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(03/03/2011 10:38:55)
Annuels Bouygues Telecom : Des bénéfices en recul de 6%
Le parc d'abonnés à la téléphonie mobile de Bouygues Telecom s'est enrichit quant à lui de 842 000 clients en 2010, soit 23% de la croissance nette du marché (source : Arcep). A la fin de l'année dernière, Bouygues Telecom disposait ainsi d'un parc total de 11 084 000 clients, dont 79% de clients au forfait (soit +2,5 points sur un an).
Avec le rachat de WYNIWYG, TRSB affiche ses ambitions
Ce n'est pas la première fois que TRSB se développe avec des opérations de croissance externe : la SSII avait déjà depuis 2008 racheté les activités de l'assembleur de PC Elonex et le mainteneur EFS. Dans le même temps, la SSII affiche une croissance interne de plus de 20% en 2010 et s'attend à une progression du même ordre en 2011.
D'autres achats à venir
TRSB va-t-il s'arrêter là ? « La priorité est de bien réussir l'intégration de WYNIWYG, qui représente un tiers de notre chiffre d'affaires, mais il n'est pas impossible que nous rachetions d'autres entreprises en 2011 », répond Philippe Guinchard. WYNIWYG permet également à TRSB de compléter sa présence géographique, avec ses implantations à Nantes, Rouen et Paris, qui viennent s'ajouter aux 5 agences commerciales du groupe (Lille, Aix-en-Provence, Montpellier, Lyon et Paris) et à ses deux centres de services de Palaiseau (91) et de Rousset (13).
TRSB n'est-il pas en train de créer un modèle hybride entre les SSII traditionnelles et les « corporate resellers » ? La nomination fin 2010 de Didier Fougeron au poste de Directeur Général adjoint du groupe TRSB est un élément de réponse : il a fait partie de l'équipe dirigeante de Computacenter ces 14 dernières années...
Illustration principale : Philippe Guinchard, président et fondateur de TRSB, crédit photo D.R.
Cebit 2011 : SAP crée des solutions OnDemand avec ses clients
Il y a deux ans, SAP a embauché John Wookey pour piloter sa stratégie « on-demand » en direction des grandes entreprises. Sa mission consistait à mettre en place un catalogue de solutions en ligne qui permettrait aux clients de la Business Suite d'ajouter, de façon flexible, des fonctionnalités complémentaires à leur système de gestion. Deux offres de ce type ont déjà été livrées (Carbon Impact, pour calculer l'empreinte carbone, et Sourcing OnDemand, pour gérer les sources d'approvisionnement et les achats stratégiques). Une troisième vient de s'y ajouter, annoncée à l'occasion du Cebit de Hanovre. Il s'agit de Sales OnDemand, une application apportant aux équipes de vente un cadre pour collaborer autour de leurs opportunités commerciales.
Cette solution en ligne présente la particularité d'avoir été développée sur la plateforme hébergeant Business ByDesign, l'application SaaS pour PME. C'est la première du genre chez SAP. Elle inaugure une nouvelle catégorie d'applications que l'éditeur met au point avec la participation de ses clients. L'objectif qu'affiche l'éditeur est de concevoir des interfaces et des enchaînements fonctionnels collant au plus près des souhaits des utilisateurs. SAP souligne aussi sa volonté de faciliter le partage d'informations, en particulier à l'aide d'outils empruntés aux médias sociaux(*), et de favoriser la mobilité ainsi que l'ont illustré les démonstrations faites au Cebit de Sales OnDemand, déroulées sur la tablette iPad d'Apple.
De l'application ciblant le dirigeant jusqu'à l'usage de masse
Sur le même modèle, d'autres logiciels seront annoncés au cours de l'année, chacun ayant vocation à s'utiliser sur des terminaux mobiles et à s'intégrer aux déploiements « on premise » de la Business Suite, dans le cadre d'un processus métier bien défini. Pour les créer, SAP interroge les entreprises très en amont sur les fonctions qui leur manquent et la façon dont elles voudraient pouvoir y accéder et les manipuler, explique notamment Thorsten Stephan, vice président, responsable des applications mobiles. Il cite en exemple une solution de gestion des notes de frais qui proposerait à son utilisateur de photographier sa facture de restaurant, d'y ajouter vocalement le nom des personnes invitées, avant d'expédier le tout vers la Business Suite. « Cela doit être très facile à utiliser », insiste Thorsten Stephan en rappelant que la puissance du terminal ne limite plus, désormais, les fonctionnalités de l'application, comme ce pouvait être le cas avec les logiciels sur PC. « La cible des utilisateurs mobiles est très large : cadres dirigeants, utilisateurs de base, techniciens sur le terrain et jusqu'aux consommateurs [dans le domaine de la grande distribution, notamment]. Nous pouvons maintenant concevoir des applications destinées à un usage de masse ».
