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9034 documents trouvés, affichage des résultats 2021 à 2030.
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(08/02/2011 10:16:32)
Annuels Canon : le japonais renoue avec les profits
Le groupe Canon publie ses chiffres annuels mondiaux pour l'exercice 2010. Ils marquent un retour de la croissance et du profit, le groupe en profite pour annoncer une année 2011 performante. Sur 2010, Canon publie un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de yens (45,7 milliards de dollars) en hausse de 7,8%.
Une nouvelle ère de profits
Le profit net se monte à 1,78 milliard de yens en hausse de 47% par rapport à l'exercice précédent. Le profit opérationnel est en hausse de 11,7% à 387,5 millions de yens. «2010, c'est la 1ère année d'une nouvelle ère de profits » a souligné, lors de sa présentation, Toshizo Tanaka, vice-président et CEO. Pour 2011, il anticipe un chiffre d'affaires de 4,1 milliards de dollars, en hausse de 10,6%. « Ce sera une année pour bâtir les fondations d'un résultat très bénéficiaire en 2012, supérieur à notre année record de 2007 ».
(...)
SFR et Orange renoncent à la hausse de la TVA sur les abonnements mobiles
SFR prendra à sa charge l'augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée à la manière de son concurrent Bouygues Telecom. Orange a également annoncé la même démarche. Effective depuis le 1er janvier 2011, la hausse de la TVA s'applique sur les forfaits électroniques permettant de recevoir la télévision (mobiles 3G, triple play ADSL). Beaucoup de clients avaient reçu des couriers de la part de leur opérateur pour leur indiquer que leur forfait allait augmenter. Cela leur ouvrait le droit à résiliation sans frais de leur abonnement pour aller chez un autre opérateur. Devant les risques de pertes de clients, les opérateurs ont finalement choisi de prendre la hausse de la TVA à leur compte.
Par contre, SFR, tout comme Orange appliquent en revanche la nouvelle TVA sur ses offres Internet haut débit. Depuis le 1er février, les offres inférieures à 20 euros sont majorées d'1 euro. L'augmentation atteint 2 euros pour les offres au tarif supérieur à 20 euros. Le prix de l'abonnement Neuf Box Evolution est ainsi passé de 34,90 à 36,90 euros en zone dégroupée.
(...)(07/02/2011 16:06:02)Business ByDesign 2.6 : SAP mise sur le SDK pour étendre l'écosystème
Annoncé depuis le printemps dernier, le kit de développement pour Business ByDesign arrive avec la version 2.6 de l'application de gestion hébergée par SAP. L'éditeur l'avait promis pour janvier. Il va permettre à ses partenaires de créer des extensions et des add-on autour de cette offre destinée principalement aux PME. Tant pour SAP que pour les observateurs du marché, ce SDK est jugé crucial pour le succès de Business ByDesign. S'il peut amener les partenaires de l'offre à une croissance profitable, « nous sommes potentiellement assis sur quelque chose d'assez fantastique », considère Chris Horak, responsable marketing global pour le produit. L'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, n'en disconvient pas, avec toutefois une mise en garde. « Ce qu'il y a de plus important pour un éditeur de logiciels en ce moment, c'est de s'assurer un solide écosystème de développeurs. Mais, les outils doivent être bons. » Le SDK devra donc convaincre.
Plus facile à utiliser que NetWeaver
Selon les premiers retours de plusieurs partenaires, le kit de développement est plus facile à utiliser que NetWeaver (la couche middleware de SAP), même s'il reste toujours nécessaire de se former auprès de l'éditeur. Pour ceux qui sont déjà passés par l'école de SAP, « c'est un environnement plus productif que NetWeaver », indique Ray Wang.
L'application Business ByDesign a été lancée en septembre 2007, sur un nombre restreint de pays (cinq puis six). La montée en puissance devait être progressive. Elle a finalement été retardée et le nombre d'entreprises exploitant l'offre a été volontairement limité jusqu'à ce que SAP renforce et rationalise son infrastructure technique afin de pouvoir accueillir davantage d'utilisateurs de façon rentable pour lui. Il a ouvert les vannes cet été avec le passage à la version 2.5 et compte aujourd'hui 250 clients sur ByDesign. Il s'est fixé l'objectif d'atteindre le millier de clients en 2011 (on se souvient que lors du lancement de l'offre, il espérait atteindre 10 000 clients et générer 1 milliard de chiffre d'affaires en 2010 avec cette solution SaaS).
