloud public, elles portent avant tout sur la sécurité (à 43%), avant le coût (25%) et la qualité de service (25%). « Les clouds privés suscitent de plus en plus d'intérêt, pointe Rick Schultz. Le PaaS privé, notamment, maximise la flexibilité et le contrôle en réduisant les interventions manuelles. »
Si Oracle a une vision très large du cloud, sa stratégie est en revanche très ciblée, affirme-t-il. En version privée, il dispose de tous les ingrédients pour installer des applications sur une plateforme partagée, offrir base de données et middleware en PaaS et jusqu'au matériel et systèmes pour bâtir PaaS ou IaaS (cf ses offres Exadata et Exalogic*, cette dernière associant clustering et virtualisation), ainsi que les outils d'administration du cloud (solution Enteprise Manager). En version publique, il propose son offre applicative (les composants ERP de Fusion Applications par exemple peuvent être déployés sur un cloud public) ou l'accès à ses bases de données ou à son middleware sur un cloud tel que celui d'Amazon. Il y a deux mois, ce dernier a indiqué qu'il allait également supporter Oracle VM, la technologie de virtualisation de serveurs de l'éditeur qui repose sur Xen. « Nous poursuivons nos investissements dans nos différents produits de virtualisation », a précisé Rick Schultz par la suite, lors d'une session de questions/réponses, en insistant sur l'effort réalisé par le groupe en R&D (4 milliards de dollars prévus sur 2011 - contre 3,25 Md$ en 2010, soit 12% du chiffre d'affaires de l'exercice). « Nous continuons d'investir sur les technologies rachetées », rappelle le VP marketing technologie product.
250 applications sur une infrastructure partagée
Rick Schultz illustre son propos par quelques cas d'écoles. Le Crédit Suisse, notamment, a déployé trois clouds privés internes, PaaS et IaaS. Succédant au VP marketing d'Oracle, Massimo Pezzini, de Gartner, zoome sur le cas. La banque dispose notamment d'une plateforme pour des applications Java (rassemblant WebLogic Portal, WebLogic Server, JMS, Application Integration Components, RAC [Real Application Cluster], des outils de sécurité et de gestion de système et le framework applicatif). Le modèle de déploiement est double : partagé pour certaines applications ou consacré à une application. Bilan : le Crédit Suisse exploite 250 applications sur une infrastructure Solaris partagée (reposant sur 180 serveurs) et 20 applications déployées sur des serveurs strictement dédiés, pour la banque sur Internet et les systèmes de paiement.
(*) Pour Rick Schultz, les premiers clients d'Exalogic, offre toute récente lancée sur OpenWorld 2010, seront très probablement les utilisateurs des solutions middleware WebLogic.
Illustration : Rick Schultz, vice président marketing technologie produit (crédit : M.G.)
Rick Schultz, VP marketing technologie produit d'Oracle, expose les capacités d'administration du cloud proposées par l'éditeur (crédit : M.G.) (...)
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