Illustration : Démonstration de l'application Sales OnDemand de SAP
(*) Dans cette catégorie d'outils, l'éditeur Salesforce.com, spécialisé sur les logiciels en ligne destinés aux commerciaux, a lancé il y a quelques mois l'application Chatter, dotée d'une interface à la Facebook, qui semble avoir rencontré un certain succès auprès de ses clients. Microsoft de son côté vient de lancer en France la version hébergée de sa gestion de la relation client, Dynamics CRM Online, qui s'appuie beaucoup sur Outlook.
Facebook acquiert Beluga, spécialiste de la messagerie instantanée sur mobile
L'application proposée par Beluga donne la possibilité à des groupes d'amis de communiquer en privé via leurs smartphones. Dans un module, les utilisateurs peuvent envoyer des messages et partager des images et des lieux. L'application gratuite est disponible pour l'iPhone d'Apple et les smartphones sous Android. Pour l'instant, l'application de Beluga ne va pas être modifiée. Les comptes existants et les données ne seront pas perdus, assure la jeune société californienne.
Récemment, Facebook a renforcé son offre de messagerie push. La société a, par exemple, travaillé avec HTC et INQ pour proposer une version du réseau social plus intégrée. Aujourd'hui, il y a plus de 200 millions d'utilisateurs actifs accès Facebook via leur mobile.
Quels sont les plans de Facebook pour Beluga et ses trois fondateurs ? Il faudra attendre encore quelques semaines pour le savoir. La seule chose qui est sûre est que le réseau social recrute des anciens de chez Google, avec un certain savoir-faire.
Cebit 2011 : les yeux de Chimène pour l'ouverture, le cloud et les tablettes
A la soirée d'inauguration du Cebit 2011, Angela Merkel, Chancelière allemande recevait à l'occasion de la manifestation sur les nouvelles technologies, la Turquie avec la présence de Recep Teyyip Erdogan, Premier Ministre Turc. Ce dernier a vanté les mérites de son pays en matière de nouvelles technologies et des efforts qu'il reste à faire en matière d'éducation et de déploiement de l'Internet, mais il a insisté aussi sur la nécessité que la Turquie rentre dans l'Union européenne. Il a par exemple souligné les freins que constitue le besoin de visa pour les entrepreneurs turcs qui se rendent en Allemagne. Angela Merkel lui a proposé avec humour d'intégrer une puce dans les passeports pour améliorer les choses. Celle-ci a insisté sur l'importance des technologies dans les mouvements de protestations dans les pays arabes. Elle a aussi parlé en fin de discours du cloud computing en soulignant le potentiel de croissance que cela représente, tout en appelant les acteurs de ce marché à le rendre sur et facile d'accès. Le PDG d'IBM Sam Palmisano a dans son intervention rappelé l'importance d'avoir des standards ouverts pour apporter des réponses aux interrogations sur la sécurité. « De nombreux citoyens se sont interrogés sur qui détient toutes les données, qu'en font ils et peut-on avoir confiance en eux ? » précise le dirigeant.
Un cloud encore éparpillé dans le salon
Du discours à la réalité il n'y a qu'un pas que l'on franchi dès le hall 2 du Cebit. Le stand IBM où Angela Merkel s'est vue remettre un processeur Power PC d'IBM et a remercié... Intel pour l'occasion, montrait les bénéfices du cloud en affichant les différentes solutions hardware et software. D'autres halls intégraient à des degrés divers le cloud computing. Un espace dédié aux datacenters était visible montrant principalement le savoir faire en matière de réduction de consommation énergétique. Emerson avait installé un camion de démonstration devant le hall et semblait un peu isolé. Difficile par contre de trouver de réelles annonces, le Cebit n'étant pas un salon où les constructeurs et les éditeurs dévoilent des produits à destination des professionnels de l'IT. Ainsi, en matière de sécurité, le cloud n'est pas encore sur les lèvres des exposants qui disposent d'un hall pour eux. L'évangélisation sur la lutte contre le spam et les antvirus auprès du grand public restent un discours important. Et c'est peut-être un des enseignements du salon, si le cloud va bénéficier aux entreprises, les acteurs de l'IT doivent rester en veille sur les besoins du grand public, qui sont les vecteurs de la vague actuelle de « consumérisation de l'IT ».