Des add-on hébergés chez SAP ou par le partenaire
Quoi qu'il en soit, SAP ne pourra pas atteindre son objectif sans un solide programme partenaire qui révélera ce que les clients veulent vraiment faire avec le produit, estime de son côté Jon Reed, un analyste indépendant. « Un certain nombre d'add-on métier parmi les plus importants résulteront directement des retours et des besoins exprimés par les clients », considère-t-il.
Illustration : Chris Horak, responsable marketing global pour l'offre Business ByDesign (crédit : D.R.)[[page]]Pour l'instant, SAP dispose d'environ 50 revendeurs pour Business ByDesign et de 40 partenaires dans le domaine du développement, selon Chris Horak, responsable marketing de l'offre. L'éditeur avance doucement afin de parvenir à la meilleure combinaison de partenaires et s'assurer que tous les add-on qui seront développés pourront disposer d'un support.
SAP prévoit différents scénarios de développement autour de ByDesign, allant des applications très verticales plutôt complexes jusqu'aux interfaces utilisateurs alternatives. Suivant les cas, l'application complémentaire sera hébergée par SAP ou par un partenaire, explique Chris Horak. « Si l'add-on exploite nos données, il est logique qu'il réside sur nos serveurs », cite-t-il en exemple.
Analyse de données « In memory » pour la v.2.6
Business ByDesign va également constituer la plateforme sous-jacente pour les applications on-demand que SAP développe en direction de ses grands clients. Mais les développements réalisés dans ce domaine ne semblent pas devoir démarrer avant la fin de cette année.
Parmi les autres apports de la version 2.6 de ByDesign figure le support des terminaux mobiles iPad d'Apple et BlackBerry de RIM. L'application dispose aussi de fonctions d'analyse de données en mémoire. Par ailleurs, SAP compte désormais pousser cette solution hébergée dans les filiales des grandes entreprises. Cela constitue un chargement par rapport au positionnement d'origine de l'offre qui avait été conçu pour les PME. Outre-Atlantique notamment, elle pouvait être perçue comme une réponse à des produits tels que l'ERP on-demand commercialisé par NetSuite.
Depuis le mois d'août, SAP propose plusieurs packs de démarrage autour de Business ByDesign. Outre le coût de la mise en place (de 9 900 euros pour le Starter Package CRM à 34 900 euros pour l'offre PSP destinée aux entreprises de services), l'utilisation du logiciel en ligne va de 79 euros (pour le CRM) à 149 euros (PSP) par utilisateur et par mois.
Pour les logiciels développés par les partenaires, SAP a finalisé un modèle de partage des revenus, a confirmé Chris Horak, mais l'éditeur n'en a pas encore communiqué publiquement le détail. (...)
Microsoft corrige un bug de sécurité affectant Windows Azure
Le bug concerne les sites web et les services Internet qui utilisent des cookies pour conserver certaines informations de statut entre deux sessions de navigation, et fournir aux clients de Microsoft qui gèrent des sites web sur Azure certaines informations générées par les visiteurs pendant leur connexion. Quand le processus fonctionne correctement, le cryptage des cookies fait que « les clients peuvent constater que des informations de statut sont effectivement transmises, mais sans qu'ils soient en mesure ni de les voir, ni de les modifier » a indiqué Microsoft. La faille identifiée rend visible ces informations contenues dans le cookie. « Ce problème affecte les applications développées avec ASP.NET et utilisant la nouvelle fonctionnalité « Full IIS» du SDK v1.3 qui implémente le Web Role (en charge de traiter les requêtes HTTP/HTTPS) » a indiqué la firme de Redmond. « Dans le cas où ces Web Roles sont vulnérables, le client peut voir le contenu des informations de statut (sans pouvoir les changer). La confidentialité du contenu n'étant plus assurée, la sécurité du site web se trouve compromise. » Les clients Azure concernés par ce problème doivent télécharger la mise à jour du SDK, redéployer leurs applications et vérifier que le correctif assure son rôle. Des instructions pour la mise en oeuvre du correctif sont disponibles sur le blog de Windows Azure. En plus de ce correctif spécifique, l'éditeur doit corriger cette semaine 22 bogues, conformément à son calendrier Tuesday Patch mensuel. Toutes les versions de Windows doivent recevoir plusieurs correctifs critiques. Pus Internet Explorer, qui n'échappe pas à cette campagne de correctifs.