Les tablettes fleurissent
MSI, Asus, TazTag ont présenté plusieurs tablettes lors du salon. 7'', 9'', 10'', Android, Windows 7, NFC, etc. toutes les technologies et les formats de tablettes sont présentes. L'offensive contre l'iPad est bien entamée surtout à quelques heures de la présentation de l'évolution de la tablette d'Apple. Les fabricants asiatiques présents sur les stands chinois montrent une variété impressionnante d'ardoises. Une course de vitesse s'est engagée pour répliquer, dupliquer et apporter une réponse au « time to market » des constructeurs. Cette accélération entraîne quelque fois des inattentions comme sur ce stand où Android est devenu Andriod. Devant cette hégémonie médiatique, les présentations de terminaux mobiles, de PC ou de périphériques sont passées plutôt inaperçues. Au final ce cru 2011 du CEBIT aura surfé sur la vague des deux tendances de l'année, le cloud et les tablettes.
Annuels Steria : un retour à la croissance et un optimisme pour 2011
Sur l'exercice 2010, Steria a réalisé un chiffre d'affaires de 1,692 milliard d'euros, en croissance organique de 1,5%, légèrement supérieur à la moyenne du marché (1%), mais toujours inférieur à son exercice 2008, 1,766 milliard d'euros. C'est le retour à la croissance organique pour Steria. Les indicateurs de rentabilité sont également au vert. La marge opérationnelle se retrouve à 120,4 millions d'euros (contre 118,9 sur l'exercice précédent), le taux de marge s'élève à 7,1%. Le résultat net part du groupe se monte à 42,9 ME (contre 48,2).
Plus spectaculaire encore, souligne la direction, la génération de cash permet une réduction de 85,8 ME de la dette financière nette qui se situait au 31 décembre dernier à 101,2 ME. « C'est une vraie performance », note François Enaud, gérant exécutif de Groupe Steria SCA, « nous sommes en avance sur notre plan de désendettement». La société avait racheté Xansa il y a trois ans, générant cet endettement. Au plan opérationnel, la SSII se veut optimiste, que ce soit en termes sectoriel ou géographique. Elle mise ainsi sur le secteur public, avec d'importantes références arrivées en 2010 comme la Police de Cleveland, le fameux Chorus français (une nouvelle tranche de TMA), le ministère britannique de la santé. Le secteur des transports se détache avec 7% de croissance en 2010, la banque était à +4% sur 2010, le secteur public à +3%. En revanche, les télécoms ont baissé de 8%.
La France croit de 5%
Par pays, en Grande-Bretagne, la croissance se monte à 1,3%, malgré une situation détériorée au second semestre et un moratoire sur les dépenses publiques. La France affiche une belle performance avec 5% de croissance. En revanche, l'Allemagne, malgré la croissance globale la plus forte du continent boude les services informatiques (+0,6%).
Le groupe s'appuie également sur ses programmes de transformation, concernant aussi bien ses manières de délivrer les projets que ses structures. La SSII a créé des « business community », des équipes transverses pour se concentrer sur des offres majeures avec des équipes venues de plusieurs spécialités. Elles utilisent de nouveaux outils de partage de la connaissance qui connectent les équipes entre elles. Steria utilise aussi des centres partagés. Par ailleurs, le groupe va déménager, afin de diminuer encore ses charges, revoir ses achats et sa structure
La société se veut confiante sur 2011, le quatrième trimestre 2010 a confirmé le redressement avec un taux de prise de commandes supérieur de 33% à celui du même trimestre de 2009. « Nos clients se posent la question du changement de leur modèle de sourcing, nous avons le bon profil et une capacité d'expertise suffisante pour répondre ». Stéria se fixe un objectif de 3 à 4% de croissance organique pour son CA 2011.
Jeux vidéo, un poids lourd 16,2 milliards de dollars
La Chine a contribué à hauteur de 4,8 milliards de dollars aux recettes mondiales des jeux sur PC, qui s'élèvent à 16,2 milliards de dollars au total. Viennent ensuite la Corée, le Japon, l'Allemagne, les Etats-Unis et le Royaume-Uni qui ont ajouté 7,3 milliards (recettes combinées) au pot commun. Le président de la PCGA (PC Gaming Alliance), Matt Ployhar, a attribué cette croissance à la hausse de popularité des modes de distribution en ligne, et à l'évolution des jeux en ligne qui proposent aux joueurs d'essayer les jeux gratuitement avant de s'acheter de nouveaux contenus et autres items dans les boutiques virtuelles des jeux.