L'annonce de configurations Extra Small
Indépendamment de ces annonces de sécurité, Microsoft a annoncé qu'il offrirait des instances de calcul « de très petite taille » dans Windows Azure. Avec la nouvelle version bêta publique, l'entreprise veut apporter aux développeurs un moyen peu onéreux de démarrer avec le Cloud computing. En effet, Microsoft a fixé le prix de ces mini instances de calcul dans Windows Azure à 5 centimes de l'heure, contre 12 à 96 centimes actuellement pour les quatre offres d'instances de calcul de plus grandes tailles. La nouvelle instance se compose d'un CPU à 1GHz, de 768 Mo de mémoire vive, 20 Go de capacité de stockage, et des performances I/O inférieures aux configurations plus conséquentes. Des instances de deuxième niveau avec un CPU de 1.6GHz, 1.75GB de mémoire vive et 225 Go de stockage, plus une meilleure performance I/O sont également proposées. L'éditeur indique que ces instantes de petite taille, disponibles en version bêta privée depuis octobre dernier, ont reçu un très bon accueil.
« Cette configuration de petite taille permet aux développeurs d'accéder à un environnement de développement et de test à un prix très avantageux, » a indiqué Microsoft. « Les développeurs peuvent également utiliser la configuration Extra Small pour tester des solutions cloud à un moindre coût.» La version bêta publique est accessible à tous. Les petites instances Windows Azure proposées par Microsoft sont semblables aux configurations « micro » proposées par son concurrent Elastic Compute Cloud (ECC) d'Amazon. Aujourd'hui, un an après son lancement commercial, Windows Azure compte 31 000 abonnés actifs et héberge 5 000 applications.
Nokia vers un grand ménage managérial ?
Le 11 février prochain, Stephen Elop, PDG de Nokia doit dévoiler devant des investisseurs la stratégie du groupe finlandais. Si beaucoup attendent les grandes orientations pour donner un second souffle à la marque leader, mais en perte de vitesse par rapport à des concurrents comme Apple et surtout les smartphones sous Android, Nokia devrait selon les informations publiées par l'hebdomadaire allemand WirtschaftWoche et le Wall Street Journal procéder à un nettoyage important dans l'exécutif. Près de la moitié des dirigeants serait concernée par ce mouvement. Parmi les noms les plus cités, Mary McDowell, responsable de la branche « terminaux mobiles », Niklas Savander de la division Marchés, Kai Oistamo du développement et Tero Ojanperale, en charge des solutions services et mobiles. Les journaux indiquent que des chasseurs de têtes ont été mandatés pour trouver des remplaçants avec des expériences dans la partie logicielle et une bonne connaissance du marché américain où Nokia peine à s'imposer.
Et une alliance avec Microsoft ?
L'autre rumeur penche pour un partenariat avec l'éditeur de Redmond pour équiper les prochains smartphones Nokia de Windows Phone 7. Les ventes de terminaux sous cet OS demeurent pour l'instant faibles et l'équipementier finlandais est à la recherche d'un environnement logiciel compétitif. Si on ajoute à cela que Stephen Elop est un ancien de Microsoft, il n'y a qu'un pas que les analystes n'hésitent pas à franchir. D'autres sont plus sceptiques en pointant du doigt les investissements déjà réalisés dans Meego avec Intel et sur les problèmes d'une mise en route trop longue d'un éventuel partenariat.
Stephen Elop est donc pressé d'agir, il faudra encore être un peu patient et attendre vendredi pour en savoir un peu plus sur ses ambitions pour Nokia.
Aviva bascule de Lotus à BPOS de Microsoft
Aviva est une compagnie d'assurances existant en France depuis 180 ans. Elle utilisait Lotus Notes (pour la messagerie), Microsoft Online SharePoint et Office Communicator pour une partie de ses communications. Elle souhaitait surtout mettre en oeuvre un véritable système de communications unifiées comportant une dimension collaborative.
Or, avec 4700 collaborateurs générant 6,7 milliards d'euros de chiffre d'affaires auprès de trois millions de clients grâce à un réseau de 875 agents généraux, 1800 collaborateurs d'agences, 1000 courtiers, 400 conseillers vie et 900 conseillers en gestion, la compagnie gère 30 000 comptes de messagerie alors que ce n'est pas son coeur de métier.
Aviva a donc choisi de migrer l'ensemble de ses communications au niveau mondial vers Microsoft Business Productivity Online Suite (BPOS) et d'en confier la gestion à HP. Ce dernier assurera la migration et l'exploitation du système durant neuf ans. Celui-ci sera hébergé sur le datacenter de Microsoft situé à Dublin, en Irlande.
Le montant du contrat n'a pas été dévoilé. Cette annonce intervient à la fin de Lotusphere 2011 qui s'est déroulé la semaine dernière. IBM a annoncé la prochaine disponibilité de son offre symphony en mode cloud et d'intégrer de plus en plus les informations provenant des réseaux sociaux.
Le département de la Loire rebaptise son cluster en Numélink
Changement de dimension et donc changement de nom pour le cluster du département de la Loire. Loire Numérique devient Numélink. Un nom destiné à refléter ses nouvelles ambitions et à identifier le cluster à l'international. Un jury composé des 145 adhérents et de partenaires a élaboré 120 propositions, les mêmes et des journalistes (dont Distributqiue.com) ont voté pour ce nouveau nom. En baseline, le cluster se définit comme « The creative IT Cluster » avec, comme slogan : « la dynamique numérique Loire en Rhône-Alpes ».
Etude 3sci : l'activité refleurît
Principale conclusion : c'est l'ensemble de l'année 2010 qui leur paraît plus favorable. 46% des chefs d'entreprise interrogés se montrent plutôt optimistes, 19% seulement plutôt pessimistes et 3% seulement très pessimistes. A contrario, 11% se révèlent très optimistes. Le CA a augmenté par rapport à 2009, faiblement pour 36% des répondants, fortement pour 18%. 17% parlent de stagnation. Les pessimistes sont 23% à parler de faible diminution du CA, 6% de forte diminution. La reprise est donc là, mais une proportion non négligeable des petites SSII souffrent encore, certaines fortement, la profession a même connu de disparitions.
Une sortie de crise réelle, mais encore fragile, voire longue. C'est la deuxième évidence, quand on voit 47% des interviewés estimer qu'elle durera encore 12 à 24 mois. 15% le situant à plus de 24 mois. 8% seulement ne la voient pas durer au-delà du semestre en cours. 12% la situent à moins de 12 mois. Le problème le plus épineux reste le manque de commandes et de CA pour 50% des répondants, le manque de trésorerie pour 15%, le manque de souplesse sociale pour 15 autres pourcents. C'est donc le manque de dynamisme économique général qui fait souffrir les petites SSII.
Six mois de décalage
Pour sortir vraiment de cette crise, 54% des responsables interrogés veulent augmenter leur activité commerciale, 29% trouver de nouveaux débouchés. 3% seulement parlent de licenciements, 4% de manque de trésorerie. Dans ces conditions, 2011 sera moyen pour 59% des répondants, bon pour 29%, très bon pour 3%. Ils l'emportent nettement sur les 8% qui jugent 2011 comme mauvais, 1% comme très mauvais. « Nous n'avons rien vu arriver fin 2008, commente Olivier Bouderand, la crise nous a affecté avec six mois de décalage par rapport au grands acteurs du secteur, la reprise devrait s'effectuer avec un décalage comparable ».
C'est bien l'activité commerciale qui permet de s'en sortir. Oubliées les tensions sur les finances. Les relations avec les banquiers sont restées bonnes (au 3ème trimestre) pour 72% des répondants, moyennes pour 20%, mauvaises à 1%, dégradées pour 3%. Une nette amélioration. D'ailleurs, 82% des entreprises n'ont pas demandé d'encours. Les 18% qui en ont demandé se sont vu accorder cette demande dans 92% des cas. 83% de ces demandeurs n'ont pas eu besoin de présenter de caution.
Illustration principale : Olivier Bouderand, président du 3sci
(*) Syndicat des Sociétés de Services et de Conseil en Informatique
(**) Les chiffres portent sur le 3ème trimestre, mais les interviews proviennent de novembre et décembre
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