Le rapport Horizon Report 2010 met également en lumière certains investissements et autres acquisitions qui ont eu lieu l'année dernière. Disney a en effet racheté Playdom (qui a développé les jeux Facebook City of Wonder, Wild Ones), Warner Entertainment s'est payé Turbine, Inc. (le jeu gratuit Lord of the Rings Online), et l'entreprise chinoise Tencent a acquis Riot Games (jeu gratuit en ligne League of Legends).
David Cole, analyste chez DFC, estime que si le Steam Network continue de dominer les ventes de jeux par téléchargement en ligne, cette situation "devrait évoluer lorsque d'autres poids lourds du marché se mettront à la distribution numérique".
Crédit photo : D.R.
Sage business index : les PME françaises restent prudentes
En deux mois, novembre et décembre 2010, Sage a passé au peigne fin la confiance de 6 455 PME de 6 pays : Allemagne, Canada, Etats-Unis, Espagne, France, Grande-Bretagne. Cet exercice devrait se reproduire chaque année. C'est le « Sage business index », destiné à mesurer la confiance et les intentions d'investissement de ces PME, en particulier dans le domaine informatique.
Le premier indicateur, celui de la confiance, montre qu'elle est forte en Allemagne, 55% des PME se montrent plus confiantes qu'il y a un an, moyenne en France, au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et au Canada avec 41% (en moyenne sur ces pays) d'entreprises aussi confiantes qu'il y a un an. Il est évidemment faible en Espagne, où il se promène à 36% (30% de moins confiants, 12% de plus confiants). En France, 37% de entreprises sont plus confiantes, 43% ne voient pas de différence, 27% sont moins confiantes, le reste se veut « sans opinion ».
La technologie dessine une autre différence, celle entre pays qui comptent sur l'IT et ceux qui n'y croient pas. Surprise, les PME de France et d'Allemagne sont celles qui croient le moins dans la technologie pour rendre leur business plus efficace, 44% des PME françaises et 34% des PME allemandes sont dans ce cas. A l'inverse, elles sont 67% aux Etats-Unis, 71% au Canada, 72% au Royaume-Uni, à miser sur la technologie pour s'en sortir.
"Les PME françaises très intéressées par le Saas"
Point particulier, concernant l'utilisation du Saas, les PME française (à 62%) et anglaises (58%) se veulent les plus en pointes. En Allemagne, en revanche, elles sont 60% à refuser d'envisager le Saas. Les PME françaises se tournent vers le Saas pour des applications très commerciales : ventes, marketing, CRM, beaucoup moins pour des solutions de paiement à distance (un quart des réponses).
La même question est posée concernant les technologies mobiles. Aucun pays ne répond majoritairement oui à un projet dans ce domaine en 2011. Les français sont toutefois les plus équilibrés avec 48% de oui et 52% de non, les allemands les plus réticents, 33% de oui et 57% de non. Les PME françaises privilégient là encore les applications commerciales.
Cette différence entre les PME françaises et les autres se retrouve en matière de priorités d'investissements en général. Dans les dernières années, le plus grand défi pour les « frenchies » fut d'augmenter le chiffre d'affaires (52%), de gérer la trésorerie (47%), de réduire les dépenses (35%). Pour les autres, de réduire ces dépenses et ensuite d'augmenter le CA. Pour 2011, les PME françaises seront à 61% dans l'augmentation de leur CA et à 40 dans la gestion de trésorerie. Les autres pays sont toujours, avant tout, dans la réduction des coûts et, ensuite, dans l'augmentation de leur CA. (...)
Delphine Ernotte devient directrice exécutive d'Orange France
Delphine Ernotte succède à Stéphane Richard en prenant les fonctions de directrice exécutive d'Orange France. Son prédécesseur devient quant à lui président directeur général du groupe à compter du 1er mars 2011. Avant d'être promue à son nouveau poste, Delphine Ernotte était directrice exécutive adjointe de Stéphane Richard pour les opérations d'Orange en France.
Delphine Ernotte a effectué toute sa carrière chez France Télécom depuis 1989. Elle y a occupé divers postes fonctionnels, notamment à la R&D, et a ensuite évolué vers des fonctions à responsabilités, telles que directrice d'agence distribution et directrice régionale Centre Val de Loire. Elle devient ensuite directrice de la communication et du sponsoring France en 2006, puis directrice commerciale France en 2008.
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